Vieux-Manoir

Vieux-Manoir est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Vieux-Manoir

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Fabrice Otero
2020-2026
Code postal 76750
Code commune 76738
Démographie
Gentilé Manérois
Population
municipale
746 hab. (2018 )
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 04″ nord, 1° 17′ 55″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 189 m
Superficie 8,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Vieux-Manoir
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Vieux-Manoir
Géolocalisation sur la carte : France
Vieux-Manoir
Géolocalisation sur la carte : France
Vieux-Manoir
Liens
Site web vieux-manoir.fr

    Géographie

    Vieux-Manoir est une commune du Rouennais.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 875 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vieux-Manoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), forêts (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vetus Manerium entre 1215 et 1222, Ecclesia de Veteri Manerio vers 1240, Vetus Manerium en 1337, Le Viel Manoir en 1319, 1392, 1403, 1469 et 1471[21], Notre Dame de Vieil Manoir en 1676, 1715 et 1758[22], Vieumanoir en 1412, entre 1469 et 1473[23], Notre Dame du Vieux Manoir en 1623[24], Vieux Manoir en 1715[25], Viel Manoir en 1793, Vieux-Manoir en 1801[26].

    Histoire

    Saint-Aubin-sur-Cailly, ancienne commune de la Seine-Maritime, aujourd'hui intégrée à Vieux-Manoir est attesté sous la forme Sanctum Albinum entre 1049 et 1058[27].

    Seconde guerre mondiale

    Le , l'avion du capitaine Hawkinson se crashait au nord de Rouen, à Vieux-Manoir. À la suite d'un appel à témoins, le gendre du sauveteur du pilote s'est manifesté. Hubert Thomassin, de Buchy, au Nord de Rouen (Seine-Maritime), a eu connaissance de l’appel lancé par Alain Trouplin, forestier à la retraite des Ventes-Saint-Rémy (Seine-Maritime), concernant l’histoire du pilote américain Robert W Hawkinson, dont le chasseur, un P-51, s’est crashé le sur la commune de Vieux-Manoir. Alain Trouplin a cherché des témoins pouvant le renseigner sur le lieu où l’avion est tombé et sur les différentes personnes qui sont venues en aide au soldat américain. Alors que son pilote cherchait des cibles d’opportunité et avait localisé des véhicules allemands qu’il voulait mitrailler, l’avion de Hawkinson est touché par un tir de DCA allemande. L’appareil devenu incontrôlable va bientôt toucher le sol. Son pilote le redresse à une hauteur d’environ 260 mètres et saute en parachute. La distance étant faible, l’atterrissage du pilote est violent et celui-ci se casse la cheville. Ignoré dans un premier temps par un passant qui était à proximité de son point de chute, l’Américain rampe jusqu’à une haie pour s’y cacher. Puis, il se réfugie au pied d’un gros arbre situé dans cette haie. Seulement, juste à côté, il y avait un passage utilisés par les civils et les troupes allemandes qui voulaient aller voir l’avion brûler de plus près… « Il s’est même mis une branche devant lui afin de se dissimuler d’avantage », insiste Hubert Thomassin. Cet homme qui a contacté Alain Trouplin pour lui fournir les renseignements complémentaires est le gendre de René Dehayes. Dans son rapport d’évasion, l’Américain explique qui est René Dehayes : « Heureusement, je n’ai pas été découvert et j’ai passé la nuit dans le champ. Le lendemain matin, tôt, un jeune garçon du nom de Gilbert Merienne est passé sur un cheval de trait (c’est par la suite que j’ai découvert son nom et celui d’autres personnes qui m’ont aidé). Je l’ai appelé et il s’est approché de moi, tout en émoi. À l’aide du dictionnaire qui se trouvait dans ma trousse d’évasion, je lui ai demandé s’il pouvait me procurer des vêtements de civil et me cacher. Il m’a répondu par l’affirmative et il est parti. Un peu plus tard, un autre garçon, René Dehayes, est arrivé avec les vêtements. Je les ai enfilés et il m’a montré le chemin vers le bois que j’avais essayé d’atteindre la veille. Cette nuit-là, les deux garçons sont revenus avec leur oncle, Mr. Merienne, le maire de Vieux-Manoir, un petit village proche. Ils m’ont emmené dans une ferme qui était tenue par un autre membre de la famille. Ils m’ont montré où dormir dans la grange et m’ont donné du pain en gelée et du lait : je n’avais rien mangé ni bu depuis mon petit-déjeuner de la veille. Tôt le lendemain matin, ils m’ont mis au fond d’une charrette tirée par un cheval et m’ont recouvert de foin. La charrette, conduite par Mr. Merienne, s’est arrêtée à un certain point de notre voyage et je pouvais entendre parler allemand. Après un échange de, semble-t-il, plaisanteries, la charrette a continué sa route et au bout d’un certain temps nous sommes arrivés à un croisement éloigné nommé Cauvicourt et à la petite ferme de Madame Alexandrine Hébert.» En présence de son épouse, qui est la fille de René Dehayes, Hubert Thomassin précise que le maire de Vieux-Manoir a aidé au transport de l’Américain, mais les deux personnes qui l’ont aidé du début jusqu’à la fin, ce sont René Dehayes et Gilbert Mérienne. Ils étaient cousins. Mme Hébert était la mère de René Dehayes. Tous les matins, avant d’aller travailler à la ferme, elle apportait à manger à Robert Hawkinson . Pendant un mois, le pilote américain a échappé aux recherches allemandes. Lors de la retraite, des troupes sont arrivées à la ferme de Cauvicourt, elles exigeaient avoir de la nourriture. Le pilote s’était caché dans une petite chambre. Les Allemands ont décidé de fouiller la maison. Ils ont ouvert la porte d’une chambre pour l’inspecter. Ils n’ont rien trouvé et sont repartis à la cuisine. En fait, en s’ouvrant, la porte de la pièce dissimulait une autre porte qui donnait accès à la petite chambre où se trouvait l’aviateur. Heureusement qu’ils n’ont rien vu, sinon tout le monde aurait pu y passer. Le pilote américain qui avait effectué 81 missions depuis avant de tomber à Vieux-Manoir est reparti avec les troupes canadiennes début . Il a par la suite fait carrière dans les affaires. La pâture dans laquelle l’avion est tombé le est aujourd’hui un labour. Hubert Thomassin et son épouse n’oublient pas le courage dont ont fait preuve ces hommes à l’époque. Se rappeler d’eux et rappeler ce qu’ils ont fait est un moyen simple de leur rendre hommage.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1977 Pierre Cuinat[Note 7]    
    1977 1983 Auguste Papillon    
    1983 2008 Marie Soulas DVD  
    2008 En cours Pierre Palenne[28]   Fonctionnaire retraité
    juillet 2020[29],[30] En cours
    (au 10 août 2020)
    Fabrice Otero   Ingénieur dans le développement durable
    Vice-président de la CC du Moulin d’Écalles ( ? → 2016)
    Vice-président de la CC Inter-Caux-Vexin (2017 → 2020)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 746 habitants[Note 8], en augmentation de 5,37 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    345430382373401380350328354
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    329320318323300291300282284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    288299299269277261273299300
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    283280340609599650697683737
    2018 - - - - - - - -
    746--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame.

    Héraldique

    Blason
    D'or à l'arbre arraché au naturel ; au chef d'azur chargé de deux épées d'or passées en sautoir, accostées de deux besants d'argent[34].
    Détails
    Un brevet d'armoiries est signé par le Conseil Français d'Héraldique le 4 novembre 2000.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Une rue de la commune porte le nom de ce maire
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vieux-Manoir et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vieux-Manoir et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives de Seine-Maritime G. 3267, 3269.
    22. Archives de Seine-Maritime G. 1452, 739.
    23. Archives de Seine-Maritime Tab. Rouen, Reg. 3 f. 148 v., Reg. 13 f. 36 v., Reg. 15 f. 73 v.
    24. Archives de Seine-Maritime Tab. Pont-Saint-Pierre.
    25. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1062.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, n°3, 1958, page 156.
    28. Isabelle Villy, « Pierre Palenne, un « ultra-marin » de Martinique, élu à Vieux-Manoir il y a 37 ans : Le maire sortant de Vieux-Manoir (Seine-Maritime), Pierre Palenne se souvient de ses débuts d'élu quelques années après être arrivé de sa Martinique natale. Récit », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « Il s’en est passé des choses depuis ce jour où, à l’âge de 17 ans, Pierre Palenne a quitté sa Martinique natale pour construire sa vie en Métropole. Une vie bien remplie qui l’a conduit, dès 1983, à devenir élu dans sa commune de Vieux-Manoir (Seine-Maritime)… une mission qui a duré 37 années en tout, dont 12 en tant que maire ».
    29. Isabelle Villy, « Municipales. L’adjoint sortant Fabrice Otero, tête de liste à Vieux-Manoir en Seine-Maritime : Le maire de Vieux-Manoir (Seine-Maritime) Pierre Palenne ne se représente pas. Son premier adjoint, Fabrice Otero sera tête de liste lors des élections municipales du 15 mars 2020 », 76 actu, (lire en ligne, consulté le ) « Au conseil municipal depuis 1983 et après deux mandats de maire, Pierre Palenne a décidé de passer la main. C’est donc Fabrice Otéro, premier adjoint depuis 2014, qui à mis en place une nouvelle équipe pour la prochaine élection. Cet ingénieur urbaniste de 54 ans, marié et père de quatre enfants, n’est pas un novice dans la vie locale. Investi dans l’action municipale depuis 2007 et vice-président de la communauté de communes Inter Caux Vexin chargé du tourisme, il fut auparavant vice-président de la communauté de communes du Moulin-d’Écalles chargé du développement économique et, à ce titre, piloté la deuxième tranche du parc d’activité ».
    30. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=6293
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