Auvillars

Auvillars est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 220 habitants[Note 1].

Auvillars

L'église Saint-Germain.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Terre d'Auge
Maire
Mandat
Sébastien Maheut
2020-2026
Code postal 14340
Code commune 14033
Démographie
Gentilé Auvillargeois
Population
municipale
220 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 49″ nord, 0° 03′ 56″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 154 m
Superficie 11,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mézidon-Canon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Auvillars

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 763 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaumont-en-A. », sur la commune de Beaumont-en-Auge, mise en service en 1997[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 962 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 18 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Auvillars est une commune rurale[Note 6],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,1 %), terres arables (18,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), forêts (0,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Auvillaria[23] et Auvillaribus[24] vers 1350.

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -villar(s), variante de -vill(i)ers. Le toponyme est issu ultimement du bas latin altum villare[23], « haut village », « haute ferme », à moins que le premier élément Au- ne représente en réalité un nom de personne germanique Aldo[réf. nécessaire].

    Histoire

    Dans sa Statistique monumentale du Calvados (1862), Arcisse de Caumont décrit ainsi l'historique d'Auvillars :

    « Comme toujours, Auvillars eut pour premiers seigneurs des membres d’une famille dont le nom était celui de la commune elle-même. Cette famille s’éteignit dans la personne de Jeanne d’Auvillars, fille et héritière de Guillaume, seigneur châtelain d’Auvillars, Saint Aubin de Sallon et Barneville, qui épousa Robert de Tournebu, baron de la Motte-Cesny, Grimbosc, etc., etc., au commencement du XIVe siècle.

    M. Floquet a raconté un curieux procès qu’eut à soutenir Robert de Tournebu, seigneur d’Auvillars, pour avoir maltraité un clerc du prieuré de Beaumont en Auge, en l’année 1342. Il fut condamné à 400 livres d’amende, somme énorme pour cette époque (voyer Histoire du parlement de Normandie). Un siècle plus tard, Richard de Tournebu employa plus utilement sa vigueur, en soutenant un siège héroïque contre les capitaines de l’envahisseur Henry V. Sa capitulation, du 7 août 1417, est conçue dans des conditions qui montrent que les barons normands, malgré le défaut d’organisation où l’invasion les avait trouvés, n’en avaient pas moins opposé une résistance capable de les faire respecter. Le texte de cette capitulation a été publié dans le volume intitulé : rotuli normanniae, imprimé à Londres en 1835, page 285, et par la société des antiquaires de Normandie, tome XV, page 263 de ses mémoires.

    À peine le château était-il évacué que Henry sa hâta d’en faire don au comte de Salisbury, son cousin, afin d’être sûr de sa conservation (25 septembre 1417).

    À l’époque du décès de Guillemette de Tournebu, en 1485, Jean de Harcourt, son arrière-petit-fils, en hérita, et il ajouta à ses autres titres celui de seigneur et châtelain d’Auvillars. En 1558, Auvillars était entre les mains de la famille de Salcède ; Nicolas de Salcède, qui la possédait en 1582, fut impliqué à cette époque dans une conjuration formée, dit-on, par les Guises contre le duc d’Alençon et le roi Henri III, son Frère. Il fut jugé par le parlement de Paris, convaincu du crime de lèse-majesté, et comme tel condamné à être écartelé. Cette exécution, dont le souvenir s’est toujours conservé à Auvillars, dut avoir lieu vers 1588. En 1600, Mme Charlotte Duquesnel d’Aussebost était douairière d’Auvillars. Après sa mort, arrivée en 1617, cette seigneurie passa à une famille nommée de Miou. Le chef de cette famille était un des principaux officiers de Duc de Lorraine, sa fille, Louise Marie de Miou, épousa Pierre Dauvet de Tréguy.

    La famille Dauvet, noblesse de robe, originaire de Picardie, s’allia aux Brézé, aux Montmorency, Saint-Simon, Béthune, Chabannes, etc.

    Plusieurs de ses membres prirent l’épée. Benoît Dauvet et Louis-Nicolas Dauvet se distinguèrent dans les batailles de Louis XIV et de Louis XV.

    On retrouve des renseignements sur cette maison dans l’Histoire des grands-officiers de la Couronne, de P Anselme. Elle porte bandé de gueules et d’argent de 6 pièces, la première chargée d’un lion de sable passant dans le sens de la bande. Couronne de marquis ; supports, deux Sauvages (voyez Waroquier, tome VII).

    C’est ainsi qu’on voit les blasons de la litre funèbre de la chapelle St Jean d’Auvillars.

    En 1700, Messire Pierre Dauvet de Tréguy donna pour les pauvres d’Auvillars des herbages situés à Druval et Rumesnil. Ils en jouissent encore. Les mêmes seigneurs de la famille Dauvet avaient fondé une école pour les filles et ils l’avaient dotée en rentes. Les enfants des deux paroisses d’Auvillars et de Repentigny y étaient instruits gratuitement par une sœur de la Providence de la maison de Lisieux. Les rentes sont perdues, fautes de titres. La maison vendue révolutionnairement, a été rachetée par un habitant qui l’a donnée pour sa destination primitive.

    Le presbytère, qui avait été aliéné, a été racheté par la commune vers l’an 1806.

    On comptait 3 feux privilégiés et 80 feux taillables à Auvillars.

    La petite paroisse de Repentigny a toujours été dans une sorte de dépendance de celle d’Auvillars. Les seigneurs d’Auvillars en étaient patrons, comme de la première, et ils s’en montrèrent constamment les bienfaiteurs. Elle avait d’abord été supprimée et réunie à Rumesnil ; mais au commencement du règne de Charles X, elle a été réunie à Auvillars comme vicairie indépendante. »

    Politique et administration

    La mairie d'Auvillars, construite en 1888.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1933 mai 1953 Alexandre Leprévost    
    mai 1953 janvier 1981 René Colard    
    janvier 1981 juin 1995 Louis Sandret    
    juin 1995[25] mai 2020 Pascal Laleman SE Agriculteur
    mai 2020[26] En cours Sébastien Maheut SE Exploitant agricole
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et un adjoint[26].

    Démographie

    Les habitants de la commune sont nommés les Auvillargeois. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 220 habitants[Note 7], en diminution de 6,38 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Auvillars a compté jusqu'à 596 habitants en 1806.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    530449596503434416441446403
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    398370347346366323348348330
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    306295292255278256257237260
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    224185177158178178205209213
    2013 2018 - - - - - - -
    235220-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Germain

    L'église Saint-Germain est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 17 juillet 1926[31]. La dalle funéraire du clerc de Tournebu et une Vierge à l'Enfant du XIIIe siècle sont classées à titre d'objets[32].

    Chapelle Saint-Jean

    La chapelle Saint-Jean.

    Description de la chapelle Saint-Jean par Arcisse de Caumont en 1862, d'après la Statistique monumentale du Calvados.

    La chapelle Saint-Jean s’élève sur un coteau, à 2 kilomètres de l’église d’Auvillars, au midi.

    Cette chapelle date de la dernière période ogivale ; elle a environ 30 pieds de longueur sur 15 de largeur.

    Le portail occidental, flanqué de deux contreforts, est terminé par un galbe très-aigu qui supporte un toit très-incliné. La porte ogivale est décorée de moulures prismatiques ; elle est surmontée d’une fenêtre du même temps. Devant la chapelle s’élèvent deux beaux peupliers qui décorent l’entrée.

    La nef est éclairée par quatre fenêtres, dont deux à plein-cintre avec chanfrein ; les deux autres à arc surbaissé. Les murs, flanqués de contreforts saillants, sont terminés par une corniche formée d’un quart-de-rond.

    Le chevet droit est flanqué de deux contreforts et terminé, comme le portail, par un galbe très-incliné, surmonté d’une croix antéfixe.

    On aperçoit, sur le mur méridional, les vestiges d’une litre funèbre. Les écussons armoriés peints sur cette litre sont reproduits à l’intérieur de la chapelle.

    On remarque, du côté de l’épître, une piscine ogivale.

    Deux jolis bas-reliefs attirent également l’attention. L’un de ces bas-reliefs est incrusté dans le mur septentrional, près de l’autel. Il représente saint Jean Baptiste, le Précurseur, tenant dans une de ses mains un globe surmonté d’une croix.

    L’autre bas-relief a été détaché de la muraille où il était incrusté. Il représente un moine ayant les mains jointes et élevées vers le ciel.

    Derrière l’autel sont trois niches renfermant d’anciennes statues supportées par de jolis culs-de-lampes. Dans celle du milieu est la statue de saint Jean Baptiste.

    Une statue de la Sainte Vierge, tenant dans ses bras l’Enfant Jésus, est appliquée contre le mur de droite.

    La voûte de la chapelle est en lambris, avec entraits.

    Manoir de la Bruyère

    Les façades et toitures du manoir de la Bruyère et du bâtiment du pressoir ainsi que le pressoir proprement dit et son mécanisme sont inscrits au titre des Monuments historiques depuis le 25 février 1974, le jardin du manoir depuis le 16 juin 2008[33].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Beaumont-en-A. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Auvillars et Beaumont-en-Auge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Beaumont-en-A. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Auvillars et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 366
    25. « Pascal Laleman candidat pour un quatrième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    26. « Municipales à Auvillars. Sébastien Maheut succède à Pascal Laleman », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Église », notice no PA00111026, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Œuvres mobilières à Auvillars », base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. « Manoir de La Bruyère », notice no PA00111027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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