Tséwang Dordji Namgyal

Tséwang Dordji Namgyal, parfois retranscrit en Tsewang Dorji Namjil ou Tsewang Dorji Namjal, (mongol bitchig : ᠼᠧᠸᠠᠩ
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ᠨᠠᠮᠵᠠᠯ ; chinois simplifié : 策妄多尔济·那木扎尔 ; chinois traditionnel : 策妄多爾濟·那木札爾 ; pinyin : cèwàng duōěrjì nàmùzāěr ; 1732 – 1750) est un prince du Khanat dzoungar, fils de Galdan Tseren à qui il succède à sa mort en 1745 au titre de Khan[1], alors limité, après les conquêtes de la dynastie Qing et après le traité de paix, à des régions du Kazakhstan, Kyrgyzstan et du Sud de la Sibérie^{[réf. souhaitée]}.

Biographie

Jeune homme débauché et cruel, il est aveuglé et emprisonné à Aqsou par les seigneurs[1] et son frère Lama Dorja[2].

Succession

Lama Dorja (règne (1750 — 1753)), lui succède, mais ne parvient pas à se faire obéir. Les tribus Dörböt, Khochot et Khoït, soumises au Khong Tayiji depuis un siècle menacent de s'émanciper[1]. C'est le début d'une guerre civile[2].

Annexes

Notes et références

Grousset 1965, p. 659.
(Hummel 1994) page Tsewang Araptan

Bibliographie

René Grousset, L’Empire des steppes, Attila, Gengis-Khan, Tamerlan, Paris, Payot, 1965 (1^re éd. 1938), 669 p. (lire en ligne), p. 659
Arthur William Hummel, Eminent Chinese of the Ch'ing Period (1644-1912), US Government Printing Office, 1944 (OCLC 3443954, lire en ligne) (ECCP)

Liens externes

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[Grousset1965659-1] Grousset 1965, p. 659.

[Hummel-2] (Hummel 1994) page Tsewang Araptan