Ça s'est passé en plein jour

Ça s'est passé en plein jour (titre original en allemand : Es geschah am hellichten Tag) est un film helvetico-germano-espagnol réalisé par Ladislao Vajda, sorti en 1958.

Ça s'est passé en plein jour
Affiche du film
Titre original Es geschah am hellichten Tag
Réalisation Ladislao Vajda
Scénario Friedrich Dürrenmatt
Hans Jacoby
Ladislao Vajda
Acteurs principaux
Sociétés de production Lazar Wechsler
Pays d’origine Espagne
Suisse
Allemagne de l'Ouest
Genre Film policier
Durée 95
Sortie 1958


Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Suisse, canton de Zurich. Une fillette de huit ans est découverte assassinée. Deux autres meurtres similaires ont été commis dans le passé. La police arrête un colporteur auquel elle extorque des aveux, avant qu'il ne se pende dans sa cellule. Cette erreur judiciaire révolte un policier proche de la retraite qui décide de reprendre l’enquête. Celle-ci le mène sur une route nationale, que semble emprunter régulièrement un suspect qui distribue aux fillettes des truffes en forme de hérissons. Sur cette route, le policier loue une station service[1] et y installe une mère et sa fillette comme appât.

Fiche technique

Distribution

  • Heinz Rühmann : l'inspecteur Matthäi
  • Gert Fröbe : M. Schrott
  • Sigfrit Steiner : le détective Feller
  • Siegfried Lowitz : le sous-lieutenant Henzi
  • Heinrich Gretler : le commandant de la police
  • Michel Simon : Jacquier, marchand ambulant
  • Berta Drews : Mme Schrott
  • Ewald Balser : le professeur Manz
  • Emil Hegetschweiler : le président de la commune
  • María Rosa Salgado : Mme Heller, la maman de la fillette
  • Anita von Ow : Annemarie Heller, la fillette
  • Anneliese Betschart : l'institutrice
  • Barbara Haller : Ursula Fehlmann, l'amie de Gritli Moser
  • Hans Gaugler : M. Moser, le père de Gritli
  • Margrit Winter : Mme Moser, la mère de Gritli
  • Max Werner Lenz : l'instituteur de Gritli Moser
  • Max Knapp : le paysan accusant Jacquier
  • Ettore Cella : le propriétaire de la station d'essence
  • Max Haufler : un hôte de l'auberge

Voix françaises

Remake

Critiques

"Après avoir montré la vanité des interrogatoires forcés employés par toutes les polices du monde, le film - tel un documentaire consacré à la police - s'attache à peindre les méthodes employées pour percer à jour une obscure affaire criminelle."[2]

Notes et références

  1. Cette station service est de la marque SOCAL qui signifie Standard Oil Company of California qui est devenue Chevron, voir Standard Oil.
  2. Répertoire Général des Films 1960, édition Penser-Vrai, dépôt légal n°691 - 3e trimestre 1960

Voir aussi

Liens externes

  • Portail du cinéma espagnol
  • Portail du cinéma allemand
  • Portail des années 1950
  • Portail arts et culture de la Suisse
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.