Sébastien Lecornu

Sébastien Lecornu, né le à Eaubonne (Val-d'Oise), est un homme politique français.

Pour les articles homonymes, voir Lecornu.

Sébastien Lecornu

Sébastien Lecornu en 2020.
Fonctions
Président du conseil départemental de l'Eure
En fonction depuis le
(2 mois et 19 jours)
Élection
Prédécesseur Pascal Lehongre

(2 ans, 3 mois et 8 jours)
Élection
Prédécesseur Jean-Louis Destans
Successeur Pascal Lehongre
Ministre des Outre-mer
En fonction depuis le
(1 an, 2 mois et 14 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Jean Castex
Gouvernement Castex
Prédécesseur Annick Girardin
Conseiller départemental de l'Eure
En fonction depuis le
(6 ans, 5 mois et 18 jours)
Avec Catherine Delalande
Élection 29 mars 2015
Réélection 27 juin 2021
Circonscription Canton de Vernon
Prédécesseur Canton recréé
Sénateur français

(1 mois)
Élection 27 septembre 2020
Circonscription Eure
Groupe politique RDPI
Successeur Nicole Duranton
Ministre chargé des Collectivités territoriales

(1 an, 8 mois et 20 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Estelle Grelier (indirectement, secrétaire d'État)
Successeur Jacqueline Gourault
Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire

(1 an, 3 mois et 25 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Ministre Nicolas Hulot
François de Rugy
Gouvernement Philippe II
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Emmanuelle Wargon
Maire de Vernon

(1 an, 7 mois et 29 jours)
Élection
Prédécesseur Philippe Nguyen Thanh
Successeur François Ouzilleau
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Eaubonne (France)
Nationalité Français
Parti politique UMP (jusqu'en 2015)
LR (2015-2017)
LREM (depuis 2017)
Diplômé de Université Panthéon-Assas
Profession Conseiller en communication
Résidence Hôtel de Montmorin (Paris)

Ministres français des Outre-mer

Cadre de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) puis des Républicains (LR), il est président du conseil départemental de l'Eure de 2015 à 2017 et depuis 2021, ainsi que premier vice-président de la communauté d'agglomération des Portes de l'Eure (CAPE) puis de la Seine Normandie Agglomération. Il est également maire de Vernon entre 2014 et 2015.

Du au , il est secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire (Nicolas Hulot puis François de Rugy) dans le gouvernement Édouard Philippe II, sous la présidence d'Emmanuel Macron. Il est alors exclu de LR et adhère à La République en marche (LREM).

Il devient le ministre chargé des Collectivités territoriales auprès de Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, dans le même gouvernement.

Le , il est nommé ministre des Outre-mer dans le gouvernement Jean Castex. Il est élu sénateur peu après.

Biographie

Jeunesse et études

Sébastien Lecornu naît le à Eaubonne, dans le Val-d'Oise.

Il effectue ses études secondaires à l'Établissement Saint-Adjutor[1]. À l'âge de 16 ans, il devient militant à l'Union pour un mouvement populaire (UMP), intègre les Jeunes de droite de la région de Vernon (JDV), puis milite lors de la campagne pour les élections régionales de 2004. Titulaire d'un baccalauréat économique et social, il obtient une licence de droit puis entame un master de droit public non terminé à l'université Panthéon-Assas.

Débuts en politique

En 2005, il devient assistant parlementaire de Franck Gilard, député de la cinquième circonscription de l'Eure. Il devient ainsi le plus jeune assistant parlementaire de l'Assemblée nationale[2]. Il rencontre alors Bruno Le Maire, député (UMP) de la première circonscription de l'Eure et intègre son cabinet au secrétariat d'État des Affaires européennes, comme conseiller chargé des affaires institutionnelles[3]. À 22 ans, il est le plus jeune conseiller ministériel du gouvernement de François Fillon[2]. Lorsque Bruno Le Maire est nommé au ministère de l'Agriculture, il devient son conseiller aux affaires réservées.

En 2010, il est nommé secrétaire départemental adjoint de l'UMP dans l'Eure. Il devient le suppléant de Franck Gilard en 2012[4]. Puis il codirige, en 2013, la campagne de Bruno Le Maire pour la présidence de l'UMP. Il est par ailleurs secrétaire national de l'UMP de à .

Carrière professionnelle

Sébastien Lecornu est co-fondateur et co-gérant d'une société de conseil en relations publiques et communication dédiée à la sphère publique, créée en 2013[5].

En parallèle, il est gendarme de réserve avec le grade de lieutenant[6]. Dans ce cadre, il est le chef de peloton d'Alexandre Benalla, qui est accusé en d'avoir violenté un couple de personnes venues manifester et usurpé la fonction de policier lors d'une des manifestations du à Paris[7].

Il est nommé colonel au titre des spécialistes de la réserve à l'automne 2017[8].

Implantation dans l'Eure

En 2014, il se présente aux élections municipales à la mairie de Vernon, qu'il remporte dans une quadrangulaire face au maire sortant Philippe Nguyen Thanh (PS). Il est ensuite élu premier vice-président de la communauté d'agglomération des Portes de l'Eure (CAPE), qui devient la Seine Normandie Agglomération en 2017, chargé des affaires générales[9].

Portrait de Sébastien Lecornu comme président du conseil départemental de l'Eure, en 2015.

En 2015, il dirige la campagne de l'UMP pour les élections départementales de 2015 dans l'Eure. Candidat dans le canton de Vernon avec Catherine Delalande, il est élu conseiller départemental au second tour avec 70,74 % des suffrages exprimés[10]. Le , il est élu président du conseil départemental de l'Eure[11], devenant à 28 ans le benjamin des présidents des conseils départementaux français[2]. Selon Mediapart, il bénéficie de l'influence de Bruno Le Maire pour accéder à ce poste, alors que la présidence semblait promise à Jean-Pierre Legendre, figure historique de l’opposition lorsque le conseil départemental était dirigé par le PS : en contrepartie, celui-ci est investi dans la deuxième circonscription de l'Eure pour les élections législatives de 2017[12]. Sébastien Lecornu nomme alors l'ancien ambassadeur de France en Roumanie, Philippe Gustin, directeur général des services et directeur de cabinet.

Il met en avant son refus d'augmenter les impôts et une gestion rigoureuse de l’argent public. Mediapart souligne que « la chasse aux fraudeurs du RSA a été — à grand renfort de communication — la politique phare menée par le département depuis l’arrivée de Sébastien Lecornu ». Il procède également à la fermeture de deux collèges en éducation prioritaire, qu'il justifie par leur taux de remplissage trop faible[12].

En , il devient membre du bureau national des Républicains.

Le cumul de deux mandats exécutifs étant incompatible, il abandonne la mairie de Vernon le . Devenu premier adjoint, Sébastien Lecornu déclare rester le chef de la majorité municipale[13],[14]. Il annonce, lors d'une réunion publique locale, qu'il sera de nouveau candidat aux élections municipales de 2020[15].

En , à la suite de l'élection de Bruno Le Maire à la présidence de la fédération des Républicains de l'Eure, il le remplace comme secrétaire départemental. Sébastien Lecornu fait partie du premier cercle de relations de Bruno Le Maire[16],[17],[18]. Après avoir été son assistant parlementaire puis son conseiller dans ses fonctions ministérielles, il est un des responsables de sa campagne à la primaire de la droite et du centre de 2016[19],[20],[21]. Après la victoire de François Fillon, il devient le directeur de campagne adjoint de celui-ci[22]. Il démissionne de ce poste le à l'annonce de la convocation par la justice en vue d'une mise en examen de François Fillon[23],[24].

Suivant la règle non écrite selon laquelle des fonctions ministérielles sont incompatibles avec l'exercice d'un mandat exécutif local, Sébastien Lecornu est remplacé le à la tête du conseil départemental de l'Eure par le maire de Pacy-sur-Eure, Pascal Lehongre[25].

En , il est désigné pour diriger, au sein de LREM, l’équipe consacrée à la préparation des prochaines élections départementales, avec Jean-Yves Gouttebel[26]. Dans le même temps, il lance le mouvement Ensemble pour l'Eure (EPE), une plateforme politique visant à fédérer les candidatures aux élections municipales 2020 autour de la majorité départementale[27]. Il est lui-même candidat à ces élections, en troisième position sur la liste de François Ouzilleau à Vernon[28].

Secrétaire d'État

Sébastien Lecornu en 2017.

Le , il est nommé secrétaire d'État auprès de Nicolas Hulot, ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire dans le gouvernement Édouard Philippe II, dont il est le benjamin.

Il est alors suspendu de ses fonctions au sein des Républicains (notamment de sa fonction de secrétaire départemental) par le parti et une procédure disciplinaire d'exclusion est engagée contre lui[29]. Il est exclu des Républicains le , avec Gérald Darmanin, également membre du gouvernement, et les parlementaires Franck Riester et Thierry Solère[30]. Le , il adhère à La République en marche[31].

Nicolas Hulot lui délègue les sujets liés à l’énergie en général. Il se voit confier en particulier plusieurs dossiers sensibles comme la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, l’ouverture de l'EPR de Flamanville, ou encore le projet de centre d’enfouissement de déchets nucléaires Cigéo à Bure[32],[33],[34].

Contexte indique qu'il « a également un tropisme pour les questions territoriales. À ce titre, il s’est vu confier à la mise en place des contrats de transition écologique qui concerneront une vingtaine de territoires pilotes dès 2018 » : il est ainsi chargé de piloter la fermeture des quatre centrales à charbon encore présentes sur le territoire[32]. À l'été 2017, il est envoyé en Nouvelle-Calédonie afin de rencontrer les acteurs locaux de l'île. À l'automne, il reçoit des associations d’élus locaux avant le congrès des maires[34]. Il se rend dans ce cadre à Notre-Dame-des-Landes à la demande du Premier ministre, afin de préparer l’évacuation de la ZAD. Emmanuel Macron lui confie enfin la réforme de la chasse en France.

Ministre chargé des Collectivités territoriales

Le , à la faveur du remaniement ministériel du gouvernement Philippe II faisant suite à la démission de Gérard Collomb du ministère de l'Intérieur, Sébastien Lecornu est nommé ministre chargé des Collectivités territoriales auprès de Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales.

Le , il est désigné avec Emmanuelle Wargon pour animer le grand débat national, organisé afin de sortir de la crise engendrée par le mouvement des Gilets jaunes[35].

Fin 2019, il porte au nom du gouvernement une loi « Engagement et Proximité »[36] visant à renforcer le statut des élus locaux et à réformer le fonctionnement des communes et intercommunalités, en modifiant plusieurs points de la loi NOTRe.

Investi par LREM pour les élections sénatoriales de 2020 dans l'Eure, il entend en cas d'élection céder son siège de sénateur tant qu'il restera au gouvernement, mais n'exclut pas d'exercer cette fonction par la suite, dans le but de prendre, selon Public Sénat, la présidence de la chambre haute[37].

Ministre des Outre-mer

Le , il est nommé ministre des Outre-mer dans le gouvernement Castex, sous la présidence d'Emmanuel Macron. C'est la première fois depuis 2009 que le ministre chargé des Outre-mer n'est pas lui-même ultramarin[38]. Ainsi, les réactions à la suite de sa nomination sont contrastées dans ces territoires : si plusieurs élus, notamment en Guadeloupe, saluent sa maîtrise des dossiers et son expérience d'élu local, d'autres comme Gabriel Serville (député de la Guyane) ou Younous Omarjee (député européen des Outre-mer) condamnent la désignation d'un ministre non ultramarin et ironisent sur un retour du ministère des Colonies[39].

La Lettre A indique qu'il « emmène son noyau dur de conseillers issus de la campagne de Bruno Le Maire en 2016 puis de LREM », et qu'il « est chargé par Emmanuel Macron de redonner une portée politique au ministère en prévision de l'élection présidentielle de 2022 et de renforcer les liens avec les élus ultramarins »[40].

Élu sénateur de l’Eure en , il laisse son siège à Nicole Duranton, comme il l’avait annoncé avant son élection[41], au terme d’un délai d’un mois après son entrée au palais du Luxembourg[42]. Touché par le cumul des mandats, il démissionne de son mandat d’adjoint au maire — qu’il exerçait depuis 2015 — et du conseil municipal de Vernon, le  ; cette démission entraîne également son départ du conseil communautaire de la Seine Normandie Agglomération[43],[44].

En , à la suite d’un échange avec des élus mahorais, Sébastien Lecornu annonce le dépôt d’un projet de loi spécifique à Mayotte « avant la fin du quinquennat » visant à tirer « un bilan lucide de ce qui a fonctionné et de ce qui a moins fonctionné » depuis la départementalisation de l’archipel en 2011[45].

Candidat à sa réélection dans le canton de Vernon lors des élections départementales de 2021, il arrive largement en tête au premier tour avec 58,74 % des suffrages exprimés, mais la forte abstention ne lui permet pas d’être directement élu[alpha 1],[46]. Il est réélu au second tour avec 81,11 % des voix[47]. À la surprise générale, alors qu'il est toujours ministre des Outre-mer, il reprend la présidence du conseil départemental de l'Eure, en obtenant les 39 voix de la majorité, contrairement à la pratique instaurée par Lionel Jospin en 1997 de non-cumul d'un mandat exécutif avec une fonction gouvernementale ; il y est autorisé « pour un temps » par Emmanuel Macron et Jean Castex[48],[49].

D'après Les Échos, il fait partie des membres du gouvernement plaidant pour un passage de l'âge de la retraite à 64 ans[50].

Enquête sur ses activités passées

Le , le Parquet national financier indique que le ministre est visé par une enquête préliminaire, pour « prise illégale d'intérêts » et « omission de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », concernant ses activités passées à la tête du département de l’Eure. L'enquête a été ouverte en et est confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Sébastien Lecornu était rémunéré comme administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie (SAPN) alors qu'il a approuvé plusieurs délibérations, en tant que président du département, ayant trait à la SAPN. Le cabinet du ministre déclare que « ce mandat a été exercé par Sébastien Lecornu de façon totalement transparente, faisant l’objet des publications légales classiques et d’une déclaration à la HATVP »[51],[52].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

Au Sénat

Au niveau local

Autres

Synthèse des résultats électoraux

Élections sénatoriales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Nuance Circonscription Voix  % Rang Sièges obtenus
2020[54] DVC Eure 589 30,76 1er
1  /  3

Élections départementales

Année Nuance Canton 1er tour 2d tour Issue
Voix  % Rang Voix  % Rang
2015[10] UD Canton de Vernon 3 438 43,10 1er 5 180 70,74 1er Élu
2021[47] DIV 3 274 58,74 1er 4 239 81,11 1er Élu

Élections municipales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Nuance Commune 1er tour 2d tour Sièges obtenus
Voix  % Rang Voix  % Rang
2014[55] UMP Vernon 2 922 31,84 1er 4 305 45,44 1er
26  /  35

Décorations et engagement militaire

Notes et références

Notes

  1. Les résultats du premier tour tiennent compte de l'abstention : il faut obtenir un nombre de suffrages au moins égal au quart du nombre des électeurs inscrits pour être directement élu et pas seulement la majorité absolue des suffrages exprimés (article L. 193 du Code électoral).

Références

  1. Jean-Pierre Jouyet, L'envers du décor (ISBN 978-2-226-45228-3 et 2-226-45228-1, OCLC 1223010168, lire en ligne).
  2. « Sébastien Lecornu devient le benjamin des présidents départementaux », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  3. « Sébastien Lecornu : itinéraire eurois d’un jeune homme pressé », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  4. Assemblée Nationale, « M. Franck Gilard - Eure (5e circonscription) - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  5. « Etablissement Monsieur Sébastien LECORNU à VERNON », sur societe.com.
  6. Alain Auffray, « Quand le gendarme Benalla officiait sous les ordres de Lecornu », sur Libération, (consulté le ).
  7. « Sébastien Lecornu fut le « commandant de peloton d’Alexandre Benalla, en 2012 ou 2013 » », Le Monde, (lire en ligne).
  8. « Christophe Castaner ministre de l’intérieur avec Laurent Nunez, patron de la DGSI comme adjoint », L'Essor, (lire en ligne).
  9. « Agglo : Gérard Volpatti réélu président | Le Démocrate Vernonnais », sur actu.fr, (consulté le ).
  10. « Canton Vernon : résultats élections départementales 2015 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Sébastien Lecornu élu président du conseil départemental de l’Eure », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  12. Lucie Delaporte, « Dans l’Eure, l’autre visage de Bruno Le Maire », sur Mediapart, (consulté le ).
  13. « Maire de Vernon démissionnaire, Sébastien Lecornu sera « adjoint à tout » », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  14. « Évreux Interview. Sébastien Lecornu : « Je n'ai pas trahi les habitants de Vernon » », sur Normandie-actu (consulté le ).
  15. « Vernon « Il n’y a qu’un patron à la mairie de Vernon, c’est moi » », sur Le Démocrate (consulté le ).
  16. Soazig Quéméner, « UMP : Le Maire plonge dans la "mare aux canards" », sur LeJDD.fr (consulté le ).
  17. « Le député eurois Bruno Le Maire déroule les thèmes de sa future campagne pour la primaire à droite », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  18. « Pour l’UMP, l’Eure de la bascule », sur Libération.fr (consulté le ).
  19. « Comment Bruno Le Maire tente de faire monter le désir », sur L'Opinion, (consulté le ).
  20. « Sébastien Lecornu : «La primaire, c'est le rendez-vous de la modernité» », sur Figaro Tv, (consulté le ).
  21. « 50 nuances de Bruno Le Maire », sur LExpress.fr (consulté le ).
  22. « François Fillon présente son équipe de campagne », sur parismatch.com, (consulté le ).
  23. « Affaire Fillon : Sébastien Lecornu démissionne », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  24. « Sébastien Lecornu démissionne de l'équipe de François Fillon », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  25. « Pascal Lehongre s'installe dans le fauteuil de Sébastien Lecornu à la Présidence de l'Eure », sur infonormandie.com, (consulté le ).
  26. Alexandre Lemarié, « LRM se réorganise pour essayer d’exister », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  27. « Municipales 2020.Lecornu-Lehongre préparent la rentrée politique », sur actu.fr, (consulté le ).
  28. « Liste GÉNÉRATIONS VERNON », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Sébastien Lecornu suspendu de ses fonctions de sécrétaire fédéral LR de l’Eure », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  30. « Cinq membres pro-Macron, dont Edouard Philippe, exclus par Les Républicains », sur lci.fr, (consulté le ).
  31. Le JDD, « Darmanin, Solère et Lecornu adhèrent à En Marche », jdd.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  32. Samuel Le Goff, Simon Prigent, Diane de Fortanier et Hortense Goulard, « Les attributions informelles des secrétaires d’État « sans attribution », sur contexte.com, (consulté le ).
  33. Marcelo Wesfreid, « Lecornu, le "M. Nucléaire" du gouvernement », Le Figaro, samedi 3 / dimanche 4 février 2018, page 5.
  34. Bruno Jeudy, « Sébastien Lecornu, un gendarme au gouvernement », Paris Match, semaine du 11 au 17 janvier 2018, page 24.
  35. « Emmanuelle Wargon et Sébastien Lecornu animeront le grand débat national », lemonde.fr, 14 janvier 2019 (consulté le ).
  36. Projet de loi relatif à l’engagement dans la vie locale et à la proximité de l’action publique (TERX1917292L).
  37. François Vignal, « Sénatoriales : le ministre Sébastien Lecornu investi par LREM », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  38. « Remaniement du gouvernement : Sébastien Lecornu nommé ministre des Outre-mer », sur la1ere.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  39. « Sébastien Lecornu, nouveau ministre des Outre-mer : quelles réactions Outre-mer ? », sur la1ere.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  40. « La garde rapprochée de Sébastien Lecornu, nouveau pilote de Macron pour les outre-mer », sur lalettrea.fr, (consulté le ).
  41. « Sénatoriales. Sébastien Lecornu rate son pari de grand chelem dans l’Eure », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  42. François Vignal, « Pourquoi Sébastien Lecornu et Jean-Baptiste Lemoyne peuvent être sénateurs et ministres en même temps », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  43. Fabienne Marie, « Eure. Le ministre Sébastien Lecornu démissionne du conseil municipal de Vernon », sur actu.fr, (consulté le ).
  44. « Vernon. Pourquoi Sébastien Lecornu a démissionné de son poste de conseiller municipal ? », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  45. « Mayotte : Lecornu promet un projet de loi « avant la fin du quinquennat » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  46. « Départementales 2021. Dans le canton de Vernon, le ministre Sébastien Lecornu vire largement en tête », sur paris-normandie.fr, (consulté le ).
  47. « Elections départementales 2021 : Eure (27) - canton de Vernon (2723) », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  48. « Eure. Le ministre Sébastien Lecornu élu président du Département », sur actu.fr, (consulté le ).
  49. « Sébastien Lecornu reprend la présidence de l'Eure », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  50. « Retraites : le scénario d'un report rapide de l'âge de départ à 64 ans sur la table », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  51. « Le ministre Sébastien Lecornu visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » », lemonde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  52. Laurent Léger, « Lecornu, étoile montante de la macronie, soupçonné de prise illégale d'intérêts », sur liberation.fr, (consulté le ).
  53. « Sébastien LECORNU nouveau Président de l’EPF Normandie », sur epf-normandie.fr (consulté le ).
  54. « Résultats des élections sénatoriales 2020 », sur interieur.gouv.fr.
  55. « Résultats des élections municipales 2014 », sur interieur.gouv.fr.
  56. Arrêté du 23 mars 2017 portant nomination et promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres. NOR : MCCA1705191A.
  57. « Sébastien Lecornu, le nouveau favori de la "Macronie" », sur bfmtv.com, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de la politique française
  • Portail de l’Eure
  • Portail de la France d’outre-mer
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.