Claude de Fréminville

Il passe sa jeunesse à Oran et rencontre Albert Camus en classe d'hypokhâgne à Alger au cours de l'année scolaire 1932-1933. Il poursuit ses études universitaires à Paris où il adhère brièvement au PCF et pousse Camus à faire de même[2]. En 1938, il fait partie de la rédaction de la revue Rivage publiée par Edmond Charlot. En 1939, il fonde avec Camus les éphémères éditions Cafre (CAmus-FREminville) .

Après la guerre, il travaille comme journaliste à Paris, d'abord à l'Agence européenne de presse et au Populaire puis à Europe n°1 où il donne un éditorial chaque matin, à 08:30, de 1956 à sa mort, sous le nom de Claude Terrien[3].

• Faute d'empire, Paris, Plon, 1963 (sous le pseudonyme de Claude Terrien)
• Le Manège et la noria, roman, Paris, Gallimard, 1954[4]
• Bien sous tous les rapports, roman, Paris, Gallimard, 1952
• Buñoz, roman, Paris, Charlot, 1946
• Des vies exemplaires, roman, Paris, Charlot, 1946
• Les Beaux jours, roman, Alger, Charlot, 1945
• Poèmes, 1936-1942, Alger, Charlot, 1945
• À la vue de la Méditerranée, Alger, Charlot, 1938
• Adolescence. Cinq sonates pour saluer la vie, Poitiers, Amis de la poésie, 1933[5]

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