Colette Weil

Colette Weil recevant les Palmes académiques à l'issue d'une représentation de La Leçon en salle de la Table Ronde à Strasbourg

Née en 1926, à Strasbourg ou à Bouxwiller[1] .

Elle quitte l'Alsace durant la Seconde Guerre mondiale pour s'installer à Lons-le-Saunier. C'est là qu'elle suivra les cours de Madame David, qui lui fait découvrir le théâtre et la littérature.

Elle a enseigné le français, le latin et le grec au Lycée de jeunes filles de Strasbourg.

Agrégée de Lettres, Colette Weil a présenté une thèse sur Jean Giraudoux en 1969 soutenue à la faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Strasbourg. Cette thèse[2] est conservée au Fonds Patrimonial de Strasbourg au sein de la Médiathèque André Malraux.

Elle a créé l'ARTUS en 1977. Elle en restera présidente jusqu’à son décès en 2008[3].

• Chevalier de l'ordre des Palmes académiques (1981)^{[réf. nécessaire]}

• Colette Weil, Jean Giraudoux : intermezzo, éditions Orphys, Paris, 289 p.[1]
• Colette Weil, Le surnaturel au théâtre, extrait de Travaux de linguistique et de littérature, Centre de phililogie et de littératures romanes de l'Université de Strasbourg, Strasbourg, 1968[4]
• Colette Weil, Mise en scène et jeu, Colloque de Strasbourg Théâtre et Création, 27-28 mars 1992, 1992,13 p.[5]
• Jean Giraudoux, Ondine, Bernard Grasset, 1990, 208 p. (autrice de la préface)
• Jean Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu, Bernard Grasset, 1991, 252 p. (autrice de la préface)[6]