Weil (vêtements)

Weil est une usine de vêtement, originaire de Besançon. Fondée à la fin du XIXe siècle, elle devient, pendant les années 1960, la plus importante entreprise française dans le milieu de l'industrie textile, avant de disparaitre au début des années 2000.

Cet article concerne l'entreprise bisontine Weil. Pour l'entreprise parisienne, voir Weill (vêtements).

Pour les articles homonymes, voir Weil.

Weil

Ancien nom Weil-Jaudel (vers 1930)

Les fils de Joseph Weil (vers 1970)

Création 1860 ou 1868 selon les sources
Dates clés années 1930: ouverture de l'atelier rue Larmet

1961: création de l'usine de Dole

vers 1965: Weil devient numéro 1 national dans l'industrie textile

1973: transfert d'une partie de la production à Szekesfehervar

1986: création de Luc Sain Alban

1989: création de Carnet de Vol

1991: fermeture de l'usine de Dole

fin des années 1980 - débuts des années 1990: fermeture du site rue de Vesoul

septembre 1995: fermeture du site rue Larmet

2002: annulation de la dette de l'entreprise

Disparition 2007: rachat par Laporte
Fondateurs Joseph Weil
Personnages clés Joseph, Benard, Henri, Michel, Denis, Philippe, Jean-Pierre et Didier Weil
Siège social Besançon
 France
Activité textile
Produits Pèlerines puis vêtements masculins

Dette 2,5 millions d'euros, en 2002

Elle est connue notamment pour ses franchises Luc Saint Alban et Carnet de Vol.

Histoire de l'entreprise

Gustave Courbet, photographié par Félix Nadar.

1868-1959: fondation et développement

Alors que la presse mentionne sa création en 1868[c 1],[1],[c 2]pour l'historien Claude Fohlen l'entreprise Weil voit le jour en 1860[b 1].

Fondée à Besançon par Joseph Weil[2],[b 2], initialement elle fabrique, de manière artisanal, des pèlerines, dont Gustave Courbet fut client, avant de se reconvertir dans le vêtement masculin[3]. En 1878, elle est l'une des plus grandes usines de confection de la ville[2],[b 2].

En 1905, elle est située au 10 Grande Rue[b 3].

D'après la prefecture, en 1930, l'entreprise, qui se nomme Weil-Jaudel, embauche 68 employés[a 1]. D'après Pierre Daclin, à cette époque, Weil, embauche plus de 600 personnes, dont environ 532 à domicile[a 2]. Elle est peut touchée par la Grande Dépression[b 4],[a 3].

Peut avant la Seconde Guerre mondiale, Weil s'installe rue Larmet, premier entreprise taylorisée de la firme[c 2].

Bas de la Grande rue inondée, lors de la crue du Doubs de 1910.

Au début du conflit, les locaux servent d’hôpital, avant d’être reprises par la maison Houdard, de Dijon. Plusieurs membres des FFI y subtiliseront des uniformes. L'abbé Gallois, aumônier du maquis, y célèbrera plusieurs messes en plein air[4].

1959-1976: croissance, apogée

En 1959, elle fabrique près de deux millions de pièces de vêtements. En 1961, elle ouvre un nouveau site de production à Dole, embauchant ainsi 100 personnes supplémentaires[5].

En 1960 Weil, s'installe à Fontaine-Écu[b 5],[b 6], rue Chaillot[b 6]. En 1962, elle fait partie, aux côtés de la compagnie des compteurs, de supérior-maveg et d'unimel, des quatre entreprise bisontines embauchant entre 500 et 1000 salariés.[b 5],[N 1]

Weil ne cesse de croître jusqu'à devenir la plus importante entreprise française de textile masculin[2],[b 2],[b 6] en 1965, employant 1 500 personnes[2],[b 2].

Au cours des années 1970, elles se nomme Les fils de Joseph Weil[b 6]. À partir de 1973, elle fait sous-traiter une partie de la production dans une usine à Szekesfehervar, en Hongrie[c 3]. Elle embauche 1 500 personnes en 1975[6] et 1976[b 6].

Début des années 1980: adaptations et modernisations

Le début des années 1980, affecte fortement le marché du textile qui chute de 9% en volume[3],[N 2].

Alors que, selon Jean-Pierre Tenoux, journaliste pour Le Monde, Weil compte 1550 employés en 1979[c 4], pour Claude Fohlen, de 1976 à 1982, dans le contexte du premier puis du second choc pétrolier, les effectifs de Weil passent de 1500 à 1300 employés[b 6]. En 1981, Bernard Weil, ancien résistant et PDG de la société, embauche une dizaine de réfugiés thaïlandais[7].

En 1985, le chiffre d'affaires annuel de l'entreprise, qui a misé sur modernité technologique, est de 700 millions de francs, progressant alors de 6% par rapport à l'année précédente. Au printemps 1986, elle se maintient à la 3e place dans ce secteur, embauche 1250 personnes et investie jusqu'à 10 millions de francs par an. Ça production annuelle est d'environ 871 000 vêtements et 1 600 000 pantalons[3]. Elle est alors implantée rue de Vesoul[3],[8], dans un immeuble construit par l'architecte André Boucton[8], mais aussi boulevard Léon Blum et aux Tilleroyes.

En 1886 elle crée la franchise Luc Saint Alban[3].

1987-2002: début des licenciements

En 1987, alors qu'elle embauche 1200 personnes, dont une majorité de femmes, Weil annonce un « plan de modernisation ». En réaction, la CGT-Weil propose une réduction des importations ainsi que le retour de certaine grosses commandes[9].

Antoine Saint-Exupéry, en 1933.

En 1989, son chiffre d'affaires est de 1,2 milliards de francs, pourtant, entre octobre et juin 1991, elle supprime 108 des 980 emplois dans les entreprises de Besançon. La direction explique que cette décision est du à la croissance des importations[c 5]. C'est cette même année que Weil développe la marque Carnet de Vol[c 6].

En aout 1991, Weil investi dans une nouvelle usine, en périphérie de Szekesfehervar[c 3]. À l'automne de la même année, Henri, Philippe, Jean-Pierre et Didier Weil cèdent leurs actions. De son coté, la direction décide de fermer le site de Dole[c 7].

En 1993, Weil embauche 280 personnes dans ses entreprises hongroise et possède alors 91% de leurs capital. Weil ne fabrique alors plus que 10% de sa production en France[c 3]. En 1995, 75% de la production est réalisée dans les usines tunisienne, hongroise et roumaine[c 2].

Le 13 juillet 1995, justifiant des coûts de production trop élevés, elle présente un plan de suppression d'emplois[c 1]. En aout 1995, alors qu'elle est n°2 national[10] et embauche 662 salariés, Weil licencie 182 employés, sur son site de Besançon[c 1],[10] et en garde 6[c 1]. Plusieurs autres sont reclassé sur d'autres sites[c 1],[10].

En septembre 1995, le site de la rue Larmet ferme et le Creusot-vêtement est mis en redressement judiciaire[c 2],[c 8].

Le 30 octobre 1998, le PDG, Denis Weil, annonce une perte de 185 millions de francs sur les 4 dernières années[c 4]. En novembre de la même année, Weil a 410 salariés[1],[c 4] dont 330 à Besançon[c 4]. Le 2 novembre, elle est mise en redressement judiciaire, et annonce, le mois suivant la suppression de 215 postes[1]. La CGT-Weil réclame la relocalisation des 400 emplois situés au Maghreb, en Europe de l'est et en Asie. Ce que Denis Weil refuse estimant le coup annuel, de 150 millions de francs, trop élevé[c 4].

En janvier 1999, ayant délocalisée une importante partie de sa production en Tunisie et en Hongrie, elle supprime 215 postes[1].

2002-2007: dette, rachat et fermeture

Église de la rue Larmet, en 2008.

En 2002, Weil n'embauche plus que 130 salariés. Cette même année, l'entreprise contracte une dette de 2,5 millions d'euros, liée à un litige avec les services fiscaux à propos du statut de l'entreprise. Cette dernière étant considérée par les impôts comme une entreprise commerciale alors qu'il s'agit une entreprise industrielle. À la suite d'une requête du député du Doubs, Claude Girard à Françis Mer, ministre de l'industrie, la dette est annulée[c 9].

En 2007, Weil est racheté par Laporte, qui obtient notamment la licence Luc-Saint-Alban. Elle cesse toutefois son activité en 2014[11].

Franchises

Luc Saint Alban

La marque de costume Luc Saint Alban nait en 1986[3].

Carnet de Vol

"Carnet de Vol" est créé en 1989 par Michel Weil, elle se nomme ainsi en référence à Antoine Saint-Exupéry.

En 2005, elle est racheté par le groupe italien Gruppo Industrie Moda. Elle dépose son bilan en 2019[c 6].

Autres franchises

John-Stevens, Weil-1868 et Ted-Lapidus[11].

Direction et actionnaires

  • Joseph Weil (~1838-) ; fondateur de l'entreprise[2],[b 2], il nait vers 1838 à Dijon
    • Paul Weil (1874-1973) ; Fils de Joseph Weil, il nait le 23 septembre 1874, à Besançon, où il décède en février 1973[e 1].
      • Bernard Weil (1918-2017) ; Fils de Paul Weil, il nait le 18 octobre 1918, à Besançon[e 2]. Ancien résistant[7], il fut président de la communauté juive de Besançon[c 10]. Il décède en juin 2017[d 1].
        • Denis Weil (~1949-) ; Fils de Bernard Weil, il dirige la société de 1991 à 1998[c 10].
        • Bertrand Weil ; héritier de Paul Weil[c 7], vers 2009, il dirige la communauté juive de Besançon[c 10].
        • Michel Weil ;
    • Henri Weil (1866-1918) ; Fils de Joseph Weil, il nait le 6 aout 1866, à Fraisan[12].
      • Albert Weil (1898-1965) ; Fils de Henri Weil, il nait le 6 janvier 1898, à Besançon, où il décède le 22 septembre 1965[e 3].
        • Henri Weil (1926-2001) ; Fils d'Albert Weil et Gérant de l'entreprise, à l'automne 1991, il se désengage de la société[c 7]. Il est président d'honneur de l'Union française des industries de l'habillement, de 1991 à 1996, et président du Comité de développement et de promotion du textile et de l'habillement en 1997. Il décède en janvier 2001[c 11]. Une voie de Besançon porte son nom[13].
        • Philippe Weil ;
        • Jean-Pierre Weil ;
        • Didier Weil ;

Mouvements sociaux

Bien que peu touchée par la Grande dépression[a 3], le 17 juin 1936, Weil voit ses trois sites de productions bloqués par près de 400 grévistes[a 4].

À partir de mai 68, et pendant plusieurs années, l'entreprise est marquée par de très nombreux débrayages. Notamment pour protester contre le salaire au rendement. Le mouvement s'organise et instaure un piquet de grève hebdomadaire, le mercredi. D'après le témoigne d'un employé, recueillit en 1975 par Front Rouge, organe du Parti Communiste Révolutionnaire[6],[N 3], le patron aurait frappé plusieurs grévistes à coup de poing, en aurait menacé d'autres à l'aide d'un chalumeau, ou encore, aurait munit la maîtrise de matraques[6].

En novembre 1987, dans le contexte d'un « plan de restructuration », plusieurs débrayages ont lieu[9].

En juillet 1995, une partie des employés se rendent à la préfecture où une délégation est reçu[10]. Le 16 aout, des employés construisent un barrage rue de Vesoul, puis, une vingtaine de personnes décident de bloquer le centre logistique. Plusieurs actes de sabotages ont cours[c 2].

Alors que la grande marche de Lip, du 29 septembre 1973, avait mobilisée plus de 100 000 manifestants, le 9 novembre 1998, seulement une centaines de personne se rendent à la préfecture en portant un cercueil. Le syndicaliste Jacques Bauquier explique cette faible mobilisation en raison de la longue agonie de l'entreprise et le fatalisme de la population[c 4].

À partir du 28 janvier 1999, à la suite d'un blocage du magasin par ses employés, ces derniers organisent, pendant une semaine, une immense braderie afin de financer leurs licenciements[1].

Commémoration et culture

En mai 2010, lors d'expositions mémorielles, à Besançon, le peintre Martin Gunther expose ses toiles, Chapelle du théâtre Bacchus, et le photographe Stephan Girard ses clichés, galerie Jean Greset. Un Pique-Nique rassemblent les anciens employés est aussi organisé, parc de la Gare d'Eau[14].

En 2015, est jouée la pièce de théâtre Tableaux de Weil, écrite par Violaine Schwarz et mise en scène par Irène Bonnaud[d 2],[15].

En mai 2016, une série fiction radiophonique, en cinq épisodes, intitulée Le temps des Weil, de Violaine Schwarz, est diffusée sur France Culture[16].

Besançon après Weil

Cour centrale des passages Pasteur, en 2015.

En 2006, une pollution à l'hydrocarbure, en raison d'une cuve de fioul percée, est constatée, ilot Pasteur. Selon l'archéologue Claudine Munier, elle appartenait probablement à l'usine Weil[17]. Vers 2007, la ville de Besançon fait l'acquisition des locaux[18].

En 2009, le site de production, rue de Chaillot est rasé[d 3]. En mars 2011[19] et en 2015[d 3], l'organisme HLM Néolia y construit des habitations[d 3],[19].

Inaugurée en 2015, la galerie commerçante des Passages Pasteur, se situe sur un ancien site des usine Weil[d 4]. Jusqu'en juillet 2019, elle abrite une boutique de la marque Carnet de Vol[d 5], ancienne franchise Weil[c 6].

Aujourd'hui, le 4 rue Larmet à Besançon, ancien site de production des usines Weil, est occupé par une église évangéliste[20].

Notes et références

Notes
  1. Cette même année, à Besançon, seul Lip, Kelton et Rhodiacéta, entreprise lyonnaise qui dispose d'un site à Besançon, dépassent les 1000 salariés. Fohlen 1994, p. 519
  2. On voit notamment, en 1981, la fermeture de Rhodiacéta. « Lyon 9e. D’hier à aujourd’hui : la Rhodiacéta », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le )
  3. L'organisation maoïste recueille aussi des témoignages au seins des usine Bourgeois et Unimel. « Les ouvriers de Besançon engagent fermement la lutte contre la crise », Front Rouge, , p. 4
La crise des années 30 à Besançon
  1. Daclin 1968, p. 16-17.
  2. Daclin 1968, p. 18.
  3. Daclin 1968, p. 57.
  4. Daclin 1968, p. 107.
Histoire de Besançon - De la conquête Française à nos jours
  1. Fohlen 1994, p. 364.
  2. Fohlen 1994, p. 523
  3. Fohlen 1994, p. 445.
  4. Fohlen 1994, p. 448
  5. Fohlen 1994, p. 519.
  6. Fohlen 1994, p. 648.
Presse nationale (Le Monde, Les Echos, ect ...)
  1. « Weil ferme son usine de Besançon », Les Echos, (lire en ligne, consulté le )
  2. Isabelle Mandraud, « Les dégâts du zéro-formation chez Weil : L'usine de confection de Besançon fermera ses portes dans trois mois », Libération, (lire en ligne)
  3. Philippe Boulet-Gercourt, « Prêt-à-porter: L'un part en Hongrie... l'autre reste à Troyes », L'Obs, , p.66 (lire en ligne [PDF])
  4. Jean-Pierre Tenoux, « Faible mobilisation à Besançon pour sauver Weil », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
  5. « Dans son usine de Besançon L'entreprise de confection Weil supprime 108 emplois », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  6. Denis Meynard, « Prêt-à-porter : Carnet de Vol liquidé », Les Échos, (lire en ligne, consulté le )
  7. Valérie Leboucq, « Weil-Besançon: une partie de la famille se désengage », Les échos, (lire en ligne)
  8. Isabelle Mas, « La survie par la délocalisation », L'Express, (lire en ligne)
  9. Anna zagroun, « La société Weil à Besançon ne dépose plus le bilan », L'Usine nouvelle, (lire en ligne)
  10. Camille Raynaud de Lage, « Les piliers des dynasties économiques de Besançon », L'Express, (lire en ligne)
  11. « Henri Weil », Les Echos, (lire en ligne, consulté le )
L'Est républicain
  1. « Décès de Bernard Weil », L'Esr Républicain, (lire en ligne)
  2. Joël Mamet, « Besançon : les mots des Weil sur scène », sur www.estrepublicain.fr, (consulté le )
  3. Joël Mamet, « BESANçON - Habitat. Besançon : deux nouveaux immeubles sur le site Weil », sur www.estrepublicain.fr, (consulté le )
  4. « 17 ans plus tard… », sur www.estrepublicain.fr (consulté le )
  5. « Commerce. Grande-rue à Besançon : des commerces qui ferment, d’autres qui ouvrent », sur www.estrepublicain.fr (consulté le )
memoirevive.besancon.fr
  1. « Paul Weil - Acte de naissance », sur memoirevive.besancon.fr (consulté le )
  2. « Bernard Weil - acte de naissance », sur memoirevive.besancon.fr (consulté le )
  3. « Albert Weil - Acte de naissance », sur memoirevive.besancon.fr (consulté le )
Annuaire du Doubs, de la Franche-Comté et du Territoire de Belfort
    Divers
      1. Marc Auffet, « Une braderie pour payer les primes de licenciement », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )
      2. « L'histoire des Juifs de Besançon sur Migrations-Besançon.fr (page 2) »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le 10 mars 2010).
      3. INA Société, « Les établissements WEIL », sur youtube.com, (consulté le )
      4. Françoise Leboul, « Musée de la résistance en ligne », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le )
      5. Michel Chevalier et Pierre Biays, « Chronique comtoise », Revue Géographique de l'Est, vol. 1, no 1, , p. 64 (DOI 10.3406/rgest.1961.1766, lire en ligne, consulté le )
      6. « Les ouvriers de Besançon engagent fermement la lutte contre la crise », Front Rouge, , p. 4 (lire en ligne)
      7. Alain Gagnieux et Odile Chopard, « Migrations à Besançon, histoire et mémoires - Sud est asiatique : l’accueil des réfugiés (1977) », sur migrations.besancon.fr (consulté le )
      8. Véronique Gutton-Bon, 100 ans d'architecture dans le Doubs : 1850-1950, Conseil d'architecture d'urbanisme et environnement du Doubs,
      9. « Restructuration des établissements WEIL à Besançon : interview de la CGT », (consulté le )
      10. Institut National de l’Audiovisuel- Ina.fr, « [Licenciements chez Weil, à Besançon] », sur Ina.fr (consulté le )
      11. David Leduc, « Faute de repreneur, l'entreprise Laporte a cessé son activité », sur lecourriercauchois.fr, (consulté le )
      12. « Henri Weil - Acte de naissance », sur Mnesys (consulté le )
      13. « Rue Henri Weil · 25000 Besançon, France », sur Rue Henri Weil · 25000 Besançon, France (consulté le )
      14. « Stephan Girard et Martin Gunther re-tissent la mémoire des Weil-Besançon », sur Franceinfo, (consulté le )
      15. « Les petites mains de Weil en scène - La Terre de Chez Nous - Franche-Comté Belfort », sur www.laterredecheznous.com (consulté le )
      16. « Le temps de Weil de Violaine Schwartz – série de podcasts à écouter », sur France Culture (consulté le )
      17. Céline Mazeau, « Histoire/exposition. Retour avec l'archéologue Claudine Munier sur le chantier de fouilles du quartier Pasteur à Besançon », sur www.republicain-lorrain.fr (consulté le )
      18. « Histoire/exposition. Besançon explore l'histoire commerçante du quartier Pasteur », sur www.vosgesmatin.fr (consulté le )
      19. « La Presse Bisontine 116 - Décembre 2010 », sur publipresse.cld.bz (consulté le )
      20. « Usine de confection Froment, puis usine d'emballage et conditionnement Froment et Barnel, puis usine de confection Jaudel, puis Weil », sur patrimoine.bourgognefranchecomte.fr (consulté le )

      Voir aussi

      Bibliographie

      • Pierre Daclin, La crise des années 30 à Besançon, Paris, Les belles lettres, , 136 p.
      • Claude Fohlen, Histoire de Besançon : De la conquête Française à nos jours, t. 2, Cêtre,
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