Seyssinet-Pariset

Seyssinet-Pariset est une commune française, située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Pariset.

Seyssinet-Pariset

Hôtel de ville de Seyssinet-Pariset.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Guillaume Lissy
2020-2026
Code postal 38170
Code commune 38485
Démographie
Population
municipale
12 017 hab. (2018 )
Densité 1 128 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 51″ nord, 5° 41′ 49″ est
Altitude 262 m
Min. 209 m
Max. 1 565 m
Superficie 10,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Fontaine-Seyssinet
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Seyssinet-Pariset
Géolocalisation sur la carte : Isère
Seyssinet-Pariset
Géolocalisation sur la carte : France
Seyssinet-Pariset
Géolocalisation sur la carte : France
Seyssinet-Pariset
Liens
Site web www.ville-seyssinet-pariset.fr

    La commune, qui se situe dans l'aire urbaine de Grenoble, est adhérente de la métropole Grenoble-Alpes Métropole depuis la création de cette communauté d'agglomération.

    La plus grande partie de cette commune, souvent dénommée sous le simple vocable de Seyssinet, est située dans la banlieue immédiate de la ville de Grenoble, dont elle n'est séparée, à l'est, que par le cours du grand torrent alpin, le Drac. Le village de Pariset est, quant à lui, situé sur les premières pentes du massif du Vercors, le long de la route de Saint-Nizier-du-Moucherotte.

    À la suite d'un nouveau découpage territorial mis en application à l'occasion des élections départementales de 2015, le territoire de la commune est rattaché au canton de Fontaine-Seyssinet.

    Ses habitants sont appelés les Seyssinettois. La mairie est située à 215 m d'altitude et le centre du hameau de Pariset est situé à 650 m d'altitude[1].

    Géographie

    Carte du territoire de Seyssinet-Pariset.

    Situation

    Le territoire communal de Seyssinet-Pariset est situé entre le massif du Vercors et la berge occidentale du Drac, affluent de l'Isère. La ville est membre de la métropole Grenoble Alpes Métropole.

    Seyssinet-Pariset (hôtel de Ville) est située à environ km du centre de Grenoble, préfecture de l'Isère, à 98 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et 575 km de Paris (par la route)[2].

    Description

    Le territoire communal de Seyssinet-Pariset est entièrement situé à l'ouest du torrent du Drac, affluent de l'Isère et dans la partie occidentale de l'agglomération grenobloise.

    Son territoire est partagé en deux parties nettement distinctes : l'une (la moins importante en superficie), établie à l'est de la commune, est un secteur fortement urbanisé présentant un ensemble résidentiel d'immeubles et de villas s'étendant à proximité du Drac, affluent de l'Isère, et l'autre installé à l'ouest des terres communales, se présente comme un secteur, peu urbanisé, à vocation rurale et montagnarde et se situant dans les hauteurs.

    La limite de partage de ces deux territoires se situent au niveau des falaises du massif du Vercors et seule, une échancrure dans cette falaise permet le passage d'une route conduisant au massif en traversant les anciens bourgs médiévaux de Seyssinet-village et Pariset.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat des communes du bassin Grenoblois se situe entre le climat océanique et le climat continental, avec une légère influence méditerranéenne, ce qui entraîne des étés assez chauds mais plutôt humides. Le bassin grenoblois comporte un bon ensoleillement (2100 heures par an) mais des précipitations généralement abondantes (entre 900 et 1 000 mm par an). L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France, avec 19 °C d'écart entre janvier et juillet. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat car elles impliquent un effet de cuvette avec des chaleurs quelquefois torrides, l'été, et un froid assez important, l'hiver. D'autres phénomènes liés aux vents tels que l'effet de foehn sont également bien connus dans la région.

    Tableau des températures

    • Températures minimales et maximales enregistrées en 2012, 2013 et 2014 à Seyssinet-Pariset
    2012
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) 0 −3,2 2,3 7 9,8 14,6 13,5 15,5 11,5 8,5 3,6 0,1
    Température maximale moyenne (°C) 8,4 4,2 18,4 17,6 23,4 26,9 27,7 29,5 23,1 18,2 12 6,6
    Source : Source linternaute-climat de Seyssinet 2012 sur linternaute.com, d'après Météo France.
    2013
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −1,4 −2 2,7 6,4 8,5 12,7 16,3 14,9 11,8 10,5 3 −1,7
    Température maximale moyenne (°C) 5,4 5,3 12,1 17,7 18,4 25 29,6 27,8 23,6 19,5 9,1 9,1
    Source : Source linternaute-climat de Seyssinet en 2013 sur linternaute.com, d'après Météo France.
    2014
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −1,1 2 2,7 6,8 8,7 13,9 14,7 14,3 12,6 10,2 5 1,4
    Température maximale moyenne (°C) 8,9 10,7 16,4 19,9 21,5 27,6 24,8 25,4 23,5 21,3 13,9 8,1
    Source : Source linternaute-climat de Seyssinet en 2014 sur linternaute.com, d'après Météo France.

    Hydrographie

    Le territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau : une rivière (le Drac) au débit torrentiel et quelques rus ou ruisseaux qui sont tous ses affluents.

    Le Drac

    Le Drac entre Grenoble et Seyssinet.

    Le Drac, principal affluent de l'Isère, longe la partie orientale de la commune sur toute la longueur du territoire. Cette rivière, parfois qualifiée de torrent, naît dans le Champsaur, dans le département des Hautes-Alpes à un peu plus de 2 000 mètres d'altitude et finit par se jeter dans l'Isère, à la limite nord du territoire de la commune voisine de Fontaine[3].

    Ce torrent, dénommé quelquefois « Dragon » dans la tradition dauphinoise, connu pour ses crues dévastatrices, a fait l'objet de longs travaux d'endiguement au cours des XVIIe et XVIIIe siècles pour ensuite être franchi par trois ponts au niveau de la commune au cours du XIXe siècle et du XXe siècle.

    Les autres cours d'eau

    • Le ruisseau du Bouteillart
    • Le ruisseau des Arcelles

    Transports en commun locaux

    Le tramway de la ligne C sur le pont de Catane, en direction de Seyssinet-Pariset

    Le territoire communal est sillonné par trois lignes de bus et une ligne de tramway du réseau de Transports de l'agglomération grenobloise qui la relie avec les autres communes de l'agglomération grenobloise.

    La ligne C du tramway de Grenoble relie la commune de Seyssins à celle de Saint-Martin-d'Hères sur 9,4 km de long. Cette ligne traverse une grande partie de la commune dans une direction est-ouest. Elle permet notamment de relier Seyssinet-Pariset avec Grenoble et son l'hôtel de ville, la bibliothèque d'étude de Grenoble et le Stade des Alpes, après avoir franchi le pont de Catane. Des correspondances existent avec la ligne A, la ligne B, la ligne D, et la ligne E, au niveau du territoire de la ville de Grenoble :

    • la ligne de bus C6 (dite ligne "chrono") qui relie Seyssinet-Pariset avec le polygone scientifique de Grenoble et la commune de Saint-Martin-d'Hères (Henri Wallon) ;
    • la ligne de bus 19 qui relie Seyssinet-Pariset avec la commune de Sassenage (l'Ovalie) et la commune de Fontaine ;
    • la ligne de bus 20 qui relie Seyssinet-Pariset avec la commune de Veurey-Voroize (Mairie).

    La ville héberge également un espace de stationnement mis à la disposition des usagers des transports en commun de la SEMITAG et dénommé « Parking-Relais »

    P+R Seyssinet-Pariset Hôtel de Ville Seyssinet-Pariset 75 places CC620

    Transport ferroviaire

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare ferroviaire SNCF de Grenoble, située à environ 3,5 km du centre de la commune. La gare routière est située à proximité de la gare ferroviaire. Les deux services sont reliés à la ville de Seyssinet par les transports en commun.

    Transports individuels

    Métrovélo est un parc service de location payante et de consigne de vélos géré par Grenoble Alpes Métropole mis à la disposition des habitants de l'agglomération et des visiteurs. Un box de consigne dit « MétroVélo Box » est situé sur le territoire de la commune à proximité de l'hôtel de ville.

    De nombreuses pistes cyclables sillonnent le territoire communal, notamment le long de la digue du Drac, sur l'avenue de l'Europe et l'avenue Victor Hugo réaménagées à lors de l'installation de la ligne de tramway.

    La commune possède, en outre un secteur piétonnier notable, situé autour du centre commercial de la Fauconnière et du Parc Lesdiguières.

    Voies de communication

    Seyssinet-Pariset depuis l'échangeur du Pont de Catane

    Située dans l’agglomération grenobloise, le territoire de Seyssinet-Pariset se situe à un point de convergence de plusieurs lignes routières et autoroutières.

    • L'autoroute A480 (rocade ouest de Grenoble)
    Il s'agit d'une autoroute urbaine totalement gratuite desservant l'ouest de l'agglomération de Grenoble sur une distance de 12,5 km. Cette autoroute qui a tout d'abord porté le numéro B48 jusqu'en 1982 présente une sortie vers Seyssinet-Pariset à la hauteur du pont de Catane.
     3 : Grenoble-centre, Seyssinet-Pariset, Z.I. des Vouillands
    L'ancienne route nationale 532 ou RN 532 est une route nationale française reliant Saint-Péray (Ardèche) à Grenoble (Isère). En 2006, la RN 532 a été déclassée dans le département de l’Isère en RD 1532.
    Cette route traverse le territoire de Seyssinet-Pariset depuis le nord-ouest (commune de Fontaine) vers le sud-est.

    Urbanisme

    Typologie

    Seyssinet-Pariset est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[7] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,5 %), zones urbanisées (20,1 %), prairies (11,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Morphologie urbaine

    Le territoire communal de Seyssinet-Pariset, inclus dans l'agglomération grenobloise est situé entre le Moucherotte et le Drac (au fond à droite sur la photo)

    À l'origine, les bourgs de Seyssinet et de Pariset, tous les deux situés sur les premiers contreforts du massif du Vercors à trois kilomètres de distance, l'un de l'autre, ne furent que deux modestes villages dont les centres urbains se concentraient autour de son église pour Seyssinet et son château médiéval pour Pariset.

    Ces bourgs ancestraux furent établis en hauteur, pour ne pas avoir à subir les crues violentes du Drac, le grand torrent alpin voisin qui a longtemps ravagé, avec l'Isère, la plaine de Grenoble.

    Progressivement, à la suite de la construction de digues protégeant des crues, puis durant la révolution industrielle, la commune s'est transformée en une ville de banlieue comme sa voisine, la commune de Fontaine, bien que cette dernière, avantagée par la présence de deux ponts la reliant directement à Grenoble et son agglomération, connut une progression démographique plus rapide au cours des XIXe siècle et XXe siècle. la construction du pont de Catane en 1963 encouragea cependant l'urbanisation de la commune et aujourd'hui, celle-ci présente, dans sa partie basse une vocation urbaine très nette et assez dense où se côtoient quelques grands ensembles et des villas de type pavillonnaire. Au fur et à mesure de l'augmentation de sa population, des quartiers plus ou moins disparates se sont créés pour finir par créer un ensemble urbain caractéristique de la rive gauche du Drac ou situent également les villes voisines de Sassenage et de Seyssins.

    Cependant, les hauteurs de la commune où se situe notamment le village de Pariset ont gardé un fort aspect rural du fait de la configuration géologique d'un territoire typiquement montagnard.

    Les secteurs de la commune

    La commune est divisé en de nombreux quartiers mais on peut facilement identifier cinq secteurs principaux :

    • La partie orientale proche du Drac située au nord et à l'est de la route nationale 532 dite route de Valence (boulevard de l'Europe) où se situe notamment le lycée Aristide Bergès et l'hôtel de ville,
    • La partie orientale également proche du Drac, mais située au sud de cette même route avec notamment le centre commercial de « la Fauconnière », le collège Pierre Dubois et le stade,
    • La partie septentrionale située à l'ouest de cette même route, face à la falaise avec la gendarmerie avec notamment la rue du Moucherotte comme artère centrale,
    • Les deux parties occidentales avec l'ancien village de Seyssinet, situées sur une élévation de la route et le village de Pariset, ancienne commune devenu simple hameau et qui domine le territoire communal avec son donjon ruiné et son émetteur hertzien.

    Le découpage INSEE de Seyssinet-Pariset (Ilots Regroupés pour l'Information Statistique, dit "IRIS") a divisé la commune en douze secteurs distincts[14] :

    Secteurs de Fontaine
    Secteur IRISRéf. INSEE
    Les Îles-Nord0 101
    Les Îles-Sud0 102
    La Fauconnière0 103
    Pacalaire0 104
    Le Village0 105
    Haut de la commune0 106

    Eau et assainissement

    La collectivité de Grenoble Alpes Métropole détient la gestion du cycle de l’eau sur l'ensemble des 49 communes de son territoire assurant la protection des ressources, la production d’eau potable, la distribution aux usagers, ainsi que la collecte et le traitement des eaux usées[15].

    Risques d’inondation

    Le Drac est endigué depuis le xixe siècle, néanmoins la zone inondable a récemment été étendue et les contraintes de construction et de précaution ont été renforcées — et contestées —, aussi récemment que 2019[réf. nécessaire].

    Risques sismiques

    Le territoire de Seyssinet-Pariset est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des communes du territoire de l'agglomération grenobloise[16].

    Terminologie des zones sismiques[17]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

    Selon André Planck, auteur d'un livre sur la toponymie des communes de l'Isère, le nom Seyssinet-Pariset a une double signification correspondant au deux anciens bourgs[18] :

    • Seyssinet doit son origine au terme latin « Saxeus » qui donna son nom à la cité voisine de Seyssins qui signifie rocher et du diminutif et (autrefois, le village de Seyssinet était plus petit que celui de Seyssins)
    • Pariset doit son origine au terme latin « Paries » qui signifie paroi évoquant probablement la proximité des falaises du Vercors et n'a donc aucun rapport avec le nom de la capitale de la France.

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Préhistoire

    Il existe à Pariset, deux sites préhistoriques importants pour la connaissance du peuplement de la région[19].

    Dans la grotte dite « des Sarrasins », au pied de la Tour sans venin, des fouilles effectuées en 1880 puis durant les années 1965 à 1971 ont livré sur trois mètres d'épaisseur, des vestiges s'étalant sur toutes les périodes, du Néolithique récent au Moyen Âge, depuis le début de la mise en valeur agricole des flancs du Vercors[20].

    Au Chatelas, une nécropole avec sept inhumations fut découverte en 1915. Une abondance de bracelets de bronze permit de la dater de la fin du premier âge du Fer (Hallstatt), vers le VIe siècle av. J.-C.[21].

    Moyen Âge et Renaissance

    Dans les environs de la nécropole se trouvent les vestiges de la motte du Chatelas, à 80 m du rocher du Chatelas[21]. Le site date de l'époque médiévale.

    Temps Modernes

    En 1753, le village et la région de Grenoble connaissent le premier tremblement de terre dont l'Histoire ait gardé trace[22].

    Époque Contemporaine

    Le Tramway Grenoble - Villard-de-Lans sur un viaduc à Pariset au début du XXe siècle.

    À l’origine, la petite commune de Pariset se composait de trois parties bien distinctes mais reliées par un tramway : Seyssinet, Pariset et Saint-Nizier. Ces « bourgs » étant très éloignés les uns des autres, et les métiers très divergents, le conseil municipal étudia le projet de division de cette grande commune en deux nouvelles.

    En 1926, le projet est adopté à la majorité : deux communes doivent voir le jour : Seyssinet et Pariset-Saint-Nizier mais à la suite d’une nouvelle enquête, les nouveaux conseils municipaux remarquent que Pariset désire être rattachée à Seyssinet. Pour finir les deux nouvelles communes seront Seyssinet-Pariset et Saint-Nizier-du-Moucherotte. Durant la période d'entre-deux-guerres, la commune s'appela : Seyssinet-Pariset-la Tour Sans Venin, mais le dernier lieu-dit fut enlevé, par la suite, afin d'alléger le nom de la commune. La gare du chemin de fer de Grenoble à Villard-de-Lans, implantée à Pariset, était dénommée « Pariset-la Tour Sans Venin ». Cette mesure de changement de dénomination, coup après coup, reste assez exceptionnelle dans l’histoire de la IIIe République.

    Aujourd’hui très proche de Grenoble, le centre de la commune s’en rapproche encore depuis l’ouverture de la troisième ligne de tramway de l’agglomération grenobloise.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le maire actuel de la commune est Guillaume Lissy (DVG), élu en juin 2020. Celui-ci est assisté dans sa fonction par neuf maires adjoints et sept conseillers délégués.

    Le conseil municipal est actuellement composé de trois groupes politiques avec trente-trois membres élus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de 1947 à 2020
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 avril 1949 Marcel Balme    
    avril 1949 mars 1965 Joseph Guettat    
    mars 1965 novembre 1970 Louis Carrel    
    novembre 1970 mars 1995 Edmond Aguiard DVD  
    25 juin 1995 2020 Marcel Repellin DVD Retraité de l'Éducation Nationale
    3 juillet 2020 En cours Guillaume Lissy PS Juriste

    Jumelages

    La ville de Seyssinet-Pariset, depuis le [23], est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[25],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 12 017 habitants[Note 5], en diminution de 1,14 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5716737307349149579731 006936
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    944932930914904886903992904
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8618469709511 3421 3191 3581 6122 072
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 53910 86912 15712 89313 24113 07412 82612 22711 981
    2018 - - - - - - - -
    12 017--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La ville possède un ensemble d'établissements scolaires couvrant les besoins du territoire ouest de l'agglomération composé de plusieurs écoles maternelles, primaires, d'un collège et d'un lycée. On peut également mentionner l'école municipale agréée de musique et de danse.

    Enseignement primaire

    La commune de Seysinet-Pariset présente sur son territoire trois groupes scolaires comprenant pour chacun une école maternelle et une école primaire ainsi qu'une école maternelle et une école primaire séparée. Ces groupes scolaires sont[28].

    • Le Groupe scolaire « Vercors »;
    • Le Groupe scolaire « Chamrousse »;
    • Le Groupe scolaire « Moucherotte »;
    • L'école maternelle « Chartreuse » et l'école primaire « du village »
    Collège

    Le Collège public « Pierre Dubois » est situé avenue du Général-de-Gaulle, proche du centre de la commune.

    Lycée

    Le Lycée polyvalent général et tertiaire « Aristide Bergès » est situé 10 avenue Aimé Bouchayer, non loin de la limite avec la commune voisine de Fontaine.

    Équipements sportifs

    La commune de Seyssinet-Pariset héberge plusieurs installations sportives sur son territoire[29] :

    • Deux gymnases (Gymnase Louis Carrel et Gymnase Nominé)
    • Un Centre sportif Aristide Bergès (accolé au lycée) avec de nombreuses salles (escalade, musculation, 2 terrain de sport, terrain extérieur...)
    • Six courts de tennis en plein air et deux courts de tennis couverts
    • Un équipement de skate park
    • Un terrain de boules lyonnaises
    • Une piscine (située allée des glycines)

    et le centre sportif J. Guétat avec son stade, sa poste d'athlétisme et ses Plateaux d'évolution d'Éducation Physique et Sportive pour les adultes et les scolaires.

    Clubs sportifs

    La commune possède de nombreuses associations sportives sur son territoire dont un club de Football (l'amicale club Seyssinettois) et un club de Natation (l'AC Seyssinettois Natation).

    Cultes

    La ville de Seyssinet-Pariset dispose de plusieurs lieux de cultes

    Culte catholique

    La communauté catholique dépend de la paroisse Saint-Michel-du-Drac, elle même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[30].

    Culte protestant

    Il existe également une église protestante évangélique dans la Zone Industrielle de la Percevalière.

    Médias

    Afin d'informer les résidents de la commune et les visiteurs, la municipalité de Seyssinet-Pariset a installé sur plusieurs panneaux d'affichage électronique municipaux, situés dans des différents secteurs de la commune.

    Journaux

    Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ses quartiers ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

    Un journal, publié de façon périodique, existe au niveau local : « La Gazette » est une revue d'information municipale publié mensuellement et distribué gratuitement aux habitants de la commune. Les anciens numéros peuvent être consultés sur le site de la commune[31].

    Économie

    La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[32].

    Secteur artisanal et commercial

    Le centre commercial de la Fauconnière est à proximité de l'hôtel de ville de la commune et comprend une enseigne de la grande distribution et quelques petits commerces.

    Secteur industriel

    L'éditeur de logiciels Hardis est installé sur la zone d'activité de la Tuilerie.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre

    L'église Saint-Pierre de style roman remanié est déjà citée dans un document du XIIe siècle[21] comme église paroissiale. Selon le site de la mairie, celle-ci a probablement été construite sur les vestiges de l'ancienne chapelle du château seigneurial.

    Le château des Combes

    Le château des Combes et le Moucherotte en arrière-plan

    Situé en contrebas de l'église Saint-Pierre et dénommé à l'origine, « château de Combe », car situé dans un pli de la montagne dénommé « clos-aux-combes », le « château des Combes » a été érigé en 1634 sous sa forme actuelle, avec ses deux tours, mais avec un toit à faible pente et tuiles romaines[33]. Selon la tradition religieuse catholique, ce château aurait abrité François de Sales, alors évêque de Genève lors de ses venues à Grenoble en 1616 et en 1618. Propriété privée, ce château peut néanmoins être visité à l'occasion de certains événements locaux[34].

    Le château de Beauregard

    Cette demeure est un château de plaisance datant du XVIIIe siècle[21], est classé comme Monument historique par arrêté du  : le grand salon et la chambre contiguë situés au rez-de-chaussée sont classés, tandis que le château en totalité, sauf les pièces classées, et son parc en totalité, y compris les serres et les fabriques, sont inscrits[35].

    La tour sans Venin

    La tour sans venin

    Située en contrebas du hameau de Pariset et dominant la dépression grenobloise, la « tour sans Venin », aujourd'hui en grande partie ruinée, correspond aux vestiges du donjon de l'ancien château de Pariset dont l'origine remonte au XIe siècle[21]. Une légende locale narre les exploits du seigneur de Pariset qui aurait rapporté, à la suite d'une croisade menée en Terre sainte un bouclier rempli de terre prélevée sur le sol même du Saint-Sépulcre et répandit celle-ci sur le sol autour de son château ou se situe actuellement la tour, ce qui aurait entraîné la disparition définitive de tous les serpents et autres reptiles dont certains sont venimeux, d'où le nom donné à cette tour[36].

    Ce monument, parfaitement accessible depuis la route de Lans-en-Vercors, est connu parmi les sept merveilles du Dauphiné. Au pied de cette ruine, le visiteur peut découvrir un vaste panorama sur l'agglomération grenobloise.

    Au pied de cette tour ruinée, subsiste une petite chapelle romane du XIIIe siècle qui est restée intacte. Près de celle-ci, il a été découvert une grande pierre plate, probablement un ancien autel, présentant une inscription latine : « ISIDI MATRI SEX- CLAUDIUS VALERIANUS ARAM CUM SUIS ORNAMENTIS UT VOVERAT D-D », qui a été traduite en ces termes : A Isis mère, Sextius Claudius Valeriannus a dédié cet autel avec ses ornements[37][38].

    Le site accueille, en outre, un émetteur de télévision dénommé «Grenoble 2 - La tour sans venin», assurant la couverture hertzienne correspondant à la diffusion de la Télévision numérique terrestre de la région grenobloise. Les opérateurs concernés sont TDF et Towercast[39].

    Les autres monuments

    Le château Bietrix à côté de l'église Saint-Pierre
    • La Maison de Maria Alejandra.
    • Le Manoir des Eybert, du XVIIe siècle (actuel château Bietrix).
    • Le Manoir de la Coste, bâti sur les ruines de la maison forte de Colonges.
    • La motte castrale du Chatelas[21].
    • Le château de Seyssinet, dit La Batie, du XIIIe siècle, se situait à côté de l'église. En 1790 avait déjà disparu sans laisser de traces[21].
    • Les vestiges de la maison forte du Grand Pariset, qui n'est pas citée dans les textes anciens, sont éloquentes. Selon Eric Tasset, cette maison forte pourrait correspondre à celle de Didier de Brive, non encore localisée. Cependant, selon l'enquête de 1339, d'autres maisons fortes aujourd'hui disparues existaient dans la paroisse de Pariset au Moyen Âge : les maisons fortes de Pariset, d'Eyssalteriis et de Renest[21].
    • Maison forte de Vizan-Bel-Air, au lieu-dit Visan[21].
    • Maison forte des Colognes, citée en 1339 ; Albert de Vernisy suppose la reconnaitre dans l'ancienne maison à l'angle de rue H. Berlioz et rue A. Chollier, tandis que pour Eric Tasset cela est difficilement dimostrable, surtout car le hameau dit Cologne se trouve au Nord et pas au Sud de Seyssinet sur la carte de Cassini du XVIIe siècle. Au même temps, Eric Tasset suggère que la maison indiquée par de Vernisy pourrait correspondre à la maison de Soffrariis ou à celle de Lucara, présentes elles aussi dans l'enquête de 1339[21].
    • Manoir des Roux de Commier, ou des Benoit, au village de Seyssinet. Aujourd'hui il y a des logements[21].
    • Manoir des Eybert, du XVIIe ou XVIIIe siècle, contre l'église Saint-Pierre de Seyssinet. Aujourd'hui il y a des logements[21].

    Équipements culturels

    L'ilyade

    La ville de Seyssinet-Pariset possède un centre culturel nommé "L'ilyade" ainsi qu'un conservatoire à rayonnement communale.

    La salle de spectacle "L'ilyade" a été entièrement rénové en 2015. Depuis 2018 la programmation culturel de l'Ilyade est réalisé en lien avec la ville de Seyssins.

    Personnalités liées à la commune

    Situé dans un léger creux, non loin de la « Tour sans Venin », le site de randonnée dénommé le « Désert de Jean-Jacques Rousseau » indique aux visiteurs la présence du célèbre philosophe dans les hauteurs de Seyssinet-Pariset comme lieu de méditation lors de son passage à Grenoble durant le XVIIe siècle.
    Eugène Faure est un peintre français à vocation régionale, né le dans le village de Seyssinet. Celui-ci, après avoir essayé la sculpture, fut un peintre de genre, un paysagiste et un portraitiste qui a peint ses amis dont le peintre Jean Achard. Ses tableaux sont principalement conservés au musée de Grenoble.
    Marcel Trillat est un journaliste, réalisateur de films documentaires et auteur français. Il reste connu pour de nombreux reportages télévisés et débuta à l'ORTF en 1965 en collaborant au magazine Cinq colonnes à la Une, puis il devint directeur adjoint de l’information en 1989 sur Antenne 2. Il fut également administrateur, élu CGT, de France Télévisions.

    Seyssinet dans la littérature

    Les rêveries du promeneur solitaire édition de 1782.
    Inspiré par la nature autour de Grenoble, le célèbre philosophe Jean-Jacques Rousseau flâne et utilise les hauteurs de Seyssinet-Pariset comme lieu de méditation[40]. De nombreux panneaux, situés à l'angle d'un virage la route de Lans-en-Vercors, à l'orée du bois des Vouillants indique le site du « Désert » (dénommé à l'époque « désert de l'écureuil ») ou le philosophe aimait à observer la végétation et déguster certaines baies sauvages comme il le relate lui-même dans son ouvrage dénommé « Les Rêveries du promeneur solitaire » au cours de sa septième promenade (extrait) :
    « Durant mon séjour à Grenoble je faisais souvent de petites herborisations hors de la ville avec le sieur Bovier avocat de ce pays-là, non pas qu’il aimât ni sût la botanique, mais parce que s’étant fait mon garde de la manche, il se faisait, autant que la chose étoit possible, une loi de ne pas me quitter d’un pas. Un jour nous nous promenions le long de l’Isère dans un lieu tout plein de saules épineux. Je vis sur ces arbrisseaux des fruits mûrs j’eus la curiosité d’en goûter et, leur trouvant une petite acidité très-agréable, je me mis à manger de ces grains pour me rafraîchir ; le sieur Bovier se tenoit à côté de moi sans m’imiter et sans rien dire. Un de ses amis survint, qui me voyant picorer ces grains me dit : eh ! monsieur, que faites-vous là ? Ignorez-vous que ce fruit empoisonne ? Ce fruit empoisonne, m’écriai-je tout surpris. Sans doute, reprit-il, et tout le monde fait si bien cela, que personne dans le pays ne s’avise d’en goûter."... »

    Seyssinet dans la peinture

    La Tour sans Venin, tableau de Jean Achard (1807 - 1884).
    De nombreux sites des villages de Seyssinet et Pariset ont été représentés dans des toiles peintes par des peintres locaux, dont notamment la Tour sans venin par le peintre Jean Achard[41]. Celui-ci n'ayant jamais obtenu la consécration de son vivant, il revient finir ses jours à Grenoble à partir de 1870 et il est enterré au cimetière Saint-Roch de Grenoble.
    Jacques Louis Gay, né à Voreppe en 1851 a peint de nombreux tableaux régionaux dont une huile sur toile, représentant les berges du Drac et dénommé, « les rives du Drac ou le casque de Néron ».

    Seyssinet au cinéma

    Héraldique

    Blason
    Parti : au premier de gueules à une bisse couronnée d'or, au deuxième d'argent à une tour de gueules maçonnée de sable ; au chef d'or chargé d'un dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules[42].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site de la mairie, page sur la superficie et l'altitude
    2. « Seyssinet-Pariset - Paris », sur fr.distance24.org (consulté le ).
    3. Site de la ville de Fontaine / page sur le Drac.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. site INSEE, découpage IRIS de Seyssinet-Pariset
    15. Site des eaux de Grenoble, page sur Noyarey
    16. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    18. André Planck, L'origine du nom des communes du département de l'Isère, édition L'atelier, 2006, (ISBN 2-84424-043-7), p. 245.
    19. Aimé Bocquet, L'Isère pré et protohistorique, vol. fasc. 2, Gallia-Préhistoire, (présentation en ligne), p. 345-348.
    20. Site de Ascop.net, page sur la grotte des Sarrasins
    21. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 543-552.
    22. Fontaine au temps jadis de Serge Echalon et Jean Escalon, page 171
    23. « Jumelage avec San Giovanni Lupatoto », sur ville de seyssinet, (consulté le ).
    24. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Site de la mairie de Seyssinet sur les écoles
    29. Site de la mairie de Seyssinet, page sur l'équipement sportif
    30. Site messes-infos, consulté le 09/07/2018
    31. « Recherche | Ville de Seyssinet Pariset », sur www.ville-seyssinet-pariset.fr (consulté le ).
    32. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    33. « Les châteaux de la Renaissance à Seyssinet. », sur Rive gauche, (consulté le ).
    34. « CLOS AUX COMBES | Ville de Seyssinet Pariset », sur www.ville-seyssinet-pariset.fr (consulté le ).
    35. « Château de Beauregard », notice no PA38000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Dictionnaire Amboise Dauphiné et Ardèche, Éditions d'Amboise, page 328
    37. Site de SPHAD
    38. Site d'Isère-annuaire, page sur la tour sans venin
    39. « TVNT.net - Le forum de la TNT • 38 - Isère [Grenoble - Chamrousse] : Les zones de couverture », sur www.tvnt.net (consulté le ).
    40. FMarmotte5, « Le Désert de Jean-Jacques Rousseau, Seyssinet-Pariset, Isère. - Le blog de FMarmotte5 », sur Le blog de FMarmotte5 (consulté le ).
    41. Né Jean Alexis Achard.
    42. Site internet de la commune de Seyssinet-Pariset

    Voir aussi

    Articles connexes

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