Le mot de discipline renvoie à trois grandes notions, celle d'« ensemble de règles à suivre », celle de « branche de la connaissance » et celle de « champ d'activités » ; c'est également un objet de torture servant traditionnellement à l'auto-flagellation (sorte de petit fouet à lanières multiples).

Jean-Paul Sartre

Gœtz : Nasty, il faut pendre des pauvres. Les pendre au hasard, pour l'exemple : l'innocent avec le coupable. Que dis-je ? Ils sont tous innocents. Aujourd'hui je suis leur frère et je vois leur innocence. Demain, si je suis leur chef, il n'y a plus que des coupables et je ne comprends plus rien : je pends.
  • À Nasty qui souhaite que Gœtz, le meilleur capitaine de l'Allemagne, prenne le commandement de l'armée des pauvres qui est trop faible face au seigneur, et qu'il quitte son village idéal en paix.
  • Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre, éd. Gallimard, 1971  (ISBN 2-07-036869-6), acte III, scène V, p. 193 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Otto Strasser

La discipline n'est qu'un instrument pour conduire une communauté dans une direction, pas pour l'éduquer dans une voie unique.
  • « Otto Strasser et le front noir », Otto Strasser, cité par Frédéric Kisters, Devenir (revue) (ISSN 1376-0262), nº 21, été 2002, p. 6
  • Citation choisie pour le 3 juin 2011.
Cet article est issu de Wikiquote. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.