Éditions de l'Éclat
Les Éditions de l'éclat[2] sont une maison d'édition fondée en 1985 par Michel Valensi et Patricia Farazzi.
Éditions de l'Éclat | |
Création | 04/02/1997 |
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Fondateurs | Patricia Farazzi |
Forme juridique | Société à responsabilité limitée |
Siège social | Paris 75011 |
Direction | Elie Valensi |
Activité | Édition de livres (code : 5811Z) |
SIREN | 345162309 |
Site web | www.lyber-eclat.net |
Chiffre d'affaires | 133 600 € en 2015
comptes récents non disponibles |
Résultat net | 2 400 € en 2015[1] |
Histoire
Les Éditions de l'éclat sont créées à Paris en février 1985 sous le statut d'association loi de 1901 puis de SARL à partir de 1988.
Le premier titre publié est Comment trouver, comment chercher une première vérité ? du philosophe Jules Lequier[3].
Sa diffusion à l’international est assuré par les distributeurs Servidis en Suisse, Dimédia au Canada et Harmonia Mundi en France et Belgique.
Catalogue
Collections
- « Philosophie imaginaire » (1985)
- « Paraboles » (1985)
- « Polemos » (1989)
- « Tiré à part » (1989-2009), collection créée et dirigée par Jean-Pierre Cometti
- « Lire les philosophies » (1992)
- « Premiers Secours » (2000)
- « La Bibliothèque des Fondations » (2006), créée sous les auspices de la Fondation du judaïsme français et avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah
- « Terra cognita » (2009), collection dirigée par Alexandre Laumonier
- « Éclats » (2011)
- « L’éclat/poche » (2015)
Coédition
- Avec les éditions Kargo (2005)
Principe du « lyber », nouveauté numérique
La nouveauté et la modernité des éditions de l'Éclat est la création du « lyber » en 2000. Michel Valensi a cette idée à la suite de la polémique sur le prêt payant en bibliothèque. Il offre alors la possibilité aux lecteurs de lire intégralement et gratuitement sur Internet certains des ouvrages qu’il édite.
« L’apparition du numérique nous oblige à reconsidérer la question du support », dit-il. Il prône le principe de la « diffusion simultanée d’un même contenu sur deux supports ». Cela permet au lecteur de voir si le texte lui plait avant de l’acheter ; que ce soit en livre papier ou numérique. Selon lui, les « livres d’un jour » qui « empoisonnent le marché » pourraient être éradiqués. On pourrait ainsi passer rapidement à autre chose après une lecture sur Internet et on pourrait démasquer ce que Valensi appelle « les faux livres »[4].
De même, le lecteur pourrait laisser ses impressions par le biais de commentaires après avoir lu l’ouvrage. On trouverait ainsi un public acteur pour le livre qui pourrait être bénéfique autant à l’auteur qu’à l’éditeur.
Michel Valensi mise sur un réseau Internet non commercial, qui vise à attirer le lecteur, et à l’inciter à donner son opinion. Cet aspect impliquerait un réseau de librairies ouvert au Web.
Notes et références
- Données reportées du site societe.com le 22 juin 2019.
- « Fiche entreprise + chiffres d'affaires, bilan et résultat », sur www.societe.com (consulté le ).
- Jules Lequier (dir.), Comment trouver, comment chercher une première vérité ?, Paris, éditions de l'Éclat, coll. « Philosophie imaginaire », .
- Interview de Michel Valensi, fin décembre 2010.
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
- Site officiel
- Traité sur le lyber
- Intervention de Michel Valensi aux Rencontres de l'édition indépendante, Marseille
- Le catalogue des 30 ans des éditions de l'Éclat
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