Saint-Pierre-de-Manneville

Saint-Pierre-de-Manneville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pierre et Manneville.

Saint-Pierre-de-Manneville

Le manoir de Villers.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Nicolas Amice
2020-2026
Code postal 76113
Code commune 76634
Démographie
Gentilé Mannevillais
Population
municipale
909 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 36″ nord, 0° 55′ 57″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 114 m
Superficie 10,21 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sahurs
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Canteleu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-de-Manneville
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Saint-Pierre-de-Manneville
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Saint-Pierre-de-Manneville
Liens
Site web http://www.saintpierredemanneville.fr/

    Elle fait partie de la Métropole Rouen Normandie et du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Géographie

    Situation

    Saint-Pierre-de Manneville appartient au canton de Canteleu et fait partie de la Métropole Rouen Normandie. La commune se trouve sur la rive droite de la Seine, en bordure de la forêt de Roumare.

    Voies de communication et transports

    Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux et le pont Gustave-Flaubert à Rouen. Les bacs les plus proches sont ceux de Duclair et de Sahurs.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Pierre-de-Manneville
    Mauny Quevillon Canteleu
    Val-de-la-Haye
    Caumont (Eure) Sahurs

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 817 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumièges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-de-Manneville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sahurs, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 2 147 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (28,7 %), terres arables (23,2 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Mannivilla vers 1060[24], Ecclesia de Magnevilla en 1131[25], Ecclesie Sancti Petri de Magnevilla au XIIe siècle[26], Saint Pierre de Manneville en 1380 et 1381[27].

    L’anthroponyme, Saint-Pierre, fait référence à Pierre (apôtre).

    Saint-Pierre-de-Manneville est un toponyme médiéval, dont l'élément « Manneville » signifie probablement « grande ferme »[28]. Il s'agit sans doute d'une variante dialectale man(e), comme dans les autres Manneville et Mandeville, correspondant au vieux français main(e) « grand » que François de Beaurepaire[29] identifie dans Menneval (Eure, Manneval vers 1000) et issu du latin magnus / magna de même sens. Albert Dauzat et Charles Rostaing[30] évoquent pour certains d'entre eux, un nom de personne norrois Máni (vieux danois Mane, surnom dérivé de « la lune ») ou germanique Mano, comme dans Manonville. Ils citent en revanche le vieux français magne pour expliquer Manéglise.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1965 Max Mery de Bellegarde    
    mars 1965 mars 1977 Roger Bernard    
    mars 1977 juin 1995 Raymond Becquet PS  
    juin 1995 mars 2001 Renaud Hamard    
    mars 2001 juin 2017[31] Nelly Tocqueville PS Enseignante retraitée
    Sénatrice de Seine-Maritime (2014 → 2020)
    Vice-présidente de la CREA (2008 → 2015)
    Vice-présidente de la métropole Rouen-Normandie (2015 → 2019)
    Démissionnaire à la suite de son élection comme sénatrice
    juin 2017 décembre 2019 David Nion   Démissionnaire
    décembre 2019 mai 2020[32] Stéphane Pigache    
    mai 2020[33],[34] En cours Nicolas Amice SE  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 909 habitants[Note 8], en augmentation de 13,48 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 015880975802801834816802701
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    699650609598558539523485462
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    476437415424409431468462461
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    432442501571728774728745886
    2018 - - - - - - - -
    909--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École Louis-Pergaud.

    Culture locale et patrimoine

    L'église de Saint-Pierre-de-Manneville

    L'église de Saint-Pierre-de-Manneville fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [39]. Elle a été totalement reconstruite au début du XVIe siècle. Sa nef est de style gothique. Sa façade occidentale est dotée de deux portails géminés en style gothique flamboyant. Son berceau est une charpente du XVIe siècle. Le vaisseau est éclairé par six fenêtres à compartiments, dont quelques-unes renfermaient des verrières.

    Il n’en reste qu'un petit nombre de fragments : un arbre de Jessé ; un saint Clément, pape ; une Conversion de saint Paul et une Adoration des bergers. Dans la nef était une naïve peinture de 1600, représentant le « jugement de Notre Seigneur par Pilate ».

    Le monument aux morts date de 1921.

    Le manoir de Villers

    Le manoir de Villers fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [40]. Le manoir de Villers était à l'origine une « maison de maître » construite en 1581, et faite en pierre de Caumont, avec un étage à pans de bois et recouverte de petites tuiles. Il connut de nombreuses transformations au cours des siècles, jusqu'à devenir ce grand manoir néo-normand aux toitures inspirées des plus belles maisons de Rouen et aux façades habillées d'un curieux trompe-l'œil, réalisation de l'architecte Charles Lassire.

    Autres lieux

    • Château de Bellegarde
    • Château des Étangs
    • Château de la Mare
    • Château du Billois

    Héraldique

    Les armes de la commune de Saint-Pierre-de-Manneville se blasonnent ainsi : D’or à la bande ondée d’azur, accompagnée en chef d’une grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople et en pointe d’un sapin arraché du même, au chef de gueules chargé de trois angennes d’argent.
    Blason homologué par le Conseil français d’héraldique en 1993.

    Le blason de la commune est constitué d'une bande ondée d’azur évoquant la Seine. Elle est accompagnée d’une grappe de raisin symbolisant la culture de la vigne qui a été introduite dans l'antiquité ou au Haut Moyen Âge, et d’une pointe de sapin illustrant la forêt de Roumare. Sur le blason figurent aussi les armoiries de la famille de Tancarville. Les tiges de blé entourant le blason rappellent la richesse agricole de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Cécile Lavenu, Découverte du patrimoine des boucles de la Seine : Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville, Rouen, Agglomération de Rouen, , 66 p. (ISBN 978-2-913914-83-4 et 2-913914-83-7, ISSN 1774-3346)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Jumièges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Manneville et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jumièges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Manneville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Sahurs », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) », Annales de Normandie, no 3, 8e année, , p. 303 (ISSN 0003-4134, e-ISSN 2261-4427).
    25. Archives départementales de la Seine-Maritime, 13 H 13.
    26. Archives de Seine-Maritime 13 H 408.
    27. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 927.
    28. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    29. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 143.
    30. Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1979, p. 431.
    31. « Saint-Pierre-de-Manneville. Dix-septième et dernière cérémonie des vœux de Nelly Tocqueville en tant que maire », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Au deuxième semestre de cette année, les nouvelles dispositions de la loi sur le non-cumul des mandats entreront en vigueur. Conséquences : huit parlementaires en Seine-Maritime et dans l’Eure seront concernés et devront faire un choix entre mandat local ou destinée nationale. Alors, pour la dix-septième et dernière fois comme maire de la commune, la sénatrice Nelly Tocqueville s’est présentée devant ses administrés ».
    32. « Saint-Pierre-de-Manneville : après la démission du maire en 2019, son successeur ne se représente pas : Stéphane Pigache a annoncé, lors de la cérémonie des vœux, qu’il ne briguera pas un autre mandat », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Je ne souhaite pas me représenter, cela fait dix-neuf ans que je suis élu. Certains diront que c’est trop, d’autres pas assez. Pour ma part, c’est déjà pas mal et ce fut une belle expérience », a déclaré celui qui fut le premier adjoint du maire David Nion ».
    33. « Municipales à Saint-Pierre-de-Manneville : la liste de Nicolas Amice entre en lice : De la vie associative au souci de l’environnement, la liste emmenée par Nicolas Amice regorge de projets », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Nicolas Amice, 34 ans, qui porte la liste « Faisons vivre notre village », explique son engagement : « La tâche sera passionnante, le travail intense, mais à ne pas en douter, l’ensemble colistiers portera un projet pour tous, dans un seul et unique but, l’intérêt de notre village ».
    34. « Municipales 2020. Saint-Pierre-de-Manneville : Nicolas Amice, nouveau maire, et son équipe au travail : Une nouvelle page s’ouvre avec l’installation de l’équipe municipale élue lors du premier tour », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Notice no PA00101042, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Notice no PA76000034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Paris Normandie, édition du .
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