Couesmes-Vaucé
Couesmes-Vaucé est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 374 habitants[Note 1].
Couesmes-Vaucé | |||||
L'église Saint-Julien de Couesmes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Mayenne | ||||
Arrondissement | Mayenne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bocage Mayennais | ||||
Maire Mandat |
Emmanuel Dorsy 2020-2026 |
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Code postal | 53300 | ||||
Code commune | 53079 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Couesmiens | ||||
Population municipale |
374 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 27′ 06″ nord, 0° 42′ 35″ ouest | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 206 m |
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Superficie | 19,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gorron | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.
Géographie
La commune est aux confins du Bas-Maine et du Domfrontais. Le bourg de Couesmes est à 9,5 km au nord-ouest d'Ambrières-les-Vallées, à 9,5 km au sud-est de Passais, à 10 km au nord-est de Gorron et à 19 km au sud de Domfront[2].
Le point culminant (206 m) se situe en limite sud-ouest, près du lieu-dit le Petit Essenlay. Le point le plus bas (100 m) correspond à la sortie de la Varenne du territoire, au sud-est.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault, mise en service en 1994[11] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 874 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 59 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[15], à 10,9 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Couesmes-Vaucé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,9 %), terres arables (42,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), forêts (0,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité de Couesmes est attesté sous la forme Coismes en 1241[25]. Le toponyme peut être issu de l'anthroponyme féminin germanique Godisma[26] ou encore d'un radical gaulois cot- suffixé du superlatif -isama[25]. La commune s’appelait Couesmes avant 1919, date à partir de laquelle elle prend le nom de Couesmes-en-Froulay[27].
Le gentilé est Couesmien.
Le nom de la localité de Vaucé est attesté sous les formes de Vaceio en 1168 et Vaussé vers 1200[25]. Le toponyme serait issu d'un anthroponyme gaulois tel que Valcius[25] ou Vallicius[28].
Histoire
En 1972, Couesmes-en-Froulay (618 habitants en 1968[27]) fusionne avec Vaucé (144 habitants[29]), au nord-ouest du territoire. La commune ainsi formée prend le nom de Couesmes-Vaucé, Vaucé conservant alors le statut de commune associée. La fusion devient totale le 1er janvier 2014[30].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[34]. L'un des conseillers est maire délégué de la commune associée de Vaucé.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2018, la commune comptait 374 habitants[Note 6], en diminution de 5,56 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Couesmes a compté jusqu'à 1 638 habitants en 1836. C'est en 1806 que Vaucé avait atteint son maximum démographique avec 437 habitants.
Enseignement
L'école primaire de Couesmes-en-Froulay portait le nom d'Octave Genouel, instituteur tué pendant la Première Guerre mondiale. Elle a été fondée au XIXe siècle et dissoute entre 1973 et 1990. Les bâtiments abritent actuellement la mairie. En 1970, l'école comportait deux unités : une école primaire installée à la mairie et une classe préparatoire dans un petit bâtiment sur la place centrale du village. En 1976 est créé un regroupement pédagogique intercommunal, composé de cinq classes sur trois sites[38] : Couesmes, Vaucé et Soucé. Faute d’effectif, la classe de Vaucé a dû fermer. Couesmes regroupait les maternelles et le CP. Les deux classes de CE et CM se trouvaient à Soucé. Faute d’effectif, les écoles ont fermé définitivement leurs portes en juillet 2015.
Sports
De 1994 à 2017, la course de poursuite sur terre est l'événement-phare du village.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Julien-du-Mans de Couesmes a été bâtie à des époques différentes à partir du IXe ou Xe siècle.
- L'église Saint-Pierre de Vaucé, romane, remaniée, abritant une cloche de 1817 classée à titre d'objet aux Monuments historiques[39].
- La stèle gauloise du Petit-Domaine fait partie des stèles mayennaises de la Gaule indépendante. Il s'agit d'une stèle de l'âge du fer (vers le Ve siècle av. J.-C.) de 2,45 m de longueur[40]. Elle ressemble aux stèles de l'Ouest de l'Armorique, qui marquaient l'emplacement d'une nécropole à incinération. Elle avait été enterrée en 1933 et fut redécouverte en 1978 par Gilbert Foucher et Bernard Pivette, archéologues amateurs, puis érigée en bordure de la route de Soucé.
- Le manoir de la Galardière (actuellement en ruines). Il fut le fief de la famille Drouet, famille importante de la commune sous l'Ancien Régime.
- Le château de Montcorbeau, construit en 1690 et rénové à la fin du XXe siècle, a appartenu à la famille de Vaufleury jusqu'à sa vente en 1783 à René Guillart de Fresnay[41]. Il est ensuite resté de père en fils la propriété familiale jusqu'au XXe siècle. Il est entouré d'un parc, d'un étang et d'une bibliothèque ancienne sise aux abords extérieurs du château.
- Le menhir de Montcorbeau classé Monument historique[42].
- Le manoir de Froulay, construit vers la fin du xve siècle par Jean de Froulay et propriété de la famille de Froulay jusqu'en 1794.
- L'ancien moulin de la Broutière.
- Château de Montcorbeau.
- Stèle gauloise du Petit-Domaine.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason | D’or, à un étaie d’azur, accompagné en chef de deux corbeaux affrontés de sable, et en pointe d’un lion du second, armé et lampassé de gueules. |
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Détails | L’or et le lion d’azur proviennent des armes de la famille de Couesmes, seigneur de Couesmes-Vaucé jusqu’en 1420 où il dut l’aliéner aux Anglais pour payer sa rançon, ayant été capturé à la bataille de Pontlieue un an avant. La reprise intégrale des armes de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.
L’étaie ou chevronnel figure, par sa forme, les monts qui entourent le village. Il est d’azur pour symboliser le ruisseau de Froulay. Associé avec les corbeaux l’étaie traduit aussi le nom du château qui se trouve en limite des deux anciennes communes : Celui de Montcorbeau. Les ornements sont deux gerbes de blé d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Population municipale 2018.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 918
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Fraimbault - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Couesmes-Vaucé et Saint-Fraimbault », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Fraimbault - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Couesmes-Vaucé et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 836-837.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 209.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vaucé », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- [PDF] « Préfecture de la Mayenne - Recueil des actes administratifs normal n°70 » (consulté le ) : arrêté du 27 novembre 2013 portant suppression de la commune associée de Vaucé et transformation de la fusion-association entre les communes de Couesmes-Vaucé et Vaucé en fusion simple.
- « Marylène Baglin se représentera aux élections », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Couesmes-Vaucé. La maire, Marylène Baglin, démissionne », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Couesmes-Vaucé : Emmanuel Dorsy, le nouveau maire élu », sur lecourrierdelamayenne.fr, Le Courrier de la Mayenne (consulté le ).
- « Couesmes-Vaucé (53300) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Elus, parents et enseignants protestent contre la suppression éventuelle d’une classe au regroupement pédagogique de Couesmes-Vaucé-Soucé », Ouest-France (Edition Mayenne), 9-10 février 1980, p. 8
- « Cloche », notice no PM53000568, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Paul Bigeon, « À Couesmes-Vaucé - Redressement d'une stèle gauloise », Ouest-France (édition de Mayenne), , p. 15 (lire en ligne)
- M. Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Paris, (lire en ligne), p. 319
- « Menhir », notice no PA00109492, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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