Bélaye

Bélaye (Belaiga en occitan[1]) est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Église Grande, façade ouest.
Le chœur.
Le retable.
Vitrail.

Pour les articles homonymes, voir Belaye.

Bélaye
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble
Maire
Mandat
Jacques Baijot
2020-2026
Code postal 46140
Code commune 46022
Démographie
Gentilé Bélaycois, Belaycois
Population
municipale
217 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 27′ 57″ nord, 1° 11′ 37″ est
Altitude 209 m
Min. 80 m
Max. 274 m
Superficie 18,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Luzech
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bélaye
Géolocalisation sur la carte : Lot
Bélaye
Géolocalisation sur la carte : France
Bélaye
Géolocalisation sur la carte : France
Bélaye

    Géographie

    Commune située dans le Quercy sur le Lot. Ancien fief des évêques de Cahors, Bélaye, petit village médiéval situé en promontoire sur la basse vallée du Lot, présente un panorama sur le vignoble et les communes avoisinantes. La commune, offre au promeneur ses vastes étendues boisées et viticoles sillonnées de nombreux chemins pédestres permettant de relier les hameaux pittoresques de Latour, de Lalaurie ou de Lalande.

    Communes limitrophes

    Bélaye est limitrophe de huit autres communes.

    Carte de la commune de Bélaye et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Lot et ses affluents la Lissourgues et le Ruisseau de Saint-Matré.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 869 hectares ; son altitude varie de 80 à 274 mètres[3].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la RD 811 (ex RN 111) puis prendre la route départementale D 8.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 813 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Anglars », sur la commune d'Anglars-Juillac, mise en service en 1989[9]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 796,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 34 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[16] :

    • le « cours inférieur du Lot » (1 209 ha), couvrant 25 communes dont 23 dans le Lot et deux dans le Lot-et-Garonne[17] ;
    • les « pelouses, landes et bois des pechs Bédel et Abudel et de la combe Mirgouillère » (185 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;
    • les « pelouses, landes et bois du Mont Panicou, de Terret, de Belleguine et de la combe Duberte » (413 ha), couvrant 2 communes du département[19].
    • le « plateau de Floressas, combe de Lagard Basse, coteaux attenants et coteaux de Grézels » (1 114 ha), couvrant 6 communes du département[20] ;

    Urbanisme

    Typologie

    Bélaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[22],[23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61 %), zones agricoles hétérogènes (26,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,7 %), prairies (2,6 %), eaux continentales[Note 5] (1,1 %), cultures permanentes (0,3 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Belaye écrit Belaic ou Bellaic au XIIe siècle provient de Bèl et de lancien occitan aitz, ais, aizer qui désigne le lieu où l'on habite, la demeure[27].

    Histoire

    Bélaye, village médiéval

    Dès le XIIIe siècle, Bélaye apparaît comme l’une des principales cités du Quercy. Vingt paroisses des environs dépendaient de l’archiprêtré de Bélaye. Place stratégique, la ville fut le théâtre de nombreux combats entre Anglais et Français durant la Guerre de Cent Ans (XIVe siècle).

    Châteaux et églises furent saccagés et pillés au XVIe siècle, au cours de l’occupation de la ville par les protestants lors des Guerres de Religion.

    Depuis la Révolution française, Bélaye, d’abord chef-lieu de canton, a connu un lent déclin, accentué à la fin du XIXe siècle par la crise du phylloxera, puis au début du XXe siècle par la terrible saignée que fut la Première Guerre mondiale.

    La Légende de Bélaye :

    Vers 1340, Bélaye se trouva assiégée par trois seigneurs de notre contrée favorables au parti du roi d’Angleterre Edouard III, qui venait de se proclamer roi de France : Raymond de Durfort, seigneur de Fenouillet et de Lacapelle, Bernard Bonafous, baron de Pestillac et Philippe Dejean, seigneur des Junies. La ville résista vaillamment à leurs assauts, à l’abri de ses fortifications. La légende veut que ce fut la trahison d’un de ses habitants qui permit aux « Anglais » de conquérir la place-forte : un marchand ambulant, Catinas, indiqua à l’ennemi une porte mal gardée et Bélaye tomba par surprise. En 1348, après de longues négociations avec l’évêque de Cahors, seigneur de la ville, Durfort consentit à restituer Bélaye contre 3 000 écus d’or. Une fois délivrés de leurs occupants, les Bélaycois se vengèrent du traître Catinas : ils l’enfermèrent dans un tonneau hérissé de piques et le précipitèrent du haut de la Cévenne…

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Cahors de la communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble et du canton de Puy-l'Évêque.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1943 1969 Raymond Delpech    
    1969 1995 Camille Fauchie    
    1995 2002 Jean-Marie Delanoé    
    2002   Jacques Baijot    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 217 habitants[Note 6], en diminution de 4,41 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0991 1571 1181 0981 1531 1931 1151 110690
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    873855806809807777704584552
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    528510487419406356329280242
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    259255228204220223221216231
    2018 - - - - - - - -
    217--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 156 245 207 180 179 191 203 190
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340

    Économie

    Viticulture : cahors (AOC).

    Enseignement

    Bélaye fait partie de l'académie de Toulouse.

    Culture et festivités

    De nombreuses associations assurent à Bélaye une animation culturelle et festive de qualité tout au long de l’année. En particulier les Rencontres de violoncelle de Bélaye[38], qui en sont à leur 25e année en 2013.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SYDED[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vitrail. Saint Joseph
    Rosace.

    Dans le bourg de Bélaye

    • Les vestiges du château de l’évêque (mur avec meurtrières), XIIIe siècle. (inscrit au titre des monuments historiques) ;
    • l'ancienne maison Boutet (donjon médiéval) ;
    • La maison Raynaly (XIIIe siècle) : fenêtres à colonnettes avec figurines ;
    • Les ruines du château du co-seigneur (XIIIe siècle). Il se dressait à l'extrémité Est du castrum, d'où il dominait tous les lieux environnants ;
    • L'ancien presbytère : fenêtres à meneaux ;
    • L'Église Saint-Aignan ou Église Grande, Église Neuve, Église de l’Hôpital, (XIVe siècle), style gothique. Restaurations au XVIIIe siècle (modification de la porte d’entrée, exhaussement du pavé dans un style néo-roman). À l’intérieur, dans le chœur, le retable en noyer a été placé en 1858. Il s’agit d’un retable baroque, ramené d’Espagne par le maréchal Bessières, duc d’Istrie, qui le destinait à l’origine pour l’église de Prayssac. Celle-ci étant trop petite pour le recevoir, il fut finalement installé dans l’église de Bélaye (l’église, le retable ainsi que différents objets mobiliers sont inscrits au titre des monuments historiques). L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 7 juin 1995[40].
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Latour.

    En dehors du bourg

    • Le repaire de Bellegarde, attesté dès le XVIe s.
    • Le château de Lalande : attesté depuis le XIVe s.
    • Le château de Floyras : à l'entrée de la vallée de Latour se trouvent les ruines du château de Floyras. Il daterait de la fin du XVIe s. mais fut fortement remanié au XIXe s.
    • Le Château de Cousserans XVe siècle[41]. Cousserans est cité dans un acte de 1284 sans qu'il apparaisse un château. La terre est alors aux Grézels, chevaliers habitants à Bélaye. En 1472, Pons del Bosc, Chanoine de la Cathédrale de Cahors, achète les terres avec sa tour ruinée au seigneur de Hautcastel. La vente devint définitive sept ans plus tard. Le nouveau propriétaire a construit le château entre ces deux dates.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrici Pojada, « Dictionnaire toponymique occitan du Lot », Centre de Ressources occitanes et méridionales, Académie de Toulouse, Université de Toulouse - Le Mirail, Région Midi-Pyrénées, sur le site du Congrès Permanent de la Lenga Occitana, .
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Anglars - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bélaye et Anglars-Juillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Anglars - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bélaye et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bélaye », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « cours inférieur du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « pelouses, landes et bois des pechs Bédel et Abudel et de la combe Mirgouillère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « pelouses, landes et bois du Mont Panicou, de Terret, de Belleguine et de la combe Duberte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « plateau de Floressas, combe de Lagard Basse, coteaux attenants et coteaux de Grézels » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 106.
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. Rencontres de violoncelle de Bélaye
    39. « Accueil », sur SYDED du Lot (consulté le ).
    40. « Eglise Saint-Aignan dite Eglise Grande », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    41. Thierry Crépin-Leblond - Le château de Cousserans à Bélaye - pp.157-160, dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1993
    • Portail du Lot
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.