Yann Alibert

Yann Alibert est un astrophysicien théoricien français, professeur assistant à l'Institut de physique de l'université de Berne (Suisse) depuis et chercheur au Centre national de la recherche scientifique (France) depuis .

Études

Yann Alibert a étudié et effectué son doctorat à l'École normale supérieure de Lyon (France) entre 1993 et 2001[1].

Carrière scientifique

Yann Alibert est chercheur au Centre national de la recherche scientifique (France) depuis [1].

Lors de l'assemblée générale d', Yann Alibert ainsi que Georges Meynet (de l'Observatoire de l'Université de Genève) ont été élus membres du comité de la Société suisse d'astrophysique et d'astronomie (SSAA)[2].

Depuis [1], Yann Alibert est également professeur assistant[1] au sein de la division de physique spatiale et des sciences planétaires de l'Institut de physique de l'Université de Berne (Suisse)[1],[3].

Lors de la phase 1 (-) du pôle de recherche national suisse PlanetS, Yann Alibert était responsable du sous-projet 5.1 « Structure globale des systèmes planétaire - Approche statistique »[4],[5]. Dans la phase 2 (depuis ), ce sous-projet est devenu le projet 2.5 « Formation et composition des planètes dominées par leur cœur »[6], subdivisé en deux parties : « modèles de formation des systèmes planétaire »[7] et « Apprentissage automatique et analyse statistique avancée »[8].

Recherche

Yann Alibert est connu pour être, avec ses collaborateurs (notamment Christoph Mordasini et Willy Benz), à l'origine du modèle de formation planétaire dit « modèle de Berne »., sur lequel il travaille depuis 2005.

Union astronomique internationale

Yann Alibert est un membre actif de l'Union astronomique internationale. Au sein de celle-ci, il fait partie des divisions B « Équipements, technologies et sciences des données », C « Éducation, diffusion des connaissances et patrimoine », F « Systèmes planétaires et bioastronomie » et G « Étoiles et physique stellaire ». Au sein de la division F, il est en particulier membre des commissions 15 « Étude physique des comètes et planètes mineures », 16 « Étude physique des planètes et des satellites », 51 « Bio-astronomie » et 53 « Planètes extrasolaires » (WGESP, groupe de travail sur les planètes extrasolaires)[9]

Références

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