Saint-Pern

Saint-Pern est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 040 habitants[Note 1].

Saint-Pern

La mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Saint-Méen Montauban
Maire
Mandat
Marie-Hélène Frénoy
2020-2026
Code postal 35190
Code commune 35307
Démographie
Gentilé Saint-Pernais
Population
municipale
1 040 hab. (2018 )
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 16″ nord, 1° 59′ 12″ ouest
Altitude Min. 56 m
Max. 181 m
Superficie 12,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montauban-de-Bretagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Pern
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Saint-Pern
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Saint-Pern
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Saint-Pern
Liens
Site web www.saint-pern.fr

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 789 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Quiou », sur la commune du Quiou, mise en service en 1985[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 714,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pern est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,9 %), terres arables (34,4 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (0,5 %), forêts (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Capella Sancti Paterni au XIIe siècle, ecclesia de Sancto Pern en 1516.

    Son nom est issu d'un prieuré, dédié à l'évêque de Vannes saint Patern, fondé par l'abbaye Saint-Nicolas d'Angers.

    Sant Padern en breton, un des sept saints de Bretagne. Avant d'être le premier évêque de Vannes, vers 467, il fut moine en Grande-Bretagne et pèlerin en Palestine.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Pern-les-Rochers[21].

    Histoire

    Vers 1050, le chevalier Quirmarhoc fonde le prieuré de Saint-Pern en donnant l'église de Saint-Pern (ecclesiam sancti Paterni), des terres (environ 45 ha) et divers revenus à l'abbaye Saint-Nicolas d'Angers. Saint Pern n'était alors qu'une trève de Plouasne. Quirmarhoc se fera plus tard enterrer dans ce prieuré[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Joseph Piel    
    mars 2001 mars 2014 Guy Chatel[23]   Retraité
    mars 2014 25 mai 2020 Jacques Gallerand[24] DVG Responsable centre de gestion
    25 mai 2020 En cours Marie-Hélène Frénoy[25]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 1 040 habitants[Note 7], en augmentation de 3,48 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9449281 010882897896877897896
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9571 0801 2181 1991 3321 5061 4281 4481 268
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1811 2811 2741 0341 0441 0841 077862960
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    961865852773710781889904919
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0051 040-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Ligouyer[29], XIVe siècle. Vaste construction entourée de fleurs et de verdure, se cache derrière son portail au fronton cintré portant les armes de la famille Saint Pern.
    • La Tour Saint-Joseph[30] : la congrégation des petites sœurs des pauvres s'est installée dans le manoir de la Tour Saint-Joseph, dernier vestige d'une forteresse ruinée au XVe siècle.
    • Tour hertzienne d’émetteur de TV, hauteur : 210 mètres.
    • Bénitier : cuve aux angles arrondis et sculptés de personnages.
    • Manoir autrefois dit Trehorel : ancien manoir 1re moitié XVIe siècle ; partie gauche et étage transformées en parties agricoles au XIXe siècle et tour d'escalier postérieure détruite.
    • Manoir : ancien manoir 1er quart XVIe siècle, tour d'escalier sur l'angle détruite ; logis actuel reconstruit en 1838, date portée avec remplois de baies de l'ancienne chapelle.
    • Manoir : ancien manoir XVIe siècle ; petit logis XVIIe siècle à l'entrée de la cour ; logis principal remanié 3e quart XIXe siècle dans sa partie gauche : 1858, date portée, portail disparu.
    • Croix de chemin : partie supérieure de la croix 4e quart XIVe siècle ; 1er quart XVe siècle, remontée sur un fût moderne.
    • Bénitier, fonts baptismaux : en bordure (grecque, tresse) ; en frise (cercle, en encadrement : être humain) ; en frise (cartouche, en encadrement : croissant de lune, tête : profil) ; en frise (être humain : musicien, hautbois, lys, animal, lune) ; en frise (être humain (?)).
    • Pavillon de chasse : ancien pavillon de chasse daté 1811 dans le lignolet du toit et construit face à la ferme.
    • Croix-reliquaire : sur le nimbe traces de poinçons illisibles ; sur le médaillon ovale au centre du pied, sur quatre lignes : AU THEN TI QUE.
    • Manoir : ancien manoir XVIe siècle, grange en équerre sur l'arrière, unie au logis ; par une tour d'escalier devenue dans-œuvre par adjonction d'un deuxième logis XVIIe siècle, portail de l'ancienne chapelle détruite remonté dans la façade.
    • Maisons, fermes : édifices des XVIe siècle ? XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ; chronogrammes : 1779, 1792.
    • Croix de procession : recto : Christ en croix (I.N.R.I., rayons lumineux) ; verso : Vierge à l'Enfant ; croix : ornementation (guirlande, feuille d'acanthe, pampre).
    • Édifice fortifié, château de Petites Sœurs des Pauvres : logis XVIIe siècle, ancien château de la Tour reconstruit sur les vestiges d'une ancienne forteresse, puis vendu en 1856 devenu maison mère des Petites Sœurs des pauvres qui firent construire au-devant du château l'établissement actuel de 1860 à 1877 ; chapelle construite en 1868 par Jacques Mellet architecte à Rennes, avec crypte renfermant le tombeau de Jeanne Jugan fondatrice de l'ordre.
    • Ferme : logis 4e quart XVIIe siècle ; augmenté à l'ouest d'un logis limite XVIIIe siècle XIXe siècle ; étable ajoutée en pisé à l'est 2e moitié XIXe siècle.
    • Calice, patène : ornementation : sur pied (ove, aileron, blé, roseau) ; symbole christique (cœur, croix, pélican) ; sur tige (roseau, volute, pampre, perle) ; sur coupe (cartouche, lambrequin, blé, vigne) ; les vertus théologales ; I.H.S. (Instrument de la Passion).
    • Autel, retable, tabernacle, exposition, gradins d'autel (2) (maître-autel, autel tombeau, retable architecturé à niche) : ornementation (guirlande) ; agneau mystique ; ornementation (rinceaux) ; ornementation (guirlande, chute végétale, angelot : en écoinçon) ; ornementation (palme, colonnette, aileron, chute végétale) ; rayons lumineux (nuée, triangle : Trinité) ; monogramme (I.H.S., M. A.) ; ornementation (pot à feu, chapiteau ionique : chute végétale, rinceaux, coquille, quadrillage, cartouche : enroulement, couronne végétale) ; représentation d'objet (calice, hostie, palme).
    • Croix : Christ en croix : bois : taillé, peint (polychrome).
    • Ciboire : poinçon de maître ; garantie gros ouvrages 1er titre départements.
    • Maison de tisserand : ancienne maison de tisserand 2e moitié XVIe siècle ? Emblème professionnel sur linteau de fenêtre ; remaniée au nord 2e quart XXe siècle.
    • Ostensoir : ornementation : sur pied (patte : volute, feuille d'acanthe, ove, entrelacs, à canal, bouquet) ; Agneau mystique (triangle : Trinité, blé, vigne) ; sur tige (feuille, à canal, angelot, ove, entrelacs) ; rayons lumineux (angelot, nuée, blé, vigne, croix latine).
    • Ostensoir : ornementation (patte : feuille d'acanthe, à canal, ove, entrelacs, quadrillage, épi : blé, pampre) ; Agneau mystique (triangle : Trinité) ; sur tige (palme, à canal, feuille d'eau, ove, entrelacs) ; rayons lumineux (nuée, angelot, croix, blé, vigne).
    • Autels, retables, tabernacles, gradins d'autel (autel secondaire, autel tombeau, retable architecturé à niche) : ornementation (cartouche, cuir, ove) ; ornementation (colonnette, aileron, angelot) ; ornementation (colonne torse : pampre, chapiteau corinthien, guirlande, pot à feu, chute végétale).
    • Calice, patène : ornementation : sur pied (perle, feuille d'eau, ove, torsade) ; sur tige (fleurette, rosette) ; sur coupe (feuille d'eau, trilobe, feuille) ; croix pattée.
    • Statue (petite nature) : saint Armel (foulant aux pieds : dragon, lien : étole, chape : emblème, fleur de lys, effet de forme).
    • Bénitier : granite : taille directe (décor en bas-relief).
    • Calice, patène : ornementation : sur pied (croix, quadrilobe, renoncule) ; à mi-corps (Christ, Vierge, saint Joseph) ; sur tige (palmette, lys, renoncule) ; sur coupe (quadrilobe, renoncule, rose).
    • Calice, patène : ornementation : sur pied (feuille d'eau, quadrillage, feuille d'acanthe, croix) ; sur tige (boule : torsade, rinceaux) ; sur coupe (feuille d'eau, bouquet) ; I.H.S. (Instrument de la Passion).
    • Coquille de baptême : en forme de : coquille Saint-Jacques ; ornementation : sur pied (torsade).
    • Prieuré Saint-Pern (prieuré cure) , église paroissiale de bénédictins à 35 (Saint-Pern) ; L'abbaye Saint-Nicolas d'Angers fonde en 1050 un prieuré, il devient prieuré cure en 1512. L'église conserve des parties anciennes, le pignon du transept nord daterait du XIVe siècle. Le portail ouest et la porte sud sont de la 1re moitié du XVIe siècle. La nef a été reconstruite au 3e quart du XVIIIe siècle vers 1770 (date portée). Le clocher a été élevé à la fin du 4e quart du XIXe siècle (date portée 1896) , avec remploi du portail et des éléments du XVIe siècle. Le lambris de couvrement est du 3e quart du XXe siècle (date portée 1962) et remaniement partiel à cette époque du carré du transept. Croix monumentales autour de l'église du XIVe ou XVe siècle et de datation incertaine.
    • Prieuré Saint-Pern : ancien prieuré de Saint-Pern bâti entre 1669 et 1678 pour Raoul Nivet prieur, devenu presbytère bâti à côté en 1862 pour Pierre Marie Tostivint recteur de Saint-Pern
    • Château : château reconstruit 4e quart XVIe siècle par Judes de Saint-Pern : inscription avec date 1592. Portail d'entrée construit 4e quart XVIIe siècle : 1685 (date portée) . Tour sud-est ajoutée 2e moitié XIXe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Le Quiou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Pern et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Le Quiou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Pern et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. La Borderie, Arthur Le Moyne de, Fondation du prieuré de Saint-Pern : chartes inédites des XIe et XIIe siècles, Nantes, Impr. de V. Forest et É. Grimaud, , 25 p. (lire en ligne), p. 6.
    23. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    24. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    25. « Saint-Pern. Pour la première fois, le maire est une femme », Ouest-France, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Notice d'inventaire du patrimoine
    30. Notice d'inventaire du patrimoine
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