1920 en dadaïsme et surréalisme

Pour l'année, voir 1920.
Quelques Dadas parisiens. De gauche à droite, arrière-plan : Louis Aragon, Théodore Fraenkel, Paul Éluard, Emmanuel Fay. Second plan : Paul Dermée, Philippe Soupault, Georges Ribemont-Dessaignes. Premier plan : Tristan Tzara, Céline Arnauld, Francis Picabia, André Breton - Auteur anonyme

Éphémérides

Janvier


  • André Breton rencontre Francis Picabia[1],[2].

  • Lettre de Breton à Picabia : « Il y a un mot que je prononce souvent ainsi que Tzara : celui de démoralisation. C'est à cette démoralisation que nous nous appliquons Soupault et moi dans Littérature. Je sais que jusqu'à un certain point cela est puéril[3] »
  • Tristan Tzara arrive à Paris[4].

  • René Hilsum installe les éditions Au Sans Pareil dans une librairie au 37 de l'avenue Kléber, Paris (16e arrondissement). Les dadaïstes en font leur second lieu de rendez-vous quotidien avec le café Certà, passage de l'Opéra.
  • Paul Éluard, Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux, recueil de poèmes, avec cinq dessins d'André Lhote

  • La rencontre chez Picabia de Tzara avec les surréalistes (sauf Éluard) déçoit Breton.
    Tzara est invité à participer au premier Vendredi de Littérature prévu le jour même au Palais des Fêtes, 23 rue Saint-Martin. Le spectacle est divisé en deux parties séparées par un intermède musical et des présentations de tableaux. Il débuta par une allocution de André Salmon, intitulée La Crise du change, sur le renversement des valeurs littéraires depuis le symbolisme[5]. Le public, calme jusque-là sinon indifférent, commença à s'agiter quand on lui présenta un tableau de Picabia Le Double monde : un carton clair sur lequel étaient peintes au ripolin des lignes noires enchevêtrées. Ce carton était recouverts des inscriptions « Haut » (en bas), « Bas » (en haut), « Fragile », etc. et d'une série de cinq grandes lettres rouge de haut en bas : L.H.O.O.Q. Le tumulte redoubla quand arriva sur la scène un tableau noir sur lequel il n'y avait que quelques traits à la craie et le jeu de mot, en forme de titre, Riz au nez. Quelques instants après Breton effaça le tableau d'un coup d'éponge conformément aux prescriptions de Picabia[6].
  • André Breton, Lune de miel.
  • On recommande à Breton, une personne qui doit bientôt venir à Paris, s'y fixer et « qui voudrait se lancer dans la littérature [...] Quelques jours plus tard, Benjamin Péret arrive[7]. »
  • Parution du premier numéro de la revue Proverbe, « feuille mensuelle pour la justification des mots », créée par Paul Éluard, avec les participations de Breton, Jean Paulhan, Picabia et Georges Ribemont-Dessaignes[8].
  • Rencontre René Magritte / E. L. T. Mesens[9].

Février


  • Deuxième manifestation dada au Grand Palais. Le programme ayant annoncé la participation de Charlie Chaplin pour une conférence sur le mouvement Dada, le public est venu nombreux. 38 conférenciers se relaient pour la lecture de manifestes : « Plus de peintres, plus de littérateurs, plus de musiciens, […], plus d'armées, plus de police, plus de patries, enfin assez de toutes ces imbécillités, plus rien, plus rien, rien, rien, RIEN, RIEN, RIEN[10]. »

  • Au Club du Faubourg (association ouvrière sise à Paris 17e), Breton lit le Manifeste Dada 1918 de Tristan Tzara dans une ambiance houleuse[11].
  • Philippe Soupault, Hôtels
  • À Berlin, publication de l'Almanach Dada[12].

Mars


  • Erik Satie, Musique d'ameublement, exécutée en public à la galerie Barbazanges : « Une musique que l'on se doit de jouer pour qu'on ne l'écoute pas. »[13].

  • Breton décide d'abandonner ses études de médecine. Ses parents, informés par ailleurs des manifestations et des scandales de Dada, menacent de lui couper les vivres s'il persiste dans ses activités « déshonorantes ». Par souci d'apaisement, il accepte un emploi de coursier à la NRF. Il est également chargé de lire à haute voix à Marcel Proust les épreuves de Côté de Guermantes à raison de 50 francs par séance.

  • Festival manifeste presbyte[14],[15], organisé par Picabia au Théâtre de l'Œuvre. Représentation de :
    • S'il vous plaît, pièce écrite par André Breton et Philippe Soupault, interprétée par Éluard et Gala et
    • La Première aventure céleste de Monsieur Antipyrine de Tristan Tzara,
    • Vaseline symphonique, œuvre chorale,
    • lecture par Breton du Manifeste cannibale de Picabia.
      Breton accueille le public en portant, comme un homme-sandwich, une affiche signée Picabia sur laquelle on peut lire : « Pour que vous aimiez quelque chose il faut que vous l'ayez vu et entendu depuis longtemps tas d'idiots[16]. »
André Breton au festival Dada de Paris.

Avril

Mai

  • Publication des 23 Manifestes Dada dans Littérature[10].

  • Parution du premier numéro de la revue Projecteur[22] au format de 23 × 10 cm, entièrement écrit par Céline Arnauld.

  • Festival Dada à la salle Gaveau à Paris.
    Représentation de Vous m'oublierez, pièce écrite par Breton et Philippe Soupault. Témoignage de Simone Breton à sa cousine Denise Lévy : « Comme choses intéressantes, je suis allée à une séance Dada, assez ratée à l'aveu même des pires dadaïstes, avec scandale, pommes cuites et vocifération. »[23].

  • Exposition Georges Ribemont-Dessaignes à la librairie du Sans Pareil.

  • André Breton et Philippe Soupault, Les Champs magnétiques, avec les portraits des auteurs par Francis Picabia[24] Accueil favorable de la critique dont André Malraux, dans Action : « Ce livre créé un poncif au point que c'est lui que citeront les critiques de 1970 lorsqu'il sera question de l'état d'esprit des artistes de 1920[25]. »

Juin


  • Première foire internationale Dada à Berlin[26].
  • Johannes Baader, Grand-Plasto-Dio-Dada-Drama, architecture monumentale dada en 5 étages, 3 jardins, un tunnel, 2 ascenseur et une fermeture en forme de cylindre. L'œuvre est détruite par son auteur à la fin de l'exposition[27].
  • La NRF publie un article d'André Breton sur les Chants de Maldoror de Lautréamont à l'occasion d'une réédition : « La vie humaine ne serait pas cette déception pour certains si nous ne nous sentions constamment en puissance d'accomplir des actes au-dessus de nos forces. On sait maintenant que la poésie doit mener quelque part[10]. »
  • Antonin Artaud rencontre Lugné-Poe, directeur du Théâtre de l'Œuvre, qui l'engage comme « homme à tout faire ».
  • Théodore Fraenkel présente Simone Kahn à Breton : « Apparaissait une personnalité de poète très spéciale, éprise de rare et d'impossible, juste ce qu'il faut de déséquilibre, soutenu par une intelligence précise même dans l'inconscient, pénétrante avec une originalité absolue que n'a pas compromise une belle culture littéraire, philosophique et scientifique. », lettre de Simone à Denise Lévy du [28].

Juillet

  • À cause de quelques problèmes de santé, Breton part se reposer chez ses parents. Lettre à Jacques Rivière : « Je procède à une révision complète de mes idées qui pourra me conduire plus près de vous que je n'ai été encore » et à Picabia : « Vous savez mieux que quiconque combien je m'ennuyais à la "NRF". Je finissais par lasser mes amis et vous-même de mes façons d'agir : cela ne pouvait plus durer. En dépit des assurances que je vous donnais de temps à autre, vous preniez de jour en jour plus mauvaise opinion de moi. »[29].

Août

  • 1er août
    Dans la NRF, Breton répond à André Gide Le jour où le mot Dada fut trouvé, il ne resta plus rien à faire. Ces deux syllabes avaient atteint le but d'inanité sonore, un insignifiant absolu. ») : « Il m'est impossible de concevoir une joie de l'esprit autrement que comme un appel d'air. Comment pourrait-il se trouver à l'aise dans les limites où l'enferment presque tous les livres, presque tous les événements ? »[30].
  • Jacques Rivière, Reconnaissance à Dada : « Le langage pour les Dadas n'est plus un moyen, il est un être. Le scepticisme en matière de syntaxe se double ici d'une sorte de mysticisme. Même quand ils n'osent pas franchement l'avouer, les Dadas continuent de tendre à ce surréalisme qui fut l'ambition d'Apollinaire[31]. »
  • Lettre de Breton à Simone Kahn : « Vous savez comment les Poésies de Ducasse ont été faites : il retournait un proverbe, une pensée. […] La Rochefoucauld : « L'amour de la justice n'est en la plupart des hommes que la crainte de souffrir l'injustice. » - Ducasse : « que le courage de souffrir l'injustice. » […] Voyez-vous l'intérêt profond de cette contradiction : c'est par elle, hélas, que Ducasse atteint à cette espèce de vérité angélique. Moi qui, Dieu merci, ne suis pas un littérateur, j'approuve entièrement la méthode du livre. Les Poésies d'Isidore Ducasse, ou le Paradis terrestre[32]. »
  • Breton refuse d'écrire la préface de Jésus Christ Rastaquouère de Francis Picabia : « […] pour ne pas avoir à me replacer dans une attitude qui a été la mienne et qui, en définitive, ne l'est plus. […] Je ne suis même plus sûr que le dadaïsme ait gain de cause, à chaque instant je m'aperçois que je le réforme en moi[33]. »

Septembre


  • Séjour à Sarreguemines de Breton et Simone Kahn. Il fait la connaissance de Denise Lévy, la cousine de Simone[34].
  • Paul Éluard, Pour vivre ici, onze haïkaï, publié par la NRF[35].

Octobre


  • Réunion des surréalistes de Littérature qui décident de ne plus publier de texte « littéraire » et d'ouvrir la revue à la politique, à la sexualité, à la vie[36].

Décembre

  • Breton est présenté au couturier Jacques Doucet, bibliophile et amateur d'art moderne, qui lui commande des lettres sur la littérature et la peinture ainsi que des conseils d'achat d'œuvres d'art, pour une rémunération de 500 F par mois.

Cette année-là

  • Louis Aragon signe un contrat avec la NRF pour la publication prochaine de Anicet[37].
    Avec Breton, ils projettent d'adhérer au parti socialiste mais sont découragés par l'accueil glacial qui leur est réservé[38].
  • Arthur Cravan disparaît dans le golfe du Mexique au cours d'une promenade en barque.
  • Jean Arp, Max Ernst et Johannes Baargeld fondent le mouvement Dada de Cologne et organisent une exposition[39]. Un collage de Max Ernst contenant une reproduction de Adam et Ève d'Albrecht Dürer jugée pornographique est censurée par les autorités de la ville et l'exposition est fermée par la police[40].
  • Jefim Golyscheff expose à Berlin une cinquantaine d'aquarelles[41].
  • La revue 391 publie en couverture LHOOQ de Marcel Duchamp[42].
  • Yves Tanguy fait son service militaire à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) où il rencontre Jacques Prévert[43].
  • Les dadaïstes berlinois découvrent l'œuvre de Giorgio De Chirico dans la revue futuriste Valori plastici[44].

Œuvres

  • Jean Arp
    • Cinéma calendrier au cœur abstrait, encre sur papier[45]
    • La Mise au tombeau des oiseaux et des papillons, assemblage de bois peint
    • Der Vogel selbdritt, poèmes illustrés de six gravures sur bois de l'auteur[46]
  • Johannes Baader
    • Grand-Plasto-Dio-Dada-Drama, architecture monumentale
Johannes Theodor Baargeld: Typique amalgame vertical du Dada Baargeld
  • Johannes Theodor Baargeld
    • Typique amalgame vertical en tant que représentation du Dada Baargeld, collage, photo de son visage sur le buste de la Vénus de Milo[47]
  • André Breton
    • Lune de miel, poème
  • André Breton et Philippe Soupault
    • Les Champs magnétiques, textes automatiques : « Prisonniers des gouttes d'eau, nous ne sommes que des animaux perpétuels »
    • S'il vous plaît : « Il m'arrive de faire les cent pas pendant des heures entre deux numéros de maison ou quatre arbres d'un square. Les promeneurs sourient de mon impatience, mais je n'attends personne »
    • Vous m'oublierez, textes dramatiques
  • Otto Dix
    • Les Joueurs de skat
    • Le Marchand d'allumettes, huiles sur toile[48]
  • Marcel Duchamp
    • LHOOQ, crayon sur une reproduction de La Joconde[49]
    • Fresh widow, fenêtre aux carreaux peints en bleu nuit[50]
    • Rotative plaque verre (optique de précision), objet cinétique[51]
  • Marcel Duchamp et Man Ray
    • Élevages de poussière, photographie des traces inscrites dans la poussière de l'atelier de Duchamp, du panneau inférieur du Grand verre[52]
  • Paul Éluard
    • Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux, avec cinq dessins d'André Lhote : « Et le langage déplaisant qui suffit aux bavards, langage aussi mort que les couronnes à nos fronts semblables, réduisons-le, transformons-le en un langage charmant, véritable, de commun échange entre nous. »[53]
    • Pour vivre ici, onze haïkaï
  • Max Ernst
    • Au-dessus des nuages marche la minuit, huile sur toile[54]
    • L'Avion meurtrier, huile sur toile[55]
    • C'est le chapeau qui fait l'homme, collage sur papier[56]
    • Les Cormorans et les Flamands
    • 1 Kupferblech…[57]
    • L'Énigme de l'Europe centrale, gouache sur motif imprimé[58]
    • L'Immortalité de Buonarotti[59]
    • Katharina Ondulata, collages
    • La Petite fistule lacrymale qui dit tic tac, huile sur toile[60]
  • Julius Evola
    • Arte astratta, poèmes[61]
  • Théodore Fraenkel
    • La Mort du pape au pays du patinage, collage : photographie de journal montrant un groupe d'hommes en redingote et haut-de-forme et chaussés de patins à glace, tirant un traîneau sur lequel on devine un cercueil recouvert de fleurs. Le collage porte en légende : « pas de séduction / pas de sourire / pas de jolies dents »[62]
  • George Grosz
    • Daum se marie avec son automate pédant, aquarelle, dessin à la plume et collage[63]
    • Paysages industriels[64]
    • Republican automaton[65], huiles sur toile
  • George Grosz et John Heartfield
    • Leben und treiben un Universal City um 12 Uhr 5 Vie et mouvement à Universal City à 12h5, collage[66]
  • Raoul Hausmann
    • Le Critique d'art, collage de photos, illustrations et papier journal[67]
    • Dada-cino[68]
    • Dada siegt (Dada gagne)[69]
    • Tatlin at home, collages sur papier[70]
  • Richard Huelsenbeck
    • En avant Dada : « Le dadaïste aime la vie parce qu'il peut s'en débarrasser à tout moment, la mort étant pour lui une affaire dadaïste. Le dadaïste envisage sa journée, sachant qu'un pot de fleurs peut lui tomber sur la tête[39]. »
  • Marcel Janco
    • Dadaga, huile sur carton[71]
  • Joan Miró
    • La Table (nature morte au lapin), huile sur toile[72]
  • László Moholy-Nagy
    • Die grosse Gefühlsmachine, huile sur toile[73]
illustration de Ribemont-Dessaignes pour Jésus Christ Rastaquouère
  • Francis Picabia
    • Jésus Christ Rastaquouère, écrit
    • Portrait de Cézanne, objet : singe en peluche collé sur une toile[74]
    • Tableau Rastadada, collage sur papier[75]
    • La Sainte-Vierge, encre sur papier[76]
    • Unique eunuque, dessin
  • Man Ray
    • Dancer ou Danger, peinture à l'aérographe[77]
    • L'Impossible, peinture sur verre
    • Obstruction, assemblage de cintres (à zibule) en bois[78]
    • The Coat-stand, modèle et objet composite[79]
  • Erik Satie
    • Musique d'ameublement
  • Rudolf Schlichter
    • Dada-Dachatelier (L'Atelier sur le toit)
    • Die tote Welt, huiles sur toile[80]
    • Usines miracles, collage[81]
  • Georg Scholz
    • Industriebauren, huile sur toile[82]
  • Kurt Schwitters
    • Formes dans l'espace[83]
    • Forces disjointes, peinture et assemblage de matériaux[84]
    • Mz 158. Das Kostbild (L'Addition), collage[85]
  • Philippe Soupault
    • Hôtels
    • Rose des vents : « L'avion tisse les fils télégraphiques / et la source chante la même chanson / au rendez-vous des cochers l'apéritif est orangé / mais les mécaniciens des locomotives ont les yeux blancs / la dame a perdu son sourire dans les bois. »
Sophie Taeuber-Arp: Composition dada
  • Sophie Taeuber-Arp
    • Composition dada, huile sur toile
    • Taches quadrangulaires évoquant un groupe de personnage, huile sur toile[86]

Notes et références

  1. Pierre Daix, La Vie quotidienne des surréalistes, 1917-1932, éditions Hachette, Paris, 1993, p. 86.
  2. Marguerite Bonnet date cette première rencontre de décembre 1919 dans André Breton, Œuvres complètes, tome 1 : chronologie, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, Paris, 1988, p. XXXIX.
  3. Daix, op. cit., p. 86.
  4. Daix, op. cit., p. 88.
  5. Dans le public, il y avait quelques petits commerçants du quartier qui, confondus par le titre de l'allocution annoncé dans L'Intransigeant, pensaient qu'il y serait évoqué la dévaluation du franc survenue quelque temps auparavant. Michel Sanouillet, Dada à Paris, CNRS Éditions, 1965-2005, p. 123 qui donne le détail du programme.
  6. Sanouillet, op. cit., p. 124. Selon le témoignage de Georges Ribemont-Dessaignes dans Déjà jadis (p. 71) au sujet de Francis Picabia : « D'ailleurs, il ne participaient jamais physiquement à une manifestation Dada. ».
  7. André Breton, Nadja, Œuvres complètes, tome 1, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1988, p. 659 et Bernard Delvalle, Mille et cent ans de poésie française, Robert Laffont, Paris, 1991, p. 1813, pour la date.
  8. Bonnet, op. cit., p. XXXIX.
  9. Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, éditions Actes Sud, Arles, 2007, p. 21.
  10. Daix, op. cit., p. 103.
  11. Bonnet, op. cit., p. XL.
  12. Serge Lemoine, Dada, éditions Hazan, Paris, 1991, p. 91.
  13. Laurent Le Bon (sous la direction de), Dada, Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2005, p. 860.
  14. Lemoine, o. cit., p. 78.
  15. Marcelle Dumas & Lucien Scheler, Chronologie de Paul Éluard, dans Poésies complètes, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, Paris, 1968, p. LXII.
  16. Photo dans Le Bon, op. cit., p. 8.
  17. Daix, op. cit., p. 109.
  18. Daix, op. cit. p. 93.
  19. Bonnet, op. cit., p. XLI.
  20. Un seul numéro. Le Bon, op. cit., p. 870.
  21. Cité dans Beaux Arts magazine no 290, août 2008, p. 72.
  22. Le Bon, op. cit., p. 89.
  23. Lettres à Denise Lévy, éditions Joëlle Losfeld, 2005, p. 53.
  24. Bonnet, op. cit., p. XLI & p. LX.
  25. Daix, op. cit., p. 70.
  26. Lemoine, op. cit., p. 31.
  27. Lemoine, op. cit., p. 43 & p. 117.
  28. Bonnet, op. cit., p. XLI et Lettres à Denise Lévy, op. cit., p. 57.
  29. Daix, op. cit., p. 108.
  30. Daix, op. cit., p. 105.
  31. Daix, op. cit., p. 107.
  32. Daix, op. cit., p. 53.
  33. Lettre du 31 août à Simone Kahn. Bonnet, op. cit., p. XLI.
  34. Qui épousera Pierre Naville. Bonnet, op. cit., p. XLI.
  35. Dumas & Scheler, op. cit., p. LXII.
  36. Daix, op. cit., p. 109 & suivantes.
  37. Daix, op. cit., p. 102.
  38. Daix, op. cit., p. 112.
  39. Lemoine, op. cit., p. 91.
  40. Daix, op. cit., p. 116.
  41. Art Press, janvier 2007.
  42. André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Gallimard, 1928-1965, p. 58.
  43. Agnès Angliviel de la Beaumelle, Yves Tanguy, éd. du C. G. P., Paris, 1982, p. 169.
  44. Lemoine, op. cit., p. 36.
  45. 25,5 × 21 cm. Galerie Natalie Seroussi, Paris. Reproduction dans Connaissance des arts no 764, novembre 2017, p. 22.
  46. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 149.
  47. Kunsthaus de Zurich. Site dada-companion.com & Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 5.
  48. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 53.
  49. 19,7 x 12,4 cm. Philadelphie, Museum of art. Reproduction dans Janis Mink, Duchamp, Taschen & Le Monde, Paris, 2006 , p. 65.
  50. 1,9 x 45,1 x 10,2 cm. New York, Museum of modern art. Reproduction dans Janis Mink, Duchamp, Taschen & Le Monde, Paris, 2006, p. 70.
  51. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 74.
  52. Reproduction dans Pierre Cabanne, Duchamp & Cie.
  53. Dumas & Schler, op. cit., p. LXI.
  54. Reproduction dans Breton, LSELP, op. cit., p. 27.
  55. New York, D. & J. De Menil Collection. Reproduction dans Le Monde diplomatique no 680, novembre 2010, p. 9.
  56. MoMA, New York. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 90, mai 1991, p. 56.
  57. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 65.
  58. 15 × 22 cm. Centre Georges Pompidou. Reproduction dans Beaux Arts magazine no 97, janvier 1992, p. 91.
  59. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 18.
  60. Reproduction dans Breton, LSELP, op. cit., p. 25.
  61. Cité dans Le Bon, op. cit., p. 270.
  62. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 437.
  63. 42 × 30 cm. Galerie Nierendorf, Berlin. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 45.
  64. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 48.
  65. Reproduction dans Adam Biro & René Passeron (sous la direction de), Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre, Genève & Presses universitaires de France, Paris, 1982, p. 18.
  66. Lemoine, op. cit., p. 48.
  67. 31,7 × 25,4 cm. Londres, Tate gallery. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 82, septembre 1990, p. 61.
  68. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 261.
  69. Reproduction dans Gabriele Crepaldi, L'Art moderne 1900-1945, Gründ, 2006, p. 204.
  70. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 34.
  71. 48,5 × 69,5 cm, Tel-Aviv, Joseph Hackney Collection. Reproduction dans Jacques Gagliardi, Le Roman de la peinture moderne, éditions Hazan, Paris, 2006, p. 306.
  72. Reproduction dans L'Œil, no 588, février 2007, p. 17.
  73. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 84.
  74. Œuvre disparue. Reproductin dans Janis Mink, Duchamp', Taschen & Le Monde, Paris, 2006, p. 73.
  75. 19 × 17 cm. Collection Paul Destribats, Paris. Reproduction dans Connaissance des arts no 600, décembre 2002, p. 43.
  76. 32,9 × 23,9 cm. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 67.
  77. 70,5 × 45 cm, collection particulière. Reproduction dans Beaux Arts Magazine no 90, mai 1991, p. 63.
  78. Reproduction dans Federico Poletti, L'Art au XXe siècle. I. Les Avant-gardes, éditions Hazan, Paris, 2006, p. 117.
  79. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 1.
  80. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 873.
  81. Le Bon, op. cit., p. 873.
  82. Le Bon, op. cit., p. 876.
  83. Reproduction dans Breton, [LSELP], p. 60.
  84. Reproduction dans Lemoine, op. cit., p. 57.
  85. 39,4 × 29,4 cm, Hanovre, Sprengel Museum. Reproduction dans Jacques Gagliardi, Le Roman de la peinture moderne, Hazan, Paris, 2006, p. 315.
  86. Reproduction dans Le Bon, op. cit., p. 929.

Article connexe

  • Portail de l’histoire de l’art
  • Portail de la littérature
  • Portail de la peinture
  • Portail des années 1920
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.