Siouxsie and the Banshees

Siouxsie and the Banshees (prononcé en anglais : [ˈsuːzi æn ðə ˈbænʃiːz])[5] est un groupe de rock alternatif britannique, originaire de Londres, en Angleterre, formé en 1976 par Siouxsie Sioux et Steven Severin. Initialement associés à la scène punk anglaise, Siouxsie and the Banshees ont rapidement su évoluer pour créer « une forme de dissonance post-punk remplie d'expérimentation rythmique et sonore »[6]. The Times cite le groupe comme « l'un des aventuriers musicaux les plus audacieux et les plus intransigeants de la période post-punk »[7].

Pour les articles homonymes, voir Banshee (homonymie).

Siouxsie and the Banshees
Siouxsie and the Banshees. De gauche à droite : Steven Severin, Siouxsie Sioux et Budgie.
Informations générales
Pays d'origine Royaume-Uni
Genre musical Post-punk, new wave[1]'[2], rock alternatif[3], rock gothique[4]
Années actives 19761996, 2002 (tournée de réunion)
Labels Polydor Records, Geffen Records, Sanctuary Records
Site officiel site officiel
Composition du groupe
Anciens membres Siouxsie Sioux
Steven Severin
Budgie
Sid Vicious
Marco Pirroni
Kenny Morris
Pete Fenton
John McKay
John McGeoch
Robert Smith
John Valentine Carruthers
Martin McCarrick
Jon Klein
Knox Chandler

Siouxsie and the Banshees représente une influence majeure pour des groupes de new wave et de rock comme Joy Division[8], The Cure[9], The Smiths[10],[11] ou encore Radiohead[12],[13] et Primal Scream[14]. Depuis sa séparation en 1996, le groupe continue d'être cité en référence par une multitude d'artistes dont PJ Harvey[15], LCD Soundsystem[16], Tricky, Massive Attack, TV on the Radio[17] et Bloc Party[18],[19].

Biographie

Débuts avec John McKay (1977–1979)

La chanteuse Siouxsie Sioux et le bassiste Steven Severin sont les deux membres fondateurs du groupe. Avec le guitariste John McKay et le batteur Kenny Morris, ils enregistrent en 1977 deux John Peel Sessions très remarquées pour la BBC. Leur première Peel session devient l'une des plus plébiscitées de toute l'histoire du show[20].

En 1978, le groupe sort un premier single post-punk, le sur-vitaminé Hong-Kong Garden classé dès sa sortie numéro 7 au Royaume-Uni. Ce morceau produit par Steve Lillywhite, comporte un motif oriental particulièrement entraînant, joué sur un xylophone. Pendant l'enregistrement, Steve Lillywhite suggère à Kenny Morris de jouer certaines parties séparément, « la grosse caisse et la caisse claire en premier » puis « les cymbales et les toms »[21]. Cela crée un son de batterie avec plus d'espace et d'écho.

Leur premier album The Scream suit dans la foulée avec des morceaux qui préfigurent déjà la cold wave. Nick Kent écrit dans le NME : « Le groupe sonne comme un héritage unique du Velvet Underground mélangé à une partie de l'ingéniosité de Can époque Tago Mago. »[22], il poursuit : « Sûrement, le traditionnel son (guitare, basse, batterie) n'a jamais été utilisé aussi inhabituellement dans le passé et avec des résultats aussi remarquables. » L'album marque durablement les esprits et vingt ans plus tard, la musique de Metal Postcard sera reprise par Massive Attack sur la BO du film The Jackal [23].

En 1979, Siouxsie and the Banshees devient un des fleurons de la scène musicale britannique, avec des concerts qui sont de véritables cérémonies rock mais, en septembre, un conflit éclate entre les musiciens au début de la tournée de l'album Join Hands, provoquant le départ précipité de John McKay et Kenny Morris[24]. Le guitariste Robert Smith de The Cure assure alors une première fois l'intérim un mois durant, jouant lors de la tournée d'abord avec son groupe en première partie, puis avec les Banshees en seconde partie.

Période John McGeoch (1980–1982)

Siouxsie Sioux en 1980.

En 1980, avec l'arrivée d'un nouveau guitariste John McGeoch transfuge de Magazine et du batteur Budgie de the Slits, le groupe enregistre des morceaux plus pop comme Happy house et Christine, et d'autres plus atypiques comme l'électro-rock Red Light. On retrouve ces titres sur Kaleidoscope, un album qui par son éclectisme séduit un public plus large, se classant no 5 en Angleterre. En 1981, Siouxsie et Budgie forment un deuxième groupe The Creatures pour jouer une musique basée davantage sur les percussions, et les Banshees publient en cette même année Juju[24], un des disques les plus marquants de leur carrière selon Johnny Marr des Smiths[25],[11].

En 1982 sort A Kiss in the Dreamhouse, un disque novateur psychédélique et expérimental, qui flirte parfois avec des rythmes dance avec le single Slowdive[26]. Le groupe fait appel pour la première fois à une section de cordes[24], celles-ci sont enregistrées aux studios Abbey Road. L'album suscite un vif enthousiasme critique en Angleterre[27],[28]. Le NME conclut sa chronique en promettant à ses lecteurs : « Cette musique vous coupera le souffle »[29]. Mais John McGeoch, épuisé par l'enregistrement du disque, est contraint de quitter le groupe peu de temps après[24].

Période de transition (1983–1987)

Robert Smith prend une nouvelle fois le relais et devient à son tour le guitariste officiel des Banshees de 1982 à 1984. Il enregistre avec eux le single Dear Prudence, une reprise de la chanson des Beatles, et le live (album et vidéo) Nocturne capté à Londres en 1983, puis il participe à l'enregistrement de l'album studio Hyæna[24].

Avec le single Cities in Dust publié en 1985, Siouxsie ouvre une nouvelle brèche avec une approche résolument plus directe : ce titre renoue avec l'urgence de leurs débuts. Tinderbox, l'album qui suit en 1986, met en valeur le jeu de guitare en arpèges de la nouvelle recrue John Carruthers. En France, Tinderbox est inclus dans la liste des meilleurs albums de l'année des Inrockuptibles[30]. Le guitariste John Carruthers participe ensuite à l'album de reprises Through the Looking Glass : un disque qui permet aux musiciens d'expérimenter à nouveau grâce au soutien de leur producteur et ami Mike Hedges. Peu de temps après sa sortie, John Carruthers quitte le groupe d'un commun accord : il sera remplacé par Jon Klein[24].

Succès critique (1988–1989)

En 1988, le groupe attire un public de masse en Amérique du Nord avec l'album Peepshow qui reçoit la note maximale de cinq étoiles dans le mensuel anglais Q Magazine[31]. Le premier single qui en est extrait, Peek-a-boo, sonne comme un hip-hop expérimental avec des sons abrasifs. Ceci est dû en partie à des samples de bandes passées à l'envers. L'instrumentation s'étoffe au passage avec l'arrivée du multi-instrumentiste Martin McCarrick qui joue de l'accordéon et du violoncelle en plus des claviers. La ballade The Last Beat Of My heart est particulièrement encensée par la critique[32],[33],[34]. En France, Peepshow est élu cinquième meilleur album de l'année par les lecteurs du mensuel musical Best[35].

Après la tournée qui suit, Siouxsie et Budgie profitent d'une période de repos pour enregistrer un nouvel album des Creatures, Boomerang, où minimalisme devient synonyme de liberté esthétique. Pour le NME, Boomerang est « un paysage plein d'exotisme foisonnant et déstabilisant »[36] et pour le critique Simon Reynolds, le disque est « rempli de choses brillantes » [37]. Killing Time, un morceau bluesy avec des arrangements de cuivres, sera repris sur scène par Jeff Buckley quelques années plus tard[38],[39].

Derniers albums et fin (1991–1996)

En 1991, les Banshees reviennent avec Superstition. Le premier titre Kiss Them for Me se retrouve classé 23e dans le Billboard Hot 100, les charts des meilleures ventes de singles aux États-Unis : la chanson produite par Stephen Hague (connu pour avoir travaillé précédemment avec New Order et Pere Ubu) mélange une rythmique baggy à des cordes Beatles avec voix éthérée à la clef. Certains journalistes parlent de pop sophistiquée[40]. Durant l'été, le groupe participe à la première édition du festival itinérant Lollapalooza aux États-Unis en tant que deuxième tête d'affiche. En 1992, ils composent le titre Face to Face pour la bande originale du film Batman : Le Défi à la demande du réalisateur Tim Burton.

En 1994, Siouxsie chante en duo avec Morrissey sur le single Interlude, une ballade élégiaque servie par des arrangements de cordes. Un an plus tard paraît le dernier album studio du groupe : The Rapture, un disque qui est musicalement assez proche de A kiss in the dreamhouse. Les Banshees se séparent peu de temps après. Siouxsie et Budgie poursuivent ensuite l'aventure avec leur deuxième groupe The Creatures[24]. Ensemble, ils enregistrent une musique particulièrement habitée sur Anima Animus. Cet album séduit les critiques : The Times le décrit comme « hypnotique et inventif »[41] et la chanteuse PJ Harvey le classe sur son site internet dans ses dix albums préférés sortis en 1999[42].

Réunion et post-séparation (depuis 2002)

Après avoir pris part à une courte reformation des Banshees en 2002, Siouxsie participe à l'album Kish Kash de Basement Jaxx puis à Hái!, le dernier album studio des Creatures, salué par le mensuel Magic lors de sa sortie[43].

En 2004, le coffret Downside Up regroupe cinquante-cinq titres inédits, parus en Angleterre en faces-B de singles entre 1978 et 1995. Parmi ces titres figure Tattoo, un morceau pré-trip hop composé par le groupe en 1983 et repris depuis par Tricky[44]. Le groupe sort aussi une compilation CD de toutes leurs sessions effectuées pour John Peel, Voices on the Air: The Peel Sessions[45]. Siouxsie tourne aussi en 2004 pour la première fois sous son seul nom, incluant dans son répertoire des chansons de ses deux groupes. Un concert capté au Royal Festival Hall de Londres avec le Millenia Ensemble sort en DVD en 2005 avec pour titre, Dreamshow. En , paraît le premier album solo de Siouxsie, Mantaray. Le disque reçoit un bon accueil de la critique anglo-saxonne : le site Pitchfork parle dans sa chronique de « pop » et écrit « c'est un succès »[46].

En 2009, plusieurs rééditions proposent en version remasterisée les albums parus entre 1982 et 1986, dont le classique A Kiss in the Dreamhouse, considéré comme un chef-d'œuvre par la presse anglaise[27],[47]. Comme pour les rééditions 2006 des quatre premiers albums, il y a sur chaque CD une série de bonus inédits. Un coffret constitué d'archives inédites des Banshees, At the BBC, paraît aussi peu de temps après. Il comporte un DVD avec toutes les performances live du groupe données pour la télévision anglaise BBC de 1978 à 1991, et des CD audio réunissant l'intégralité des sessions radio plus des enregistrements inédits de concerts enregistrés à Oxford en 1985 et à Londres en 1988. Un autre DVD live de Siouxsie, en solo cette fois-ci, est aussi disponible. Intitulé Finale - The Last Mantaray and More Show, il propose un concert capté à Londres en avec d'autres prestations en bonus.

En , les quatre derniers albums studio du groupe paraissent en édition remasterisée avec plusieurs inédits en bonus sur chacun d'entre eux[48]. La chanteuse et son ex-bassiste réalisent aussi un CD compilation intitulé It's a Wonderfull Life pour le mensuel Mojo sorti le avec Siouxsie en couverture[49]. Sur ce CD, les deux comparses mettent à l'honneur plusieurs compositeurs de cinéma et de musique classique[50].

En 2018, les onze albums studio du groupe sont réédités en LP vinyle à partir des bandes originales: Miles Showell du studio Abbey Road a eu recours au half speed mastering, une technique qui permet d'obtenir une résolution acoustique optimale[51]. Les rééditions vinyle de Superstition et The Rapture paraissent en double LP[52].

Influence sur d'autres artistes

Siouxsie and the Banshees ont inspiré une multitude d'artistes majeurs.

Joy Division et Peter Hook les citent comme « une de nos grosses influences [...] pour la façon inhabituelle de jouer de la guitare et de la batterie »[8]. Stephen Morris a également avoué son intérêt pour le premier batteur des Banshees, Kenny Morris, pour son utilisation particulière des toms[53]. En 2003, le chanteur de The Cure, Robert Smith précise : « Avoir été leur guitariste a vraiment changé ma vision sur ce que je faisais. »[54]. Smith dit aussi à propos d'un de ses disques : « The Head on the Door me fait penser à l'album Kaleidoscope, à l'idée d'avoir une multitude de sonorités différentes, de couleurs différentes »[55]. Les deux principaux membres des Smiths ont aussi encensé le groupe. Morrissey déclare que « Siouxsie and the Banshees étaient l'un des grands groupes de la fin des années 70 et du début des années 80 »[56]. Il a aussi dit en 1994 : « Aucun de ces groupes n'arrive à la cheville de Siouxsie and the Banshees. Ce n'est pas de la nostalgie mal placée. C'est un fait. »[57] Johnny Marr déclare, de son côté, qu'il admirait particulièrement le travail du guitariste John McGeoch sur l'album Juju des Banshees[11],[58] commençant par le single Spellbound[59]. Dave Gahan de Depeche Mode les a mentionnés parmi ses trois groupes préférés en avec les Sparks et Roxy Music[60]: il dit aussi « Siouxsie fait un excellent usage de sa voix […] Elle chante avec un côté sexy - c'est ce que j'aime »[61],[62]. U2 ont sélectionné le simple Christine en 2005 pour une compilation spécialement conçue pour les lecteurs du magazine Mojo[63] et Bono et The Edge citent le groupe comme une de leurs influences majeures[64],[65],[66].

Dans les années 1990, ils ont eu un impact important sur certains groupes trip hop, ainsi Tricky reprend le pré-trip hop Tattoo comme morceau d'ouverture de son deuxième album Nearly God[44],[67] et Massive Attack samplent la musique de Metal Poscard sur leur titre Superpredators (Metal Postcard), pour la bande originale du film The Jackal en 1997[23],[68].

D'autres artistes chantent aussi certains morceaux du groupe. LCD Soundsystem enregistrent une version de Slowdive pour la face-B de leur single Disco Infiltrator. Jeff Buckley reprend plusieurs fois sur scène la chanson Killing Time[69] que Siouxsie avait composée sur l'album Boomerang de The Creatures. La chanteuse Santigold a créé un de ses morceaux à partir de la musique de Red Light. « My Superman est une interpolation d'une chanson de Siouxsie, Red Light »[70]. Toujours dans le registre reprise, Red Hot Chili Peppers ont interprété Christine lors de leur passage au festival anglais V2001[71]. et en interview, leur guitariste s'est régulièrement référé au son de guitares des Banshees[72]. The Beta Band ont samplé le morceau Painted Bird : ils l'ont ré-interprété en changeant le titre en Liquid Bird sur leur album Heroes to Zeros[73]. Les Canadiens d'Arcade Fire ont quant à eux conseillé au groupe DeVotchKa de reprendre la ballade avec cordes The Last Beat of My Heart : ces derniers considèrent leur version comme la pierre angulaire de leur EP Curse Your Little Heart[74].

D'autres formations importantes les ont aussi cités en référence. Radiohead s'est inspiré des albums de la période John McGeoch. Les membres de Radiohead ont en effet déclaré que pendant l'enregistrement de There There, ils sont devenus enthousiastes à la fin quand leur producteur Nigel Godrich a fait sonner leur guitariste Jonny Greenwood comme John McGeoch de Siouxsie and the banshees[75].

Siouxsie and the Banshees ont été encensés par d'autres pairs. Dave Navarro de Jane's Addiction a fait un parallèle entre son groupe et les Banshees : « Il y a des points communs entre Jane's et les Banshees : la mélodie, l'utilisation des sons, le sexe-appeal et pourtant nous venons de backgrounds différents. J'ai toujours vu Jane's Addiction comme les Siouxsie & the Banshees masculins. »[76] Par ailleurs, la formation américaine TV on the Radio a déclaré avoir été influencée par la structure du morceau Kiss Them For Me où « d'un seul coup, il y a cet élément de surprise avec une batterie géante qui arrive »[17]. Jim Reid de The Jesus and Mary Chain a cité The Scream et la chanson Jigsaw Feeling parmi ses disques favoris[77]. Le groupe est aussi cité par Air[78].

Certaines chanteuses saluent aussi Siouxsie. PJ Harvey mettra sur son site officiel, l'album Anima Animus de Siouxsie fait avec les Creatures dans ses dix albums préférés sortis en 1999[42]. La chanteuse de Garbage, Shirley Manson, nomme Siouxsie comme l'une de ses principales influences lorsqu'elle a rédigé la préface de la biographie des Banshees, écrite par Mark Paytress (journaliste du magazine Mojo) en 2003. Dans un texte de plusieurs pages, elle précisa : « J'ai appris à chanter en écoutant les albums The Scream et Kaleidoscope... Aujourd'hui, je peux voir et entendre partout l'influence des Banshees »[79]. La chanteuse cite le premier album des Banshees parmi ses disques préférés[80].

Membres

Derniers Membres

Anciens Membres

Discographie

Albums studio

Albums live

Compilations

Remasterisations

Vidéographie

DVD

Notes et références

Références

  1. Alexandre Alajbegovic. "Une raie manta dans la (new) wave". Lalibre.be. 08 août 2008. Consulté le 2 décembre 2016.
  2. Hazel Cillshow, "How Marie Antoinette's Soundtrack Became a Classic". Mtv.com. 10/10/2016. "Coppola paired the pretty, pale luxury of Versailles with the sound of new wave acts like [...] Siouxsie and the Banshees".
  3. Peter Buckley, "The Rough Guide to Rock". 2003. Penguin books. "Siouxsie and the Banshees began to build a wider audience and it was the vastly influential "Juju" (1981) that propelled them to the very front of the alternative-rock scene".
    « Siouxsie Sioux Lifts Lid On Banshees “Power Struggle" » (version du 14 décembre 2017 sur l'Internet Archive), Mojo.com., 25 setembro 2014.
  4. (en) "A Life Less Lived: The Gothic Box". Pitchfork. 24 janvier 2007, Consulté le 3 mars 2014. "Ils commencent (leur compilation) avec des classiques de groupes qui étaient les parrains du rock gothique -- Joy Division, the Cure, Bauhaus, Siouxsie & the Banshees --. (They start with familiar classics from the bands who turned out to be goth's godfathers-- Joy Division, the Cure, Bauhaus, Siouxsie & the Banshees--).
  5. Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la norme API.
    Le nom Siouxsie vient des indiens sioux américains et se prononce [suː] avec un 'x' muet (voir cette interview télé donnée en français sur FranceTélévision en 2007. Consultée le 2 janvier 2020.)
  6. (en) Nigel Williamson, «Siouxsie & the Banshees», The Times (archive payante sur le site du Times), 27 novembre 2004. Consulté le 12-12-2011. "with the Banshees she helped to invent a form of post-punk discord full of daring rhythmic and sonic experimentation".
  7. (en) Nigel Williamson, «Siouxsie & the Banshees», The Times (archive payante sur le site du Times), 27 novembre 2004. Consulté le 12-12-2011. "the Banshees stand proudly alongside PiL, Gang of Four and the Fall as the most audacious and uncompromising musical adventurers of the post-punk era".
  8. (en) US Archive.is "Playlist – Peter Hook’s “Field recordings". Q magazine. 23 avril 2013. Consulté le 10 janvier 2017. "Siouxsie and the Banshees were one of our big influences [...] The Banshees first LP was one of my favourite ever records, the way the guitarist and the drummer played was a really unusual way of playing". Archivé à Archive.is. Archive consultée le 3 mars 2016.
  9. Rob Fitzpatrick, « Robert Smith interview », The Word, (consulté le ) : « I played with the Banshees through our first tour, and it allowed me to think beyond what we were doing. I wanted to have a band that does what Steve Severin and Budgie do, where they just get a bassline and the drum part and Siouxsie wails. ».
  10. Al Horner, « Johnny Marr On Working With Noel Gallagher, Scottish Independence And More – Twitter Q&A », NME, (consulté le ).
  11. "Johnny Marr Top Ten Guitarists". Morrissey-solo.com. Novembre 2004. Consulté le 5 mai 2011. NO.10 John McGeoch. Johnny Marr picks; Magazine "Real Life"(1978) / Siouxsie And The Banshees "Juju"(1981).
  12. « Radiohead Ed O'Brien interview on 94/9 radio, San Diego radio » (version du 5 mars 2017 sur l'Internet Archive), .
  13. (en) Ryan Dombal, « Radiohead interview », Pitchfork, (consulté le ) : « In rehearsals yesterday, Thom, Ed and I were running through a Siouxsie and the Banshees cover called "Happy House". ».
  14. « The 1975’s Matty Healy in conversation with Bobby Gillespie », theface.com/, (consulté le ) : « The last great rock bands were Siouxsie and the Banshees, the Buzzcocks and Joy Division. And those three bands were the best post-punk bands for me. The ideas in the music and the lyrics for those three bands completely influenced Primal Scream. » archivé à archive.is
  15. (en) Steve Appleford, « Checking In With . . . PJ Harvey In a New York State of Mind [interview] », Los Angeles Times, (consulté le ) : « Q: Was there any figure who connected with you when you were just a listener? A: It's hard to beat Siouxsie Sioux, in terms of live performance. She is so exciting to watch, so full of energy and human raw quality. ».
  16. LCD soundsystem a repris le titre de Siouxsie Slowdive(1982) en face-b de "Disco Infiltrator". "Slowdive" a aussi été le dernier morceau sur la setlist de concerts de LCD Soundsystem en 2005, voir ce reportage/interview de John Doran "Disco Infiltrated: An Early LCD Soundsystem Interview" thequietus.com. Consulté le 5 janvier 2016.
  17. (en) Siouxsie Sioux, The Fader Magazine, The Icon Issue 67, avril/mai 2010. Page 71: Dave Sitek (David Andrew Sitek) TV on the Radio. "I've Always tried to make a song that begins like Kiss Them For Me. I think songs like "I Was a Lover" or "Wash The Day away" came from that element of surprise mode where all of a sudden this giant drum comes in and you're like, what the fuck?! That record was the first one where I was like, okay, even my friends who don't know who The Cure or Sonic Youth are, they're going to fall for this. I feel like that transition into that record was a relief for me. Really beautiful music was always considered too weird by the normal kids and that was the first example where I thought, we've got them, they're hooked! I watched people dance to that song, people who had never heard of any of the music that I listened to, they heard that music in a club and went crazy.
  18. (en) Josh O'Kane. "Talking Bloc during Harvest Jazz, Bloc Party frontman Kele Okereke talks life, love, music and Ultimate Fighting.". "[Here] New Brunswick". 18 septembre 2008, consulté le 17-3-2012. "With the new record, he said he was inspired by a song written years ago by Siouxsie and the Banshees called Peek-a-boo. "I heard it for the first time, and it sounded like nothing else on this planet. This is just a pop song that they put out in the middle of their career that nobody knows about, but to me it sounded like the most current but most futuristic bit of guitar-pop music I've heard. I thought, that'd be cool, to make music that people might not get at the time, but in ten years' time, people would revisit it." (traduction) "Avec le nouvel album, il [Kele Okereke] a dit qu'il s'est inspiré d'une chanson composée il y a des années par Siouxsie and the Banshees qui a pour titre Peek-a-Boo. La première fois que je l'ai entendue, ça ne ressemblait à rien d'autre sur cette planète. C'est une chanson une chanson pop qu'ils ont publié au milieu de leur carrière that peu de personnes connaissent, mais pour moi, elle sonnait comme le morceau de la pop musique avec guitare le plus futuriste et actuel que j'ai entendu.".
  19. "Bloc Party interview". Soundofviolence. 25 octobre 2008. consulté le 18-3-2012. "Quand je pense à des groupes comme les Talking Heads ou Siouxsie and the Banshees qui ont su se diversifier de manière constante, je me dis que nous sommes également sur la bonne voie et que notre évolution artistique est une bonne chose.".
  20. "Twenty Minutes into Twenty Years". Recordcollectormag.com. Octobre 2007. Consulté le 2 juillet 2020. archivé à archive.is. "The Banshees recorded a John Peel session which went out on 5 December and became one of the most requested in the show’s history".
  21. (en) Nige Tassell, "Tori Amos, Kristin Hersh, Anton Corbin and more recall their big career firsts", The Guardian, , consulté le .
  22. Nick Kent, Bansheed, NME, .
  23. inflightdata.com Massive Attack site. Massive attack sample Metal Postcard en 1997 sur Superpredators.
  24. Jérôme Soligny, Discorama Siouxsie, Rock & Folk, avril 1999, p. 63-67.
  25. "Johnny Marr Top Ten Guitarists". Uncut. Novembre 2004, le numéro avec U2 en couverture.
  26. (en) Allmusic, A Kiss in the Dreamhouse chronique par David ClearyAllMusic décrit Slowdive comme « un morceau au rythme dance coloré avec du violon ». Citation originale : Slowdive "a violin-colored dance beat number", "a catchy melodic hook".
  27. Steve Sutherland. "A Kiss in the Dreamhouse" chronique. Melody Maker, 6 novembre 1982. Extrait : "Dreamhouse is an intoxicating achievement".
  28. Richard Cook. 'A Kiss In The Dreamhouse' chronique. NME, 6 novembre 1982, Extrait : « It's rare for a group to make their fourth LP and still be provocative, still be interested in themselves, let along break any substantially new ground. For them to progress as far as Siouxsie and The Banshees have done on ‘A Kiss in the Dreamhouse’ is a feat of imagination scarcely ever recorded. It’s breathtaking. ».
  29. (en) Richard Cook. A Kiss In The Dreamhouse' chronique. NME, 6 novembre 1982.
  30. (en) Les Inrockuptibles" : 25 ans d'insoumission, Paris, Flammarion, , 495 p. (ISBN 978-2-08-126631-5), p. 42.
  31. (en) Peepshow five-star review, Mark Cooper, Q Magazine septembre 1988 : "Peep Show is a startling act of reinvention and the ultimate proof of Siouxsie's bloody mindedness. Contrary to expectation, the years have not withered the Banshees nor shrivelled their fertile imaginations. The cat is already half way out of the bag in the shape of Peek A Boo, the record's first single and a bizarre blend of scratch and swing that manages to sound quite unlike the Banshees while virtually boasting that it could be the work of no one else. Peek A Boo is typical of Peep Show in the way it addresses itself to familiar Banshee themes - in this case the bewitching and dubious power of the look - while managing to find unpredictable and joky ways of doing so. Martin McCarrick's accordion that pokes it's way into Peek A Boo is par for the course, a carny piece of musical imagination that adds fresh colouring to the Banshees' canvas while perfectly illustrating the monkey games that Peek A Boo is undermining. The rest of the record bursts with similar acts of imagination and establishes once and for all that the Banshees have long outgrown their sojourn as a mere rock band. Peep Show takes place in some distorted fairground of the mind where weird and wonderful shapes loom and songs emerge with names like Scarecrow, Carousel and Rhapsody. Full honours go to the aforementioned McCarrick for all manner of shrewd decorations and drummer Budgie for endlessly inventive rhythm work that manages to pinpoint the tension inherent in each song without ever lapsing into an obvious beat. When the first side concludes with Siouxsie witchily exploring nursery rhymes like "Jack be nimble, Jack be quick, Jack jump over the candlestick" to the strains of a harmonica, it's long since apparent that she is not trading on any laurels. When her singing simply shimmers on the ballad The Last Beat Of My Heart towards the end of side two, she has earned a new kind of respect. Twelve years and 11 albums in, Siouxsie & The Banshees have managed to recapture why they're in this game in the first place while binding that discovery to a well-earned maturity. The results are simply black magic.
  32. (en) Chris Roberts. Peepshow chronique. Melody Maker. 10 septembre 1988. "Peepshow is hesitantly hypnotic. It seduces you back. More than ever, the composition credits go to Sioux or Severin individually, this accounting for the suppliant proximity of their airs. Sioux's 'Turn To Stone' and 'Rawhead And Bloodybones' are simply disquieting, 'Burn Up' is flushed with Eros. Severin's 'Rhapsody' allows some stirring melodrama but the infinite pinnacle is their one joint effort, the bravura hymn 'The Last Beat Of My Heart'. As Martin McCarrick's accordian and Budgie's directly intelligent rhythms underlie it's pathos, this elegy is translated by Sioux with capital beatitude. It's the Banshees' most courageous arabesque in some time. If they have enough majesty in their guts to put it out as a single we really will be witnessing a renaissance.".
  33. (en) Kevin Murphy. Peepshow Chronique. Record Mirror. 10 septembre 1988 "The highlight is the restrained 'The Last Beat Of My Heart', where Siouxsie's voice explores new ground as she caresses a haunting melody.".
  34. (en) Tony Fletcher. "Peepshow" Chronique. Spin magazine. November 1988. Page 92-93."a delightful, majestic ballad… The Last Beat Of My heart".
  35. Les Disques 1988. Best. Numéro 246. Janvier 1989.
  36. (en) Roger Morton. "Peek-A-Boom" [chronique de Boomerang]. NME. 11 novembre 1989. A rich and unsettling landscape of exotica.
  37. (en) Simon Reynolds. Boomerang chronique. Melody Maker. 11 novembre 1989. "Boomerang ends with two songs as lulling and lovely as Pity. Venus Sands describes itself perfectly. Siouxsie's voice abandoned and unhinged in vast empty space. And Morrina is a shimmering carpet of dew, a Milky Way awning for Sioux's reveries. It's the most serene she's ever sounded. Boomerang abounds with scarcely anticipated brilliance.
  38. Untiedundone. Jeff Buckley a repris "Killing Time" (une chanson de Siouxsie et The Creatures, de l'album Boomerang 1989) Buckley l'a chanté pour la radio WFMU Studios, East Orange, NJ, 10.11.92.
  39. jeffbuckley-fr.net Killing Time chantée par Jeff Buckley, liste des reprises de son répertoire.
  40. Thomas Solinel, Superstition Kiss Them for Me, musique pop sophistiquée et cynique, arrangements de cordes Beatles et beat rap, Le Monde, .
  41. (en) "Anima Animus review", The Times, . "This release is a triumph. Broadening the palette to include humming guitars and bubbling electronics, the songs celebrate Budgie's distinctly un-rock percussion. Siouxsie, meanwhile, has rarely been in better voice. The opening track, Second Floor is a fantastically knowing melodrama, riding a techno pulse, while the ominous, epic Exterminating Angel pursues its prey in lamplit streets. It's entrancing, hypnotic and inventive".
  42. "7th January 2000 : PJ selects her Top 10 Albums of 1999" Pjharvey.net. . PJ Harvey a sélectionné l'album Anima Animus de The Creatures, le deuxième groupe de Siouxsie, dans ses 10 albums préférés de 1999.
  43. Philippe Richard. "Chronique de l'album Hai de The Creatures". Magic. Avril 2004. Consulté le 2 janvier 2015.
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  47. Richard Cook. 'A Kiss In The Dreamhouse' chronique. NME, 6 novembre 1982.
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  51. « Join Hands explication »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) : « From the original ¼” tapes and cut at half speed at Abbey Road studios, London ».
  52. Voir l'édition double vinyl LP de Superstition paru chez - référence SATBLP12 UMC/Polydor ainsi que l'édition double LP de The Rapture référence SATBLP13 également chez ULC/Polydor
  53. Stephen Morris, Record Play Pause : Confessions of a Post-Punk Percussionist : The Joy Division Years Volume I, Constable, , 416 p. (ISBN 978-1-4721-2620-7 et 1-4721-2620-3)
    « It would be Siouxsie and the Banshees to whom I most felt some kind of affinity. [...] the bass-led rhythm, the way first drummer Kenny Morris played mostly toms. [...] The banshees had that [...] foreboding sound, sketching out the future from the dark of the past. [...] hearing the sessions they'd done on John Peel's show and reading gigs write-ups, [...] they sounded interesting. »
    .
  54. Interview de Robert Smith par Alexis Petridis dans la Biography de Siouxsie signée Mark Paytress, Sanctuary editions 2003, p. 96.
  55. interview de Robert Smith par Steve Sutherland publiée dans le Melody Maker du 17 août 1985 ; A suitable case of treatment.
  56. (en) Morrissey — KROQ interview (part 4/4), diffusé le 6 juillet 1997, Interview by Richard Blade for KROQ 106.7, Los Angeles, CA, Siouxsie and the Banshees were excellent. They were one of the great groups of the late 70s, early 80s.
  57. (en) Hello, Cruel World ; Morrissey interviewed by Stuart Maconie - Q, avril 1994.
  58. (en) "Johnny Marr Top Ten Guitarists". Morrissey-solo.com. Novembre 2004.
  59. BBC2 the story of John McGeoch featuring Johnny Marr, À propos de la performance de McGeoch sur le single Spellbound, Marr déclare : It's so clever. He's got this really good picky thing going on which is very un-rock'n'roll and this actual tune he's playing is really quite mysterious. Radio 2’s Pete Mitchell talks to Howard Devoto, Siouxsie Sioux and Johnny Marr among others, as he shines a light on the life of this unsung guitar hero..
  60. (en) « Collect-a-Page (Dave Gahan's questionnaire) » (version du 27 novembre 2008 sur l'Internet Archive), Look-In, .
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  62. (en) Depeche Mode, Smash Hits (Royaume-Uni), 7 mars 1990, In February 1986 Dave Gahan reviewed the Smash Hits singles. Single of the fortnight was “Candyman” by Siouxsie & The Banshees (remember that, don’t you?).
  63. U2 Wanderer.org U2 a sélectionné Christine pour une compilation destinée aux lecteurs du mensuel Mojo.
  64. U2 by U2, écrit en collaboration avec Neil McCornick, éditions Au Diable Vauvert. Page 58. Bono : « Au chant, j'ai eu du mal. J'étais devenu un fan de Siouxsie And The Banshees, ce qui en soi n'était pas un problème, c'était même une des meilleures choses qui pouvaient m'arriver - sauf que j'avais aussi pris son accent. ».
  65. U2 by U2. Page 56. The Edge : « J'imagine aussi que vu tout ce que nous écoutions comme musique, notre écriture a également été inspirée par Patti Smith, The Clash, Siouxsie And The Banshees, David Bowie, Magazine, The Buzzcocks. Tout ce qui circulait alors était plongé dans la marmite, d'où ressortaient nos chansons. ».
  66. U2 by U2. Page 96. The Edge : « Le nom de Steve Lillywhite est arrivé sur le tapis. Il avait produit Siouxsie And The Banshees, XTC et plein d'autres groupes que nous aimions. ».
  67. Boyd, Brian. "He Be The Prophet". The Irish Times. 24 mai 1996. Consulté le 20 janvier 2021.
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  74. (en) « DeVothcka biography » (version du 10 février 2009 sur l'Internet Archive).
  75. Radiohead Biographie officielle MuchMusic.com - Extrait : « Colin Greenwood remembers : The running joke when we were making this record was that if we recorded a track that stretched over 3mn 50 sec., we'd say "Oh fuck, we've buggered it then. It's gone on too long." Of course, the irony is that the first single we're releasing is actually the longest song on the record. (There There). It was all recorded live in Oxford. We all got excited at the end because Nigel was trying to get Jonny to play like John McGeoch in Siouxsie And The Banshees. All the old farts in the band were in seventh heaven. ».
  76. Mark Paytress Biography de Siouxsie 2003, p. 199.
  77. (en) « Jim Reid Duration: 1 hour », BBC Radio 6, (consulté le ) : « Jim Reid of The Jesus and Mary Chain plays some of his favourite records, including tracks by Pink Floyd, Siouxsie & the Banshees, The Monkees and Muddy Waters ».
  78. (en) Larry Fitzmaurice. Air The French electronic duo. Pitchfork.com. 31 janvier 2012. When I was 15… I discovered Kraftwerk, Siouxsie and the Banshees, New Order.
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  80. « garbage.net interview de Garbage dans le Melody Maker » (version du 20 février 2003 sur l'Internet Archive).

Voir aussi

Bibliographie

  • Samantha Bennett, Siouxsie and the Banshees' Peepshow (33 1/3), Bloomsbury Publishing, (ISBN 978-1-5013-2186-3 et 1-5013-2186-2)
  • Diva Siouxsie par Étienne Ethaire, éditions Le camion blanc, 2008 - Inclus 60 photos inédites de Stéphane Burlot.
  • À travers le miroir par Mark Paytress, préface de la chanteuse Shirley Manson, éditions le camion blanc 2007 - Inclus 100 photos inédites de Philippe Carly. Traduction française du livre "Siouxsie & the Banshees : The Authorized Biography" (2003) basé sur une série d'entretiens avec la chanteuse et les ex-membres de son groupe.
  • Clinton Heylin (trad. de l'anglais), Babylon's burning : du punk au grunge, Paris, France, éditions Au Diable Vauvert, , 749 p. (ISBN 978-2-84626-130-2).
  • Brian Johns, Entranced : the Siouxsie and the Banshees story, Omnibus Press, (ISBN 0-7119-1773-6)
  • (en) Simon Reynolds, Rip It Up and Start Again : Postpunk 1978–1984, Penguin, , 416 p. (ISBN 0-14-303672-6)

Liens externes

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