Saint-Sauveur-le-Vicomte

Saint-Sauveur-le-Vicomte est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 2 099 habitants[Note 1] (les Saint-Sauveurais).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sauveur.

Saint-Sauveur-le-Vicomte

Le château.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Éric Briens
2020-2026
Code postal 50390
Code commune 50551
Démographie
Gentilé Saint-Sauveurais
Population
municipale
2 099 hab. (2018 )
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 12″ nord, 1° 31′ 56″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 91 m
Superficie 34,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bricquebec
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Saint-Sauveur-le-Vicomte
Géolocalisation sur la carte : Manche
Saint-Sauveur-le-Vicomte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sauveur-le-Vicomte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sauveur-le-Vicomte
Liens
Site web www.ville-saint-sauveur-le-vicomte.fr

    Géographie

    Située sur la Douve, la ville se trouve dans le Cotentin. Couvrant 3 427 hectares, le territoire de Saint-Sauveur-le-Vicomte est le plus étendu de l'arrondissement de Cherbourg.

    Géologie

    Dans la région de Saint-Sauveur-le-Vicomte, on rencontre Temperoceras (en) temperans, de la classe des mollusques, rapporté au Silurien[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 928 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[10] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 29 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur-le-Vicomte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,6 %), terres arables (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), forêts (16,4 %), zones urbanisées (4,1 %), zones humides intérieures (1,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancti Salvatoris de 1060 à 1066, Saint Sauveor en 1313, Saint Sauveour en 1324[24], Saint Sauveur sur Douve de 1793 à 1814, puis de 1848 à 1851[25].

    Une chapelle y fut bénite en 914 par l'évêque Herbert, sous le vocable de la Sainte Trinité et Saint Sauveur[26].

    L'hagiotoponyme Saint-Sauveur désigne le Christ.

    Du Vicomte de Cotentin, le seigneur Roger (I)[27], de la Famille de Saint-Sauveur[28].

    Histoire

    En 1360, le traité de Brétigny rend à la France toutes les places fortes du Cotentin, à l'exception de celle de Saint-Sauveur et de Saint-Vaast qui restèrent anglaises[29].

    En 1420, Jean de Robersart, seigneur d'Escaillon et de Bruilles, enlève la duchesse Jacqueline, comtesse de Hainaut, pour la conduire en Angleterre. Le roi d'Angleterre lui donne entre autres la ville de Saint-Sauveur-le-Vicomte[30].

    Le , Louis XIV donne la vicomté de Saint Sauveur à Marin Pouchin issu d'une vieille famille de la noblesse normande. Celui-ci en devient vicomte à titre héréditaire ainsi que maire perpétuel de la ville et lieutenant général de police[réf. souhaitée].

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune porte le nom de Sauveur-sur-Douve[25].

    L'affaire criminelle Esteban Albillo a lieu à Saint-Sauveur-le-Vicomte et est jugée par la cour d'assises de la Manche le [31].

    Héraldique

    Les armes de la commune de Saint-Sauveur-le-Vicomte se blasonnent ainsi :
    De gueules aux deux fasces accompagnées d'un château de trois tours en cœur et de six bars adossés et accolés deux à deux, quatre en chef et deux en pointe, le tout d'or.

    Ce blason est inspiré des armoiries de la famille de Harcourt (subsistante), anciens seigneurs de la baronnie de Saint-Sauveur, et qui portent : de gueules à deux fasces d'or.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
        Vincent-Félix-Barbey    
    1854 1874 Paul-Louis-Amédée Foubert[32] Orléaniste avocat, conseiller général (1864-1877)
             
    janvier 1878 janvier 1886
    (décès)
    Paul-Louis-Amédée Foubert[32] Orléaniste avocat, sénateur inamovible (1875-1885), conseiller général (1881-1885)
    mars 1886[réf. nécessaire]   Paul-Alfred-Marie Foubert
    (fils du précédent)
    Républicain haut fonctionnaire, conseiller général (1883-1887)
             
    mai 1896 octobre 1919 Raoul Hersan    
    décembre 1919 mai 1929 Pierre Le Marinel    
    mai 1929 mars 1931 Albert Férey    
    mars 1931 janvier 1948 Ernest Legrand    
    janvier 1948 janvier 1982
    (décès)
    Auguste Cousin[33] RI agriculteur, conseiller général (1958-1982), sénateur de la Manche (1979-1982)
    février 1982 juin 1995 Jean Tardif DVD pharmacien, conseiller général (1982-2001)
    juin 1995[34] mars 2014 Michel Quinet DVD puis NC-UDI médecin
    mars 2014[35] 2018 Jacques Regnault SE retraité
    septembre 2018[36] En cours Éric Briens SE cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 2 099 habitants[Note 7], en diminution de 4,37 % par rapport à 2013 (Manche : −0,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6662 6512 9702 9572 8362 8962 7742 8462 818
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7552 7222 7542 5422 6592 6592 7652 6682 647
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5252 4352 2662 1222 1092 0922 1242 1052 211
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 1042 1352 1682 2142 2572 2042 0822 0632 044
    2013 2018 - - - - - - -
    2 1952 099-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie et tourisme

    Saint-Sauveur-le-Vicomte est dénommée « commune touristique » depuis [40].

    Lieux et monuments

    • Le château, datant des XIe et XIIe siècles, a été assiégé deux fois pendant la guerre de Cent Ans. Il subsiste l'enceinte fortifiée flanquée de tours et un donjon massif. Ces ruines sont classées monument historique depuis 1840[41].
    • L'abbaye de Saint-Sauveur-le-Vicomte de l'ordre bénédictin, fondée au XIIe siècle et restaurée au XIXe siècle à l'initiative de sainte Marie-Madeleine Postel. Une partie de cette abbaye abrite désormais le collège de l'Abbaye, collège privé. L'église abbatiale est également classée monument historique depuis 1840[42].
    • Musée Barbey-d'Aurevilly. Il se trouve dans la maison, inscrite aux monuments historiques[43], qui a vu naître l'écrivain, en plein bourg de Saint-Sauveur.
    • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est en partie du XIIIe ou XIVe siècle[44]. L'église, avec sa tour de clocher massive, et cloches carillons, coiffé en bâtière, est ornée d'arcs de voûte finement moulurés qui retombe sur des culots d'ogives. À l'intérieur on peut voir un très beau Christ aux liens du XVIe siècle (commandé en 1522) et un Sébastien[45], ainsi que les fonts baptismaux datés de 1572.
    • Les hameaux de Selsoif et de Hautmesnil ont chacun leur église. L'église Saint-Claude de Selsouëf est d'origine romane et abrite une Vierge à l'Enfant du XIVe siècle classée à titre d'objet aux monuments historiques[46]. L'église de Hautmesnil est du XIXe siècle.
    • Manoir des Maires ou Desmaires à Selsoif. Le portail d'entrée de style Renaissance classique, à double porte, avec porte charretière et porte piétonne en arc en plein cintre, est décoré par trois pilastres terminés par des chapiteaux corinthiens supportant un entablement d'une frise de rinceaux[47] sculpté dans le même style[48]. La porte piétonne du portail est surmonté d'un écu retourné, pointe en haut sur lequel figure les armes de la famille du Saussey, « d'hermine au sautoir de gueules[49] ». Le portail est la partie la plus ancienne du manoir.
    • Château des Fresnais : forte demeure du XIXe siècle avec pavillon central bâtie aux abords de la forêt domaniale[50].
    • Château de Beaulieu, du XVIIIe siècle, près de l'église de Taillepied.
    • Château du Lude, de style victorien, construit en 1862 en remplacement du précédent détruit par un incendie. Il est édifié dans un esprit gothique et renaissance mené par Viollet-le-Duc[50]. La propriété est acquise par Auguste Le Marois pour le compte de son frère Jean Le Marois (1776-1836)[51].
    • Manoir des Bréholles : manoir du XVIe siècle qui présente une face arrière percée sur quatre niveaux de rares ouvertures[52].
    • La forêt domaniale de Saint-Sauveur est l'un des rares espaces forestiers du département. Elle couvre 233 hectares à l'ouest du territoire[53].

    Particularité du découpage communal : la mairie et l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de Taillepied se trouvent sur le territoire de Saint-Sauveur-le-Vicomte[54]. L'église Saint-Jean-Baptiste est du XVIIIe siècle.

    À la suite de la création du pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin en 2001, Saint-Sauveur-le-Vicomte bénéficie avec Valognes et Bricquebec du label Villes et Pays d'art et d'histoire accordé par le ministère de la Culture.

    Activités et manifestations

    • Fin 2008, un salon du livre consacré à Barbey d'Aurevilly y a été organisé[55] par le Comité du Bicentenaire de la naissance de l'écrivain[56].

    Sports

    Le Réveil sportif saint-sauveurais fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[57].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Jean-Claude FISCHER, Guide des fossiles de France et des régions limitrophes, Éditions Dunod, 3e édition, 2016, (ISBN 978-2-10-075014-6), imprimé en France.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-le-Vicomte et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-le-Vicomte et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1524.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Abbé Lecanu, « Histoire du diocèse de Coutances et d’Avranches », vol. 2, , p. 329 et suivantes.
    27. Léopold Delisle, Histoire du château et des sires de Saint-Sauveur-le-Vicomte (Valognes) : pièces justificatives, vol. 48, , p. 59.
    28. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : étude historique et topographique », vol. XII, Archéologie médiévale, , p. 180.
    29. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 22.
    30. Statistique archéologique du département du Nord, 1867, p. 615, archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
    31. Jean-François Miniac, Les Nouvelles affaires criminelles de la Manche, de Borée, avril 2012.
    32. Annuaire du département de la Manche, 33e année 1861, p. 244.
    33. « Site du sénat : Anciens sénateurs Ve République : Auguste Cousin » (consulté le ).
    34. « Michel Quinet décoré de la médaille de vermeil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Jacques Regnault nouveau maire de Saint-Sauveur », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. « Éric Briens a été élu samedi », Ouest-France, site internet, 1er octobre 2018 (lire en ligne).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - Août 2011 ».
    41. « Ruines du château », notice no PA00110603, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Ancienne abbaye Sainte-Madeleine-Postel », notice no PA00110602, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Maison de Jules Barbey d'Aurevilly », notice no PA00110604, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Commune de Saint-Sauveur-le-Vicomte : Patrimoine, Eglise Saint Jean-baptiste, Le Bourg » (consulté le ).
    45. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 118.
    46. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM50001085, base Palissy, ministère français de la Culture.
    47. Comité Gille de Gouberville, Julien Deshayes (dir.), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, (ISBN 978-2-84048-581-0), p. 69.
    48. Girard et Lecœur 2005, p. 163.
    49. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 162.
    50. Girard et Lecœur 2005, p. 273.
    51. Girard et Lecœur 2005, p. 32.
    52. Girard et Lecœur 2005, p. 161.
    53. « Site officiel de Saint-Sauveur-le-Vicomte : Commune de Saint-Sauveur-le-Vicomte : La forêt Domaniale, Arboretum » (consulté le ).
    54. « Taillepied et Saint-Sauveur-le-Vicomte » sur Géoportail..
    55. Musée Barbey d'Aurevilly, http://museebarbeydaurevilly.over-blog.com/article-23694973.html
    56. http://www.ville-saint-sauveur-le-vicomte.fr/documents/bicentenaire-barbey-daurevilly.pdf.
    57. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Rév. S. Saint-Sauverais » (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Article connexe

    Liens externes

    • Portail de la Manche
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.