Ultra-Trail du Mont-Blanc
L'UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc) est un évènement sportif composé de sept trails (course à pied) dont quatre en ultra-endurance en pleine nature et de très longue durée, qui traverse trois pays (France / Italie / Suisse), trois grandes régions alpines (Auvergne-Rhône-Alpes, la Vallée d'Aoste, le Valais) et dix-huit communes françaises, italiennes et suisses du pays du Mont-Blanc. Il emprunte principalement le sentier de grande randonnée du tour du mont Blanc.
Ne pas confondre avec le Marathon du Mont-Blanc, épreuve ayant lieu depuis les années 1980 au mois de juin.
Ne pas confondre avec UTBM Université de technologie de Belfort-Montbéliard
Sport | Course à pied |
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Création | 2003 |
Autre(s) nom(s) | Ultra-Trail du Mont-Blanc |
Éditions | 17 (en 2019) |
Catégorie | Ultra-trail |
Périodicité | Annuelle (fin août) |
Lieu(x) |
France Italie Suisse |
Statut des participants | Amateur et professionnel |
Distance | 171 km |
Dénivelée | 10 000 m D+ |
Site web officiel | utmbmontblanc.com |
Tenant du titre |
François D'Haene Courtney Dauwalter |
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Plus titré(s) |
Elizabeth Hawker (5) François D'Haene (4) |
Les courses
L'UTMB est un évènement qui comporte plusieurs épreuves et a lieu chaque année la dernière semaine d'août.
- 2003 - : L'UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc) 171 km et 10 000 m de dénivelé positif[O 1]
- 2005 - : La CCC (Courmayeur-Champex-Chamonix) 101 km et 6 100 m de dénivelé positif[O 1]
- 2008 - : La PTL (La Petite Trotte à Léon) 300 km et 28 000 m de dénivelé positif (par équipe de 2 ou 3 personnes)[O 1]
- 2009 - : La TDS (Sur les Traces des Ducs de Savoie) 121 km et 7 300 m de dénivelé positif[O 1]
- 2014 - : L'OCC (Orsières-Champex-Chamonix) 56 km et 3 500 m de dénivelé positif[O 1]
- 2016 - : La YCC (Youth Chamonix Courmayeur) 15 km et 1 000 m de dénivelé positif[1]
- 2018 - : La MCC (De Martigny-Combe à Chamonix) 40 km et 2 300 m de dénivelé positif[2]
L'UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc)
Épreuve « mythique[3] » créée en 2003 est la course phare de l'évènement. Dès la première édition, elle a été appelée la « course de tous les superlatifs »[4],[5] et comptait 722 coureurs au départ[6]. Le tracé s'apparente à un tour complet du massif du Mont-Blanc, traversant trois pays (France, Suisse, et Italie)[3]. Aujourd'hui, pour l'UTMB, le nombre de coureurs a dû être limité à 2 300[3] ; ceux-ci doivent avoir participé préalablement à des courses qualificatives[3]. Ils doivent parcourir les 170 km sans étape pour 10 000 m de dénivelé positif[3] en moins de 46 heures et 30 minutes.
Lors de sa première édition, l'UTMB comptait 155 km. Puis, au fil des éditions, l'Organisation a cherché le meilleur parcours du point de vue à la fois des coureurs et des gens du pays[réf. nécessaire]. En particulier, l'organisation a cherché le lieu d'arrivée le plus motivant entre Vallorcine et Chamonix-Mont-Blanc. C'est la première raison de cette évolution des distances et dénivelés positifs. En 2006, il est passé à 158 km puis à 163 km en 2007 et enfin à 166 km en 2008. Cette année-là, un jeune Espagnol domine l'épreuve pour la première fois : Kílian Jornet[7]. La modification de 2012 (168 km) est simplement due à une amélioration des moyens de mesure, le parcours restant le même[8].
Les coureurs partent de Chamonix-Mont-Blanc le vendredi[9]. Ils rejoignent d’abord Les Houches, Saint-Gervais, Les Contamines-Montjoie puis les Chapieux par le col du Bonhomme. Le col de la Seigne les amène à Courmayeur à travers le val Vény. Vient ensuite le val Ferret et le Grand col Ferret, plus haut point du parcours (2 537 m). La Fouly, Champex-Lac, Trient et Vallorcine ramènent les coureurs dans la vallée de Chamonix par La Flégère[10]. Au total, les participants franchissent dix cols de plus de 2 000 m d'altitude[11].
- Dawa Sherpa, premier vainqueur en 2003
- Jez Bragg, vainqueur en 2010
- Xavier Thévenard, vainqueur en 2013, 2015 et 2018
La CCC (Courmayeur-Champex-Chamonix)
En 2005, en raison de la forte demande de participation, les organisateurs ont créé une seconde course, la CCC (Courmayeur-Champex-Chamonix). D'une distance de 86 km lors de sa première édition[12], elle est ensuite passée à 101 km (déclarée à 98 km jusqu'en 2011) et constitue la porte d'entrée dans le monde de l'ultra-endurance. La CCC, considérée par la plupart des coureurs comme « la petite », constitue pourtant elle aussi l’un des défis les plus difficiles de l’Hexagone en trail d'ultra-endurance. Le nombre de coureurs est limité à 1 900[13]. Ils s’élancent sur les 100 km aux 6 100 m de dénivelé, afin de parcourir en un maximum de 26 h 45 min le parcours[14].
Le parcours reprend celui de l’UTMB à partir de Courmayeur, en y ajoutant toutefois l’ascension de la Tête de la Tronche (2 584 m) en début de parcours[15].
La PTL (La Petite Trotte à Léon)
C'est une épreuve par équipe, qui surplombe le tracé de l’UTMB, avec des passages très engagés.
Ce n'est pas une course dans le sens où aucun classement n'est effectué.
Le tracé est le plus long des quatre. Au départ de Chamonix-Mont-Blanc le lundi à 22 h, les trailers ont à parcourir 284 km, sur environ 21 500 m de dénivelé positif. Le tout s'effectue en autonomie complète en 138 heures au maximum[16].
Non compétitive, elle se fait en équipe de deux ou trois coureurs (dont au moins un « finisher ») indissociables du début à la fin du parcours.
La TDS (Sur les Traces des Ducs de Savoie)
En 2009 l'organisation crée une 3e course : la TDS (Sur les Traces des ducs de Savoie) qui part de Courmayeur pour arriver à Chamonix-Mont-Blanc[17]. Contrairement à l'UTMB et la CCC, elle s'oriente vers le Beaufortain. Au début, son parcours s'étirait sur 112 km à la dénivellation positive de 7 150 m, le tout s'effectuant en 31 heures maximum. Le nombre de coureurs est limité à 1 600[18]. Dès 2013, le parcours est passé à 119 km et 7 250 m de dénivelé[19].
Le départ est donné depuis Courmayeur le jeudi à 7 h. La première montée est celle du Col Chécrouit, poursuivie par l'arête du Mont-Favre et la descente sur le lac de Combal au km 15 où a lieu le second ravitaillement. Pour rejoindre le col du Petit-Saint-Bernard au km 66, les coureurs passent par le col de Chavannes (2 603 m). Autrefois, la course passait par le col de la Youlaz et La Thuile pour rejoindre ce même col marquant la frontière entre l'Italie et la France. Un ravitaillement s'y tient avant une grande descente vers Séez et Bourg-Saint-Maurice au km 51 où a lieu un autre ravitaillement et un point de contrôle. À partir de là, les trailers s'engagent vers un long tronçon aboutissant au Cormet de Roselend. Il commence par une montée pénible de deux forts, celui du Truc (à 1 551 m) puis celui de la Platte (à 1 995 m). Les kilomètres suivants sont moins pentus, mais après il faut à nouveau passer par une plus courte mais éprouvante ascension, celle du Passeur de Pralognan (2 567 m). Les premiers hectomètres de la descente de ce col se font grâce à une corde[20]. Quelques kilomètres plus loin, les coureurs rejoignent le ravitaillement du Cormet de Roselend (Beaufort) au km 66. Les coureurs rejoignent 19 km plus loin le ravitaillement du col du Joly (Hauteluce, 1 989 m) en marchant par le passage du curé, et le lieu-dit "La Gittaz". La plupart des concurrents évoluent désormais de nuit. Suit une descente de 10 km vers Les Contamines-Montjoie où se tient un nouveau ravitaillement au km 95. C'est là le point de départ de la dernière principale difficulté du parcours, le col du Tricot (2 120 m). Après une portion très raide aboutissant à des chalets, les coureurs effectuent une petite descente vers d'autres chalets au pied d'une série de lacets pédestres finissant au col. Les coureurs entament ensuite une descente technique mais courte puisqu'il faut remonter un peu après la traversée d'un pont suspendu[21] avec une vue sur le glacier de Bionnassay plus haut. Après avoir atteint la gare de tramway de Bellevue, les coureurs descendent enfin véritablement jusqu'aux Houches où les attend le dernier ravitaillement. Dès lors, il ne reste plus que 8 km sur une large piste avec de faux-plats montants et descendants pour finir sur la ligne d'arrivée à Chamonix-Mont-Blanc.
Cependant le parcours est rallongé en 2019, avec 145 km et 9 100 m de dénivelé[22] avec plus de kilomètres encore dans le Beaufortain, le parcours passant notamment Hauteluce. Avec le durcissement en 2019 de l'attribution des points ITRA pour la qualification à l'UTMB, ce parcours rallongé permettrait notamment aux coureurs qui terminent la course d'obtenir comme les années précédentes une dotation de 6 points.
- Le col des Chavannes (2 603 m) au km 19,7 et sa descente
- Passage par le col du Petit Saint-Bernard (2 188 m) au km 36
- Le fort de la Platte (1 995 m) au km 56
- Le col du Tricot, dernière principale difficulté de la course
L'OCC (Orsières-Champex-Chamonix)
À partir de 2014, la course OCC avec un départ de Orsières le jeudi matin, une distance prévue d'environ 53 km pour 3 300 m de dénivelé cumulé[23].
La MCC (De Martigny-Combe à Chamonix)
La MCC est une course créée en 2018. Elle se compose d'un parcours de 40 km pour un dénivelé positif de 2 300 m. Elle part de Martigny-Combe et se termine à Chamonix.
Organisation
Direction
En avril 2020, Michel Poletti, le directeur général de l'UMTB annonce sa démission, à 65 ans et après 17 années à la tête de l'organisation. Il est remplacé par Frédéric Lénart, ancien membre exécutif du comité d'organisation de la course automobile des 24 Heures du Mans. En parallèle, Michel Poletti quitte également l'ITRA, dont il était le président depuis sa fondation, en 2013. Enfin, son épouse, Catherine Poletti, reste présidente de l'UTMB Group[24].
Inscriptions
En raison du nombre de demandes d'inscription largement supérieur à celui des coureurs autorisés à prendre le départ, un système de tirage au sort détermine les participants. Pour l'édition 2013, les chances d'obtenir un dossard étaient d'environ une sur trois pour l'UTMB et d'une sur deux pour la CCC.
Sponsoring
Columbia Sportswear est le principal sponsor de la course, remplaçant The North Face à partir de 2016.
Musique de départ
Pour stimuler les coureurs du parcours de l'UTMB, la musique Conquest of paradise de Vangelis est diffusée juste avant les départs.
Moments importants de l'évènement
Performances marquantes
- Lors de la première édition en 2003, seuls 67 finishers terminent l'épreuve à l'église de Chamonix[25].
- En 2006, lors de la première édition de la CCC, c'est une femme, Corinne Favre, qui remporte le classement scratch général, un fait inédit. Menant la course de bout en bout, elle a franchi la ligne d'arrivée dix-huit minutes devant son dauphin masculin[12].
- En 2008, Kilian Jornet, alors âgé de 20 ans et le plus jeune concurrent de l'UTMB, remporte l'épreuve en devançant d'une heure un ancien vainqueur, Dawa Sherpa. Sa victoire fut dans un premier temps contestée par certains de ses adversaires, car il ne disposait pas de sac, ce qui fit douter qu'il avait emporté tout le matériel obligatoire. Mais son succès fut confirmé par les organisateurs, Kilian expliquant par ailleurs que la seule banane dont il disposait durant la course était optimisée pour y rentrer tout le matériel nécessaire, tel qu'il le faisait en ski-alpinisme[26].
- En 2012, Elizabeth Hawker établit son 5e succès dans le classement féminin de l'UTMB, un record.
- En 2013, l'américaine Rory Bosio arrive 7e du classement scratch en éclatant le record du temps de courses chez les femmes. En 2021, une autre américaine, Courtney Dauwalter égale le classement scratch établi 8 ans plus tôt par Rory Bosio en améliorant son temps de quelques minutes.
- En remportant Les Traces des Ducs de Savoie en août 2014, Xavier Thévenard est devenu le seul coureur à établir un triplé en ayant gagné trois courses de l'événement, à savoir la CCC, la TDS et l'UTMB.
- En 2016, Ludovic Pommeret remporte l'UTMB à l'issue d'une remontée mémorable. Alors qu'il figure au début de la course dans le groupe des favoris, il est à partir des Contamines-Monjoie diminué par des problèmes gastriques[27] et recule dans le classement, jusqu'à être pointé à la 53e place[28]. Alors qu'il songe à l'abandon, il retrouve sa famille au ravitaillement des Chapieux et retrouve l'énergie pour continuer l'épreuve. Puis il remonte un à un ses concurrents, prend la tête de la course sur les alpages sous le sommet de Catogne[28]avant de l'emporter à Chamonix.
- En 2019, l'Espagnol Pau Capell a établi le temps de référence sur le parcours de l'UTMB. François D'Haene avait certes remporté l'UTMB en 2014 avec quelques minutes en moins mais ce n'est que depuis 2015 que par temps sec les coureurs doivent franchir le col des Pyramides calcaires[29] après le col de la Seigne.
Parcours de repli face aux conditions climatiques
L'édition 2010 a été suspendue quelques heures après le départ pour des raisons de sécurité liées à la météo. En effet, l'organisation n'a pas voulu laisser les coureurs s'engager en pleine montagne avec des conditions qui empiraient. Ce fut une grande déception pour les coureurs ainsi que tous les bénévoles mobilisés. Conscients de cette déception et, grâce à un formidable élan de solidarité entre les communes, les administrations et les bénévoles, les organisateurs ont proposé une course de remplacement le lendemain de l'annulation, course raccourcie à 88 km pour laquelle 1 238 coureurs ont pris le départ 650 coureurs de l'UTMB se sont présentés, ainsi que 588 des coureurs de la TDS pour qui le départ a complètement été annulé[30].
La course fut également raccourcie à 103 km et 5 600 m de dénivelé en 2012, en raison de conditions climatiques défavorables les jours précédents l'épreuve, notammment des chutes de neige à partir de 1 800 m d'altitude[31], rendant les sentiers des plus hauts cols impraticables. De plus le parcours fut intégralement en France puisqu'il était inenvisageable de franchir le col de la Seigne à la frontière franco-italienne et le Grand col Ferret permettant de passer en Suisse.
Palmarès
UTMB
Édition | Date | Hommes | Femmes | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Rang | Athlète | Temps | Rang | Athlète | Temps | ||
1re | 1er | Dawa Sherpa | 20 h 5 min 59 s | 24e | Krissy Moehl | 29 h 38 min 24 s | |
2e | 1er | Vincent Delebarre | 21 h 6 min 18 s | 14e | Colette Borcard | 26 h 8 min 54 s | |
3e | 1er | Christophe Jaquerod | 21 h 11 min 7 s | 25e | Lizzy Hawker | 26 h 53 min 51 s | |
4e | 1er | Marco Olmo | 21 h 6 min 6 s | 25e | Karine Herry | 25 h 22 min 20 s | |
5e | 1er | Marco Olmo — 2e victoire | 21 h 31 min 58 s | 19e | Nikki Kimball | 25 h 23 min 45 s | |
6e | 1er | Kílian Jornet | 20 h 56 min 59 s | 14e | Lizzy Hawker — 2e victoire | 25 h 19 min 41 s | |
7e | 1er | Kílian Jornet — 2e victoire | 21 h 33 min 18 s | 11e | Krissy Moehl — 2e victoire | 24 h 56 min 1 s | |
8e[N 1] | 1er | Jez Bragg | 10 h 30 min 37 s | 19e | Lizzy Hawker — 3e victoire | 11 h 47 min 30 s | |
9e[N 2] | 1er | Kílian Jornet — 3e victoire | 20 h 36 min 43 s | 13e | Lizzy Hawker — 4e victoire | 25 h 2 min 0 s | |
10e[N 3] | 1er | François D'Haene | 10 h 32 min 36 s | 16e | Lizzy Hawker — 5e victoire | 12 h 32 min 13 s | |
11e | 1er | Xavier Thévenard | 20 h 34 min 57 s | 7e | Rory Bosio | 22 h 37 min 26 s | |
12e | 1er | François D'Haene — 2e victoire | 20 h 11 min 44 s | 14e | Rory Bosio — 2e victoire | 23 h 23 min 20 s | |
13e | 1er | Xavier Thévenard — 2e victoire | 21 h 9 min 15 s | 19e | Nathalie Mauclair | 25 h 15 min 33 s | |
14e[34] | 1er | Ludovic Pommeret | 22 h 0 min 2 s | 20e[34] | Caroline Chaverot | 25 h 15 min 40 s | |
15e[35],[N 4] | 1er | François D'Haene — 3e victoire | 19 h 1 min 54 s | 41e[35] | Núria Picas | 25 h 46 min 43 s | |
16e | 1er | Xavier Thévenard — 3e victoire | 20 h 44 min 16 s | 33e | Francesca Canepa | 26 h 3 min 48 s | |
17e[36] | 1er | Pau Capell | 20 h 19 min 7 s | 21e | Courtney Dauwalter | 24 h 34 min 26 s | |
édition annulée en raison de la pandémie de Covid-19 | |||||||
18e | 1er | François D'Haene — 4e victoire | 20 h 45 min 59 s | 7e | Courtney Dauwalter — 2e victoire | 22 h 30 min 54 s | |
CCC
Édition | Date | Hommes | Femmes | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Rang | Athlète | Temps | Rang | Athlète | Temps | ||
1re | 2e | Alun Powell | 10 h 53 min 17 s | 1re | Corinne Favre | 10 h 35 min 55 s | |
2e | 1er | Julien Chorier | 10 h 19 min 46 s | 23e | Andrea Zimmermann | 12 h 28 min 5 s | |
3e | 1er | Guillaume Le Normand | 12 h 26 min 4 s | 12e | Lucy Colquhoun | 14 h 33 min 37 s | |
4e | 1er | Jean-Yves Rey | 11 h 40 min 47 s | 79e | Chantal Begue | 16 h 51 min 0 s | |
5e | 1er | Xavier Thévenard | 11 h 57 min 13 s | 29e | Maud Gobert | 14 h 7 min 38 s | |
6e | 1re | Emmanuel Gault | 10 h 10 min 25 s | 37e | Virginie Govignon | 12 h 47 min 11 s | |
7e[N 5] | 1er | Cristòfol Castanyer | 8 h 57 min 4 s | 34e | Ellie Greenwood | 11 h 17 min 24 s | |
8e | 1er | Jordi Bes | 11 h 23 min 1 s | 17e | Caroline Chaverot | 14 h 12 min 0 s | |
9e | 1er | Pau Bartolo | 11 h 21 min 16 s | 34e | Anne-Lise Rousset | 14 h 28 min 48 s | |
10e | 1er | Zach Miller | 11 h 53 min 32 s | 8e | Ruth Croft | 12 h 54 min 53 s | |
11e | 1er | Michel Lanne | 12 h 10 min 4 s | 14e | Mimmi Kotka | 13 h 42 min 46 s | |
12e[N 5] | 1er | Hayden Hawks | 10 h 24 min 30 s | 26e | Clare Gallagher | 12 h 13 min 57 s | |
13e | 1er | Thomas Evans | 10 h 44 min 32 s | 11e | Miao Yao | 11 h 57 min 46 s | |
14e | 1er | Luis Alberto Hernando | 10 h 28 min 49 s | 23e | Ragna Debats | 12 h 10 min 33 s | |
édition annulée en raison de la pandémie de Covid-19 | |||||||
18e | 1er | Thibaut Garrivier | 10 h 23 min 26 s | 39e | Marta Molist Codina | 12 h 50 min 48 s | |
TDS
Édition | Date | Hommes | Femmes | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Rang | Athlète | Temps | Rang | Athlète | Temps | ||
1re | 1er | Patrick Bohard | 14 h 1 min 48 s | 26e | Fernanda Maciel | 17 h 17 min 43 s | |
2e | édition annulée en raison des intempéries | ||||||
3e | 1er | Franck Bussière | 15 h 51 min 37 s | 56e | Jolanda Linschooten | 20 h 57 min 32 s | |
4e | 1er | Dawa Sherpa | 14 h 37 min 7 s | 34e | Agnès Hervé | 19 h 7 min 0 s | |
5e | 1er | Arnaud Julia Bonmati | 15 h 9 min 59 s | 14e | Nathalie Mauclair | 17 h 36 min 41 s | |
6e | 1er | Xavier Thévenard | 14 h 10 min 37 s | 34e | Teresa Nimes Pérez | 18 h 41 min 12 s | |
7e | 1er | Pau Bartolo | 14 h 26 min 40 s | 13e | Andrea Huser | 16 h 35 min 29 s | |
8e | 1er | Pau Capell | 14 h 45 min 44 s | 30e | Delphine Avenier | 18 h 46 min 24 s | |
9e | 1er | Michel Lanne | 14 h 33 min 9 s | 10e | Mimmi Kotka | 15 h 47 min 7 s | |
10e | 1er | Marcin Świerc | 13 h 24 min 0 s | 23e | Audrey Tanguy | 16 h 5 min 22 s | |
11e | 1er | Pablo Villa González | 18 h 3 min 6 s | 23e | Audrey Tanguy | 21 h 36 min 15 s | |
édition annulée en raison de la pandémie de Covid-19 | |||||||
12e | 1er | Erik-Sebastian Krogvig | 18 h 49 min 58 s | 26e | Manon Bohard | 23 h 11 min 14 s |
Le parcours a été rallongé à partir de 2019 d'où des durées de courses plus longues.
OCC
Édition | Date | Hommes | Femmes | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Rang | Athlète | Temps | Rang | Athlète | Temps | ||
1re | 1er | Nicolas Martin | 5 h 7 min 45 s | 19e | Sonia Glarey | 6 h 37 min 40 s | |
2e | 1er | Marc Pinsach Rubirola | 5 h 21 min 38 s | 37e | Célia Chiron | 6 h 41 min 53 s | |
3e | 1er | Xavier Thévenard | 5 h 28 min 37 s | 27e | Mercedes Arcos Zafra | 6 h 54 min 13 s | |
4e | 1er | Marc Lauenstein | 5 h 19 min 31 s | 41e | Eli Gordon Rodriguez | 6 h 12 min 16 s | |
5e | 1er | Erenjia Jia | 5 h 28 min 44 s | 18e | Ruth Croft | 5 h 53 min 9 s | |
6e | 1er | Stian Angermund-Vik | 5 h 19 min 24 s | 15e | Ruth Croft | 5 h 50 min 14 s | |
édition annulée en raison de la pandémie de Covid-19 | |||||||
7e | 1er | Jonathan Albon | 5 h 2 min 57 s | 20e | Blandine L'Hirondel | 5 h 45 min 8 s | |
MCC
Édition | Date | Hommes | Femmes | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Rang | Athlète | Temps | Rang | Athlète | Temps | ||
1re | 1er | César Costa | 3 h 35 min 41 s | 18e | Kate Pallardy | 4 h 30 min 54 s | |
2e | 1er | César Costa | 3 h 40 min 46 s | 23e | Laure Desmurs | 4 h 41 min 25 s | |
édition annulée en raison de la pandémie de Covid-19 | |||||||
3e | 1er | Anthony Felber | 3 h 39 min 23 s | 23e | Lucille Germain | 4 h 23 min 20 s |
Notes et références
Notes
- Épreuve de 166 km annulée du fait des intempéries et ramenée à 88 km
- Épreuve allongée à 170 km pour éviter des risques de glissement de terrain
- Épreuve raccourcie à 103 km en raison des conditions météorologiques défavorables sur le massif du Mont-Blanc
- Parcours modifié
- Epreuve raccourcie
- Données 2016.
Références
- « YCC », sur utmbmontblanc.com.
- « MCC ».
- A. Josselin, « UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc) », Joggeur, Éditions Larivière, no 1, , p. 98.
- « UTMB - Trails Endurance Mag », sur Trails Endurance Mag (consulté le ).
- Franck Grassaud, « L'Ultra-Trail du Mont-Blanc, "la course de tous les superlatifs" », sur france3.fr, France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- « Catherine Poletti (UTMB) | Podcast MaBoite.com », sur maboite.com (consulté le )
- Résumé de l'article Une cure de jouvence du numéro de septembre-octobre 2008 in : Luc Beurnaux, « 100 numéros - 10 dates », Trails endurance, Outdoor Éditions, no 100, , p. 12.
- Programme officiel de l'UTMB, édition 2012, p. 10.
- Profil de l'UTMB 2009.
- Parcours de l'UTMB 2009 sur le site officiel.
- Florence Puybareau, « Le boum du trail », Le Parisien Économie, no 923, , p. 3 (ISSN 0767-3558)
- « CCC 2006-86km-Victoire scratch de Corinne Favre », sur runraid.fr,
- Programme officiel de l'UTMB, édition 2012, p. 24.
- Profil de la CCC 2009.
- Parcours de la CCC 2009 sur le site officiel.
- Présentation de la petite trotte à Léon sur le site officiel.
- « L’Ultra-trail du Mont-Blanc, l’ovni planétaire de la course à pied ! », Le Dauphiné libéré, , (En ligne), consulté le 28 août 2012.
- Programme officiel de l'UTMB, édition 2012, p. 23.
- http://www.petzl.com/fr/outdoor/news/sur-terrain/2013/08/29/tds-2013-resultats-en-images.
- http://team.fr.raidlight.com/blogs-article/sur-la-tds-28-aout-2013.16018/.
- http://www.baudet.org/index.php?option=com_content&task=view&id=153&Itemid=2.
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Voir aussi
Articles connexes
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