Pugny-Chatenod

Pugny-Chatenod est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pugny-Chatenod

Vue de Pugny-Chatenod depuis le mont Revard.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Lac
Maire
Mandat
Bruno Crouzevialle
2020-2026
Code postal 73100
Code commune 73208
Démographie
Population
municipale
955 hab. (2018 )
Densité 178 hab./km2
Population
agglomération
220 118 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 46″ nord, 5° 57′ 18″ est
Altitude Min. 380 m
Max. 1 539 m
Superficie 5,36 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aix-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Pugny-Chatenod
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Pugny-Chatenod
Géolocalisation sur la carte : France
Pugny-Chatenod
Géolocalisation sur la carte : France
Pugny-Chatenod

    Située sur les contreforts du mont Revard et établie sur les hauteurs du bassin aixois et du lac du Bourget, la commune est traversée par plusieurs cours d'eau provenant de sources du massif des Bauges ; la commune étant par ailleurs adhérente au parc naturel régional du massif des Bauges.

    Historiquement, Pugny-Chatenod est un ancien petit village savoyard qui a accueilli des personnalités célèbres à la fin du XIXe siècle grâce à la présence du climatérium des Corbières. Par ailleurs, la proximité de la station du Revard a permis à la commune de se développer, notamment avec la construction d'un chemin de fer reliant la vallée aux stations dès la toute fin de l'époque contemporaine.

    Par ailleurs, économiquement, la commune possède le revenu fiscal médian par ménage le plus élevé du département.

    Géographie

    Situation

    Située sur la route du Revard, Pugny-Chatenod domine Aix-les-Bains et le lac du Bourget. La commune appartient à l'arrondissement de Chambéry. La ville d'Aix-les-Bains est située à 3,4 km à vol d'oiseau depuis la commune et la préfecture, Chambéry, à 14 km[1].

    La commune est dominée par le Revard et qui, grâce à son belvédère, offre un point de vue à 360° au-dessus du lac du Bourget[2].

    Communes limitrophes

    Le village est limitrophe des communes suivantes :

    Communes limitrophes de Pugny-Chatenod
    Grésy-sur-Aix Trévignin Montcel
    Aix-les-Bains
    Mouxy

    Morphologie urbaine

    Chef-lieu de la commune.

    De nombreux lieux-dits sont présents sur l'ensemble du territoire communal comme Sous les Côtes, les Exertiers, les Bartelins, les Plantées, etc.[3].

    Relief et géologie

    La commune de Pugny s'étend sur 5,36 km2. Son altitude varie de 380 à 1 539 mètres[4]. Le bourg se situe à une altitude d'environ 600 m. La commune surplombe le lac du Bourget, plus grand lac naturel de France, et la vallée d'Aix-les-Bains. La densité de population diminue lorsque l'on se rapproche des forêts du mont Revard. En effet, le lieu, en plein dénivelé et sans accès, est inconstructible.

    Le sol de la commune est majoritairement constitué de molasse marine miocène sur la partie ouest et nord. En gravissant les pentes du massif des Bauges, on retrouve plusieurs types de roches et de calcaire (marno-calcaire) mais surtout, on retrouve l'urgonien en grande majorité près du Revard et dans presque la totalité du massif[5].

    Hydrographie

    De nombreux cours d'eau traversent la commune en direction du lac du Bourget. On retrouve notamment les ruisseaux du Foran nord et sud, qui prennent leur source dans le massif des Bauges, ainsi que le nant de l'abbaye qui sépare la commune au nord avec celle de Trévignin[6]. Par ailleurs, la commune est soumise au risque d'inondations. C'est pour cela qu'un plan de prévention des risques d'inondations a été créé[6],[7].

    Climat

    Le climat rencontré sur Pugny est de type montagnard, la commune étant située à une altitude plutôt élevée en moyenne et à proximité des contreforts alpins.

    La neige est souvent présente en hiver. D'autre part, la position entre deux massifs favorise le blocage de perturbations qui provoquent des cumuls de précipitations importants par rapport à la moyenne nationale[8]. De plus, la région est fréquemment soumise au risque orageux lors des premières jours de chaleur[9].

    Voies routières

    La principale route qui traverse la commune est la route départementale du Revard[10]. La départementale 49 traverse le centre de la commune[10].

    Transports en commun

    Aucune réseau de bus ne dessert la commune[11]. Cependant, il existe quelques lignes qui relient la plaine à la montagne l'hiver et même parfois l'été[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Pugny-Chatenod est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[16] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,4 %), zones agricoles hétérogènes (28,7 %), prairies (18,5 %), zones urbanisées (18,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune a porté différents noms au cours du temps. Les archives montrent que l'on nommait le village Pugnus en 1090, Pugneium en 1215 et même Pugné en 1222[22]. On l'appela par la suite, en 1340, de Pognye ; en 1357, Pugniacum, puis Puygné en 1379 et ecclesia Pugneti en 1414[23]. Plus tard, le village prendra son nom définitif en 1602, Pugny, mais Puigné quelques années plus tard en 1606 avant de revenir Pugny en 1782[22]. La suite du nom, Chatenod, proviendrait d'un patronyme lui-même dérivé du latin castanea, signifiant châtaigne[24]. En effet, le nom officiel de la commune devient Pugny-Chantenod à la suite d'un rapprochement avec la commune de Chantenod[25].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Pounyi, selon la graphie de Conflans[26].

    Histoire

    Comme l'ensemble des communes alentour, l'évolution de la commune est marquée par l'histoire d'Aix-les-Bains. On peut aussi dire, d'une manière plus générale, que l'histoire de Pugny est fortement liée à celle de la Savoie.

    Néolithique et Antiquité

    Le site fut habité depuis le Néolithique[27]. En effet, des communautés sédentaires d'agriculteurs s'installèrent dans les plaines et les vallées d'altitude moyenne, notamment vers les lacs comme celui du Bourget[27].

    Époque contemporaine

    À la suite du traité de Turin du qui voit l'annexion de la Savoie par la France, Pugny devient, comme tout le territoire du duché, une terre désormais française[28].

    Pugny-Chatenod accueille des personnalités célèbres en 1896 dont les têtes couronnées de Hollande qui firent une cure d'air au climatérium des Corbières. Ce monument, édifié en 1893 par le docteur Jean Monard, est actuellement situé à quelques centaines de mètres du bourg par voie routière[29].

    Le XXe siècle

    En 1892, la ville bénéficie d'une halte sur le chemin de fer qui relie Aix-les-Bains au Mont-Revard[30]. La gare de Pugny aurait largement influencé cette présence au climatérium. En effet, le site du Revard devenait de plus en plus une station de sports d'hiver réputée. Le tracé de cette ligne est encore bien visible, tel le viaduc des Fontanettes, encore érigé. Plus tard, de 1935 à 1969, un téléphérique, remplacera ce chemin de fer[29].

    Malgré une augmentation sensible de la population, comme dans l'ensemble de la communauté d'agglomération du lac du Bourget (CALB), le village conserve ses activités agricoles locales et ses traits naturels de paysage montagneux[29]. Des fours à pain, des lavoirs ainsi que des fermes marquent encore le territoire communal[29].

    Politique et administration

    Le bourg de Pugny.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au avril 2014)
    Jean-Guy Massonnat SE Vice-président de la communauté d'agglomération du Lac du Bourget,
    président de la commission d'appel d'offres,
    président de la commission des finances.

    Délégué au syndicat mixte de Savoie Grand Revard[31].

    Jumelages

    À la date du , Pugny-Chatenod ne fait l'objet d'aucun jumelage[32].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2018, la commune comptait 955 habitants[Note 3], en diminution de 2,25 % par rapport à 2013 (Savoie : +2,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    1 021191296383437489426430461
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    466455406380410414408335315
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    323349405374275274230244328
    1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018 - -
    443622704833975950955--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune possède une école municipale[37], qui relève de l'académie de Grenoble[38]. Elle fait partie d’un regroupement pédagogique avec l'école de Trévignin. Les élèves de cycle 2 et 3 des deux villages sont regroupés à l'école du village et les plus jeunes (maternelle) sont inscrits à l'école de Trévignin. Cela permet de réunir les enfants d’une même classe d’âge en un même lieu.

    En 2014, le regroupement des deux communes comptait 123 élèves répartis en 5 classes différentes[37]. Pour la rentrée 2019, la commune compte 75 enfants scolarisés. Il existe trois classes : CE1 au CM2[37].

    Par ailleurs, l'école appartient à la zone A du calendrier scolaire[38].

    Santé

    Aucun médecin généraliste, ou autre service de santé, n'est présent sur la commune[39]. Le plus proche médecin se situe à Mouxy, commune voisine[39].

    La clinique privée Herbert, la plus proche de Pugny, se trouve à environ cinq kilomètres depuis le centre du village[40]. Ensuite les hôpitaux les plus proches sont situés sur la ville d'Aix-les-Bains. Le centre hospitalier de Chambéry, situé à une vingtaine de kilomètres au sud de Pugny, est souvent sollicité[40].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 49 180 , ce qui plaçait Pugny au 510e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole et au 1er rang parmi les 304 communes de la Savoie[41]. En 2009, 69,2 % des foyers fiscaux sont imposables[42].

    Emploi

    Le taux d'activité des 15 à 64 ans en 2009 est de 69,7 %[42]. Les inactifs représentent donc 30.3 % de la population. Le taux de chômage est particulièrement faible sur la commune : 5,2 %[42].

    Établissements

    Les entreprises à Pugny-Chatenod[42]
    ÉtablissementsPugny
    Nombre d'établissements actifs au 63
    Part de l'agriculture, en %11,1
    Part de l'industrie, en %0,0
    Part de la construction, en %11,1
    Part du commerce, transports et services divers, en  %61,9
    dont commerce et réparation automobile, en %6,3
    Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en %15,9
    Part des établissements de 1 à 9 salariés, en %22,2
    Part des établissements de 10 salariés ou plus, en %3,2

    Agriculture

    La commune de Pugny, située dans la campagne, est donc couverte par de nombreuses terres en zones agricoles. En 2014, la surface agricole utilisée est de 156 ha, divisée en trois parties[43]. Plus de la moitié de cette surface est occupée par des prairies permanentes avec 91 ha. Suivent ensuite, les prairies temporaires qui représentent 46 ha de la surface agricole utilisée. Le maïs, quant à lui, représente 19 ha[43].

    Tourisme

    La commune de Pugny-Chatenod est située sur les premières hauteurs de la station touristique d'Aix-les-Bains. De plus, elle est située à une dizaine de kilomètres seulement du Revard, pilier du domaine skiable de Savoie Grand Revard. Le Revard est par ailleurs, l'une des toutes premières stations de ski créées en France[44].

    Ainsi, le nombre de lits d'hébergement dans la commune en 2014 est de 61 lits marchands et de 624 non marchands[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune ne compte aucun monument classé ou inscrit au titre des monuments historiques[45].

    Le monastère de Béthléem est un monastère occupé par les sœurs de Bethléem, de l’assomption de la Vierge et de saint Bruno[46]. Il a été créé vers les années 1950. Par ailleurs, les moniales vivent à l'intérieur de cette bâtisse. Elles accueillent entre-autres les personnes qui le souhaitent. Des offices réguliers ont lieu dans ce monastère[46].

    Faune et Flore

    Les falaises du mont Revard.

    La commune possède deux zones naturelles d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF)[47] :

    Personnalités liées à la commune

    • Suzanne Duparc-Quioc[50], écrivaine († 1999)[51].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Mailland, Etablissement des Corbières, à Pugny-Chatenod, sur la ligne du chemin de fer du Revard, près d'Aix-les-Bains (Savoie). Discours-toast prononcé à l'inauguration du 4 juin 1893, Chambéry : Impr. nouvelle, (OCLC 457888583)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Orthodromie entre deux villes », sur Lion1906 (consulté le ).
    2. Article du dauphiné, point de vue du Revard.
    3. Cartes sur Google-Maps (consulté le 23 décembre 2014).
    4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière.
    5. « Mont Revard, crête et versant occidental », sur Géol-Alp (consulté le ).
    6. « PPRI du bassin aixois » [PDF] (consulté le ), p. 15.
    7. « Pugny-Chantenod (73208) », sur Prim.net (consulté le ).
    8. Jean Loup, Les précipitations annuelles dans les Alpes françaises du Nord, (lire en ligne), p. 255-285.
    9. « Météo Express - Fréquence des orages », sur www.meteo-express.com (consulté le ).
    10. « Google Maps », sur Google Maps (consulté le ).
    11. « Plans des lignes », sur www.ondea-bus.fr (consulté le ).
    12. « Horaires de bus pour la station Savoie Grand Revard » [PDF] (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Université de Californie, Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1715) du Comité des travaux historiques et scientifiques, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 134..
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 582..
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      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
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    30. François Fouger, « L’importance des sociétés de chemin de fer dans le développement de la première station de ski française, le Mont-Revard », In Situ. Revue des patrimoines, (ISSN 1630-7305, DOI 10.4000/insitu.1906, lire en ligne, consulté le ).
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    50. Callu Florence, « ~~La Chanson d'Antioche. T. I : Edition du texte d'après la version ancienne ; t. II : Etude critique~~, par Suzanne Duparc-Quioc. Paris : Librairie orientaliste Paul Geuthner, 1977-1978. 2 vol. in-8°, 583 et 283 pages, 6 planches hors texte (Documents relatifs à l'histoire des Croisades publiés par l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 11.) », sur www.persee.fr (consulté le ).
    51. Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 41, Librairie Droz, (ISSN 0373-6237).
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