The New Republic

The New Republic (TNR), fondé le 7 novembre 1914, est un magazine américain d'opinion de publication bimensuelle (hebdomadaire avant mars 2007) édité à 101 000 en 2001 et 50 000 exemplaires en 2013.

The New Republic

Pays	États-Unis
Langue	Anglais
Périodicité	10 numéros par an
Diffusion	50 000 ex. (2013)
Date de fondation	7 novembre 1914

Rédacteur en chef	Gabriel Snyder
ISSN	0028-6583
Site web	https://newrepublic.com/

Le magazine a soutenu historiquement une politique de centre gauche ou « progressiste »[1]. Franklin Foer (en) considère que le journal défend en 2013 une philosophie de « centre gauche »[2].

En 2012, le magazine qui perd environ 3 millions de dollars par an est racheté par Chris Hughes, cofondateur de Facebook. Hughes cherche un nouveau business model pour le magazine et y investit 20 millions de dollars. The New Republic passe de 20 à 10 exemplaires par an et déménage son siège de Washington à New York. Mais surtout Hughes veut faire du magazine un magazine numérique. Plusieurs personnalités importantes de TNR, dont le rédacteur en chef Franklin Foer, quittent le magazine et TNR perd 50 % de son lectorat en ligne. Devant l'échec de sa politique de relance, Hughes remet The New Republic à la vente en janvier 2016[3]. Le magazine a été vendu en février 2016 à Win McCormack (en), sous qui la publication est revenue à une position plus progressiste[4]^,[5].

Publications marquantes

L'expression « wisdom of repugnance » (litt. sagesse de la répugnance) fut créée en 1997 par Leon Kass (en), directeur (de 2001 à 2005) du Conseil de bioéthique à la Présidence (en), dans un article de The New Republic[6], article développé davantage en 2001 dans le même magazine[7]

Lien externe

(en) Site officiel de The New Republic

Notes et références

L'économiste libertarien Murray Rothbard le qualifie même de collectiviste pour la période de l'entre-deux-guerres (source).
(en) Katharine Q. Seelye, « New Republic Cuts Back, but Bulks Up Its Image », The New York Times, 24 février 2007
(en) Krishnadev Calamur, « What's Next for The New Republic? », The Atlantic, 11 janvier 2016
Dylan Byers, « The New Republic is sold by Facebook co-founder Chris Hughes », sur CNNMoney, CNN (consulté le 27 février 2016)
Steven Perlberg, « The New Republic's Newest Editor Moves Left », sur Study Hall, Patreon (consulté le 13 juillet 2020)
(en) Kass, Leon R., « The Wisdom of Repugnance », CanWest, Washington, DC, vol. 216, n^o 22,‎ 2 juin 1997, p. 17–26.
(en) Leon R Kass, « Preventing a Brave New World: Why We Should Ban Human Cloning Now », The New Republic, vol. 224, n^o 21,‎ 21 mai 2001, p. 30–39.

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « The New Republic » (voir la liste des auteurs).

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[1] L'économiste libertarien Murray Rothbard le qualifie même de collectiviste pour la période de l'entre-deux-guerres (source).

[Seelye-2] (en) Katharine Q. Seelye, « New Republic Cuts Back, but Bulks Up Its Image », The New York Times, 24 février 2007

[3] (en) Krishnadev Calamur, « What's Next for The New Republic? », The Atlantic, 11 janvier 2016

[:0-4] Dylan Byers, « The New Republic is sold by Facebook co-founder Chris Hughes », sur CNNMoney, CNN (consulté le 27 février 2016)

[5] Steven Perlberg, « The New Republic's Newest Editor Moves Left », sur Study Hall, Patreon (consulté le 13 juillet 2020)

[6] (en) Kass, Leon R., « The Wisdom of Repugnance », CanWest, Washington, DC, vol. 216, n^o 22,‎ 2 juin 1997, p. 17–26.

[Kass_2001-7] (en) Leon R Kass, « Preventing a Brave New World: Why We Should Ban Human Cloning Now », The New Republic, vol. 224, n^o 21,‎ 21 mai 2001, p. 30–39.