Bours (Pas-de-Calais)

Bours est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bours.

Bours
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Bertrand Beaucamp
2020-2026
Code postal 62550
Code commune 62166
Démographie
Gentilé Boursicotiers
Population
municipale
617 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 19″ nord, 2° 24′ 21″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 184 m
Superficie 11,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bours
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Bours
Géolocalisation sur la carte : France
Bours
Géolocalisation sur la carte : France
Bours

    Géographie

    Localisation

    Bours se situe à 5–6 km de Pernes en Artois, à 10–14 km de Saint-Pol-sur-Ternoise, à 33 km d'Arras et à 54 km de la cote par Berck.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Bours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), prairies (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (4,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    • Bours (1793)[8], Bors en flamand[réf. nécessaire].

    Histoire

    En 1243, Guillaume de Hameles est bailli de Fauquembergues et vassal de Bours. Il cède la dîme de Moulle au chapitre de chanoines de Thérouanne[9].

    La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Noyelles-les-Pernes[8].

    Politique et administration

    Bours dans son ancien canton et dans l'arrondissement d'Arras.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[8]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[10] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[11]. À l'initiative des intercommunalités concernées[12], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[13] ;
    - la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [14],[15].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [16].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean Noe    
    mars 2008 En cours
    (au 23 novembre 2014)
    Bernadette Noe   Réélu pour le mandat 2014-2020[17],[18]

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont nommées les Boursicotiers[19].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2018, la commune comptait 617 habitants[Note 3], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    522556557643655645636628667
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    611645630612663634589624631
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    652700674655610599616626630
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    597545510505524509547592614
    2018 - - - - - - - -
    617--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,8 %, 15 à 29 ans = 13,5 %, 30 à 44 ans = 25,8 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 19,9 %) ;
    • 51,2 % de femmes (0 à 14 ans = 27,1 %, 15 à 29 ans = 13,2 %, 30 à 44 ans = 19,3 %, 45 à 59 ans = 17,5 %, plus de 60 ans = 22,8 %).
    Pyramide des âges à Bours en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    2,1 
    6,4 
    75 à 89 ans
    8,9 
    13,5 
    60 à 74 ans
    11,8 
    18,0 
    45 à 59 ans
    17,5 
    25,8 
    30 à 44 ans
    19,3 
    13,5 
    15 à 29 ans
    13,2 
    22,8 
    0 à 14 ans
    27,1 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Équipements municipaux

    En octobre 2014, la mairie, qui occupait jusqu'alors des locaux dans le donjon de Bours, a été réinstallée dans l'ancien presbytère en face de la famille héritière du roi et leur demeure somptueuse [25].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Lors des Journées du Patrimoine, les environs du donjon accueillirent à nouveau[26] en 2010 une animation particulière : un vide-greniers sur la place Centrale, mais surtout le campement médiéval de la « Compagnie des Arbalétriers flamands ». En 2011 et 2015, cette animation a été assurée par la Ghilde des Sangliers du Ferrain, basée à Tourcoing[27],[28],[29].
    • le Les Bours Six Côtes, trail de km, 12 km, 18 km, 24 km organisé par le footing-club de Bours, qui a lieu chaque année le jour de l'Ascension[30] et dont la 8e édition a lieu le [31].

    Économie

    • Le Kes West, plus grande discothèque du nord de la France[réf. nécessaire] est situé au bord de la commune. Elle compte une autre discothèque, le Versus qui a ouvert ses portes en 2016[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Donjon.
    L'église est entourée du cimetière.
    • Donjon de Bours : édifiée vers la fin du XIVe siècle, cette maison-forte en pierre de grès fut incendiée en 1537 et 1543 et est classé monument historique[33].
    Maintes fois restauré, et habité jusqu'en 1735, le donjon était en très mauvais état, jusqu'en 1982, date à laquelle la municipalité décida de son rachat pour y installer la mairie et entreprendre une complète restauration[34],[35],[36],[37].
    Une nouvelle campagne de restauration est menée à partir de 2015 par l'intercommunalité[38],[39]. Le projet comprend la restauration intérieure du donjon, ainsi qu'un aménagement paysager et la création d’un double accès permettant de créer une allée circulaire et de rendre accessible le monument à tous publics sur deux niveaux. Le coût prévisionnel est de 1 797 600  dont une recette de 880 000  du Fonds européen de développement économique et régional (FEDER)[40].
    • Église Sainte-Austreberthe, dont la nef à quatre travées date du XIIIe siècle, les parties basses du chœur du XIe siècle et les parties hautes ont été reconstruites en style gothique flamboyant. Les bas-côtés ont été refaits au XVIIe siècle et probablement au XIXe siècle. Le portail sud semble appartenir à la 2e moitié du XIIIe siècle, sauf les tympans et fronton datés de 1665. Le clocher porte le millésime 1586[41].

    Héraldique

    Les armes de Bours blasonnent ainsi :
    de gueules à la bande de vair.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1243.
    10. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    11. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    12. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du nord, (lire en ligne).
    13. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    14. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    15. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    16. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
    17. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    18. Aline Chartrel, « Bours : «Des projets de sécurité routière ont été abordés» : Depuis six mois qu’elle a été réinvestie dans ses fonctions de maire, Bernadette Noé et son équipe ne se tournent pas les pouces. Quelques travaux de voirie ont été entrepris, et les chantiers devraient se multiplier d’ici la fin de l’année. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. habitants.fr
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Évolution et structure de la population à Bours en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. Charles Demey, « À Bours, la nouvelle mairie inaugurée en grande pompe : C’était l’effervescence vendredi soir dans la commune de 600 habitants. Bours inaugurait sa nouvelle mairie flambant neuve, en présence de personnalités politiques et de nombreux Boursicotiers », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Photos de l'édition 2007 de la fête médiévale
    27. Programme officiel 2010 des Journées européennes du Patrimoine
    28. Site de la Compagnie médiévale des Arbalétriers flamands
    29. « Bours : un grand succès pour la 3e édition de «La nuit au donjon» », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    30. « Les Bours Six Côtes 2017 seront stabilisées à huit cents coureurs : Le trail des Bours Six Côtes est vite arrivé sur le tapis, lors de la dernière réunion des adhérents du footing-club. L’événement, qui jouit d’une excellente réputation, reviendra en force dès l’an prochain… », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    31. « Les Bours six côtes », Site officiel de l'association, (consulté le ).
    32. « Même boss, autre clientèle : le Versus, voisin du Kes West, ouvre samedi à Bours : Il aurait pu s’appeler La Suite – patronyme après coup trop usité selon son géniteur – ou L’Icône. Ce sera finalement Le Versus. Samedi, le nouveau club voisin du Kes West, mais totalement indépendant, ouvrira ses portes à son cœur de cible : les 25-55 ans. Une annonce exclusive de « La Voix du Nord », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    33. « Le donjon », notice no PA00108236, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Site de l'association C.R.A.H.G.
    35. Site Normag.fr
    36. Autre site de l'association locale
    37. Page spécifique du site de l'Office de tourisme
    38. « Le donjon de Bours retrouve ses couleurs d’origine : Autre chantier phare du Pernois, celui du donjon de Bours, dont la com de com est le maître d’ouvrage. La première tranche des travaux de restauration, entamée en septembre, sera achevée dans cinq mois », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    39. Aline Chartrel, « La restauration du donjon de Bours ne met pas tout le monde d’accord : Il a fallu voter le nouveau financement des travaux au donjon la semaine dernière en conseil communautaire, dont les travaux ont été revus à la hausse. Certains élus, à Floringhem et à Pernes, décrochent (encore). Les investissements ont néanmoins été adoptés à la majorité », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    40. Ch. D., « Le site est «endormi» avant le lancement de gros chantiers », L'Abeille de la Ternoise, nos 8573-1622, , p. 30.
    41. « L'église », Cercle de recherches archéologiques, historiques et généalogiques (CRAHG) de Bours, (consulté le ).
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