Aubry-du-Hainaut

Aubry-du-Hainaut est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Aubry.

Aubry-du-Hainaut

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole
Maire
Mandat
Raymond Zingraff
2020-2026
Code postal 59494
Code commune 59027
Démographie
Gentilé Aubrysiens, Aubrysiennes
Population
municipale
1 706 hab. (2018 )
Densité 395 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 15″ nord, 3° 27′ 42″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 48 m
Superficie 4,32 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes
Législatives Vingt et unième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Aubry-du-Hainaut
Géolocalisation sur la carte : Nord
Aubry-du-Hainaut
Géolocalisation sur la carte : France
Aubry-du-Hainaut
Géolocalisation sur la carte : France
Aubry-du-Hainaut

    Ses habitants s'appellent les Aubrysiennes et les Aubrysiens[1].

    Géographie

    Aubry-du-Hainaut est située dans le Parc naturel régional Scarpe-Escaut[2].

    L'altitude moyenne est de 37 m. Les communes limitrophes sont Raismes, Petite-Forêt, La Sentinelle et Hérin. La ville la plus proche est Valenciennes.

    Géologie et relief

    Les risques naturels de la commune sont les risques d'affaissement minier, engins de guerre, inondations, coulées de boue et mouvements de terrain.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Voie de communication et transport

    Une des entrées du village, ici par la RD213

    Urbanisme

    Typologie

    Aubry-du-Hainaut est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[19] et 335 242 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,5 %), zones urbanisées (17,8 %), forêts (2,3 %), prairies (0,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Étymologiquement, Aubry viendrait du latin « albarum », qui signifie de l'aubier. Le premier habitant se serait installé au IXe siècle dans la forêt, attirant ensuite l'installation d'autres maisons. Le lieu-dit Aubry a été cédé par la suite par le comte du Hainaut aux Prémontrés.

    En 1158, Aubry prit le nom d'Albriu.

    En 1244, Aubri devenu paroisse, s'appela tour à tour Obry, Obries et Albry.

    Le Conseil Municipal a modifié le nom en juin 1962 en Aubry-lez-Valenciennes. L'ajout « du Hainaut » a été effectué le 6 mai 1966 pour éviter la confusion avec la commune d'Auby.

    Les femmes originaires d'Aubry-du-Hainaut sont appelées Mazingues ou mésanges, en raison de leur réputation de commérage[26].

    Histoire

    Un ancien parchemin du 28 septembre 1494 indique notamment le nom du maire de l'époque qui était Jacquemart Broyart.

    Au XVIe siècle, la seigneurie d'Aubry était la propriété de la maison de Thiant, ce qui explique la ressemblance entre les blasons d'Aubry et de Thiant, « de sinople semé de billettes d'argent au lion du même brochant sur le tout ».

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , dix-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 201 inscrits, dont 837 votants (69,69 %), 7 votes blancs (0,84 %) et 829 suffrages exprimés (99,04 %). Trois listes se présentent. La liste Aubry dynamique menée par Christophe Lecossier recueille 175 voix (21,11 %), contre 319 voix (38,48 %) pour Aubry, aujourd'hui... pour demain du maire sortant Raymond Zingraff et 335 voix (40,41 %) pour Aubry autrement de Jean-Pierre Laude. À l'issue de ce premier tour, aucun siège n'est pourvu[27].

    Liste des maires successifs

    Raymond Zingraff à Pecquencourt en octobre 2019.

    La démission de Renée Stievenart est envoyée durant l'été 2019 et celle-ci n'est plus maire à compter du 24 août. L'intérim est alors assuré par son premier adjoint Raymond Zingraff, puis il est élu maire le 1er septembre.

    Titulaires de la fonction de maire d'Aubry-du-Hainaut
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Renée Stievenart (d)[28],[29],[30],[31]
    (née le )

    (démission)
    18 ans et 5 mois divers droite
    Raymond Zingraff (d)
    (né le )
    En cours2 ans et 22 jours divers droite

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 1 706 habitants[Note 7], en augmentation de 17,49 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    465603602711773833903950991
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    9219951 0241 1101 1741 1371 1651 1231 093
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 0571 0419329489759629419661 039
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    1 2061 2451 4771 4441 4351 4421 4431 4441 452
    2018 - - - - - - - -
    1 706--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    {{refnecEn 1699, la commune comptait 175 habitants répartis dans 48 maisons.}}

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Aubry-du-Hainaut en 2007 en pourcentage[36].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    4,3 
    75 à 89 ans
    8,3 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,8 
    25,7 
    45 à 59 ans
    28,6 
    21,1 
    30 à 44 ans
    19,5 
    16,1 
    15 à 29 ans
    12,4 
    19,2 
    0 à 14 ans
    16,4 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2010 en pourcentage[37].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    5,0 
    75 à 89 ans
    8,7 
    11,5 
    60 à 74 ans
    12,7 
    19,5 
    45 à 59 ans
    19,3 
    20,5 
    30 à 44 ans
    19,4 
    21,9 
    15 à 29 ans
    20,3 
    21,4 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Enseignement

    Aubry-du-Hainaut fait partie de l'académie de Lille.

    Économie

    Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, les habitants vivaient de l'agriculture et plus encore de l'exploitation forestière. La découverte de la houille a apporté d'autres métiers. Toutefois, il ne reste de l'exploitation minière passée qu'un vieux puits de plus de 200 ans et quelques affaissements dans la plaine en direction de la fosse de Wallers - Arenberg et de la mare à Goriaux.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Château d'Aubry du Hainaut par Eugene CHIGOT
    L'église.
    • Le château d'Aubry du XIIe siècle était un petit château fort qui servait à protéger les habitants du pillage. Il a été rasé au XVIe siècle par Jean de Thiant.
    • Le château d'Aubry-du-Hainaut date du XVIe siècle. C'est le Seigneur de Thiant et d'Aubry, gouverneur de Bouchain, Jean de Thiant, qui l'a fait construire à la Renaissance en 1526, sous François 1er. Il a été occupé par différentes familles nobles comme les seigneurs de Bousies au XVIe siècle, les seigneurs de Gouzeaucourt au XVIIe siècle, puis les seigneurs de Houplin, les marquis de Saluces de Bernemicourt et les Comtes Van der Buch au XVIIIe siècle. Abandonné pendant des années et après restauration, il reçoit aujourd'hui des particuliers puisqu'il est Restaurant et Hôtellerie.

    Le château ouvre également ses portes à l'occasion de manifestations Culturelles gratuites tout au long de l'année (Journées des Parcs et Jardins, parfois les Journées du patrimoine...)

    • Aubry dépendait au XIIe siècle de l'église mère de Raismes. En 1244, c'est une paroisse. Il faudra attendre 1300 pour la construction de la première église, comme l'indique une inscription sur l'un des piliers intérieurs. Elle a été plusieurs fois agrandie, notamment en 1548, date à laquelle l'église a été dédiée à Sainte Marie-Madeleine. L'église a été également transformée en 1684 et de 1888. Des vitraux représentent la vie de Sainte Marie-Madeleine[38].
    • Autres monuments : les chapelles de Malplaquet et de la rue Pasteur, la cense à Papin, le colombier de la mairie, le moulin Lequimme, le portail ancien situé rue Henri Maurice, les vestiges du château de Malplaquet dit château Crépin et le courant Saint-Martin[39].
    • Enfin, des sentiers de randonnée permettent de traverser les sites miniers de Wallers et la forêt[40].

    Personnalité liée à la commune

    • Sénac de Meilhan, intendant du Hainaut, joua un grand rôle dans l'éradication de l'épidémie de choléra de 1777. Une plaque dans l'église le commémore.

    Héraldique

    Les armes d'Aubry se blasonnent ainsi : « De sinople semé de billettes d'argent, au lion du même armé et lampassé de gueules brochant sur le tout. »

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/59027_Aubry-du-Hainaut.html
    2. http://www.aubryduhainaut.fr/
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Aubry-du-Hainaut et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Aubry-du-Hainaut et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. http://www.aubryduhainaut.fr/le-village/histoire.html
    27. « Élections municipales, Aubry-du-Hainaut », La Voix du Nord, édition Valenciennois-Denaisis, no 24165, , p. 28.
    28. « Aubry-du-Hainaut : Renée Stiévenart à la tête d’une liste apolitique pour « Vivre ensemble à Aubry » », La Voix du Nord,  : « Dans son bilan dressé dans ces colonnes, Renée Stiévenart avait déclaré avoir encore pas mal de projets. Pour continuer de les porter pour sa commune, elle a décidé de repartir pour un troisième mandat »
    29. « Aubry-du-Hainaut : les projets et chantiers du maire Renée Stievenart pour ce mandat », La Voix du Nord,  : « Élue avec la plus petite des majorités (une voix), Renée Stiévenart, maire d’Aubry-du-Hainaut fait le point sur ce début de mandat. [...] Élue en 1983 comme conseillère municipale, elle vient d’entamer son troisième mandat de première magistrate. »
    30. Véronique Bertin, « Depuis samedi, Renée Stiévenart n’est plus maire d’Aubry-du-Hainaut », La Voix du Nord,  : « En juin, Renée Stiévenart, 70 ans, a envoyé sa démission de son poste de maire au préfet et a été reçue l’après-midi même par le sous-préfet. Depuis samedi, elle n’est plus premier édile. Raymond Zingraff, premier adjoint, assurera l’intérim jusqu’à l’élection du nouveau premier magistrat prévue le dimanche 1er septembre. »
    31. Nadir M’Hamed-Said, « À Aubry-du-Hainaut, trois mandats tournés vers la jeunesse et le logement », La Voix du Nord,  : « Maire d’Aubry-du-Hainaut depuis 2001, Renée Stiévenart n’est pas pour les places réservées aux femmes. »
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Evolution et structure de la population à Aubry-du-Hainaut en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    38. http://www.aubryduhainaut.fr/le-village/patrimoine-ancien-et-recent/egliseaubry.html
    39. http://www.aubryduhainaut.fr/le-village/patrimoine-ancien-et-recent.html
    40. http://www.aubryduhainaut.fr/le-village.html
    • Portail du Nord-Pas-de-Calais
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.