Vœuil-et-Giget

Vœuil-et-Giget est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Vœuil-et-Giget

L'église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Monique Chiron
2020-2026
Code postal 16400
Code commune 16418
Démographie
Gentilé Vœuillois
Population
municipale
1 528 hab. (2018 )
Densité 180 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 13″ nord, 0° 09′ 19″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 147 m
Superficie 8,48 km2
Unité urbaine Angoulême
(banlieue)
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boëme-Échelle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vœuil-et-Giget
Géolocalisation sur la carte : Charente
Vœuil-et-Giget
Géolocalisation sur la carte : France
Vœuil-et-Giget
Géolocalisation sur la carte : France
Vœuil-et-Giget

    Ses habitants sont les Vœuillois et les Vœuilloises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Vœuil-et-Giget est une commune située à km au sud d'Angoulême, dont elle fait partie de l'unité urbaine.

    Le bourg de Vœuil est aussi à km au nord-est de Mouthiers-sur-Boëme, km à l'est de La Couronne, et 21 km au nord de Montmoreau[2].

    La commune est traversée du nord au sud par la D 674, route d'Angoulême à Montmoreau et Libourne, qui dessert le Petit Giget et le bourg de Vœuil. La D 12, route d'Angoulême à Mouthiers et Blanzac, bifurque de la D 674 au Petit Giget. Le bourg est aussi desservi par la D 41, route de La Couronne à Torsac et Dignac, petite départementale qui longe la Charreau[3].

    La gare la plus proche est celle d'Angoulême.

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Vœuil est situé dans la vallée de la Charraud, et le village de Giget sur le plateau en direction d'Angoulême. Le Petit Giget est situé à la hauteur de Giget sur la route de Libourne, appelée rue de Tivoli. Les autres anciens hameaux sont : Poulet, Bourrisson et le Sterling situés aussi dans la vallée.

    On trouve aussi de nouveaux lotissements : la Ginotte, la Combe de Bompart, les Petits Champs, la Loge, les Combes, situés entre Giget et Vœuil[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Vœuil-et-Giget
    Puymoyen
    La Couronne Torsac
    Mouthiers-sur-Boëme

    Géologie et relief

    Vœuil-et-Giget est une commune avec un relief typique de l'Angoumois : plateaux calcaires boisés et vallées creusées aux parois rocheuses souvent apparentes.

    La roche calcaire date du Crétacé. On trouve le Turonien (aussi appelé Angoumien) sur une grande partie de la commune, ainsi que dans les vallées (Eaux-Claires et Charraud). L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille souterraines, souvent reconverties en champignonnières. Les sommets des plateaux à l'est et au sud de la commune sont occupés par le Coniacien, calcaire plus graveleux, et on trouve du Santonien à l'extrême sud du territoire.

    Les fonds des vallées sont occupés par des alluvions récentes, du Quaternaire[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau légèrement incliné vers le nord-ouest, d'une altitude moyenne de 130 m, et entrecoupé des vallées des Eaux-Claires au nord et de la Charraud au sud, et de quelques profonds vallons comme celui de la Font de Quatre Francs au sud du bourg. Le point culminant de la commune est à une altitude de 147 m, situé au sud-est de la commune, dans le bois du Chambon au sud-ouest de Charsé. Le point le plus bas est à 55 m, situé en limite nord de commune au bord des Eaux-Claires. Le bourg de Vœuil est à environ 75 m d'altitude, dans la vallée de la Charreau[3].

    Hydrographie

    La Charreau (aussi orthographiée Charrau ou Charraud), ruisseau affluent de la Charente, traverse la commune du sud-est vers le nord-ouest et passe au bourg.

    La commune est limitée au nord-est par les Eaux-Claires, autre affluent de la Charente, et qui fait la limite avec la commune de Puymoyen.

    On peut aussi citer le ruisseau du Pré de la Fontaine à l'est de Giget, affluent des Eaux-Claires alimenté par la résurgence de la Roche, et le ruisseau de la Font de Quatre Francs qui fait la limite sud-est de la commune et qui se jette dans la Charreau à l'ouest du bourg de Vœuil[3].

    Enfin la source de Bompart près de la vallée de la Charreau est une source d'eau naturelle mise en bouteilles et commercialisée pour la consommation courante[7].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[8].

    Végétation

    La commune est assez boisée. On peut trouver le Bois des Thurins, le Bois du Chambon ou encore le Bois de Charsé.

    Urbanisme

    Typologie

    Vœuil-et-Giget est une commune urbaine[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[12] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33 %), prairies (22,9 %), terres arables (19,9 %), zones urbanisées (18,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes pour Vœuil sont Vadolio en 1110[18], Vaollio, Veolio (Moyen Âge, non datées)[19], Vaolio en 1307[20].

    Quant au nom de Giget, il est attesté par la forme ancienne Angigeto en 1298[21].

    Vœuil viendrait du latin vadum qui signifie « gué », suivi de l'affixe gaulois -ialo qui signifie « champ, clairière »[22],[23].

    L'origine du nom de Giget peut être celtique[24].

    Après la Révolution, la commune de Vœuil a été formée par la réunion des deux paroisses de Vœuil et Giget. Ces deux noms sont orthographiés Veuil et Giget sur la carte de Cassini (vers 1750). À la suite d'une probable faute de frappe, Vœuil a été orthographié Voenil en 1793, ce qui explique probablement que la commune s'est aussi appelée Giget-en-Vanille sur le bulletin des lois en 1801[25]. Les deux villages sont orthographiés Vœuil et Giget vers 1850[26]. L'orthographe Voeuil-et-Giget apparaît vers cette époque.

    À la hauteur de Giget, le long de la route de Libourne, s'est construit le Petit Giget, appelé pendant un temps dans les années 1980 Petit-Giget-Tivoli du nom de cette voie (rue de Tivoli) dérivant lui-même d'un lieu-dit : hameau de Tivoli construit au carrefour avec la route de Blanzac[27],[28].

    Histoire

    Le camp de Vœuil, appelé aussi Fort des Anglais, est le vestige d'une occupation ancienne, qui se trouve en fait sur la commune voisine de Mouthiers-sur-Boëme.

    En 1580, Giget a remarqué que les chemins jusqu'à La Couronne, distante d'une lieue, étaient impraticables.

    Peu avant la Révolution, la paroisse de Vœuil a été réunie à Puymoyen, ce dernier manquant de cimetière. C'est à cette époque qu'a été aménagée dans un appartement près du cimetière composé de deux pièces et de deux greniers, la première école municipale[réf. nécessaire].

    L'église de Giget avait pour patronne Notre-Dame, la vierge Marie, fêtée le . Construite vers le Xe siècle, elle a été annexée à Vœuil en 1293. Hélas, elle a été vendue comme bien national le 30 prairial an 4 (), puis détruite, jugée en ruines. Elle avait « une petite chapelle ci-devant annexe de Vœuil ayant 5 toises de longueur (environ 10 mètres) sur 2 toises et 2 pieds de largeur (4,92 mètres) à l'intérieur »[réf. nécessaire]. Il ne reste que quelques vestiges de cette église souterraine[28].

    L'église de Vœuil avait aussi été vendue comme bien national après la Révolution, et transformée en grange par son propriétaire. Elle fut rendue au culte en 1837, après avoir été restaurée avec des fonds privés (M.Bolle et évêché d'Angoulême).

    Depuis longtemps, les carrières se trouvant au Sterling (près du bourg de Vœuil, orthographié Lesterling au début du XXe siècle)) et Bompart ont fourni la pierre de taille calcaire appelée pierre d'Angoulême qui a servi à la construction de nombreux monuments dans la région et en France et qui s'exportait aussi à l'étranger.

    La commune a aussi un passé industriel avec la papeterie. Le moulin de Bourisson, construit sur la Charreau, date initialement de 1571. Une usine à papier a été construite en 1841, transformée en usine de feutres pour papeterie en 1896. Elle employait 80 personnes en 1988[29]. Un autre moulin, à huile, situé sur la Charreau et transformé en 1802, lui a servi d'annexe[30].

    Au début du XXe siècle, l'industrie était ainsi représentée par le tissage de laines et fabrique de feutres de Bourisson (entreprise Couderc et Triaud)[28].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 En cours Monique Chiron DVD Sans profession

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 1 528 habitants[Note 3], en diminution de 1,42 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    231300283405372316424519540
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    589478509541441517557539513
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    515511474530538552523582692
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    7449181 0091 3441 4361 4921 6061 5241 528
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Vœuil-et-Giget en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,5 
    4,5 
    75 à 89 ans
    5,4 
    16,6 
    60 à 74 ans
    17,1 
    25,9 
    45 à 59 ans
    24,7 
    20,4 
    30 à 44 ans
    21,0 
    14,6 
    15 à 29 ans
    13,6 
    17,8 
    0 à 14 ans
    17,8 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Usine d'eau de source naturelle

    La source est située à mi-chemin entre la Charreau et le Petit Giget, au pied de la falaise calcaire sur la D 12, et porte aussi le nom de Bompart. Elle est captée à 160 mètres de profondeur. Le forage traverse les nombreuses couches d'argiles et de calcaire qui constituent un authentique millefeuille filtrant. L'eau est actuellement mise en bouteilles par la société Jolival[7].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Vœuil-et-Giget possède une école primaire publique, Yves-Duteil, comprenant six classes (deux de maternelle et quatre d'élémentaire). Le secteur du collège est La Couronne[36].

    Jumelages

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale de Vœuil a pour patron saint Jean-Baptiste (fêté le ). De style roman, sa construction date du XIIe siècle. La chapelle fut ajoutée au XVe siècle. Le porche est surmonté d'un clocher conique en pierre entouré de quatre clochetons et date de 1896.

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 de Royan à Grasse passe en limite nord de la commune à Giget, et le GR 36 de la Manche passe à l'est à Charsé.

    Illustrations

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Société Jolival (source Bompart) », (consulté le )
    8. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 127
    19. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 409
    20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 65
    21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 56
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 (formation préceltiques, celtiques, romanes), librairie Droz, , 708 p. (ISBN 2-600-02883-8, lire en ligne), p. 184
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 728.
    24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Carte d'État-Major, visualisable sous Géoportail
    27. Panneau indicateur de 1980
    28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 413
    29. « Moulin de Bourisson », notice no IA00066422, base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. « Moulin à huile », notice no IA00066423, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Evolution et structure de la population à Vœuil-et-Giget en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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