Réville-aux-Bois

Réville-aux-Bois est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Pour l’article homonyme, voir Réville.

Réville-aux-Bois

Vue générale du village.
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes de Damvillers Spincourt
Maire
Mandat
Alain Perignon
2020-2026
Code postal 55150
Code commune 55428
Démographie
Gentilé Révillois, Révilloises
Population
municipale
119 hab. (2018 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 51″ nord, 5° 21′ 29″ est
Altitude Min. 209 m
Max. 378 m
Superficie 11,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montmédy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Réville-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Réville-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Réville-aux-Bois
Géolocalisation sur la carte : France
Réville-aux-Bois

    Urbanisme

    Typologie

    Réville-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), terres arables (35,5 %), prairies (8 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (2,3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Le lors d'une réunion du conseil municipal, la commune de Réville change de nom et devient Réville-aux-Bois. Dans une lettre de monsieur le préfet en date du , il expose l'intérêt pour la commune de modifier sa dénomination, attendu qu'une localité du département de la Manche porte le même nom.

    Rues

    En 1990, le conseil municipal décide de changer les noms de rue du village :

    • la rue haute devient la rue des Vignes ;
    • la rue de la grande fontaine devient la rue du Champ Renaud ;
    • la rue basse devient la rue de la Grande Montagne ;
    • la petite rue devient la rue du Chat Huant ;
    • le chemin vicinal devient la rue du Chaufour[8].

    Histoire

    Cédé par le Duché de Luxembourg, Réville passe au comté épiscopal de Verdun. Le village est une ancienne dépendance de Marville. Réville est affranchi en 1319 par l'abbé de Metloch et Gobert III de Dun et d'Apremont. Il est soumis à la justice seigneuriale du Roi de France après 1648. Réville-aux-Bois fait d'abord partie du canton de Jametz, puis de celui de Damvillers.

    Les moines du diocèse de Trèves (probablement les bénédictins de Mettloch (Allemagne)) sont venus défricher une terre et ériger une maison lors de l'étanchement et le défrichement de la vallée de la Thinte.

    Par la suite vers 1633, le bâtiment fut transféré à l'endroit où se situent aujourd'hui les remises de la cure. Seule une partie du bâtiment subsiste encore aujourd'hui. Elle se situe juste à côté de la mairie.

    De 1659 à 1790, Réville faisait partie du Luxembourg français, prévôté de Damvillers et bailliage de Marville.

    En été 1854, Réville est très affectée par la Troisième pandémie de choléra (1852-1860) qui ravage alors la région. 76 personnes, soit environ un habitant sur 8, meurent entre le et le . Ceci explique en grande partie la chute brutale de population entre 1851 et 1856.

    Le village subit des dommages importants lors de la Première Guerre mondiale.

    Réville est libérée le par les Américains (sources www.association14-18.org)

    En 1928, entre Réville-aux-Bois et Sivry sur Meuse, le monument de la Grande Montagne fut érigé à l'initiative du Capitaine Glock de Pittsburg, œuvre de l'architecte Marcel Delangle. L'entreprise Large s'est vu confier la réalisation de ce monument érigé en souvenir des officiers et des soldats du 316e régiment de la 79e division américaine morts en 1918 dans le secteur de Verdun.

    L'une des faces du monument relate l'histoire du régiment, depuis son organisation au camp de Meade, dans l'état du Maryland, aux États-Unis, le , jusqu'à sa démobilisation le . En outre, les noms de Montfaucon-d'Argonne, de Troyon et de Grande-Montagne sont gravés sur les faces du socle du monument. Le 316e régiment a perdu 78 officiers et 3 128 soldats.

    Le , la ruine du moulin de Réville-aux-bois disparaît. Aujourd'hui, il ne reste plus que quelques pierres témoin de ce passé.

    Sobriquet

    Les habitants de Réville ont pour sobriquet « les chats huants ». Ce surnom provient du fait que les gens de Réville produisaient de l'alcool en très grande quantité et qu'ils écoulaient le surplus dans les villages voisins jusqu'en Belgique. La production et le transport se faisaient de nuit d'où la comparaison avec le chat huant autrement appelée chouette hulotte. Dans ce petit village on raconte qu'avant la Première Guerre mondiale il y avait 7 alambics.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    26/10/1947 10/03/1977 Maurice PERIGNON    
    mars 1977 mai-juin 1991 Gilbert Virette   Démissionne en cours de mandat
    juin 1991 mars 2001 Daniel Degeneve    
    mars 2001 mars 2008 Alain Pérignon   Fils de Maurice PERIGNON
    mars 2008 juillet 2017 Bernard Briy   Décédé le dimanche 2 juillet 2017, à Nancy
    septembre 2017 En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Alain Pérignon [9]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
      Employé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Source : Lucien de Chardon, Damvillers et son canton : vingt siècles d'histoire, Verdun, Éditions Cogerex, , 276 p. (notice BnF no FRBNF36266183)

    Finances locales

    Taxes locales (taux 2010)

    Taxe d'habitation : 4,64 %
    Foncier bâti : 9,95 %
    Foncier non bâti : 22,11 %
    Cotisation foncière des entreprises au profit de l'État en 2010 : 13,20 %[10]
    Le , la commune de Réville-aux-bois et les communes appartenant à la Communauté de Communes de la Région de Damvillers sont passées de la fiscalité additionnelle à la fiscalité professionnelle unique.
    Source : délibération du conseil municipal
    Locations diverses :
    1 appartement à l'intérieur de la mairie de 1839
    1 maison bâtie dans les années 1960. À la place de l'ancien presbytère. Rénovation complète de ce logement en 2012.
    Location ponctuelle de la salle des fêtes
    Location de terrain agricole
    La commune de Réville aux bois dispose de 376 hectares de forêt communale. À ce titre la commune recueille les fruits liés à la location de chasse et à la vente de bois.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[12].

    En 2018, la commune comptait 119 habitants[Note 2], en diminution de 3,25 % par rapport à 2013 (Meuse : −3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    481569587600626624619634609
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    482456434410421390392377408
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    361321276163186177166170148
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    159144143126130127126122121
    2018 - - - - - - - -
    119--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La chute brutale de population entre 1851 et 1856 s'explique en grande partie par l'épidémie de choléra, qui tua à Réville environ 75 personnes entre la mi-juillet et la fin , soit plus d'une personne sur 10.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de Réville et la rue haute avant la Première Guerre mondiale. Carte postale ancienne.
    • L'église Saint-Pierre-aux-liens XVIIIe siècle. L'ordonnance du roi du autorise le versement de 600 Francs à la fabrique de l'église de Réville-aux-bois[15]. De nouvelles cloches ont été installées à l'église de Réville après avoir été baptisées le .
    • Mairie de 1839.
    • Remise de la cure, bâtiment construit au XVIIe siècle.
    • Une sépulture du XVIIe siècle est conservée derrière l'église. Il s'agit de la sépulture de Nicolas Bernard, décédé le et de son épouse Jeanne François, décédée en . Une partie de leur descendance est reconstituée ici: http://gw.geneanet.org/sivrysurmeuse_w?lang=fr&pz=bernadette&nz=adeline&ocz=0&m=D&p=nicolas&n=bernard&sosab=10&color=&t=A&v=10
    • Une pierre tombale en calcaire d'une hauteur de 1,56 m et de 56 cm de large avec une épaisseur de 11 cm est adossée au mur ouest, devant l'église. La sculpture représente un autel orné d'une croix au centre avec un calice et une écharpe posés dessus. Un drapé vient couvrir l'ensemble, à son sommet une forme de bonnet est surmontée d'une croix. Au bas de l'autel, une étole est croisée avec une croix à chaque extrémité. Ce tombeau, propriété de la commune, a été classé à l'inventaire des MH Monument historique (France) le . Il s'agit de la pierre tombale de Charles Mars (1725-1780) vicaire en 1751 puis curé en 1757, décédé le , à l'âge de 55 ans, inhumé devant le portail de l'église Saint-Pierre-aux-Liens de Réville-aux-Bois.
    • Monument aux morts : Il se situe à côté de l'église - La veuve et l'enfant éplorés - "Réville à ses héroïques Enfants Morts pour la France". La veuve est drapée à l'antique et elle jette des fleurs. Il a été inauguré le dimanche en présence de Monsieur Mallard, sous-préfet de l'arrondissement de Montmedy, du capitaine Vibout commandant du 97e dépôt de Montmedy. Sources : la croix meusienne article du . La commune a choisi d’honorer 4 soldats du 6e régiment colonial tombés à la reprise du pays, en les inscrivant aux côtés des soldats de Réville : il s’agit de Meunier François, Dubois Pierre, Lamarque Gabriel et Guilloux Auguste. Auteur du monument : A. Bodart, sculpteur à Longuyon (54)
    • Lavoir : Réville-Aux-Bois disposait autrefois de 3 lavoirs, dont un restant la propriété de la commune, situé au centre du village sur la place de la fontaine située dans la rue du moulin. Les deux autres lavoirs ont été vendus par la commune, l'un se situe rue de la grande montagne en direction de Sivry-sur-Meuse, l'autre se situe rue du Champ Renaud.

    Forêt

    Le territoire est composé de 738,28 hectares de forêt.

    La commune dispose de 377,28 hectares. 361 hectares sont des forêts domaniales.

    La forêt domaniale de la Grande Montagne a pour origine l'ordonnance du de Louis Philippe. Ce procès-verbal délimite la forêt domaniale et la forêt communale de Réville.

    Durant la Première Guerre mondiale, la forêt de Réville est surexploitée, elle en ressort appauvrie en 1920. La forêt est devenue trop claire et envahie de bois mort.

    N'ayant que peu de revenus, la commune de Réville-aux-Bois souhaite en 1973 céder une partie de sa forêt à d'autres collectivités ou à l'État : le bois de « la Queue » d'une surface de 140 hectares.

    L'État refuse et lui attribue des subventions et des prêts en vue de réaliser les plantations. Les parcelles 13, 14, 15, 16, 17 sont donc replantées sur 58,87 hectares. La parcelle 7 est également replantée en épicéas communs.

    Les coupes 13 à 17 sont aujourd'hui exploitées en futaie régulière. Les autres coupes sont exploitées en futaie irrégulière[16].

    Eau

    L’adduction en eau est arrivée tardivement à Réville-aux-Bois, puisqu'elle fut mise en place par le Syndicat des Eaux de Mangiennes au tout début des années 1980.

    Bien que d'après un rapport intitulé : "Données géologiques et hydrogéologiques acquises à la date du 31/12/1966", pour Réville-aux-Bois, la solution aurait pu être de capter les sources de trop-plein émergent des calcaires à oolithes ferrugineuse de l'Oxfordien supérieur.

    L'ensemble des villages du Font de côte sont alimentés à partir de cet horizon et Réville-aux-Bois ne semble pas plus défavorisé topographiquement que les villages voisins.

    Lieu-dit Coordonnées Lambert Débit en litre Observation
    X Y Z
    La côte d'Etraye 819,750 187,100 226,000 0,300 intermittente
    La côte d'Etraye 819,810 187,110 225,000 0,500 pérenne
    Source des termes 819,620 186,910 255,000 0,300 pérenne
    Source de la Goulote 819,290 187,320 230,000 1.300 pérenne alimente ferme
    Source de bure 817,600 185,000 335,000 1.000 intermittente
    Source de bure 817,690 184,950 335,000 0.300 captée intermittente
    Ravi de blanchaux 817,150 184,300 315,000 0.300 intermittente
    Source de Sillon Fontaine 815,970 185,920 323,000 0.600 pérenne
    Source de Sillon Fontaine 815,975 185,985 323,000 1.300 pérenne alimente la ferme de sillon Fontaines
    Les Longues Violes 816,650 186,000 323,000 0.100 Intermittente
    Sources St Pierre 819,460 187,470 240,000 1.000 captée intermittente
    Source de la Grande Fontaines 819,480 187,280 227,000 3.300 captée alimente une fontaine

    Mesure faite le .

    Avant la mise en place de l'adduction d'eau, l'ensemble des habitations étaient dotées de puits.

    La source St Pierre sert d'alimentation à la réserve incendie située sur la place.

    Les lieux-dits

    Lieux-dits Étymologie Commentaire
    LES AISANCES
    AU DESSUS DES VIGNES
    L AULNET
    BADMONT
    LA BELLE GOUTIERE
    LES BLANCHES TERRES
    LE BONHOMME ROBI
    BOUILLON GREVE
    BURE Plus que l'habit du moine qui décore son blason, Bure tire son nom d'un lieu d'origine, assez fréquent dans les départements de la Meuse, Cote-d'Or, Calvados, Essonne, Orne. Issu du germanique bur, hutte, habitation. Cette étymologie a été imposée par un article de Jean Haust, paru en 1920 dans le Bulletin du dictionnaire wallon.

    Au XVIIe siècle, les termes bur, bure, beûr (Liégois) sont fréquents à cette époque dans le sens "puits de mine" ; mais ils signifient parfois "trou", "fosse" (notamment pour enfoncer des piliers), "creux" (dans un arbre, un tronc). En gaumais et ardennais, on trouve la forme bore, "tronc, tige végétale" et bora, "très haut". Une expression, « fosse ou burres » figure dans le règlement des "ouvrages de hulhiers" datant de 1403 et reproduit par Jean de Stavelot.2

    Lors de la grande guerre les allemands ont construit des grandes fosses et capté l'eau de la source.
    CHAINE SERVA
    LE CHAMP AUBRY
    CHAMP RENAUD Donation d'un terrain juste à côté de l'église qui sert d'agrandissement du cimetière. Ce terrain fut offert par la famille Renaud contre la promesse de donner ce nom à ce terrain.
    LE CHARMEL
    LE CHAUFOUR
    • four à chaux (Plus courant)
    A l'entrée du chaufour en venant de Sivry-sur-Meuse se situe une carrière de pierre.

    Sources : http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-58957-FR.pdf

    LA CHAVRAINE
    LES CLAIRS CHENES
    LA COTE D ETRAYE
    LE COTEAU DE BADMONT
    LA COULEUVRE
    LA COURIETTE
    LE CROLY
    LE CUL DES VIGNES
    DERRIERE LE BOIS LA HOCHE
    DERRIERE LES JARDINS
    LE DEVANT DE LA MONTAGNE
    LE DEVANT DU SORT
    LE DIFFEREND
    ENTRE CHAUSSEE
    LA GAILLETTE
    LA GRANDE GOULONCHAMP
    LA GRANDE MONTAGNE Point le plus haut du territoire du village
    LES GRAVELOTTES
    LA HAIE JEAN ROBERT
    LES HAIES
    LE HARON
    HARVUTY
    HASPOULETTE
    HENRIQUY
    LES LONGS BOUDINS
    LES LONGUES VIOLES
    LE MARTIN
    LE MOULIN Emplacement de l'ancien moulin de Réville.
    LE NŒUD
    LA PETITE GOULONCHAMP
    LA PILLIERE
    PRE LE TAUREAU
    LA QUEUE
    LA RAVINE SILLON FONTAINE
    LE SAUSSY
    SILLON FONTAINE Emplacement de la ferme de Sillon Fontaine à l'écart de village.
    LE SORT
    LES TERMES
    LES TONETTES
    LE TOZET
    LE TROU HAUT
    LA TROUYERE DE MORTIN
    LA VAUX
    LA VAUX NONETTE
    LE VILLAGE Emplacement du village

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Grandjean, Les loups de la grande Montagne, Paris, Librairie Ollendorff, .
    • Abbé Étienne Léoutre, La folle de Réville, dans la revue Connaissance de la Meuse.
    • Lucien de Chardon, Damvillers et son canton : vingt siècles d'histoire, Verdun, Éditions Cogerex, , 276 p. (notice BnF no FRBNF36266183).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. source : compte rendu du conseil municipal
    9. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    10. Réville-aux-Bois sur le site de l'Insee
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    15. « encart ».
    16. Compte rendu de conseil municipal, bulletin des lois du royaume de France, IX séries.
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