Saint-Aventin

Saint-Aventin est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Saint-Aventin

Le village de Saint-Aventin.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
Jean-Claude Tiné
2020-2026
Code postal 31110
Code commune 31470
Démographie
Gentilé Saint-Aventinois
Population
municipale
66 hab. (2018 )
Densité 3,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 48′ 23″ nord, 0° 32′ 46″ est
Altitude Min. 679 m
Max. 2 676 m
Superficie 17,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bagnères-de-Luchon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Aventin
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Saint-Aventin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Aventin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Aventin

    Ses habitants sont appelés les Saint-Aventinois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Aventin se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Aragon)[1].

    Elle se situe à 115 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 37 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à km de Bagnères-de-Luchon[4], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bagnères-de-Luchon[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Castillon-de-Larboust (1,0 km), Benque-Dessous-et-Dessus (1,2 km), Cazeaux-de-Larboust (1,3 km), Trébons-de-Luchon (1,6 km), Saccourvielle (1,6 km), Billière (1,7 km), Saint-Paul-d'Oueil (2,2 km), Garin (2,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Aventin fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

    Saint-Aventin est limitrophe de sept autres communes dont une en Espagne.

    Carte de la commune de Saint-Aventin et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est située dans la vallée du Lis et est arrosée par l'One, la Neste d'Oueil et la Neste d'Oô.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 740 hectares ; son altitude varie de 679 à 1 676 mètres[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 9,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 116 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Paul-d'Oueil », sur la commune de Saint-Paul-d'Oueil, mise en service en 1999[16] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,8 °C et la hauteur de précipitations de 989,6 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 52 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[24] :

    • la « haute vallée de la Pique », d'une superficie de 8 251 ha, une haute-vallée glaciaire divisée en deux vallons principaux surplombés par une chaîne de sommets dépassant à l'est les 3 000 mètres pour sept d'entre eux, avec la présence de glaciers[25]

    et un au titre de la directive oiseaux[24] :

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] :

    • les « affluents et rivière de l'One » (61 ha), couvrant 12 communes du département[28] ;
    • les « massifs du Luchonnais et du Larboust » (16 267 ha), couvrant 13 communes dont dix dans la Haute-Garonne et trois dans les Hautes-Pyrénées[29],
    • la « vallée d'Oueil et soulane du Larboust » (6 150 ha), couvrant 27 communes dont 21 dans la Haute-Garonne et six dans les Hautes-Pyrénées[30] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] : la « Haute montagne en Haute-Garonne » (33 294 ha), couvrant 49 communes dont 41 dans la Haute-Garonne et huit dans les Hautes-Pyrénées[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Aventin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnères-de-Luchon, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,9 %), prairies (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones urbanisées (0,7 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès par l'autoroute A64 sortie no 17 puis la route départementale 125c et la route départementale 618, ainsi qu'avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Luchon située sur la ligne de Montréjeau à Luchon.

    Histoire

    Ancien lieu de passage du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (chemin du Piémont).

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[38],[39].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de Bagnères-de-Luchon avant le Saint-Aventin faisait partie de la communauté de communes du Pays de Luchon.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2014 Léon Tine    
    mars 2014 En cours Jean-Claude Bordes SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

    En 2018, la commune comptait 66 habitants[Note 9], en diminution de 34 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    242176259340386394400415410
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    390410360325320302295282284
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    283288291228224208200195162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1281551491159895908988
    2013 2018 - - - - - - -
    10066-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
    Rang de la commune dans le département 320 324 446 462 468 485 495 479
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Enseignement

    Saint-Aventin fait partie de l'académie de Toulouse.

    Culture et festivités

    Panthéon pyrénéen, fête du village, fêtes du feu du solstice d'été dans les Pyrénées.

    Activités sportives

    Chasse, randonnée pédestre,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Pays de Luchon[48].

    Protection environnementale

    La zone Natura 2000 de la Haute Vallée de la Pique est classée en zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2007 ; avec une superficie de 8 251 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Saint-Aventin[49].

    La zone Natura 2000 des Vallées du Lis, de la Pique et d'Oô est classée en zone de protection spéciale (en référence à la Directive Oiseaux) depuis 2006 ; avec une superficie de 10 515 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Saint-Aventin[50].

    Ces deux zones Natura 2000 se superposent sur une grande partie de leur superficie.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges de Superbagnères, construite de 1966 à 1967, elle a été vendu par la commune en 2015 à un acquéreur qui a fait de la chapelle un restaurant et salon de thé[52].
    • La vallée du Lis (ou du Lys).
    • Superbagnères.
    • Col de Peyresourde
    • La chapelle de Saint-Aventin.

    Légende de saint Aventin

    Saint Aventin était un ermite du VIIIe siècle. Sa légende, encore très vivace, dit qu'il réalisa de nombreux miracles. Fait prisonnier par les envahisseurs sarrasins, il fut enfermé dans la tour de Castel-Blancat, à peu de distance du village (sur l'actuelle commune de Saccourvielle). S'étant délivré de ses liens, il sauta du haut de la tour, traversa toute la vallée et retomba sans mal de l'autre côté, imprimant l'empreinte de son pied dans une pierre. Cette pierre est toujours visible, sur le seuil de la chapelle du Miracle édifiée à cet emplacement. Repris, Aventin fut décapité. Il ramassa sa tête et marcha jusqu'au lieu où serait son tombeau. Des siècles plus tard, cet emplacement fut révélé à un berger. On mit les restes d'Aventin sur un traîneau tiré par des vaches, qui s'arrêtèrent à l'endroit où se trouve maintenant le village de Saint-Aventin[53]. Le culte de saint Aventin s'est diffusé dans le val d'Aran et le haut Aragon. Pour sa fête, le , le pèlerinage attirait des foules venues en particulier de Bénasque, du moins jusqu'à la Révolution qui mit fin à ces festivités. Selon la tradition, dans une épidémie de peste qui ravageait leur contrée, les Bénasquais s'étaient placés sous la protection de saint Aventin et le fléau avait disparu.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Aventin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Aventin et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Aventin et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Aventin et Bagnères-de-Luchon », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Saint-Aventin », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
    9. (es) Ministère espagnol de l'agriculture, pêche et environnement, « GeoPortal », sur sig.mapama.es (consulté le ).
    10. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Saint-Paul-d'Oueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Saint-Aventin et Saint-Paul-d'Oueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Saint-Paul-d'Oueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Saint-Aventin et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Aventin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7300881 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7312009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    29. « ZNIEFF les « massifs du Luchonnais et du Larboust » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    47. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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    49. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300881 - Haute vallée de la Pique - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    50. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7312009 - Vallées du Lis, de la Pique et d'Oô - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    51. « Église de Saint-Aventin », notice no PA00094445, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 15 juin 2010.
    52. « Notre Dame des Neiges de Superbagnères – Le Petit Journal », sur www.lepetitjournal.net (consulté le ).
    53. Notice historique sur Saint-Aventin d'Aquitaine, martyr, par un prêtre du diocèse, Toulouse, Bon et Privat, 1850 ; rééd. Montréjeau, imp. Fabbro, 1988.
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