Ville-d'Avray

Ville-d'Avray est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.

Ville-d’Avray

Les étangs de Ville-d'Avray.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Boulogne-Billancourt
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris Seine Ouest
Maire
Mandat
Aline de Marcillac
2020-2026
Code postal 92410
Code commune 92077
Démographie
Gentilé Dagovéraniens
Population
municipale
11 050 hab. (2018 )
Densité 3 011 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 34″ nord, 2° 11′ 36″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 178 m
Superficie 3,67 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Cloud
Législatives 8e circonscription des Hauts-de-Seine
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Ville-d’Avray
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Ville-d’Avray
Géolocalisation sur la carte : France
Ville-d’Avray
Géolocalisation sur la carte : France
Ville-d’Avray
Liens
Site web http://www.mairie-villedavray.fr

    Géographie

    Ville-d'Avray est une commune francilienne à 11,9 kilomètres à vol d'oiseau à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[1].

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes : Sèvres, Marnes-la-Coquette, Saint-Cloud, Chaville, Viroflay, Versailles.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 367 hectares ; son altitude varie de 86 à 178 mètres[2]

    La commune est globalement en surélévation par rapport aux communes limitrophes au sud, territoire vallonné en forme de fer à cheval, orienté selon un axe OSO-ENE, les eaux s'écoulant essentiellement vers Sèvres et Saint Cloud.

    Hydrographie

    Ville-d'Avray a un sol humide, et il y avait autrefois plusieurs sources ou fontaines, la plus connue étant la Fontaine du Roy. Elles ont été taries par les opérations de drainage qui ont accompagné l'urbanisation. ruisseau de Lesser. Etangs dans la partie "en cuvette". retenues d’écoulement construite pour alimenter les fontaines du parc de Saint-Cloud (pour l'événement des « Grandes Eaux » du parc).[réf. nécessaire]

    Voies de communication et transports

    Un train de banlieue passe au-dessus de la D 407, à proximité de la gare de Sèvres - Ville-d'Avray.

    Voies routières

    Les deux voies principales sont la D 407 qui relie Garches à Sèvres en traversant la ville dans le sens nord-ouest à l'est par les rues de Marnes et de Sèvres et la D 985 qui relie Versailles à Suresnes en traversant la ville dans le sens sud-ouest au nord via la forêt de Fausses-Reposes.

    Pistes cyclables

    Il n'y a une piste cyclable dans la commune qu'entre les étangs de Ville d'Avray et Versailles[3]. Le projet d'une piste cyclable traversant la commune et prolongeant la piste actuelle en direction de Saint-Cloud, sur le trajet de la route D985[4], n'a en effet pas été retenu à ce jour dans le schéma d'aménagement communal établi conjointement avec Saint-Cloud .

    Transports en commun

    La commune est desservie par les trains de la ligne L à la gare de Sèvres - Ville-d'Avray sur la branche Paris Saint-Lazare - Versailles-Rive-Droite, ainsi que par les trains de la ligne U sur l'axe La Défense - La Verrière.

    La commune est également desservie par les lignes 426 et 471 du réseau de bus RATP, par les lignes 469 et 526 du réseau de bus local GPSO, par la ligne 108 du réseau de bus Phébus et par la ligne 37 de l'établissement Transdev de Nanterre.

    Urbanisme

    Typologie

    Ville-d'Avray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

    Morphologie urbaine

    La commune de Ville d'Avray est découpée en six îlots regroupés pour l'information statistique (IRIS)[13]

    Libellé IRIS code IRIS type IRIS
    Forêt de fausses reposes 0101 divers
    Rue de Versailles-Monastère 0102 Habitat
    La Ronce 0103 habitat
    Côte d'Argent-Desvallières-Gambetta 0104 habitat
    Centre-La prairie 0105 habitat
    Thierry-Saint Cloud 0106 habitat

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 60,32 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 8,44  % d'espaces ouverts artificialisés et 31,23 % d'espaces construits artificialisés[14].

    La forêt de Fausses-Reposes constitue la totalité de la surface boisée de la commune.

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous les formes Villa Davren au XIIe siècle[15],[16], Villa d’Avrea en 1200, Ville Davrai en 1240, Villa Davrea en 1460, Villadavrei, Villadavreti, Villa davreii, Villa Alberti, Ville Davrai, Ville Davré, Villa Davret en 1527[17].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Ville- au sens ancien de « domaine rural » ou de « village ». L'appellatif ville est en général placé en position finale, mais on le retrouve aussi souvent, voire davantage, dans certaines régions comme la Beauce ou l'Avranchin, etc.

    Le second élément est un anthroponyme[15] selon le cas général. On peut y voir un nom de personne de type germanique *Dav-hring[15] (non attesté). Il pourrait s'agir d'une ancienne propriétaire nommée Dagoverana[18], d'où le gentilé « Dagovéranien ».

    Histoire

    Moyen Âge

    Au XIIe siècle, l'expansion démographique qui touche l'Europe occidentale est contrainte par les ressources agricoles. La surface cultivable s'augmente à cette période par défrichage des espaces boisés. De façon contemporaine à la formation de nouveaux villages et hameaux dans l'ouest de Paris, comme Marnes-la-Coquette et Vaucresson, on voit apparaître dans les actes le nom de seigneurs de Villa Davren, dont les possessions relèvent du roi, de l'évêque de Paris ou du seigneur de Marly. Le village se forme sur la colline du Monastère, lieu de l'ancienne église et de la maison seigneuriale. Le village rural et viticole, est placé sous l'autorité seigneuriale des Célestins de Paris qui tenaient justice.[réf. nécessaire]

    Temps modernes

    En 1709, le territoire de la commune compte 84 foyers. Les constructions primitives sur la colline du monastère ne sont plus visibles, détruites au XIXe siècle. L'installation de la Cour Royale à Versailles a une influence décisive sur le développement de la commune. La forêt de Fausses-Reposes, terrain de chasse pour les rois résidant à Versailles ou à Saint-Cloud, de Louis XIV à Louis Philippe, devient entretenue et en particulier traversée de routes de chasse. En , Ville d'Avray est érigée en baronnie et placée sous l'autorité du premier valet de chambre de Louis XVI, Marc-Antoine Thierry, qui s'est porté acquéreur du château de la Brosse dix ans plus tôt. Le seigneur démolit et fait construire à son emplacement le château de Thierry. Il finance par la suite la construction de l'église Saint-Nicolas-et-Saint-Marc, ouvre une école en juillet 1783 suivie d’une école de filles en 1787.[réf. nécessaire]

    Époque contemporaine

    Entrée du bois à Ville-d'Avray
    Camille Corot, vers 1825
    National Gallery of Scotland, Édimbourg

    En 1815, le général Piré de concert avec le général Exelmans y combattent les Prussiens.

    Le , un ballon-poste non dénommé s'envole du boulevard d'Italie à Paris alors assiégé et termine sa course, abattu par les Prussiens dans les lignes ennemies à Ville-d'Avray[19] entre le bois de Fausses-Reposes et la route de Versailles, au lieu-dit la Femme-sans-Tête.

    À la fin du XIXe siècle de nombreux artistes, écrivains, musiciens sont attirés par le cadre paysager, comme Corot, Dunoyer de Segonzac, Claude Monet ou encore Paul Huet.

    La bourgeoisie d'affaires du XIXe siècle constitue de grandes propriétés où elle vient passer la belle saison. La ville se densifie courant XXe siècle. Les grandes propriétés non démembrées forment les parcelles des résidences actuelles avec leurs espaces verts, construites à la fin des années 1960.[réf. nécessaire]

    Politique et administration

    L'hôtel de ville.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine, après un transfert administratif effectif au , et, depuis 1972, à son arrondissement de Boulogne-Billancourt.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Sèvres de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Chaville[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Cloud.

    Pour les élections législatives, elle fait partie depuis 1986 de la huitième circonscription des Hauts-de-Seine.

    Intercommunalité

    La commune était membre depuis le de la communauté d'agglomération Arc de Seine. Celle-ci s'unit avec l'intercommunalité voisine communauté d'agglomération Val de Seine pour former, le , la communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest (GPSO).

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[22].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Seine Ouest (GPSO), qui succède à la communauté d'agglomération éponyme[23].

    Tendances politiques et résultats

    Pour les échéances électorales de 2007, Ville-d'Avray fit partie des 82 communes[24],[25] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Le référendum du sur la Constitution européenne fut le premier vote à se faire sur machine électronique dans cette ville.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine[26], la liste menée par la maire sortante Aline de Marcillac (MoDem) obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 559 voix (53,53 %, 26 conseillers municipaux dont 1 conseiller métropolitain élus), devançant celle menée par Jean-Denis Pesty (DVD, 1 353 voix, 46,46 %, 7 conseillers municipaux élus)[27]. L'abstention s'est élevée à 59,63 %. La contestation des résultats de l'élection a été rejetée par le tribunal administratif de Cergy[28]..

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 10 000 et 20 000, le nombre de membres du conseil municipal est de 33[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1795 1796 Braquet    
    1796 1800 Domain    
    1800 1808 Dupuis    
    1808 1811 Crottet    
    1811 1814 Paganel    
    1814 1816 Cailleux    
    1816 1826 Dupuis    
    1826 1829 Grenaudet    
    1829 1832 Lucot    
    1832 1836 Wasse    
    1836 1860 Pierre-Sulpice Lefebvre-Desvallières   Administrateur des Messageries Nationales
    1860 1867 Jacquel    
    1867 1869 Bournet-Verron    
    1869 1881 Jacquel    
    1881 1892 Alphonse Lemerre   Editeur
    1892 1897 M. Laporte[Note 3]    
    1897 1899 Edmond Gast Gauche démocratique sénateur, propriétaire de l'exploitation de vaches laitières de la Ronce
    1899 1911 Lemerre    
    1911 1912 M. Laporte[Note 3]    
    1912 1919 Meaux Saint-Marc    
    1919 1934 André Maningue URD Conseiller général de Sèvres (1928 → 1933)
    1934 1936 Laroche    
    1936 1945 Docteur Vrigny    
    1945 1947 Louis Gaubert    
    1947 1963 M. Griffon    
    1963 1983[31] Docteur Jean Bazennerye   Médecin
    1983 juin 1995 Georgette Sireyjol DVD  
    juin 1995[32] octobre 2017[33] Denis Badré[34] UDF puis
    MoDem[35] puis
    UDI
    puis centriste
    indépendant
    Polytechnicien, Ingénieur général du Génie rural, des Eaux et Forêts[36],[37]
    Sénateur des Hauts-de-Seine (1995 → 2011)
    Conseiller régional d'Ile-de-France[38] (1992 → 1996)
    Conseiller général de Chaville (1996 → 2004)
    Vice-président de l'EPT Grand Paris Seine Ouest (2016 → 2017)
    Démissionnaire
    octobre 2017[39] En cours
    (au 4 décembre 2020[28])
    Aline de Marcillac[40] SE Psychothérapeute
    Vice-présidente de l'EPT Grand Paris Seine Ouest (2018 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026

    Politique de développement durable

    L'eau distribuée dans la ville, provenant de la nappe souterraine de Croissy-sur-Seine, est traitée de manière à faire baisser sa minéralisation, notamment en ce qui concerne le calcium. Elle présente une concentration en nitrates inférieure à la norme de qualité en vigueur et est de bonne qualité organoleptique[41] .

    Jumelages

    Au , la commune de Ville-d'Avray n'est jumelée à aucune commune[42].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[43],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 11 050 habitants[Note 5], en diminution de 1,92 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +1,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4584594715146917688969551 044
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0631 1201 3461 2941 2741 3591 5591 4981 511
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5321 7301 8872 3162 6983 0882 9153 3974 351
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 80210 36511 69811 62511 61611 41511 25510 73311 509
    2018 - - - - - - - -
    11 050--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    doublement de la population entre 1960 et 1970 correspond à la construction des grands ensembles de logement de la ronce et de la prairie

    Pyramide des âges (2007)

    Pyramide des âges à Ville-d'Avray en 2007 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90  ans ou +
    0,7 
    7,4 
    75 à 89 ans
    10,4 
    11,5 
    60 à 74 ans
    13,2 
    18,9 
    45 à 59 ans
    19,5 
    22,0 
    30 à 44 ans
    22,7 
    15,6 
    15 à 29 ans
    14,8 
    23,9 
    0 à 14 ans
    18,8 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2007 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    4,8 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,0 
    18,5 
    45 à 59 ans
    18,9 
    24,7 
    30 à 44 ans
    23,3 
    21,0 
    15 à 29 ans
    19,9 
    20,6 
    0 à 14 ans
    18,1 

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22  %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 15,6 %, 30 à 44 ans = 22 %, 45 à 59 ans = 18,9 %, plus de 60 ans = 19,6 %) ;
    • 51,2 % de femmes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 14,8 %, 30 à 44 ans = 22,7 %, 45 à 59 ans = 19,5 %, plus de 60 ans = 24,3 %).

    Enseignement

    Ville-d'Avray est située dans l'académie de Versailles.

    Établissements scolaires

    La ville administre trois écoles maternelles (école maternelle Jean-Rostand, école maternelle de la Ronce et école maternelle Halphen. L'école maternelle Chanteclerc a été fermée) et deux écoles élémentaires communales (La Ronce et Jean Rostand) toutes les deux situées dans la rue de la Ronce.

    Le département gère le collège La Fontaine du Roy, situé rue de Marnes. Il possède des classes à horaires aménagés musique (CHAM) en lien avec le conservatoire de Ville-d'Avray[47].

    Les élèves qui en sont issus sont orientés, pour la filière générale, vers le lycée d'État de Sèvres, ou vers le lycée Alexandre-Dumas de Saint-Cloud (anciennement Florent-Schmitt).

    Vie universitaire

    La ville accueille l'IUT de l'université Paris Ouest Nanterre La Défense (anciennement Paris-X Nanterre). Cet IUT, situé dans les anciennes installations de la SNECMA est consacré aux sciences de l’ingénieur dans les domaines de l’électronique, de la mécanique et de la thermique. Ses étudiants participent régulièrement aux compétitions de robotique et d'écomobilité (transport économe en énergie), avec de petits véhicules monoplaces à très faible consommation.

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête annuelle (fête des étangs de Corot, organisée par le comité des fêtes) se déroule chaque année le 3e week-end de juin. Nombreuses animations et spectacles sur scène et stands des associations locales qui proposent jeux, restauration... Le comité des fêtes organise également un marché de Noël le premier week-end de décembre[48].

    L'ensemble de musique ancienne « La Chapelle harmonique », dirigé par Valentin Tournet, est installé à Ville-d'Avray depuis sa création en . Cette association culturelle organise différentes manifestations musicales tout au long de l'année ainsi qu'une tournée estivale dans toute la France.

    Des années 1970 jusqu'aux années 2000, sous la direction de Roger Lévy, une fois sur deux acteur, la MJC de Ville-d'Avray montait annuellement une pièce de théâtre parmi lesquelles : Embrassons-nous Folleville, Un jour dans la mort de Joe Egg, Les poissons rouges ou mon père ce héros, Dix petits nègres, Les sorcières de Salem, Les Vilains, Un otage, Vol au-dessus d'un nid de coucou, La Folle de Chaillot, Le scénario, Caviar ou Lentilles, La visite de la vieille dame, Une drôle de vie, Baroufe à Chioggia, Le Chinois, Les séquestrés d'Altona, Chers Zoiseaux, Mais n'te promène donc pas toute nue, Thérèse Raquin, Squatters d'étoiles, Outrage aux bonnes mœurs, La salle à manger, Le babour, Squatters d'étoiles, L'éloignement, Le Journal d'Anne Frank, Requiem pour une nonne, L'honneur des Cippolino, Douze hommes en colère, Train de nuit, Vol 2037. Toujours sous la direction de Roger Lévy fonctionnait également un atelier poésie : Jacques Prévert, Verlaine, Boris Vian, Jacques Brel.

    La pièce Vol au-dessus d'un nid de coucou, montée en 1977, fut celle qui eut le plus grand succès. Elle fut montée en 1977. Michel Creton qui avait déjà joué au théâtre le rôle principal en acteur professionnel se déplaça. La pièce fut remontée en 1980-1981.

    Santé

    La commune comprend plusieurs établissements de santé :

    Sports

    La commune administre un club polyvalent, l'Union sportive de Ville-d'Avray. Le club regroupe aussi bien des sections de sports individuels, comme l'escrime, le judo ou le tir à l'arc, que des sections de sport collectif, comme le football.

    Médias

    La municipalité édite le mensuel Ville-d'Avray info[53].

    Cultes

    Les habitants de Ville-d'Avray disposent d'un lieu de culte catholique. Depuis , la commune de Ville-d'Avray fait partie du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[54]. Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Saint-Nicolas-et-Saint-Marc qui relève de la paroisse Saint-Nicolas-Saint-Marc[55],[56].

    La chapelle de Ville-d'Avray est quant à elle un lieu de culte protestant réformé, l'un des deux lieux de culte de la paroisse de Meudon–Sèvres–Ville-d'Avray, rattachée à l'Église protestante unie de France[57]. Cette chapelle, vestige de l'Exposition universelle de 1889 à Paris, se situe au 41 avenue Balzac.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 56 319 , ce qui plaçait Ville-d'Avray au 81e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[58].

    Culture locale et patrimoine

    Base Mérimée

    La villa Augier-Prouvost, œuvre de Mallet-Stevens.

    La base Mérimée du ministère de la Culture recense deux monuments classés et trois inscrits à l'inventaire des monuments historiques[59] :

    ainsi qu'un lieu : la partie dagovéranienne du domaine national de Saint-Cloud, partiellement classé depuis le [65] et son parc[66] ;

    et de nombreux autres lieux et monuments :

    • le château de la Ronce[67] ;
    • la chapelle funéraire de la famille François[68] ;
    • la fabrique[69] ;
    • le monument (groupe sculpté) dit Monument en hommage à Corot par Raoul Larche[70] ;
    • une maison[71] ;
    • un immeuble[72] ;
    • la maison de la Chapelle du Roi, puis le Peplos Vert[73] ;
    • la cabane dite Cabane de Corot[74] ;
    • des maisons et immeubles, base Mérimée n°IA00051365
    • des maisons et immeubles, base Mérimée n°IA00051444
    • le château dit le Monastère, base Mérimée n°IA00051445
    • la fontaine dite Fontaine Corot, base Mérimée n°IA00051454
    • le monument aux morts des Guerres 1914-1918, 1939-1945, Indochine et Algérie, base Mérimée n°IA00051455
    • le tombeau de Madame Neveux, base Mérimée n°IA00051460
    • la chapelle funéraire de la famille Colson, base Mérimée n°IA00051466
    • une maison, base Mérimée n°IA00051476
    • la garderie d'enfants dite Crèche Fanny, base Mérimée n°IA00051451
    • une maison, base Mérimée n°IA00051452
    • l'auberge Cabassud, base Mérimée n°IA00051457
    • la serre d'horticulteur, base Mérimée n°IA00051458
    • le monument sépulcral d'Émilie Louise Vallesse de la Bigne, base Mérimée n°IA00051459
    • le tombeau de la famille Fournier, base Mérimée n°IA00051461
    • le tombeau de la famille Patay, base Mérimée n°IA00051462
    • le tombeau de la famille Sarre, base Mérimée n°IA00051464
    • une maison, base Mérimée n°IA00051474
    • la maison le Mesnil d'Avray, base Mérimée n°IA00051475
    • le parc Lesser, base Mérimée n°IA92000542
    • le parc de la propriété Corot, base Mérimée n°IA92000543
    • la croix de cimetière, base Mérimée n°IA00051465
    • la maison de Corot, base Mérimée n°IA00051467
    • le château de Thierry, base Mérimée n°IA00051449 ; 1973/07/30 : inscrit MH
    • le tombeau de Jean Jullien, base Mérimée n°IA00051463
    • l'immeuble dit Immeuble de l'Entreprise Cledat, base Mérimée n°IA00051471.

    D'autres informations sont également publiées dans la base Mérimée :

    • présentation de la commune de Ville-d'Avray, base Mérimée n°IA00051442
    • présentation de l'étude du patrimoine du canton de Chaville, base Mérimée n°IA00051364
    • ville, base Mérimée n°IA00051443

    Autres lieux et monuments

    Lier historique avec Monuments occupation historique du territoire par éléments remarquables de la topographie :

    -éléments remarquables de la topographie : centre humain = déplacé du centre historique vers croisement des axes Versailles- Saint-Cloud / Marnes-Sevres

    - agriculture et élevage. Prairies culture viticole. La vigne, cultivée sur les coteaux bien exposés, occupe un tiers des surfaces exploitées à la fin du XVIIIème siècle.

    -foret : ressource cynégétique pour les cours installées à Versailles ou Saint Cloud; lien vers fausses reposes

    -hydrologie : Dans le village se trouve la Fontaine du Roy, construite en 1684 (ou 1723 selon dagoverana, a confirmer avec Merimee), dont les eaux étaient réputées pour être les meilleures des environs de Paris, et que Louis XVI réservait à son usage particulier.Marie Antoinette fut autorisée à en boire à la Conciergerie avant son exécution. restaurée en 1852. classée en 1942. Le vieil étang, en amont, couvre plus d'un hectare. Il était exploité par les Célestins pour la pêche, avant d'être acheté par le Duc d'Orléans en 1739. L'étang neuf, qui couvre environ trois hectares, fut aménagé en 1690 par Monsieur, frère de Louis XIV, pour servir de réservoir aux jeux d'eau de son parc à Saint Cloud. Un aqueduc souterrain relie toujours l'étang au Grand réservoir du parc et alimente les bassins et les cascades.

    Patrimoine culturel

    La maison du peintre Corot et son jardin ont été conservés, à proximité de l'Étang neuf[75].

    Littérature

    Dans Vercoquin et le Plancton, la résidence du héros créé par Boris Vian, dans laquelle se déroulent les fêtes absurdes et folles issues de la révolte du jeune auteur, se trouve à « Ville-d'Avrile », évident clin d'œil à Ville-d'Avray, dans laquelle l'auteur a résidé de nombreuses années. Les participants à ces orgies « viannesques » arrivent d'ailleurs en train de Versailles.

    Le héros de la nouvelle de Boris Vian Le Loup-garou habite rue de Versailles, juste avant la côte de Picardie.

    Cinéma

    Les Dimanches de Ville-d'Avray, un film réalisé par Serge Bourguignon (1962), Oscar 1963 du meilleur film étranger.

    Peinture

    Étang de Ville-d'Avray par Jean-Baptiste-Camille Corot (1873).

    Les étangs de Ville-d'Avray (peints par Jean-Baptiste-Camille Corot) font partie du patrimoine historique d'État. Certains de ces tableaux sont aujourd'hui visibles au MoMA à New York.

    Lucien Simonnet a aussi peint Ville-d'Avray, effet de neige (1893), conservée au musée d'Orsay (Paris)[76].

    La brasserie Mollard à Paris, inscrite au titre des monuments historiques, détient une mosaïque évoquant Ville d'Avray.

    Personnalités liées à la commune

    • Marc-Antoine Thierry, baron de Ville-d'Avray (1732-1792), premier maire de Versailles.
    • Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), écrivain, s'était retiré à Ville-d'Avray.
    • Augustin Fresnel (1788-1827), physicien, mort à Ville-d'Avray.
    • Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre, considéré comme le premier impressionniste, a peint à Ville-d'Avray.
    • Arthur de Gobineau (1816-1882), diplomate et écrivain, né à Ville-d'Avray.
    • Nicolae Bălcescu (1819-1852), historien, un écrivain et un révolutionnaire roumain, a vécu en exil à Ville-d'Avray.
    • Cécile Azimont (1827- ?), actrice parisienne, y avait une propriété.
    • Frédéric Chopin (1830-1849), compositeur et pianiste, séjourne en chez son ami Thomas Albrecht, consul de Saxe.
    • Anatole de Barthélemy (1821-1904), historien, numismate, mort à Ville-d'Avray dans sa propriété, située rue Corot.
    • Alphonse Lemerre (1838-1912), éditeur, ancien maire de Ville-d'Avray.
    • Émile-Henri Laporte (1841-1919), peintre, ancien maire de Ville-d'Avray.
    • Auguste Renoir (1841-1919), peintre, dont les parents habitaient Ville-d'Avray, y a vécu en 1868
    • Édouard Detaille (1848-1912) vécut à Ville-d'Avray.
    • Victor Boucher (1877-1942), comédien, mort à Ville-d'Avray.
    • Irène Lagut (1893-1994), peintre, a habité Ville-d'Avray dans les années 1920, 43 route de Versailles.
    • Jean Rostand (1894-1977), écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences a vécu au 29, rue Pradier de 1922 jusqu'à son décès en 1977 (plaque commémorative). Il est inhumé à Ville-d'Avray.
    • Gustave Meyrier (1842-1930), diplomate, a vécu, est mort à Ville-d'Avray et y est inhumé.
    • Hélène Meyrier (1866-1953), héroïne française épouse de Gustave Meyrier, a vécu, est morte à Ville-d'Avray et y est inhumée.
    • Marcel Cartier (1895-1965), député de la Drôme, décédé dans cette commune.
    • Jaro Hilbert (1897-1995), peintre, dessinateur et sculpteur, a habité Ville-d'Avray.
    • Pierre-Henri Simon (1903-1972), intellectuel engagé, historien de la littérature, essayiste, romancier, poète, critique littéraire, membre de l'Académie Française et de l'Académie de Saintonge, a vécu et est mort à Ville-d'Avray.
    • Édouard Branly (1844-1940), physicien et médecin français, précurseur de la radio, a vécu rue Grange Fontenelle (plaque commémorative).
    • Charles Brisset (1914-1989), médecin psychiatre, fondateur de l’Association Française de Psychiatrie, du Syndicat des Psychiatres Français et de la revue Psychiatrie française, cofondateur de la clinique médicale de Ville-d'Avray, a vécu et est mort à Ville-d'Avray.
    • Yehudi Menuhin (1916-1999), violoniste et chef d'orchestre, a vécu de 1930 à 1935 au 33, rue Pradier (plaque commémorative). Il est citoyen d'honneur de Ville-d'Avray.
    • Boris Vian (1920-1959), écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz, né à Ville-d'Avray a vécu au 33, rue Pradier (plaque commémorative), et y est inhumé.
    • Espanita Cortez (1921-2014), artiste, y est née.
    • John William (1922-2011) chanteur, a vécu à Ville-d'Avray.
    • Sydney Chaplin (1926-2009), acteur, fils de Charles Chaplin, a vécu de 1963 à 1977 à Ville-d'Avray.
    • André-Jean Smit (1926-2013), compositeur, est né à Ville-d'Avray.
    • Albert Uderzo (1927-2020), dessinateur, est inhumé à Ville-d'Avray auprès de ses parents.
    • Marie Dubois (1937-2014), actrice, est inhumée à Ville-d'Avray.
    • Isabelle Aubret (1938), chanteuse, y réside.
    • Richard Clayderman (1953), pianiste, a passé une partie de sa vie à Ville-d'Avray et y réside.
    • Isabelle Huppert (1953), actrice, a passé sa jeunesse à Ville-d'Avray
    • Mylène Farmer (1961), chanteuse, a grandi à Ville-d'Avray.
    • Patrick Denaud (1953), journaliste et écrivain, a passé sa jeunesse à Ville-d'Avray.
    • Thomas Vaucouleur-de Ville d’Avray (1980), Hôtelier, descendant du baron Marc-Antoine Thierry de Ville-d’Avray.

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de la ville sont celles du baron Marc-Antoine Thierry .

    Définition héraldique : D'azur au chevron d'argent accompagné en chef de deux tours d'or et en pointe d'un lion du même lampassé de gueules.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Armand Jamin, Ville-d'Avray et son histoire, Société d’Éditions Claude, 1970, 95 pages.
    • Collectif, Ville-d'Avray : cinq siècles d'histoire, Société des amis du musée de Ville-d'Avray, 2000, 174 pages.
    • Jean Brunet-Moret, Ville-d'Avray et son histoire’', 1985.
    • Collectif, Branly et la vie à Ville-d'Avray de 1900 à 1950, éd. Ville-d'Avray.
    • Collectif, Propriétés et grandes demeures de Ville-d'Avray, musée municipal, 1986.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Pourrait être Émile-Henri Laporte, artiste peintre et illustrateur
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Calcul de l'orthodromie entre Ville-d'Avray et Paris » (consulté le ).
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne], consulté le 2 mai 2020.
    3. "Institut d'aménagement et d'urbanisme: Mobilités et transport/réseau cyclable/aménagements cyclables"
    4. "Google maps, trajet de la route D985 à Ville d'Avray"
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - », sur geoportail (consulté le )
    14. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 722b.
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Tome 2, Formations non-romanes, dialectales, Volume 2, Ve partie, p. 993, Librairie Droz, 1990, 480 p., n°17910.
    17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    18. Jean Brunet-Moret, Ville d'Avray et son histoire, (lire en ligne), p. 14.
    19. Ballon No 6 : « Ballon non dénommé No 1 »
    20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    23. Décret n° 2015-1656 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Meudon sur Légifrance.
    24. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
    25. Liste des communes équipée de machines de vote électronique dans le 92 « Copie archivée » (version du 9 décembre 2008 sur l'Internet Archive).
    26. Estelle Dautry, « Municipales à Ville-d’Avray : la rénovation du centre-ville au cœur de la bataille : Aline de Marcillac a succédé à Denis Badré en cours de mandat en octobre 2017 et est tête de liste pour la première fois. Face à elle, Jean-Denis Pesty, novice en politique, compte peser sur l’avenir du centre-ville. », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Têtes de liste : Aline de Marcillac (DVD), Jean-Denis Pesty (SE) ».
    27. Maxime Gil, « Municipales 2020. Ville-d'Avray : la maire sortante Aline de Marcillac élue : Le scrutin des élections municipales a livré son verdict à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine). Et c'est Aline de Marcillac qui a été élue à la tête de la commune. Les résultats », Actu Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    28. A.-S.D., « Hauts-de-Seine : les élections municipales de Bagneux et Ville-d’Avray sont validées : Les juges du tribunal de Cergy (Val-d’Oise) ont rejeté les griefs formulés contre l’élection de Marie-Hélène Amiable (PCF) et Aline de Marcillac (DVD). D’autres décisions sont attendues d’ici la fin de l’année », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    29. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    30. « Les maires de Ville-d'Avray », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le ).
    31. « Hauts-de-Seine : l'U.D.F., le R.P.R. et le C.N.I. sont parvenus à un " accord total " dans 32 communes », Le Monde, (lire en ligne).
    32. « Les nouveaux maires tout frais sortis des urnes - Pedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville », Libération, (lire en ligne) « Denis Badré (UDF-CDS), 42 ans, succède au maire sortant, Georgette Sireyjol (DVD), dont il était l'adjoint ».
    33. Elia Dahan, « Le maire de Ville-d’Avray passe la main : « je ne déserte pas, je pars serein » : Denis Badré a annoncé sa démission à la tête de la mairie qu’il a dirigée pendant 22 ans », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « J’ai été sénateur pendant 11 ans, exercé 34 ans de mandats municipaux et été maire durant 22 ans, il est temps de laisser la place à d’autres ».
    34. Municipales 2014 : Roberto Cristofoli, « Municipales: Girszonas défie Badré à Ville d'Avray : Elu depuis 1995, le MoDem Denis Badré, 71 ans, rassemble l'ensemble de la droite et du centre contre son challenger socialiste Alexis Girszonas, 25 ans, qui conduit la gauche et les écologistes », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    35. « Denis Badré investi par le MoDem », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    36. « Dans les cabinets ministériels », Le Monde, (lire en ligne).
    37. « Le mouvement préfectoral », Le Monde, (lire en ligne).
    38. « Les nouveaux élus », Le Monde, (lire en ligne) « Denis Badré (UDF-CDS). Né le 3 janvier 1943 à Pontarlier (Doubs), ancien élève de l'Ecole polytechnique, ingénieur du génie rural des eaux et forêts, Denis Badré est adjoint au maire de Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) depuis 1987, maire de cette ville depuis juin 1995, il est aussi conseiller régional d'Ile-de-France depuis 1992 ».
    39. Elia Dahan, « Ville d’Avray : Aline de Marcillac « chef du village » : L’ancienne première-adjointe de la commune a été élue maire. Elle succède à Denis Baudré qui a présenté, vendredi 6 octobre sa démission », Le Parisien, édition des Hauts de Seine, (lire en ligne, consulté le ) « C’est avec émotion que Denis Badré a ensuite remis l’écharpe à sa première adjointe qu’il formait à sa succession depuis le début de son dernier mandat en 2014 ».
    40. « Aline de Marcillac », sur villedavray.fr (consulté le ).
    41. « Qualité de l'eau potable (janvier 2015) », Protection de l'environnement/biodiversité, sur https://www.mairie-villedavray.fr (consulté le ).
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    50. D'après André Sernin, Alain : un sage dans la cité, Robert Laffont, (ISBN 978-2-221-01307-6), « Vers la chute », p. 355-56.
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    58. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    59. « Liste des notices pour la commune de Ville-d'Avray », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. « Château », notice no PA00088161.
    61. « Eglise paroissiale Saint-Nicolas, Saint-Marc », notice no IA00051450.
    62. « Fontaine dite Fontaine du Roi », notice no IA00051447.
    63. « Maison dite villa Augier-Prouvost », notice no IA00051473.
    64. « Maison dite villa Hefferlin », notice no IA00051472.
    65. « Domaine national de Saint-Cloud », notice no PA00133026.
    66. « Parc du château », notice no IA92000544.
    67. « Château de la Ronce », notice no IA00051446.
    68. « chapelle funéraire de la famille François », notice no IA00051448.
    69. « Fabrique », notice no IA00051453.
    70. « Monument (groupe sculpté) dit Monument en hommage à Corot par Raoul Larche », notice no IA00051456.
    71. « Maison », notice no IA00051468.
    72. « Immeuble », notice no IA00051469.
    73. « Maison de la Chapelle du Roi, puis le Peplos Vert », notice no IA00051470.
    74. « Cabane dite Cabane de Corot », notice no IA00051478.
    75. « Personnages célèbres », sur le site de la mairie de Ville-d'Avray (consulté le ).
    76. « Paysages patrimoniaux : le Mont-Valérien, Paris, les parcs et les bois », paysages.hauts-de-seine.developpement-durable.gouv.fr, 15 mai 2013.
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