Vimoutiers

Vimoutiers est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 3 224 habitants[Note 1].

Vimoutiers

L'église Notre-Dame.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées d'Auge et du Merlerault
(siège)
Maire
Mandat
Guy Romain
2020-2026
Code postal 61120
Code commune 61508
Démographie
Gentilé Vimonastérien
Population
municipale
3 224 hab. (2018 )
Densité 200 hab./km2
Population
agglomération
3 905 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 48° 55′ 39″ nord, 0° 11′ 52″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 236 m
Superficie 16,15 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vimoutiers
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vimoutiers
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Vimoutiers
Géolocalisation sur la carte : Orne
Vimoutiers
Géolocalisation sur la carte : France
Vimoutiers
Géolocalisation sur la carte : France
Vimoutiers
Liens
Site web www.vimoutiers.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune est au sud du pays d'Auge. Son bourg est à 10 km au sud de Livarot, à 18 km au nord-est de Trun, à 19 km au nord de Gacé et à 22 km au sud-ouest d'Orbec[1].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Vimoutiers est traversée par la Vie.

    Géologie et relief

    Le point culminant (236 m) se situe en limite sud-ouest, près du lieu-dit les Ventes. Le point le plus bas (92 m) correspond à la sortie de la Vie du territoire, au nord. La commune est bocagère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 792 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ticheville_sapc », sur la commune de Ticheville, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 834,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 49 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Transports en commun

    Urbanisme

    Typologie

    Vimoutiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vimoutiers, une unité urbaine monocommunale[20] de 3 332 habitants en 2017, constituant une ville isolée[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (84,9 %), zones urbanisées (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %), terres arables (2,7 %), forêts (0,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de cette commune est d'abord attesté sous les formes latinisées Vimonasterium en 1025, in Vivo Monasterio en 1027/1035, Winmusterium vers 1071/1072, puis sous les graphies romanes Westmostier, Viumostier [lire Wimostier] vers 1175, Wimost[ier] en 1198, etc.[27].

    Ce toponyme est constitué de l'élément -moutier issu de l'ancien français mostier, monstier signifiant parfois « monastère », mais surtout « église ». L'initiale Vi- représente soit le nom de la Vie, soit, moins probablement (étant donné l'existence de nombreuses formes anciennes en W-), le produit du latin vicus « village »[28].

    Le gentilé est Vimonastérien.

    Histoire

    Le duc de Bretagne Alain III y a été empoisonné le .

    L'abbaye de Jumièges y disposait de droits, notamment un marché pour lequel Roger Ier de Montgommery, vicomte d'Hiémois, entra en conflit avec elle.

    En 1830, Vimoutiers (3 198 habitants en 1821[29]) absorbe Pont-de-Vie (83 habitants[30]) au sud-ouest de son territoire.

    Seconde Guerre mondiale

    Pendant la bataille de Normandie, la ville est presque entièrement détruite par un bombardement américain le faisant environ 200 morts. Seule l'église est restée debout[31],[32],[33].

    Le , la voiture du Maréchal Rommel est mitraillée par deux Spitfire entre Vimoutiers et Sainte-Foy-de-Montgommery. Rommel est grièvement blessé.

    Elle constitua la base arrière du 2e SS-Panzerkorps qui contre-attaqua les positions polonaises sur Maczuga, au cours de la bataille de la poche de Falaise ().

    Vimoutiers a été libérée le par les troupes canadiennes après la fin de la bataille de Chambois qui s'est achevée au mont Ormel et où on peut maintenant visiter le mémorial de la bataille de Normandie (à une dizaine de kilomètres de Vimoutiers en direction de Chambois).

    Héraldique

    Les armes de la commune de Vimoutiers se blasonnent ainsi :
    D'azur à la croix d'or, cantonnée de quatre clefs du même adossées deux à deux[34].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1909 1945 Georges Dentu URD Médecin
    Sénateur de l'Orne (1927 → 1944)
    Conseiller général du canton de Vimoutiers (1919 → 1940)
    Président du conseil général de l'Orne (1931 → 1940)
    1945 1965 Augustin Gavin UNR puis
    DVD
    Pharmacien
    Conseiller général du canton de Vimoutiers (1955 → 1967)
    mars 1965 juin 1995 Jean Dumeige RPR Notaire
    Conseiller général du canton de Vimoutiers (1973 → 1998)
    Vice-président du conseil général de l'Orne (1973 → 1997)
    juin 1995 mars 2001 Jean Gaulin DVD Pharmacien
    Ancien conseiller général du canton de Vimoutiers (1967 → 1973)
    mars 2001[35] mars 2008 Didier Poulain UMP Chirurgien-dentiste
    mars 2008[36] En cours Guy Romain[37] UMP-LR Chef d'entreprise commerciale
    Conseiller général du canton de Vimoutiers (1998 → 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et cinq adjoints[37].

    Budget et fiscalité 2018

    En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[38] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 356 000 , soit 941  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 2 767 000 , soit 776  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 541 000 , soit 152  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 1 022 000 , soit 287  par habitant ;
    • endettement : 2 217 000 , soit 622  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 21,38 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,68 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 31,12 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 227 [39].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2018, la commune comptait 3 224 habitants[Note 7], en diminution de 9,67 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Vimoutiers a compté jusqu'à 5 019 habitants en 1975.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    2 8643 1493 3913 1984 0834 1104 1174 0783 813
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 6983 7743 8003 8203 8803 6303 6013 5393 546
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 3033 1512 8363 0323 0052 7692 6072 9683 701
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    4 5725 0194 9184 7234 4184 0293 8283 4633 224
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de Pont-de-Vie
    1793 1800 1806 1821
    86848283
    (Sources : EHESS[30])

    Économie

    Anciens titres de presse

    Journaux disparus, localisés à Vimoutiers[44] :

    • Journal de Vimoutiers (1882-1885) ;
    • Vimoutiers Journal (1885-1889) ;
    • Le Réveil de Vimoutiers et de la Vallée d'Auge (1889-1914) ;
    • Le Petit Vimoutiers (1898-1899) ;
    • L'Indépendant de Vimoutiers (1889-1905).

    Lieux et monuments

    Le char Tigre de Vimoutiers.
    L'ancienne statue de Marie Harel.
    La nouvelle statue de Marie Harel.

    Patrimoine civil

    • Le char Tigre de Vimoutiers[45], classé à titre d'objet aux Monuments historiques en 1975[46],[47],[48], au sud-est de la ville sur la route de Gacé (RD 979), témoigne des engagements qui se sont déroulés à proximité avec une violence extrême[49].
    • La statue du monument à Marie Harel réalisé par Eugène Léon L'Hoëst. Également appelé La Fermière normande. Elle est située à l'intersection de la rue de Châtelet et de la rue du docteur Dentu (D916). Elle est inaugurée le en présence d'Alexandre Millerand. Le , elle est décapitée par les bombardements américains. La tête, retrouvée quelques jours plus tard parmi les décombres, est placée au pieds de la statue, puis a disparu quelques semaines plus tard. Le reste du monument est détruit.
    • La nouvelle statue de Marie Harel réalisée par Maurice Lebeau. Elle est érigée dans la halle au beurre en 1956. Elle est située à l'intersection de la rue du quatorze juin et de la rue du .
    • La statue de la vache « Ratisfaite », réalisée en bronze par Henri Le Bihan. Elle est située sur la place de Mackau, devant l'hôtel de ville.
    • Le chaudron de la libération. Il est situé à l'extrémité de la place de Mackau, face à l'église Notre-Dame, à l'intersection de la rue de Châtelet, de la rue du 11-Novembre et de l'avenue du Général-de-Gaulle. Il était situé dans la ferme de la famille Blondeau. Du au , il a permis de cuire la soupe pour les sinistrés des bombardements américains.

    Patrimoine religieux

    Le couvent des Bénédictines.

    Patrimoine rural

    • Le moulin à eau, situé 1 avenue du Général-de-Gaulle[55].
    • Le musée du camembert, situé 10 avenue du Général-de-Gaulle.

    Activité, label et manifestations

    Label

    La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[56].

    Sports

    La ville est le lieu d'arrivée de la course cycliste Paris-Camembert depuis 1934. Elle se déroule en avril et attire plusieurs milliers de spectateurs chaque année.

    Le Vimoutiers Football Club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une deuxième en division de district[57].

    Les Foulées du Terroir, le premier dimanche de septembre, s'impose chaque année encore un peu plus comme un grand moment sportif. Entre Livarot et Vimoutiers, plus de 400 coureurs se disputent la première place. Les spectateurs ne manquent pas ce rendez-vous et sont de plus en plus nombreux tout le long du parcours de 13,8 km. Différentes animations sont organisées autour : groupes de musique, marché du terroir.

    Manifestations

    • Capitale des voitures à pédales, Vimoutiers et la fédération française des clubs de voitures à pédales organisent les 24 heures de voitures à pédales tous les deux ans courant juillet. Une course loufoque en plein centre-ville qui attire plusieurs milliers de spectateurs à chaque édition (jusqu'à 5 000 en 2011). Un week-end de fête là où les sportifs font les clowns et où les clowns font du sport.
    • Le troisième week-end d'octobre a lieu la foire de la pomme. Deux jours de festivités : nocturne le vendredi soir, grande parade le dimanche après-midi, grande fête foraine en centre-ville, exposition commerciale-artisanale-industrielle, vide-greniers, divers concours notamment le concours de tartes aux pommes ouvert à tous.
    • Le week-end de Pâques a lieu la foire de Pâques. Trois jours de festivités : grande fête foraine en centre-ville, grande parade le dimanche après-midi, exposition commerciale-artisanale-industrielle, divers concours.
    • En août, a lieu la grande brocante de Vimoutiers pendant un week-end, une des plus grandes de Basse-Normandie. Plus de 300 exposants et commerçants sont présents chaque année[58]. Les Folies augeronnes sont à cette occasion organisées : les producteurs locaux se retrouvent pour vendre leurs produits du terroir (cidre, pommes, camembert).

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ticheville_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Vimoutiers et Ticheville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ticheville_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Vimoutiers et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    16. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Vimoutiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Dominique Fournier, Les noms de lieux du pays de Camembert : communes, anciennes paroisses, principaux cours d’eau, Éditions des Mortes-Terres, Saint-Georges-en-Auge, 2011, p. 74-77.
    28. Le seul auteur à proposer cette dernière étymologie est René Lepelley dans son Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen/ Condé-sur-Noireau, éditions Charles Corlet, 1993, p. 270 b.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vimoutiers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Pont-de-Vie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. « 1944 : Le bombardement de Vimoutiers », sur vimoutiers.net (consulté le ).
    32. « Le bombardement de Vimoutiers », sur ac-caen.fr (consulté le ).
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    34. « GASO, la banque du blason - Vimoutiers Orne » (consulté le ).
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    38. Les comptes de la commune
    39. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944, l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998 (ISBN 2911855132).
    45. Gérard Roger, « Le Tigre de Vimoutiers », sur vivreavimoutiers.hol.es, (consulté le ).
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    47. Selon le panneau descriptif, Société historique, office du tourisme de Vimoutiers.
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    Voir aussi

    Bibliographie

    Article connexe

    Liens externes

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