Bias (Landes)

Bias est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Bias.

Bias

La maison de l'airial et l'église Saint-Michel.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes de Mimizan
Maire
Mandat
Elisabeth Etcheverria
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40043
Démographie
Gentilé Biassuts
Population
municipale
761 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 49″ nord, 1° 13′ 39″ ouest
Altitude Min. 20 m
Max. 70 m
Superficie 20,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mimizan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Côte d'Argent
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bias
Géolocalisation sur la carte : Landes
Bias
Géolocalisation sur la carte : France
Bias
Géolocalisation sur la carte : France
Bias
Liens
Site web bias40.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans la forêt des Landes sur la route nationale 652 entre Mimizan et Lit-et-Mixe.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bias[1]
    Mimizan
    Mézos
    Saint-Julien-en-Born

    Hydrographie

    L'étang de Bourg le Vieux est sur la commune. Son exutoire est le ruissseau de Tirelagüe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 144 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8]et qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 188,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 51 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bias est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mimizan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes port de Byars en 1254[21], de Bias, de Bios in Borno en 1274, Biartz en 1311, Le Bias en 1638[22].

    Le toponyme, d'origine aquitaine, est basé sur le radical basque behar (bearr)[23] élargi par un suffixe locatif -tz. Sens du toponyme : chemin, route (du latin via).

    La graphie occitane restituée est Biarç /bjas/.

    Histoire

    Le 27 mars 1274 acte de reconnaissance du prieur de Mimizan par le Roi d’Angleterre. Sur cet acte rédigé en latin, on peut lire que le Prieur de Mimizan recevait une décime des revenus de Monte Sancti Michaeli de Biars. C’est-à-dire le mont ou la montagne de Saint-Michel-de-Biars ou le mont Biars[24].

    En 1311, les Rôles Gascons[21] indiquent que les habitants de la paroisse de Biartz doivent payer pour l’année un impôt par livre de cire.

    La localité de Bias se situait à environ deux kilomètres à l'ouest de son emplacement actuel avant d'être submergée par le petit étang de Bourg le Vieux. C'est là que passait la voie romaine littorale[25]. L'ancien bourg est abandonné par ses habitants en 1772 en raison de l'avancée du sable repoussant les eaux de l'étang[26]. L'église primitive Saint-Michel, dépendant du prieuré Sainte-Marie de Mimizan, est démolie et reconstruite à son emplacement actuel en 1770, puis en 1904[27].

    Le 14 juillet 2017, Julien Biremont, Président du Comité des Fêtes, et Alain Cousquer, Maire, ouvrent la première Feria qui se déroule sur trois jours. S'inspirant des fêtes traditionnelles de Dax, les Fêtes de Bias proposent un programme riche en animations pour un village de 750 habitants. En trois ans elles voient leur fréquentation augmenter de façon significative, devenant un événement incontournable du canton durant l'été. Pour la première fois, lors de l'édition 2019, un encierro est organisé lors de l'ouverture des fêtes.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[28].

    Liste des maires

    La mairie en .
    La mairie en .

    Comme dans de nombreuses communes, la liste des maires successifs est affichée à l'entrée de la mairie[29],[30].

    Bias et les trois communes voisines de Aureilhan, Lit-et-Mixe et Pontenx-les-Forges ont la particularité que  pendant un siècle (1850-1950)  tous les maires de ces quatre communes appartenaient aux seules trois familles Berque, Gaston et Sargos[31].

    De graves dissensions se font jour à partir de 2008 au sein du conseil municipal, ce qui bloque les affaires de la commune. Le maire est mis en minorité mais il reste en place et ne transmet au préfet que les délibérations qui lui conviennent[32]. Compte tenu de cette situation, le préfet des Landes demande la dissolution du conseil municipal. Celle-ci est validée par le Conseil des ministres en [33]. L'ex-maire quitte la mairie en emportant plusieurs documents appartenant à la commune qu'il refuse de rendre malgré les injonctions du préfet. En , les conseillers municipaux doivent intenter une action en justice contre l'ancien maire[34].

    Cette dissolution entraîne de nouvelles élections[32]. Elles sont organisées le pour le premier tour, par une délégation de trois personnes nommées par le préfet des Landes. Deux listes s'opposent : celle de l'ancien maire René Teulé, et celle de l'ex-premier adjoint, Alain Cousquer. La liste de ce dernier l'emporte dès le premier tour. Lors de la première réunion du conseil municipal qui suit cette élection, le , Alain Cousquer est élu maire à l'unanimité des voix[35].

    Le , Alain Cousquer annonce publiquement qu'il démissionnera prochainement de ses fonctions de maire de Bias. De plus à la suite de la démission de cinq conseillers municipaux, une élection municipale partielle complémentaire est organisée le [36],[37].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1795 Pierre Berque   Marchand
    1795 1803 Jean Gaston (père)   Propriétaire
    1803 1809 Jean Gaston (fils)   Propriétaire
    1809 1821 Antoine Dupouy    
    1821 1832 Jean-Marie Berque    
    1832 1835 Étienne Froustey    
    1835 1860 Barthélémy Berque   Fabricant de résine
    1860 1885 Jean-Pierre Alphonse Sargos (1831-1892)[38]    
    1885 1892 Jacques Berque   Propriétaire
    1892 1896 Simon Gaston   Aubergiste
    1896 1900 Joseph Dousse    
    1900 1944[39] Henri Sargos (1862-1951)   Industriel, maire de Mimizan (1891-1900)
    Fils de l'ancien maire Jean-Pierre Alphonse Sargos, frère de Pierre « Léon » Sargos (1855-1944) maire de Lit-et-Mixe[40] et oncle Roger Sargos (1886-1966) maire d'Aureilhan[41],
    Chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur[42]
    1944 1945 René Duvignau    
    1945 1965 Louis Lassalle    
    1965 1977 Simon Lassalle    
    1977 1995 Raoul Duvignau DVD Vice-président fondateur du Distric (communauté de communes de Mimizan)
    1995 31 décembre 2000[Note 6] Vincent Daret   Vice-président du District (communauté de communes de Mimizan)
    31 janvier 2001 Monique Froustey   L'intérim est assuré par la Maire-adjointe Monique Froustey
    2001 Vincent Daret    
    2001 12 mai 2011[33] René Teulé DVG Vice-président de la communauté de communes de Mimizan
    12 mai 2011 11 juin 2011 Jacques Malicet   L'intérim est assuré par une délégation spéciale nommé par le préfet[46]
    11 juin 2011 24 juillet 2017[Note 7] Alain Cousquer[35] DVG Vice-président de la communauté de communes de Mimizan[48]
    3 août 2017 Alain Biremont DVG L'intérim est assuré par le Maire-adjoint Alain Biremont
    3 août 2017[47] En cours Élisabeth Etcheverria FN Vice-présidente de la communauté de communes de Mimizan[49]

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

    En 2018, la commune comptait 761 habitants[Note 8], en augmentation de 7,33 % par rapport à 2013 (Landes : +3,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    118106107122147154169173180
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    190194246222218205196224244
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    244233252244240235215229251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    248269320395505514673696719
    2013 2018 - - - - - - -
    709761-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie pratique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gérard Gaston, Bias en Born, 2014, 234 pages (ISBN 978-1-29181-865-9)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Par arrêté du ministre de l'intérieur en date du , Vincent Daret, maire de la commune de Bias est suspendu de ses fonctions pour une durée d'un mois à compter de la notification de l'arrêté à l'intéressé[43], au motif que lors du référendum du , il avait refusé d'organiser le scrutin pour protester contre le mutisme de la préfecture sur le dossier des caravanes des gens du voyage[44]. Vincent Daret déclare « Cette décision est ridicule. Avec mon conseil municipal, nous allons envoyer une lettre au ministre de l'Intérieur lui indiquant qu'au lieu de taper sur les doigts des maires, il ferait mieux d'assurer l'ordre public »[45].
    7. Le , le préfet des Landes accepte la démission d'Alain Cousquer, maire.[47].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bias et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bias et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Yves Renouard, Rôles gascons : 1307-1317, t. IV, Paris, Imprimerie nationale, , 712 p. (lire en ligne), pp. 548, 598..
    22. Carte de Classun.
    23. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 288 p. (ISBN 2-35068-011-8, présentation en ligne), p. 62..
    24. Recueil d'actes relatifs à l'administration des rois d'Angleterre en Guyenne au XIIIe siècle :, vol. LXXV, , 475 p. (lire en ligne), p. 311.
    25. On a pensé qu'elle avait laissé son nom au village (vias signifiant voies en latin) mais les formes anciennes du toponyme réfutent cette idée.
    26. Les chemins de Saint-Jacques dans les Landes, Francis Zapata, Jean-Pierre Rousset, éditions Sud-Ouest, 2002, p 177
    27. Gérard GASTON, Bias en Born, , 233 p. (ISBN 978-1-291-81865-9, présentation en ligne).
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Les maires de Bias », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
    30. Gérard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 122-123 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
    31. Gérard Gaston, Bias en Born, 2014, p. 158 (ISBN 978-1-29181-865-9) [lire en ligne].
    32. Jean-Louis Hugon, « Déjà le quatrième vote », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    33. Jean-François Renaut, « Les ministres dissolvent le Conseil municipal de Bias (Landes) », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    34. Procès-verbal de la réunion du conseil municipal du , [lire en ligne].
    35. « Bias (40) : Alain Cousquer élu maire », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    36. Jean-Louis Hugon, « Landes : les électeurs de Bias vont devoir revoter », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    37. « Commune de BIAS : élection municipale partielle complémentaire les 2 et 9 juillet 2017 », sur le site de la préfecture des Landes, (consulté le ).
    38. Olivier Sargos, « Généalogie des Sargos », sur geneanet.org (consulté le ).
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    40. Base Léonore, « Dossier de chevalier de la légion d'honneur de Pierre « Léon » Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Les maires de Mimizan », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
    42. Base Léonore, « Dossier de légion d'honneur de Jean Henri Sargos », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
    43. Arrêtés du portant suspension des fonctions de maire.
    44. « Trois maires suspendus un mois - Grand Sud : Lot-Landes - Ils avaient boycotté le référendum de septembre 2000 », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    45. Dominique Chapuis, « Une vingtaine de maires suspendus de leur fonction par l’État », sur le site du quotidien Les Échos, (consulté le ).
    46. Isabelle Wackenier, « Installation de la délégation exceptionnelle », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
    47. « Démission de Monsieur Alain Cousquer », sur le site de la commune, (consulté le ).
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    49. Patrick Garnero, Annuaire de l'intercommunalité et des EPL de France, p. 125, 2016 (ISBN 978-2-35258-735-4) [lire en ligne].
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    Étape précédente
    Mimizan
    Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

    Voie de Soulac
    Étape suivante
    Saint-Julien-en-Born
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