Pranzac

Pranzac (Pranzac en limousin, dialecte de l’occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pranzac

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Bernard Terrade
2020-2026
Code postal 16110
Code commune 16269
Démographie
Gentilé Pranzacais
Population
municipale
898 hab. (2018 )
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 16″ nord, 0° 21′ 05″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 132 m
Superficie 15,06 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Pranzac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Pranzac
Géolocalisation sur la carte : France
Pranzac
Géolocalisation sur la carte : France
Pranzac

    Ses habitants sont les Pranzacais et les Pranzacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Pranzac est située 15 km à l'est d'Angoulême et 11 km à l'ouest de Montbron, dans la vallée du Bandiat.

    Le bourg de Pranzac est aussi à km au sud de La Rochefoucauld, chef-lieu de son canton[2].

    La route principale traversant la commune d'est en ouest est la D 699, route d'Angoulême à Montbron, qui traverse le Bandiat et dessert le bourg. La D 33, de Marthon et Chazelles à La Rochefoucauld, passe aussi au bourg et longe le Bandiat[3].

    La ligne Angoulême-Limoges traverse l'ouest de la commune et l'ancienne gare du Quéroy-Pranzac est située sur la commune. Les gares les plus proches sont maintenant celle de gare de Ruelle, à 10 km, ou de La Rochefoucauld.

    Hameaux et lieux-dits

    Parmi les principaux villages, on peut citer : Marsac, dans le nord de la commune ; Glane, sur la route de Montbron ; Gros Terme, dans le sud, près du Bandiat ; Flamenac, près du bourg ; Chez Maillet ; Chez Monot ; l'Ermitage, à la limite de la commune de Mornac, Luget à l'est, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pranzac[3]
    Bunzac
    Mornac Moulins-sur-Tardoire
    Chazelles

    Géologie et relief

    Le terrain est calcaire et date du Jurassique (Bajocien et Callovien à l'est, Oxfordien à l'ouest). Cet ensemble perméable et fissuré forme ce qui s'appelle le karst de La Rochefoucauld. On trouve aussi une petite zone de colluvions, sable plus ou moins argileux, en bordure nord-est de la commune (bois de Combe Brune), dépôt du Tertiaire ou Quaternaire, ainsi qu'une autre zone de colluvions ou alluvions anciennes du Quaternaire, à l'ouest de la vallée du Bandiat (entre chez Monot, Glane et la Pipaudie). La vallée du Bandiat est occupée par des alluvions récentes[4],[5],[6],[7].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau bas d'une altitude moyenne de 115 m coupé par la vallée du Bandiat, peu profonde. Le point culminant est à une altitude de 132 m, situé à l'est du bourg, à Flamenac. Le point le plus bas est à 80 m, situé sur le Bandiat à la limite nord de la commune. Le bourg, situé en bord de vallée, est à environ 90 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin du Bandiat, affluent de la Tardoire et sous-affluent de la Charente, qui la traverse du sud au nord.

    Le Bandiat est parfois à sec en été, absorbé dans le karst de La Rochefoucauld qui alimente les sources de la Touvre. Le canal du Bandiat passe au bourg sur la berge orientale de la vallée, alors que le cours traditionnel passe à l'ouest[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Pranzac est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (31,1 %), prairies (13,9 %), terres arables (7,8 %), zones urbanisées (7,6 %), mines, décharges et chantiers (1,6 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Pranzac en 1142[14], Pranzaco, Pranziaco en 1293[15].

    D'après A. Dauzat, le nom de Pranzac remonterait à un nom de personne gallo-romain Primius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Primiacum, « domaine de Primius ». Preignac (Gironde), Pringé (Sarthe), etc. ont cette même étymologie, mais leurs formes anciennes se rapprochent bien plus de Primius[16]. On peut aussi supposer un nom d'origine gauloise Branciacum; en effet branco- est un thème de nom gaulois[17],[18].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[19]. Elle se nomme Pranzac en occitan[20].

    Histoire

    Pranzac était situé sur la voie antique supposée gallo-romaine d'Angoulême à Limoges, appelée chemin des Anglais qui passait par le Quéroy et Vilhonneur[21].

    Un sarcophage du Ve ou VIe siècle témoigne de l'ancienneté de l'occupation[22].

    L'église, autrefois collégiale, date de l'époque romane. Au XVIe siècle, une chapelle de la Renaissance a été construite par Catherine de Clermont, dame de Pranzac[23].

    La lanterne des morts du XIIIe siècle surplombe l'ancien cimetière transformé aujourd'hui en place[24].

    Au cours du Moyen Âge, Pranzac se trouvait sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes; il reliait le Limousin à Saintes par Montbron et Angoulême. Une autre voie plus au nord passait par La Rochefoucauld[25].

    Flamenac, à 300 m à l'est du bourg, était un maine et fief important de la paroisse[26], que l'évêque d'Angoulême arrente en 1452 car ruiné et abandonné à la suite de la guerre de Cent Ans[27].

    Les registres de l'état civil remontent à 1619.

    Le hameau de Luget était une des plus anciennes possessions de l'abbaye de Grosbot. Une chapelle y avait été construite en 1121, avec l'autorisation de l'évêque Girard. Cette chapelle devint le siège d'un prieuré, transformé en cénobie vers l'an 1160 ; cet établissement ne subsista que peu de temps.

    Le château de Pranzac date du XVe siècle. Il dépendait de la châtellenie de La Rochefoucauld. En 1666, Alexandre Redon, marquis de Pranzac, en était propriétaire. En 1682, sa fille, Marie-Barbe-Françoise Dreux Redon de Salens, épouse François de Pérusse, comte des Cars et de Saint-Bonnet[28],[29]. Le comte des Cars possédait aussi le logis de Chez Monot, qui était la métairie du château. À la Révolution, le comte des Cars émigra et ses biens furent vendus comme biens nationaux. Le château fut abandonné et ruiné[28].

    Bèchemoure était aussi le siège d'un petit fief avec un château construit au XVe siècle. Mais celui-ci fut pris et rasé par le comte des Cars, seigneur de Pranzac, à la suite d'un litige avec le seigneur de Bèchemoure[28].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat; une station était située au bourg. La gare du Quéroy-Pranzac, située dans l'ouest de la commune, était la bifurcation entre la ligne d'Angoulême à Limoges et la ligne de Thiviers se dirigeant vers Nontron.

    Au tout début du XXe siècle, l'industrie était représentée par deux moulin sur le Bandiat, dont l'un à cylindres, et par les carrières de pierre de taille de Luget et de Combe Brune. L'élevage de bœufs et de porcs alimentait les foires de La Rochefoucauld, Montbron, et celles de Pranzac qui se tenaient le 12 de chaque mois[24].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2008 René Pichon    
    2008 2014 Jacky Terrade PS Retraité
    2014 2020 Jean-Louis Lac   Chef d'entreprise
    2020 En cours Bernard Terrade    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 898 habitants[Note 3], en diminution de 1,32 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    617574687741760768766799795
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    784751677713736758734710659
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    640671641565569614594578662
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    629667790874792876888900910
    2018 - - - - - - - -
    898--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Pranzac en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,7 
    6,8 
    75 à 89 ans
    8,3 
    14,2 
    60 à 74 ans
    16,0 
    25,3 
    45 à 59 ans
    21,4 
    22,3 
    30 à 44 ans
    23,4 
    13,3 
    15 à 29 ans
    12,9 
    18,1 
    0 à 14 ans
    17,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Bunzac et Pranzac, qui accueillent chacune une école élémentaire. L'école de Pranzac, située au bourg, accueille deux classes pour des élèves allant de la grande section au CE1. Le secteur du collège est La Rochefoucauld[37].

    Lieux et monuments

    Lanterne des morts

    La lanterne des morts.

    La principale curiosité de Pranzac est sa lanterne des morts qui domine l'ancien cimetière, aujourd'hui transformé en place publique. Cette lanterne remonte au XIIe siècle. C'est une colonne évidée de près de sept mètres de hauteur, percée dans le haut de petites fenêtres donnant passage à la lumière. Il n'existe dans le département de la Charente que quelques lanternes des morts : celle de Pranzac, celle de Cellefrouin, de Brigueuil, de Montbron (XIXe siècle). Elle est classée monument historique depuis 1905[38].

    Église Saint-Cybard

    L'église paroissiale, autrefois collégiale Saint-Cybard, date de l'époque romane. On y remarque au sud une chapelle seigneuriale, avec voûtes à clés pendantes d'époque Renaissance, construite au XVIe siècle, vers 1530, vraisemblablement par Catherine de Clermont-Dampierre (l'écusson figurant sur les clés principales étant celui des Clermont-Dampierre). La voûte est à deux travées, chacune à huit nervures se rejoignant à cinq clefs de voûte. Deux de ces clefs sont à pendentifs, d'une exécution artistique et d'un fini remarquables. L'une d'elles porte l'écusson de la fondatrice. La partie orientale de la chapelle est inscrite monument historique depuis 1938[39],[24].

    L'église possède aussi un fer à hosties du XIVe siècle classé au titre objet[40], ainsi qu'un tableau de saint Cybard en habit d'évêque devant la ville d'Angoulême, datant de 1810[41].

    Patrimoine civil

    L'ancien logis et une tour.

    Ancien château

    Vestiges du château féodal des comtes des Cars : les tours du XVe siècle. En cours de restauration, son accès est impossible.

    Logis seigneurial

    Le logis seigneurial a été construit par Catherine de Clermont-Dampierre au XVIe siècle. Il jouxte le château et est proche de l'église. Il comprend un logis, et une recette pour stocker les récoltes de 700 m2; il est assez bien conservé, sauf sa façade sud[28],[42].

    Moulin banal

    Ancien moulin banal, au bourg, situé près du château, restauré en 1980. Enjambant le Bandiat, il occupe la tour ouest du château qui a été arrasée à la hauteur d'un étage[28].

    Maison de l'abbé Roux

    Ancienne maison située à 30 m de la lanterne des morts dont il subsiste une tourelle, dans la cour d'une maison. Dans cette maison a vécu l'abbé révolutionnaire Jacques Roux, qui a mené Louis XVI à l'échafaud[28].

    Grange dîmière

    À Bèchemoure, on peut voir une ancienne grange dîmière appelée localement Maison de la Dîme, surmontée d'une croix en pierre[28].

    Maison du patrimoine

    C'est un ancienne maison d'une seule pièce principale construite au XVIe siècle et ayant servi de bourrellerie au XXe siècle. Elle est devenue « maison du patrimoine » en 2020[42].

    Voie verte

    L'ancienne voie ferrée d'Angoulême à Nontron a été aménagée en piste cyclable dans sa partie charentaise.

    Sentiers de grande randonnée

    Le GR 4, sentier de Royan à Grasse, traverse aussi le centre de la commune et passe par le bourg.

    Le GR 36 de la Manche aux Pyrénées-Orientales, passe à l'ouest de la commune.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le )
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 147
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 70,75,106,153,160
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 546.
    17. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 158
    23. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 379
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 275
    25. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,78
    26. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 164
    27. Société archéologique et historique de la Charente, Mémoires, (lire en ligne), p. 255
    28. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 555
    29. Léon de Givodan, Livre d'or de la noblesse européenne, , 428 p. (lire en ligne), p. 334
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Evolution et structure de la population à Pranzac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    38. « Lanterne des morts », notice no PA00104461, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Église de Pranzac », notice no PA00104460, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Fer à hosties », notice no PM16000211, base Palissy, ministère français de la Culture
    41. « Tableau de saint Cybard », notice no PM16000595, base Palissy, ministère français de la Culture
    42. Panneau posé par la maison du patrimoine.
    43. Macha Séry, « Eddy L. Harris : « La solitude, c'est moi » », Le Monde, (lire en ligne)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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