Saint-Vaast-lès-Mello

Saint-Vaast-lès-Mello est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Vaast.

Saint-Vaast-lès-Mello

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CA Creil Sud Oise
Code postal 60660
Code commune 60601
Démographie
Gentilé Saint-Vaastiens et Saint-Vastiennes
Population
municipale
1 045 hab. (2018 )
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 04″ nord, 2° 23′ 35″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 112 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Saint-Vaast-lès-Mello
Géolocalisation sur la carte : Oise
Saint-Vaast-lès-Mello
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Vaast-lès-Mello
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Vaast-lès-Mello
Liens
Site web http://www.saintvaastlesmello.fr

    Ses habitants sont appelés les Saint-Vaastois.

    Géographie

    Description

    Paysage de la commune : la rue des Fontaines.

    Saint-Vaast-lès-Mello est un village périurbain picard du Creillois situé à km à l'ouest de Creil, 12 km au sud de Clermont, à 27 km sud-est de Beauvais et à 45 km au nord de Paris.

    Il est implanté à flanc de coteau, surplombant la vallée du Thérain.

    Elle comprend un hameau, Barisseuse, sur le plateau.

    .

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Vaast-lès-Mello[1]
    Rousseloy Laigneville
    Nogent-sur-Oise
    Mello Montataire
    Maysel Cramoisy

    Hydrographie

    Étang dit le marais de Chantraine, ancienne gravière.

    La commune est limitée au sud par les lits du Thérain, un sous-affluent de la Seine par l'Oise. On y trouve également deux grands étangs, qui sont d'anciennes gravières.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senlis », sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 30 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vaast-lès-Mello est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), forêts (34,9 %), zones urbanisées (6,3 %), eaux continentales[Note 7] (4,8 %), mines, décharges et chantiers (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (0,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Histoire

    Saint-Vaast faisait partie de la baronnie de Mello, d'où partit la révolte des Jacques au Moyen Âge.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

    Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Creil, année où la commune intègre le canton de Montataire[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Montataire

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Saint-Vaast-lès-Mello était membre de la communauté de communes Pierre - Sud - Oise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de l'agglomération creilloise pour former, le , la communauté d'agglomération Creil Sud Oise dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1965 Roger Jumel   Ouvrier
    1965 1971 René Duriez   Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1999[25] Marc Mercier   Démissionnaire
    1999 2014 Yann Lefèvre[26]   Dessinateur-projeteur
    2014 février 2021[27] Jean-Jacques Daubresse[28],,[29]   Employé
    Vice-président de la CA Creil Sud Oise (2017→ 2021)
    Décédé en fonction

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 1 045 habitants[Note 8], en diminution de 3,95 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    410478482431464493508528517
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5747388918798911 004833817801
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    814830804867865871839835948
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    9731 032925782778822882891899
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0881 045-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant supérieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,8 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 23 %, 15 à 29 ans = 16,6 %, 30 à 44 ans = 27,1 %, 45 à 59 ans = 18,2 %, plus de 60 ans = 15,1 %) ;
    • 49,2 % de femmes (0 à 14 ans = 17,2 %, 15 à 29 ans = 17,9 %, 30 à 44 ans = 25,1 %, 45 à 59 ans = 16,1 %, plus de 60 ans = 23,7 %).
    Pyramide des âges à Saint-Vaast-lès-Mello en 2007 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,2 
    4,4 
    75 à 89 ans
    11,5 
    10,7 
    60 à 74 ans
    12,0 
    18,2 
    45 à 59 ans
    16,1 
    27,1 
    30 à 44 ans
    25,1 
    16,6 
    15 à 29 ans
    17,9 
    23,0 
    0 à 14 ans
    17,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Le groupe scolaire

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Façade ouest de l'église.

    Saint-Vaast-lès-Mello compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Vaast (classée monument historique en 1906[35]) :
      Son plan est assez simple, mais le caractère peu homogène des façades ouest et sud revèle une grande complexité du bâtiment, issu de plusieurs campagnes de construction et maintes fois remanié.
      Il se compose d'une nef de trois travées accompagnée de deux bas-côtés, dont celui du nord aussi large que la nef ; d'un transept dont les deux croisillons se prolongent vers l'est par de courte chapelles voûtées en berceau brisé ; et d'une abside à cinq pans, d'une forme particulière : les murs latéraux touchant à la croisée du transept ne sont pas droits, mais s'éloignent vers l'est. Le clocher en bâtière est assis sur la croisée du transept. La partie centrale de la façade occidentale comporte encore un mur du XIe siècle, avec une petite fenêtre en plein cintre en partie cachée par le gâble du portail.
      Pendant les années 1140, la nef est reconstruite en vue de la doter de bas-côtés, en commençant par la troisième travée. Comme le montrent les piliers entre la seconde et la troisième travée, répondant au principe des piliers au milieu des arcades de l'église de Villers-Saint-Paul le voûtement n'est pas prévu dans un premier temps. Mais le maître d'œuvre change rapidement d'avis et opte pour un voûtement d'ogives, comme l'indiquent les piliers entre la première et la seconde travée, directement conçus en fonction. Des culs-de-lampe sont ajoutés sur les piliers les premiers construits, afin de recevoir la retombée des ogives. Le portail occidental est contemporain de la reconstruction de la nef et adopte l'arc en tiers-point, tout en restant sur un vocabulaire ornemental roman avec sa triple archivolte de bâtons brisés. Le portail méridional est un peu plus récent et est en cintre surhaussé. Ici, les ébrasements successifs du mur restent visibles entre les deux groupes de trois colonnettes flanquant le portail, et l'on ne compte qu'un seul rang de bâtons brisés, et l'archivolte est décorée d'un cordon en fleurs de violette.
      Dimensionné pour une porte à double vantail, le portail ne contient pourtant qu'une porte étroite. Surtout le tympan est remarquable : il contient une succession de cinq niches surmontées d'arcatures. L'on trouve un portail semblable sur l'église de Namps-au-Val. Quant au transept avec le clocher et au chœur, ils sont édifiés pendant la première moitié du XIIIe siècle. Les croisillons bénéficient de toits en pierre, comme l'on peut en voir sur les églises de Foulangues, de Montataire et de Rousseloy. Esthétiquement réussies, ces parties sont stylistiquement anachroniques, et le clocher avec son étage de beffroi percé de deux baies en tiers-point gémelées par face est très proche de celui de l'église Saint-Nicolas d'Angy, pourtant vingt-cinq ans plus ancien. Les problèmes statiques sont apparus assez tôt, et le clocher présente une importante inclinaison vers le sud. De ce fait, le clocher et deux travées de la nef ont dû être étayés dès la seconde moitié du XXe siècle.
      Restent à mentionner une grande fenêtre gothique ménagée dans le mur occidental du bas-côté nord pendant la seconde moitié du XIIIe siècle, et une réparation des murs latéraux des deux bas-côtés au XVIe siècle, ayant quelque peu modifié leur apparence[36],[37],[38].

    On peut également signaler :

    • Lavoir d'En-bas, rue des Fontaines
    • Lavoir d'En-haut et abreuvoir, rue des Fontaines.
    • Anciennes gravières : Saint-Vaast possède aujourd'hui plusieurs étangs qui ont servi à l'extraction de gravier et de sable. On a retrouvé dans un de ces étangs (le « trou à cailloux ») des épées franques. Sur le bord d'un de ces étangs, on peut apercevoir quelques ruines d'un ancien bâtiment, au lieu-dit Chantereine, ou, l'endroit où chantent les reinettes. Cette place est supposée avoir servi de vigie sur le Thérain à une époque où son cours était plus capricieux.
    • Chapelle Notre-Dame-et-Saint-Nicolas de Barisseuse, au hameau du même nom : Elle date du XIIIe siècle et ne comporte plus que deux travées, au moins une ayant été démolie, comme le montrent des arrachements dans le prolongement du mur gouttereau sud. Les voûtes d'ogives n'ont laissé que les faisceaux de demi-colonnes à chapiteaux dans les angles, et le chevet a également subi des modifications. Le petit portail au nord est assez intéressant du fait de son linteau monolithique, reposant sur deux culots et arborant un trilobe en bas-relief[40].

    Saint-Vaast-lès-Mello dans les arts

    Le film les « Dents du vieux dragon », réalisé par Emmanuelle Demoris, est consacré aux carrières de Saint-Vaast-lès-Mello[41].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Eugène Müller, « Quelques notes encore sur les cantons de Creil et Chambly », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, années 1897-98, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, , p. 197-199 (lire en ligne, consulté le )
    • Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Montataire, Vallées de l'Oise et du Thérain, Beauvais, ca. 1998, 24 p., p. 21
    • Jean Vergnet-Ruiz, « Église de Saint-Vaast-lès-Mello », Bulletin de la Société historique de Compiègne, Compiègne, vol. 24, , p. 231-236 et 6 planches (lire en ligne)
    • Clarisse Lorieux, « Les usines d'extraction du bassin creillois : Dossier IA60001687 », Région Hauts-de-France - Inventaire général ;, (consulté le ).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Saint-Vaast-lès-Mello », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Saint-Vaast-lès-Mello » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Saint-Vaast-lès-Mello » sur Géoportail..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Senlis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Vaast-lès-Mello et Senlis », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Senlis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Vaast-lès-Mello et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    25. « Le maire toujours en place », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 1983, Marc Mercier avait annoncé son désir de démissionner en janvier du poste de premier magistrat, pour raisons personnelles et professionnelles. Il évoquait également un grand découragement. Il semble que la sous-préfecture n´ait pas accepté cette décision qui, dans les faits, se traduit par son maintien à la tête de la commune ».
    26. « Yann Lefèvre repart », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Elu conseiller municipal en 1989, Yann Lefèvre est devenu premier adjoint au maire en 1992 avant de succéder en 1999 à Marc Mercier, démissionnaire (nos éditions précédentes) ».
    27. « Jean-Jacques Daubresse, maire de Saint-Vaast-lès-Mello, est décédé : Jean-Jacques Daubresse, maire de Saint-Vaast-lès-Mello, est décédé aujourd’hui, jeudi 25 février, suite à un malaise cardiaque. Il était premier vice-président de l’Agglomération de Creil Sud Oise », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Réélu en juillet 2015 après l'annulation par le [[Conseil d'État (France)|]]des élections municipales de 2014 : Stéphanie Hancq, « A Saint-Vaast-lès-Mello, les élections municipales annulées », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    29. Hervé Sénamaud, « Municipales : Daubresse l’emporte de 10 voix à Saint-Vaast-lès-Mello », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Évolution et structure de la population à Saint-Vaast-lès-Mello en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    34. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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    36. Müller 1899, p. 201-203.
    37. Vergnet-Ruiz 1952, p. 231-236.
    38. Vermand ca. 1998, p. 19-20.
    39. Simon Gourru, « Saint-Vaast-lès-Mello : les Glachoirs, un site naturel d’exception enfin ouvert au public : Pique-nique, promenade, escalade… Une convention a été passée pour rendre accessible au plus grand nombre cette ancienne carrière, repère officieux de nombreux grimpeurs depuis des années », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Vermand ca. 1998, p. 20.
    41. Daniel Vernet, « Le village met en valeur l´exploitation de la pierre : Lorry, treuil et wagonnets en décoration », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
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