Terrorisme au Japon

Le Japon est l'un des pays les plus sûrs au monde, mais il n'a pas été épargné par des mouvements de violence et de terrorisme qui existent sous trois formes principales : la violence politique exercée par des groupes terroristes d'extrême-gauche ou d'extrême-droite, la violence au nom d'un idéal religieux, et la violence criminelle dont est responsable toute une nébuleuse de gangs mafieux.

Exemples d'attentats meurtriers au Japon

Armée rouge japonaise (Armée rouge unifiée)

  •  : massacre de Lod Airport. 26 morts, 80 blessés.
  • Avril 1988 : Attentat à la bombe contre un club pour militaires américains (USO) à Naples. 5 morts.
  • Série d'attentats contre des bâtiments appartenant à des grandes compagnies. 5 morts, 20 blessés.

Kakurokyo

  • Novembre 1990 : Bombe dans un dortoir de la police. 1 mort, 6 blessés.

Aum Shinrikyō

  •  : assassinat d'un avocat, De son épouse et de son bébé de quatorze mois.
  • Nuit du 27 au  : attentat au gaz sarin dans la ville de Matsumoto, huit morts, deux cents blessés.
  •  : attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo ; douze morts, cinq mille cinq cents blessés.

Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud

  •  : bombe contre Mitsubishi, 8 morts, 376 blessés.

Armée révolutionnaire

  • Août 2001 : attentat à la bombe contre le bâtiment de la Société Japonaise pour la Réforme des Manuels d'Histoire ;
  • 2002 : attentat à la bombe, à Yokohama dans un parc près d'une base américaine ;
  • Novembre 2002 : attentat à la bombe à Osaka contre une base des Forces japonaises d'autodéfense.

Les Groupes terroristes au Japon

Groupes terroristes politiques

Groupe terroriste religieux

Groupe terrorisme Anti-Impérialiste

Voir aussi

Notes et références

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