Cécile Dumoulin

Cécile Dumoulin, née le à Hennebont (Morbihan), est une femme politique française.

Cécile Dumoulin
Fonctions
8e Vice-présidente du Conseil départemental des Yvelines[1]
En fonction depuis le
(6 ans, 5 mois et 8 jours)
Élection
Président Pierre Bédier
Conseillère départementale des Yvelines
En fonction depuis le
(6 ans, 5 mois et 8 jours)
Élection 29 mars 2015
Réélection 27 juin 2021
Circonscription canton de Limay
Prédécesseur Jacques Saint-Amaux
Députée de la 8e circonscription des Yvelines

(3 ans, 2 mois et 2 jours)
Législature XIIIe
Groupe politique UMP
Prédécesseur Pierre Bédier
Successeur Françoise Descamps-Crosnier
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Hennebont (Morbihan)
Nationalité Française
Parti politique UMP
LR
Profession Vétérinaire

Biographie

Vétérinaire de formation[2], Cécile Dumoulin est, de 2002 à 2008, conseillère municipale de la ville de Mantes-la-Jolie. Depuis , elle est la première adjointe au maire, chargée de la culture et du patrimoine de Mantes-la-Jolie. Elle est également membre du bureau de la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines.

De 2007 à 2009, elle est la suppléante de Pierre Bédier dans la 8e circonscription des Yvelines. Elle devient députée le , à la suite de la démission de Pierre Bédier[3].

Elle se présente aux élections législatives de 2012, mais s'incline au second tour face à la candidate socialiste Françoise Descamps-Crosnier, maire de Rosny-sur-Seine.

Le , elle est élue conseillère départementale du canton de Limay[4].

Travaux parlementaires

Le , Cécile Dumoulin et Patrice Verchère, député du Rhône ont remis un rapport sur les jeux dangereux à l'école[5]. Les deux rapporteurs préconisent la mise en place de « codes de la cour » dans les établissements scolaires et la création d'une infraction pénale qui sanctionnerait la mise en ligne de vidéos mettant en scène des jeux dangereux.

Prises de position

Cécile Dumoulin est signataire, avec soixante-deux autres députés de l'UMP et du Nouveau Centre, d'une tribune[6], publiée dans Le Monde le , où ils expriment leur souhait de voir le montant de l'emprunt national, voulu par Nicolas Sarkozy, situé entre 50 et 100 milliards d'euros[7]. Cette position s'oppose à celle de Michel Rocard et d'Alain Juppé, tous deux anciens premiers ministres à la tête d'une commission sur le grand emprunt, qui se sont exprimés pour un montant de 20 à 40 milliards d'euros.

Notes et références

Liens externes

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