Calonne-Ricouart

Calonne-Ricouart est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Calonne.

Calonne-Ricouart

L'hôtel de ville et le monument aux morts.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Ludovic Idziak
2020-2026
Code postal 62470
Code commune 62194
Démographie
Population
municipale
5 520 hab. (2018 )
Densité 1 197 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 15″ nord, 2° 29′ 04″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 114 m
Superficie 4,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Auchel
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Calonne-Ricouart
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Calonne-Ricouart
Géolocalisation sur la carte : France
Calonne-Ricouart
Géolocalisation sur la carte : France
Calonne-Ricouart
Liens
Site web calonne-ricouart.fr

    Géographie

    Panneau d'entrée, en provenance de Divion.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Calonne-Ricouart est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[4] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (49,5 %), terres arables (31,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,5 %), mines, décharges et chantiers (7,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %), forêts (0,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Époque préhistorique : 200 000 ans av. J.-C. Vestiges de la civilisation acheuléenne dans la région (Estrée Cauchy)

    De 1100 à 300 av. J.-C. Invasions des Celtes. Les Belges s’établissent de la Seine au Rhin. Calonna (endroit humide, rivière) et Cambellon (Camblain) sont des villages marins, à la limite du territoire des Atrébates. Ils sont de part et d’autre de la route qui relie Taruana (Thérouanne), capitale des Morins à Nemetocenna (Arras), capitale des Atrébates.

    406 apr. J.-C. Invasion des Germains. Les Francs saliens s’installent au Nord de la France. Calonne est à la limite linguistique entre le roman et le germain. (Lozinghem, Floringhem, Quénehem sont des noms germains). Les Mérovingiens

    Les Mérovingiens ont laissé des traces nombreuses (tombes à Camblain-Châtelain). Calonne fait partie du comté du Ternois (évêché de Thérouanne).

    Vers l'an 1000 La seigneurie de Saint-Pôl devient un comté au détriment du comté du Ternois dont les restes sont rattachés au comté de Flandres.

    1147 Le pape Eugène III confirme la propriété de l’autel de Calonne à l’abbaye de Chocques.

    En 1163 et 1167 Le pape Alexandre III confirme cette propriété. L’abbaye de Chocques possède aussi les terres et la ferme de Quénin ou Quénehem.

    En 1180 Le comté de Saint-Pôl revient en dot à Isabelle de Hainaut fille du comte de Flandre, Philippe d’Alsace, lors de son mariage avec Philippe-Auguste. Les Calonnois sont vassaux du roi de France.

    En 1237 Le comté de Saint-Pôl rattaché au comté d’Artois est donné en apanage à Robert, frère de Saint-Louis.

    En 1302 Siger de Gand est seigneur de Calonne-Ricouart et vassal de Mahaut d’Artois. Il fait partie de la révolte menée par Robert III contre sa tante.

    En 1329 Mahaut d’Artois rachète la ferme de Quénehem à Jakemon Markade (qui la tenait lui-même de Baudouin de Souastre), pour la donner à la chartreuse de Gosnay.

    En 1330 Calonne-Ricouart fait partie de la dot de Jeanne, fille de Huon, qui épouse Hugues, seigneur de Noyelles.

    En 1415 Azincourt. Pierre et Lancelot de Noyelles font partie des 8 000 chevaliers tués dans la bataille, avec le comte de Marles et le duc de Camblain et ses deux fils. Jean de Noyelles est alors chambellan de Jean sans Peur, duc de Bourgogne.

    En 1469 Calonne-Ricouart est alors un village de 40 « fermes » (environ 200 habitants).

    En 1493 L’Artois revient à Maximilien d’Autriche.

    En 1537 Les troupes de François Ier (notre ennemi), puisque nous sommes les sujets de Charles Quint, pillent Calonne-Ricouart, détruisent 33 maisons et le château. Les Français récidivent en 1543. Pendant les guerres entre la Maison d’Autriche et les Valois de France, les Noyelles de distinguent. François de Noyelles “Gentilhomme de la bouche” de Charles Quint est lieutenant-général de la Cavalerie Légère Impériale à la bataille de Saint-Quentin.

    En 1640 Hugues de Noyelles est fait comte par l’archiduc Albert, époux d’Isabelle, la fille de Philippe II d’Espagne. Il est aussi gouverneur du Limbourg, « chef des Finances » et conseiller d’État. La lettre des Archiducs Isabelle et Albert créant le comté de Noyelles annexe à ce domaine les seigneuries de Fouquières et Calonne qui appartenaient déjà à la famille.

    En 1605 Le gouverneur de Croy fait réaliser un album où figure une gravure représentant Calonne-Ricouart (Callongne). Cette gravure représente un village typique de l’Artois, bâti dans un creux de vallée autour de l’église et d’une grosse bâtisse tenant lieu de château.

    En 1659 Le traité des Pyrénées donne définitivement l’Artois à la France.

    En 1698 Calonne a 31 fermes (pour rappel : 40 en 1469).

    Au XVIIIe siècle La seigneurie de Calonne change de maîtres. Elle est vendue à Françoise d'Allewin, comtesse de Rache. Elle la donne en dot à sa fille, Claire Bergues qui épouse Maximilien de Bernard, seigneur d’Esquelme. Ainsi naît la famille des Bernard de Calonne qui existe toujours et dont les armoiries sont devenues celles de la commune.

    1763 à 1781 Reconstruction de l'église.

    En 1786 Un nouveau château est reconstruit à l’emplacement du cimetière actuel.

    En 1789 Calonne compte 265 habitants.

    Le 26 août 1975 L'explosion du terril de Quenehem tue 6 habitants du coron voisin.

    En 1971, la lutte féminine connaît ses premiers balbutiements, genèse de la reconnaissance olympique de la discipline à l'occasion des jeux d'été d'Athènes en 2004. Le club calonnois, fondé en 1925, accepta au sein de son club des jeunes filles lors des entraînements. Vu l'augmentation du nombre de lutteuses, il demanda à la Fédération française de lutte la reconnaissance officielle de cette activité. C'est seulement en 1975 que la Fédération accepta...

    Le 19 mai 2012, André Delcourt, maire communiste de Calonne-Ricouart, nomme Georges Ibrahim Abdallah, chef présumé des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), condamné en France à la réclusion à la perpétuité pour des actes terroristes, citoyen d'honneur de la ville[11].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Elle faisait partie de 1801 à 1991 du canton de Houdain, année où elle est intégrée au canton de Divion[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Auchel.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois créée fin 2001.

    Celle-ci fusionne avec d'autres intercommunalités, formant le la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane dont la commune est désormais membre.

    Politique locale

    Le début de la mandature 2014-2020 est marqué par d'importantes dissensions au sein du conseil municipal, où treize élus démissionnent successivement, entraînant une élection municipale début octobre 2017[13],[14],[15], qui voient le succès de la liste menée par Ludovic Idziak, avec 48,4 % et 1 173 suffrages, la liste menée par le maire sortant, Ludovic Guyot, n'ayant remporté que 48,4 % et 1 100 suffrages, et une troisième liste menée par Éric Niemier ayant obtenu 6,2 %[16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1861 1881 Théophile Vier    
    1881 1884 Valéry Dausse    
    1884 1892 Charles Dufresne    
    1892 1919 Edouard Occre    
    1919 1924 Louis Destombes    
    1924 1943 Jean Ringard SFIC  
    1943 1945 Edouard Ocrre    
    1945 1949 Edouard Delautre PCF  
    1947 mars 1977 André Mancey PCF Ouvrier mineur
    Député du Pas-de-Calais (1951 → 1958 et 1967 → 1968)
    Conseiller général d'Houdain (1949 → 1958)
    mars 1977 mars 1983 Jean Claude Lanvin PCF  
    mars 1983 mars 2014[17] André Delcourt[18] PCF Conseiller général de Divion (1992 → 2015)
    mars 2014[19] octobre 2017 Ludovic Guyot PCF Conseiller départemental du Pas-de-Calais, élu dans le canton d'Auchel (2015-2021)[20]
    Élections municipales organisées en 2017 à la suite de démissions d'élus.
    octobre 2017[21],[22] En cours
    (au 12 avril 2021)
    Ludovic Idziak DVG (PCF diss.) puis PCF[23] Animateur militant de l’éducation populaire
    Réélu pour le mandat 2020-2026[24]
    Conseiller départemental du Pas-de-Calais, élu dans le canton d'Auchel (depuis 2021)

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 5 520 habitants[Note 3], en diminution de 0,77 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    236228229249290293296301304
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    310315343336457506561615750
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9551 4533 5548 38812 93611 4979 71511 13610 897
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    10 5859 9548 5347 5456 5855 9895 8375 8155 528
    2017 2018 - - - - - - -
    5 4545 520-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    L'explosion démographique s'explique par l'ouverture progressive des puits de mines de la fosse no 6, no 6 bis et no 6 ter (exploitation des sous-sols riches en charbon) à partir du début du XXe siècle, et l'emploi de la main d'œuvre polonaise, très nombreuse, venant renforcer la population calonnoise, tout comme celle des communes environnantes.

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,4 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,1 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,9 % d'hommes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 18,4 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 19,7 %, plus de 60 ans = 19,1 %) ;
    • 53,1 % de femmes (0 à 14 ans = 18,5 %, 15 à 29 ans = 17,7 %, 30 à 44 ans = 17,1 %, 45 à 59 ans = 17,6 %, plus de 60 ans = 29,1 %).
    Pyramide des âges à Calonne-Ricouart en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    1,7 
    7,3 
    75 à 89 ans
    13,7 
    11,7 
    60 à 74 ans
    13,7 
    19,7 
    45 à 59 ans
    17,6 
    20,4 
    30 à 44 ans
    17,1 
    18,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    22,3 
    0 à 14 ans
    18,5 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village et le château furent brûlés en 1537.

    À l'initiative des Bernard de Calonne, le moulin à eau à blé fut construit au XVIIe ou XVIIIe siècle sur la rive nord de la rivière « La Clarence » à l'ouest de la commune. Il fut vendu pendant la Révolution et demeura dans la famille Occre jusqu'au XIXe siècle. Il ne fonctionne plus depuis 1945. De nos jours, seul un des quatre corps composant initialement l'édifice existe encore.

    Le terril du puits no 2 de Marles et le terril du no 6 disparaitront dans les années futures, ceux-ci sont actuellement exploités pour leurs schistes (principaux constituants), notamment comme remblais pour l’infrastructure routière.

    À l'est de la commune, le parc « Calonnix » couvre 35 ha de superficie dont 15 ha de surface boisée et 5 ha constitués de deux étangs. Ces plans d'eau recouvrent l'ancienne ferme de Quénehem. Diverses activités sportives et de loisirs y sont proposées (tennis, squash, centre équestre, mur d'escalade, pédalos, pisciculture et pêche à la truite, parc de jeux gonflables, parc animalier…)[30]. Situées sur le site de loisirs, les Poudrières, ancien lieu de stockage des matériaux explosifs destinés aux travaux d'extraction du charbon, ont été aménagées en lieu d'accueil pour chauves-souris.

    Fin 2007, le foyer d'accueil médicalisé Quenehem pour personnes sourdes et aveugles a ouvert ses portes à Calonne-Ricouart. Cet établissement, le sixième du genre en France, accueille au maximum 43 adultes touchés par la surdicécité, un handicap rare. Le projet, complexe à élaborer selon l'AFTAM, a mis près de 10 ans à voir le jour[31]. Pour y parvenir, l'association a bénéficié du soutien d'une association de parents de personnes « sourdaveugles », l'Association pour la création et la gestion d’établissements et de services pour sourds et aveugles Nord de France (Acgessa), et de la mairie de Calonne-Ricouart[32].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Calonne-Ricouart blasonnent ainsi :

    De gueules à l'épée basse d'or, dans son fourreau d'argent à la bouterolle d'or, accostée de deux étoiles du même.

    Liens externes

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Calonne la… Rouge célèbre son citoyen d’honneur, Georges Ibrahim Abdallah ! L'humanité, le 11 juin 2012.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Floriane Gérenthon, « Nouvelle démission au conseil municipal, Séverine Ferreira jette l'éponge à son tour : Déjà dix démissions enregistrées pour le conseil municipal de Calonne-Ricouart. La dernière en date, celle de l'ex-premier adjoint, actée par le préfet le 4 juillet. Alors que la date des nouvelles élections n'est toujours pas connue, une nouvelle démission vient s'ajouter à la (longue) liste : celle de Séverine Ferreira, conseillère municipale », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    14. Cécile Rubichon et Floriane Gérenthon, « Douzième démission au conseil municipal : de quoi « changer les choses ? » : Les Calonnois vont devoir élire un nouveau conseil municipal, c’est acté depuis mai et une dixième démission. Mais la perspective de nouvelles municipales n'a pas arrêté l’hémorragie : après Séverine Ferreira, un douzième élu, René Leroy, vient de remettre sa lettre de démission au maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    15. Reno Vatain, « Treizième démission : départ « surprise » d'Olivier Zacharewicz : Ludovic Guyot a ouvert ce lundi le courrier en début d'après-midi : Olivier Zacharewicz, jusqu'alors conseiller municipal, y annonce officiellement sa démission », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    16. F.P. avec J-B.B., « Calonne-Ricouart: Ludovic Idziak remplace Ludovic Guyot », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ).
    17. Sarah Binet, « Aux vœux, le « au revoir et à bientôt » d’André Delcourt », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    18. Frédéric Petronio, « Calonne-Ricouart: mort d’André Delcourt, maire de 1983 à 2014 : Maire emblématique de Calonne-Ricouart de 1983 à 2014, André Delcourt s’est éteint dans la nuit du 24 au 25 mars 2021. Selon ses dernières volontés, il sera inhumé dans la plus stricte intimité. Un registre de condoléances va être ouvert en mairie. Toujours selon ses dernières volontés, il sera possible de déposer un don en mairie, à destination des Compagnons d’Emmaüs », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Baptême républicain », L'Abeille de la Ternoise, no 8473, , p. 59.
    20. Ruben Muller, « Dans le canton d’Auchel, l’union de la gauche veut investir dans l’éducation et l’aide sociale : C’est un binôme inédit qui brigue le canton d’Auchel pour la majorité départementale, après le départ de Ludovic Guyot pour le Calaisis et le décès de Danièle Seux. Sa remplaçante Michèle Jacquet, conseillère sortante, s’associe avec Ludovic Idziak, maire de Calonne-Ricouart, “pour améliorer la situation des habitants” », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    21. « Ludovic Idziak contre-attaque », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. Reno Vatain, « Élu maire, Ludovic Idziak tend la main à Ludovic Guyot : Peu de suspense et beaucoup de monde, ce vendredi matin, pour l'élection du nouveau maire calonnois : Ludovic Idziak a enfilé l'écharpe sous les applaudissements. Ludovic Guyot lui a promis une opposition vigilante. Son successeur a joué le rassemblement. Les trois ans à venir diront ce qu'il en sera », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    23. https://libertehebdo.fr/politique-et-citoyens/elections/departementales-et-regionales-2021/article/les-cantons-a-suivre-dans-le-pas-de-calais
    24. Y.G., « Calonne-Ricouart: le maire associe l’opposition à la vie démocratique : Ludovic Idziak a été réélu pour occuper le siège de maire », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Évolution et structure de la population à Calonne-Ricouart en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    30. Les échos du pas de calais
    31. « Le FAM Quenehem », sur Coallia.org.
    32. Source ASH
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