Éric Revel

Il vaut mieux être un spéculateur au bord de la faillite qu'un pauvre ruiné. Le premier est aidé, alors que le deuxième est expulsé de son logement, faute d'avoir payé ses crédits.
  • Propos écrits à l'occasion de la crise des CDS et de la faillite de la banque Lehmann aux États-Unis en septembre 2008
  • « Vive les spéculateurs… à bat les pauvres ! », Éric Revel, Le Bien public (ISSN 0998-4593), nº 1650, 21 septembre 2008, p. 12
Avec la quasi-faillite d'UBS, une situation de catastrophe est survenue de manière tout à fait inattendue. La BNS [Banque nationale suisse] a dû utiliser une grande partie de ses réserves pour sauver la banque. Hildebrand a déclaré lui-même que la faillite d'une des deux grandes banques dépasserait les possibilités financières d'un petit État.
  • « Responsabilité individuelle et autodétermination dans la finance », Werner Wüthrich, Horizons et débats (ISSN 1662-4599), nº 19, 17 mai 2010, p. 1

André Malraux

L'approche de la faillite apporte aux groupes financiers une conscience intense de la nation à laquelle ils appartiennent.
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