Roybon

Roybon[1] est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes et, autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné.

Roybon

Le village de Roybon vue de l'ouest (vallée de la Galaure).

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Bièvre Isère
Maire
Mandat
Serge Perraud
2020-2026
Code postal 38940
Code commune 38347
Démographie
Population
municipale
1 150 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 15′ 34″ nord, 5° 14′ 42″ est
Altitude 500 m
Min. 436 m
Max. 729 m
Superficie 67,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Bièvre
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Roybon
Géolocalisation sur la carte : Isère
Roybon
Géolocalisation sur la carte : France
Roybon
Géolocalisation sur la carte : France
Roybon
Liens
Site web www.roybon.fr

    Géographiquement, le territoire la commune de Roybon est très étendu et couvre une bonne partie du plateau de Chambaran à l'ouest du département de l'Isère et dont le territoire a fait l'objet d'un projet (abandonné en 2020) de centre de vacances, comprenant la construction d'un village de vacances et d'un espace aqualudique, situés en pleine forêt[2].

    Historiquement la cité de Roybon aurait été créée au XIVe siècle à la suite de la signature d'une charte octroyée par Humbert Ier, Dauphin de Viennois accordant le « droit d’albergement » à toute personne qui s’installerait dans la forêt pour la défricher. Les premiers campements se firent autour d'une source où « le rif (le rû) était bon » et dont le surnom serait à l'origine du nom du village.

    La commune est adhérente à la communauté de communes Bièvre Isère et ses habitants sont les roybonnais[3].

    Géographie

    Plan du territoire de Roybon

    Localisation

    Roybon se situe à l'ouest du département de l'Isère, dans la haute vallée de la Galaure, au sud de la plaine de Bièvre, à la limite du département de la Drôme.

    La commune est située à une distance orthodromique de 13 km au nord-ouest de Saint-Marcellin[4], de 38,3 km à l'ouest de la ville préfecture, Grenoble[5], de 64,1 km au sud-est de la capitale régionale, Lyon[6], et de 456,2 km au sud-est de la capitale, Paris[7].

    Description

    Entièrement cerné par la forêt de Chambaran, le bourg de Roybon, de taille modeste se présente comme un village à vocation rurale présentant un aménagement touristique sous la forme d'un petit lac artificiel situé au sud de la petite agglomération. Le Bourg possède une rue principale (la Grande rue) essentiellement composé de petites immeubles de niveau modeste et de quelques maison de ville.

    Le reste de l'agglomération, y compris les hameaux présentent quelques fermes éparses entourées de maisons individuelles très souvent des résidences secondaires, la plupart ayant été construites récemment.

    Le territoire communal abrite une grande surface forestière ainsi que de nombreux étangs, de petits lacs et d'importantes zones humides.

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    Le plateau de Chambaran sur lequel est installé le territoire de Roybon se compose de « cailloutis polygéniques » sans stratification visible, emballés dans un ensemble argilo-limoneux. Jusqu'à une dizaine de mètres de profondeur, ce cailloutis est essentiellement composé de roches siliceuses dont des quartzites mais très fortement altérées. Selon la notice d'une carte géologique au 1/50 000 : « cette formation, attribuée par certains auteurs à une nappe alluviale villafranchienne, peut aussi bien représenter, en totalité ou en partie, le niveau supérieur, altéré, des conglomérats miocène »[8].

    Le plateau de Chambaran est classé à l'inventaire national du patrimoine naturel[9].

    Hydrographie

    Roybon et son lac

    Le territoire de la commune abrite un plan d'eau artificiel de sept hectares et d'une profondeur d'environ dix mètres, dénommé « lac de Roybon » [10]
    Il est également sillonné par plusieurs cours d'eau :
    une rivière

    Celle-ci compte plusieurs affluents sur le territoire même de la commune :
    le ruisseau de la Combe de l'Etang
    le ruisseau de Queue Noire
    le Gerbert
    le Grignon
    le Galaveyson
    le Galauret
    le ruisseau de l'Aigue Noire (qui alimente le lac de Roybon)
    le ruisseau vers l'Oursière (affluent du précédent)
    le ruisseau de Sétives

    Il existe également d'autres ruisseaux

    le Ré
    le ruisseau du Layoir
    le ruisseau de Tourterelle
    le ruisseau de l'Éperon

    Climat

    Le secteur de Roybon se situe sur un plateau sillonné par quelques cours d'eau au climat plus rude et plus frais qu'en plaine. Du fait du relief peu accentué, les masses d'air venues du nord et du sud circulent aisément. Les températures nocturnes sont assez fraîches au cœur du massif de Chambaran.

    Tableau des températures minimales et maximales sur trois années

    • 2013
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −1,4 −1,2 2,7 6,4 8,5 12,7 16,3 14,9 12 10,2 3 −1,7
    Température maximale moyenne (°C) 5,4 5,3 12,1 17,7 17,3 18,4 25 27,8 23,6 19,5 9,1 9,1
    Source : Climat de Roybon en 2013 sur linternaute.com, d'après Météo France.
    • 2015
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −0,3 −0,3 3,6 6,6 10,8 14,6 17,3 15,9 10,9 7,5 2,1 −1,1
    Température maximale moyenne (°C) 7,9 6,8 14,6 20 22,3 28 31,6 28,3 22,6 16 13,9 10,7
    Source : Climat de Roybon en 2015 sur linternaute.com, d'après Météo France.
    • 2017
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) −5,8 1,2 4,6 4,9 10,3 15,8 15,9 15,4 9,5 6,2 1,6 −1,2
    Température maximale moyenne (°C) 2,7 13,6 17,5 19,1 23,6 29,2 28,8 28,6 21,7 20,5 10,2 5,5
    Source : Climat de Roybon en 2017 sur linternaute.com, d'après Météo France.

    Voies routières

    Il existe deux routes principales qui relient Roybon aux autres communes voisines.

    • la route départementale 71
    • la route département 20

    Transport

    La gare la plus proche de Roybon est la gare de Saint-Marcellin, située à 18 kilomètres au sud[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Roybon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61 %), prairies (16,2 %), terres arables (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones urbanisées (0,4 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Roybon, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[20].

    • Maison Rambaud
    • Pré Raynaud
    • Queue Noire
    • Le Grand Fayard
    • La Jonchère
    • Le Château Rocher
    • La Jonchère
    • Les Pins
    • Le Plan Michard
    • Le Gerbert
    • Les Combes
    • La Perrache
    • Le Villon
    • Buisson
    • Poncet
    • La Frontonière
    • Le Vatilier
    • Les Adroits
    • Le Guivat
    • Le Malatras
    • Galaveyson
    • Le Poncin
    • Brûlefer
    • Le Charlet
    • Peyrinard
    • Les Bourrassières
    • Les Envers
    • Val Galaure
    • Le Cametière
    • La Robinière
    • Les Bugnasses
    • La Biche
    • La Dupré
    • La Blainte
    • Varacieux
    • L'Allemagne
    • le Mas de Clairfont
    • Clairfont
    • Gargamelle
    • Combalot
    • La Trappe (Abbaye)
    • Bessins
    • Dionay
    • Perrolière
    • Bourgeonnière
    • La Verne
    • Royandière
    • Le Grand Julin

    Risques sismiques

    La totalité du territoire de la commune de Roybon est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes du plateau de Chambaran[21].

    Terminologie des zones sismiques[22]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    Selon André Planck auteur d'un livre sur la toponymie des communes du département de l'Isère, le nom de Roybon (Roybonis au XIVe siècle) doit son nom à une source « rivus bonus », signifiant le « bon rif (ruisseau) », dénommée plus tardivement sous le nom de « Fontaine des Collières », puis « source des Molières » [23].

    Une légende locale très proche de cette proposition indique que « le nom viendrait d’un Roi, qui se serait exclamé alors qu’il avait soif que le "rui est bon"... »[24]

    Histoire

    Moyen Âge et Renaissance

    À la suite de la cession du Dauphiné (dénommé « Transport du Dauphiné ») à la couronne de France en 1349 un échange de terres s'organisa entre les familles de Savoie, de Genève et le Roi de France. La seigneurie de Roybon devient dès lors une terre des comtes de Genève, puis, par alliance, des marquis de Saluces, à la suite du mariage du comte de Genève avec Béatrix de Saluces. À la mort de celle-ci, la terre de Roybon entre dans la famille de Saluces du nom d'un marquisat en Italie, avant la fin du XIVe siècle. Vers 1398, le cardinal Amédée de Saluces devient le seigneur de Roybon, jusqu’à sa mort, en 1419. Louis Ier de Saluces lui succédera de 1428 à 1475[25].

    En 1538, le marquisat de Saluces est conquis par la France. Après la mort du dernier marquis de Saluces, Gabriel, la France prend possession du marquisat où onze gouverneurs se succèdent entre 1537 et 1588[26]. Profitant des guerres de religion en France, le duc de Savoie, Charles-Emmanuel Ier, s'empare de Saluces en 1588, avec le soutien de l'Espagne. Sa politique belliqueuse a pour conséquence une seconde occupation de ses territoires par les troupes françaises d'Henri IV en 1600.

    Époque contemporaine

    Dans la nuit du 2 au 3 , Roybon est le théâtre des nombreuses dégradations visant les services publics (mairie, agence postale), les commerces, les restaurants (tentative d'incendie) et les véhicules (tentative d'incendie), commises par des individus habillés en noir qui, après ces dégradations, disparaissent[27]. Certains y voient un lien avec le démantèlement de la ZAD de la forêt de Chambaran demandée et obtenue par la municipalité quelques semaines auparavant[28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2014 Marcel Bachasson RPR puis UMP Conseiller général (2001-2015)
    mars 2014 En cours Serge Perraud UDI Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est adhérente à la communauté de communes Bièvre Isère qui comprend cinquante-cinq communes, toutes situées dans la plaine de la Bièvre et le plateau de Chambaran. Le siège de cette collectivité est situé à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, distante d'environ 12 kilomètres de Roybon.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

    En 2018, la commune comptait 1 150 habitants[Note 2], en diminution de 13,4 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3272 4122 5732 6532 6022 6042 6882 6372 294
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3052 1282 0082 0481 9211 9411 9471 8761 842
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8001 5801 5651 5271 5101 4081 3901 3311 331
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3051 4871 2741 2201 2691 2311 2831 2961 179
    2018 - - - - - - - -
    1 150--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Presse écrite

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Culte catholique

    L'église Saint-Jean-Baptiste de Roybon.

    La communauté catholique de Roybon et son église (propriété de la commune) relève de la paroisse Saint Pierre des Chambarands qui regroupe huit église de la région et une abbaye, située dans la commune. Cette paroisse est rattachée au Diocèse de Grenoble-Vienne [33].

    Économie

    Projet d'un parc de loisirs

    En 2007, la société Center Parcs Europe, filiale du groupe Pierre & Vacances-Center Parcs, présente un projet de construction d'un village de vacances sous la marque Center Parcs, dans le bois des Avenières, sur les hauteurs de Roybon. Ce nouveau domaine, nommé Forêt de Chambaran, doit comprendre entre autres 1 000 cottages sur une superficie de 203 ha[34]. En 2009, le conseil régional de Rhône-Alpes apporte son soutien économique au projet, mais les Verts et certains membres du Parti de gauche du conseil refusent de voter les subventions d'un montant maximal de 7 millions d'euros[35].

    La construction commence en et l'achèvement est prévu en 2017[36]. Ce projet suscite l'opposition de diverses associations de protection de la nature et de l’environnement[37], dont la FRAPNA Isère, qui dénonce, en s'appuyant sur le résultat d'une première enquête publique « loi sur l'eau »[38], l’impact néfaste de ce futur complexe touristique sur l’environnement de ce secteur boisé et de sa zone humide[39]. Les mesures de compensation proposées par Pierre & Vacances sont cependant validées par le Coderst de l'Isère[40] et le préfet de l'Isère en [40]. En , le tribunal administratif de Grenoble suspend les travaux[41]. Le , le tribunal rend son jugement en annulant l'arrêté préfectoral de construction du Center Parcs en suivant l'avis du rapporteur public[42],[43]. Une partie des militants opposés au projet créent sur le site une ZAD, de façon à retarder le début des travaux en attendant une issue juridique[2].

    Center Parcs[44] souligne alors que les financements ne pèseront pas sur la fiscalité locale ni sur les habitants puisqu'il s'agira de prélever pendant quelques années sur les recettes apportées par la présence du Parc.

    Le groupe Pierre & Vacances annonce l'abandon du projet en . La ZAD (zone à défendre) est démantelée et ses occupants dispersés le suivant. Le centre ville fait l'objet dans la nuit du 2 au de déprédations que certains interprètent comme des représailles de zadistes[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La statue de la Liberté de Roybon
    • Les vestiges de l'enceinte urbaine du Moyen Âge.
    • Le pavillon Louis XI.
    • Les maisons en galets (XVIIIe et XIXe siècles)
    • L'ancien château des Loives et son donjon (4e quart du XIVe siècle), possession des dauphins de Viennois, aujourd'hui centre d'une exploitation agricole classée au titre des monuments historiques par arrêté du (ferme des Loives)[46].
    • Le château Saint-Romme.
    • La mairie en galets (XIXe siècle).
    • L'église Saint-Jean-Baptiste néo-romane construite dans la deuxième moitié du XIXe siècle en galets disposés en arête-de-poisson alternant avec des rangs de brique par l'architecte Alfred Berruyer ; chaire, tabernacle.
    • La statue de la Liberté de Roybon. Ce monument fut érigé les 22 et 23 septembre 1906 en l'honneur de Henri Saint-Romme (1797-1862), un des principaux personnages de la Deuxième République dans le département de l'Isère. Cette statue représente une réplique fidèle, en fonte, de la statue de la Liberté de New York. Haute de trois mètres, elle logerait tout entière, avec son socle, dans la main de son aînée. Elle fut léguée par Auguste Bartholdi à son ami Mathias Saint-Romme qui en fit un symbole pour le monument de son père. La « Liberté de Roybon » a été coulée en 1903[47]. Sur le piédestal est apposé un bas-relief en bronze représentant Henri Saint-Romme, œuvre du sculpteur Auguste Davin.
    • L'abbaye Notre-Dame-du-Sacré-Cœur de Chambaran, cistercienne, néo-romane 1931.

    Patrimoine naturel

    L'étang des Essarts dans le parc naturel de Chambaran.

    Personnalité liée à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D'or à la bande d'azur chargée de trois cloches d'argent[50].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de la commune de Roybon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Axelle Egon et Lionel Laslaz, « Résister face à Center Parcs. Les espaces de la ZAD de Roybon », sur Géoconfluences, .
    3. site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère
    4. « Orthodromie entre Roybon et Saint-Marcellin », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre Roybon et Grenoble », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Roybon et Lyon », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Orthodromie entre Roybon et Paris », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    8. Site infoterre, page "carte géologique harmonisée du département de l'Isère / Notice technique
    9. ZNIEFF 820030032 - Plateau de Chambaran, sur le site inpn.mnhn.fr
    10. Site isère annuaire, page sur le plan d'eau de Roybon
    11. Site de Sandre, fiche sur la Galaure
    12. Site calculer la distance, page sur l'itinéraire entre Roybon et Saint-Marcellin
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. Site géoportail, page des cartes IGN
    21. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    22. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    23. L'origine du nom des communes de l'isère, André Plank, édition L'atelier, 2006, page 169
    24. le site des plaques de Cocher, page sur Roybon
    25. Site de la ville de Roynon, page Histoire sur Genève et Saluces
    26. Jean Duquesne Dictionnaire des gouverneurs de Province 1315-1791 éditions Christian Paris 2002 (ISBN 2864960990) p. 262-263
    27. https://www.francebleu.fr/amp/infos/faits-divers-justice/degradations-a-roybon-en-isere-la-classe-politique-scandalisee-1607017734
    28. https://www.ledauphine.com/amp/faits-divers-justice/2020/12/04/isere-faits-divers-saccage-a-roybon-l-hypothese-de-l-expedition-punitive
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Site messes info, page sur la paroisse Saint Pierre des Chambarands
    34. « Un Center Parcs en Chambaran », sur le site internet Isère magazine.fr, le Web-magazine du Conseil général de l'Isère, (consulté le ).
    35. « Rhône-Alpes. Center Parcs. La Région apporte son soutien de principe », sur le site internet du Journal des entreprises, .
    36. « Les opposants au Center Parc de Roybon occupent une maison forestière », sur le site internet du journal Libération, (consulté le ).
    37. « Blog des opposants au projet de Center Parcs à Royban ».
    38. Enquête publique "loi sur l'eau" relative au projet d'implantation d'un Center Parcs à Roybon (Isère) http://roybon.fr/uploads/rapport%20de%20la%20commission%2023%2007%202014%20complet%20sign%C3%A9.pdf
    39. « Communiqué de presse de la FRAPNA Isère », sur son site internet, (consulté le ).
    40. « Center parcs de Roybon : l'étude d'impact à nouveau sur le banc des accusés » (consulté le ).
    41. « CENTER PARCS : », sur grenoble.tribunal-administratif.fr (consulté le ).
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    44. « Insertion des Center Parcs dans l’économie locale ».
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    46. « Ferme des Loives », notice no PA00117244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Une de ses sœurs jumelles, issue du même moule, a été érigée au centre d’une place de Buenos Aires en Argentine.
    48. « La forêt de Chambaran », sur le site internet des Offices de tourisme du Pays de Bièvre-Valloire (consulté le ).
    49. « Le parc naturel de Chambaran », sur le site internet des Offices de tourisme du Pays de Bièvre-Valloire (consulté le ).
    50. Carte postale sur Roybon.
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