Positivisme

Le positivisme est un courant philosophique fondé au XIXe siècle par Auguste Comte, à la fois héritier et critique des Lumières du XVIIIe siècle et qui soumet de manière rigoureuse les connaissances acquises à l'épreuve des faits.

Le positivisme scientifique d'Auguste Comte s'en tient donc aux relations entre les phénomènes et ne cherche pas à connaître leur nature intrinsèque : il met l'accent sur les lois scientifiques et refuse la recherche des causes premières.

Auguste Comte construit une philosophie des sciences qui part des mathématiques pour aller jusqu'à la sociologie et la science politique, ainsi qu'une philosophie de l'histoire qui conçoit le processus historique comme une avancée vers davantage de rationalité scientifique (« positive ») et moins de théologie et de spéculation métaphysique sur les réalités transcendantes (« la loi des trois états »).

Après la mort de Comte, en 1857, le courant fut bientôt en proie à de nombreuses tensions internes ; cependant, le positivisme a marqué de nombreux domaines de la pensée du XIXe siècle, exerçant une influence entre autres sur la médecine[1], l'empirisme logique, et sur divers courants qui ne sont pas tous liés entre eux (comme le positivisme juridique, certains courants anglais qui dérivent de l'altruisme comtien, ou encore le néopositivisme contemporain).

Origines

Les idées du positivisme puisent leur source dans certaines formulations de Denis Diderot qui soutient un « matérialisme enchanté » et donc une forme d'empirisme[2], D'Alembert et Turgot, ainsi que de leurs amis et élèves Lagrange et Condorcet.

On cherchait en effet dès la deuxième moitié du XVIIIe siècle à expliquer le progrès de l'esprit humain par le développement des « sciences positives » (mathématiques, physique, chimie…), autrement dit par les sciences exactes : ce dispositif épistémologique est la directe conséquence des découvertes d'Isaac Newton. Il est aussi influencé par le déterminisme de Laplace[3].

Le courant philosophique du positivisme commença à se structurer en France dans la première moitié du XIXe siècle. Ce terme fut propagé par Saint-Simon, puis popularisé par Auguste Comte, qui collabora étroitement avec Saint-Simon, dont il fut le secrétaire de 1817 à 1824.

Grandes étapes historiques

Positivisme scientifique d'Auguste Comte

Dans son Cours de philosophie positive, écrit de 1830 à 1842, Auguste Comte affirme que l'esprit scientifique est destiné, par une loi inexorable du progrès de l'esprit humain, appelée loi des trois états, à remplacer les croyances théologiques et les explications métaphysiques. Il fonde ainsi le positivisme scientifique.

En devenant « positif », l'esprit renoncerait à la question « pourquoi ? », c'est-à-dire à chercher les causes premières des choses. Il se limiterait au « comment », c'est-à-dire à la formulation des lois de la nature, exprimées en langage mathématique, en dégageant, par le moyen d'observations et d'expériences répétées, les relations constantes qui unissent les phénomènes, et permettent d'expliquer la réalité des faits[4].

Émile Littré, Ernest Renan ou Ernst Mach, parmi bien d'autres, ont repris une approche plus ou moins conforme à celle-ci.

Notons que dans sa biographie consacrée à Auguste Comte, Émile Littré propose une définition concise de la philosophie positive :

« La philosophie positive est l’ensemble du savoir humain, disposé suivant un certain ordre qui permet d’en saisir les connexions et l’unité et d’en tirer les directions générales pour chaque partie comme pour le tout. Elle se distingue de la philosophie théologique et de la philosophie métaphysique en ce qu’elle est d’une même nature que les sciences dont elle procède, tandis que la théologie et la métaphysique sont d’une autre nature et ne peuvent ni guider les sciences ni en être guidées ; les sciences, la théologie et la métaphysique n’ont point entre elles de nature commune. Cette nature commune n’existe qu’entre la philosophie positive et les sciences.

Mais comment définirons-nous le savoir humain ? Nous le définirons par l’étude des forces qui appartiennent à la matière, et des conditions ou lois qui régissent ces forces. Nous ne connaissons que la matière et ses forces ou propriétés ; nous ne connaissons ni matière sans propriétés ou propriétés sans matière. Quand nous avons découvert un fait général dans quelques-unes de ces forces ou propriétés, nous disons que nous sommes en possession d’une loi, et cette loi devient aussitôt pour nous une puissance mentale et une puissance matérielle ; une puissance mentale, car elle se transforme dans l’esprit en instrument de logique ; une puissance matérielle, car elle se transforme dans nos mains en moyens de diriger les forces naturelles[5]. »

 Émile Littré, Auguste Comte et la philosophie positive

Positivisme religieux d'Auguste Comte

Le positivisme « religieux », correspond à une deuxième phase de la pensée d'Auguste Comte, assez différente de la première.

Dans cette période, la pensée de Comte dérive vers une religion naturelle (religion de l'Humanité) fondée sur une sorte de culte des morts : Comte est le « grand-prêtre » de l'humanité, la société est dirigée par les scientifiques, l'Humanité est un Grand-Être[6]

C'est une théorie qui établit des relations en société sur la base de lois scientifiques et techniques, censées apporter l'ordre, le progrès, l'amour au sens de l'altruisme (amour généralisé à des groupes humains plus larges que l'union des sexes, cf. : Agapé, ἀγάπη par opposition à éros, Ἔρως).

Elle fait abstraction de la recherche sur le sens de la vie, les origines et les fins de l'Homme, le bonheur…

Dans cette phase paraissent le système de politique positive (quatre tomes publiés de 1851 à 1854) qui développe la sociologie selon Comte, le « catéchisme positiviste » et la synthèse subjective.

Selon Raquel Capurro[7][source insuffisante], le positivisme trouve sa source dans le culte de la Raison, pratiqué brièvement au moment de la Révolution française, en 1793-1794.

Calendrier positiviste d'Auguste Comte

En 1849 Auguste Comte crée un calendrier positiviste destiné à accompagner la religion positiviste comme instrument « d'art de la Mémoire », et de remplacement des saints catholiques du calendrier traditionnel par de grandes figures de l'Humanité[8].

On y remarque des personnes célèbres (philosophie, science...), requalifiés sous les grades de « dieux, héros et saints » dont Moïse, Socrate, Platon, Pythagore[9]...

Positivisme juridique

Le positivisme juridique est une doctrine juridique dans laquelle le droit se réduit au droit positif tel qu'il est décrit dans les codes. Le principal représentant de ce courant est l'Autrichien Hans Kelsen (1881-1973), auteur de la constitution de l'Autriche en 1920.

Hans Kelsen s'est inspiré du système de politique positive d'Auguste Comte (ouvrage écrit dans la phase dite « religieuse » de la philosophie de Comte) pour élaborer une théorie de la pyramide des normes, encore appelée normativisme.

Le positivisme juridique exclut toute référence à un « droit naturel ». Ces thèses sont exposées dans la Théorie pure du droit de Hans Kelsen. Le droit positif est, d'ailleurs, un des fondements de ce que Hans Kelsen a pu appeler l'État de droit.

Positivisme logique

Positivisme logique (ou empirisme logique, néo-positivisme, empirisme rationnel)

Critique du positivisme

Critique scientifique

La pertinence de cette doctrine est contestable[3] :

« On pourrait rétorquer qu'aucune expérience ne donne directement accès aux faits qui ne constituent en général qu'une reconstruction de l'esprit. Entre un fait et son observation, il se glisse toujours quelque instrument et quelque raisonnement sans lesquels toute recherche serait impossible. »

De plus la position d'Auguste Comte et de certains disciples a dérivé vers le sectarisme pseudo-religieux.

Critique religieuse

Selon l'encyclique Fides et ratio de Jean-Paul II (1998), la prise en compte de la métaphysique est nécessaire, dans le contexte actuel, à la spéculation philosophique, en vue de la recherche de sens, pour tout ce qui concerne les sciences de la vie notamment :

« Un grand défi qui se présente à nous au terme de ce millénaire est celui de savoir accomplir le passage, aussi nécessaire qu'urgent, du phénomène au fondement. Il n'est pas possible de s'arrêter à la seule expérience ; même quand celle-ci exprime et rend manifeste l'intériorité de l'homme et sa spiritualité, il faut que la réflexion spéculative atteigne la substance spirituelle et le fondement sur lesquels elle repose. Une pensée philosophique qui refuserait toute ouverture métaphysique serait donc radicalement inadéquate pour remplir une fonction de médiation dans l'intelligence de la Révélation »[10].

L'encyclique critique le positivisme en ses développements ultérieurs, et plus précisément le scientisme — ce qui n'est pas la même chose :

« Dans cette perspective, les valeurs sont réduites à de simples produits de l'affectivité et la notion d'être est écartée pour faire place à la pure et simple factualité. La science s'apprête donc à dominer tous les aspects de l'existence humaine au moyen du progrès technologique »[11].

Relation avec l'utilitarisme

Voir aussi :

Domaines influencés par le positivisme

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Le positivisme a exercé une influence considérable dans la deuxième moitié du XIXe siècle et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.

Médecine

La médecine a été chronologiquement le premier domaine influencé par le positivisme, à travers des personnalités comme :

C'est par la médecine que l'influence s'est transmise à l'Amérique latine[14].

Philosophie

L'influence d'Auguste Comte s'est transmise à :

Enseignement

Les lois sur l'enseignement primaire de Jules Ferry () se sont inspirées du positivisme.

Marcellin Berthelot introduisit l'esprit positiviste dans l'enseignement secondaire lorsqu'il fut ministre de l'instruction publique (1886-1887).

Droit

L'influence a été très forte sur le droit, à travers le mouvement du positivisme juridique :

Littérature, fiction et linguistique

Auguste Comte a influencé :

Économie

Mélangée à d'autres idéologies, son influence s'est manifestée aussi dans l'économie (conjuguée avec le saint-simonisme). L'économiste anglais John Stuart Mill fut séduit par les idées de Comte, à travers une correspondance entamée avec lui en 1841 à la suite de la publication du cinquième volume du Cours de philosophie positive[16] mais s'en détourna vers 1842.

Sociologie

Auguste Comte est souvent considéré en France comme l'un des précurseurs de la sociologie. En fait, le terme de sociologie fut créé par Sieyès, et l'étude des phénomènes sociaux était antérieure à Comte (voir sociologie). Il n'en reste pas moins vrai que, dans l'évolution de la pensée occidentale des deux derniers siècles, le positivisme de Comte a influencé des sociologues comme Émile Durkheim, ou Herbert Spencer (utilitarisme anglais). Pour expliquer la psychologie de l'Homme, Auguste Comte crée une Triade basée sur les principes d'action de l'Homme :

  • la race (l'atavisme),
  • le milieu social,
  • le moment, l'époque.

Politique

Surtout à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle :

Histoire

Le positivisme a introduit de nouvelles formes de méthodologie historique, notamment chez les historiens Charles-Victor Langlois et Charles Seignobos[18].

Architecture

Le plan et l'esprit de la bibliothèque Sainte-Geneviève (1851, Paris Ve, architecte Henri Labrouste) s'inspirent du positivisme par la symbolique du savoir accessible à tous - bibliothèque d'éducation et non d'érudition - voir travaux de Neil Levine.

Autres

De nombreux polytechniciens ont été influencés jusqu'au milieu du XXe siècle.

L'histoire officielle de l'École polytechnique appartient à la collection « la pensée préservée » de l'éditeur Lavauzelle. Cette histoire n'a pas été mise à jour depuis la Première Guerre mondiale. Un volume complet concerne Saint-Simon et Auguste Comte[19].

Extension géographique

Monde anglo-saxon

L'influence s'est fait sentir sous la forme du positivisme anglais, dans certaines formes d'altruisme qui, à travers John Stuart Mill, rejoignent les théories utilitaristes de Jeremy Bentham. En Angleterre, le positivisme toucha aussi bien les milieux ouvriers que religieux. Ses principaux représentants outre-manche se nomment Richard Congreve, Frederic Harrison, George Henry Lewes ou George Eliot[20]. Herbert Spencer a aussi subi l'influence positiviste.

Les États-Unis ont été influencés à travers le positivisme anglais.

Europe et Turquie

Le positivisme eut une influence considérable en République tchèque ou en Turquie, notamment dans le mouvement des Jeunes-Turcs, à l'origine de la révolution nationaliste turque. Ahmed Riza, président du parlement turc au début du XXe siècle, fut membre du comité positiviste international[20].

Amérique latine : une puissante influence

En Amérique latine, Raquel Capurro note que ce sont des médecins qui ont apporté le positivisme à travers les mouvements révolutionnaires qui se sont produits sur ce continent, dans le Rio de la Plata (Argentine et Uruguay), au Brésil et au Mexique[21]. Le positivisme a pris une forme scientifique ou « religieuse » selon les cas.

La devise « Ordre et progrès » figure sur le drapeau brésilien (Ordem e progresso), elle atteste de la forte influence qu'a eue le positivisme en Amérique latine dès la fin du XIXe siècle[22]. En 1903, l'Église positiviste du Brésil achète l'immeuble de la rue Payenne à Paris, où se trouve la maison de Clotilde de Vaux, et transforme l'appartement de madame de Vaux en « résumé culturel de la religion de l'Humanité ». Au premier étage, on peut visiter une chapelle de l'Humanité, reproduction conforme à échelle réduite du plan de temple de l'Humanité qu'avait conçu Comte.

Outre le Brésil, le positivisme a aussi exercé une puissante influence dans d'autres pays d'Amérique latine, tels que le Mexique, la Colombie et le Guatemala. Le dictateur mexicain Porfirio Díaz s'entoure de Científicos, groupe d'hommes d'affaires et d’intellectuels inspirés par le positivisme, dont la figure centrale est le ministre des Finances, José Yves Limantour. Ceux-ci contrôlent la quasi-totalité de l'économie, des finances et de l'enseignement. Plusieurs autres caudillos de l'époque (Rafael Reyes Prieto en Colombie et dans une moindre mesure Manuel José Estrada Cabrera au Guatemala) s'inspirent aussi du positivisme[23].

Cette doctrine présente quelquefois des variantes d'un pays à un autre. Au Mexique, elle est nettement antilibérale, en réaction contre la Reforma[réf. nécessaire]. En Argentine, elle évolue au contraire vers le libéral-social et va même jusqu'à influencer certains courants socialistes. L'Argentine constitue cependant une exception : le positivisme latino-américain s'est généralement bien peu soucié de l'amélioration des conditions de vie des classes populaires. L'historien Leslie Manigat note que le positivisme a été « l'idéologie de la nouvelle bourgeoisie d'affaires, qui ne veut ni du conservatisme des grands propriétaires terriens, ni du socialisme et de la lutte des classes ». Pour le positiviste mexicain Justo Sierra, ce sont en effet les intérêts de la bourgeoisie que le positivisme entend favoriser[23].

Le positivisme aujourd'hui

Conséquences

Les deux sens (scientifique et religieux) ont en commun de refuser la théologie et la métaphysique dans une explication scientifique. Celle-ci doit reposer uniquement :

  • sur des faits du monde physique et matériel, complétés d'un processus rationnel d'induction ;
  • sur des conséquences des mathématiques, et en particulier de la logique.

La téléologie propre à l'éthique d'Aristote est brouillée.

Position de quelques contemporains

  • Pour Anatole France, le positivisme scientifique, ne répond pas, entre autres, à la question : Comment sait-on qu'une avancée mathématique d'aujourd'hui n'aura pas dans l'avenir une application pratique ?[24].
  • Raymond Aron, après une étude approfondie des œuvres complètes d'Auguste Comte, a constaté que cette philosophie était dépassée ; la philosophie de l'histoire de Raymond Aron s'écarte du positivisme[25].
  • Christian de Perthuis, dans la conclusion de son livre La Génération future a-t-elle un avenir ?, montre que les certitudes scientifiques introduites par le positivisme n'ont plus de valeur aujourd'hui.

Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notes et références

  1. Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts, Epel, 2001.
  2. Élisabeth de Fontenay, Diderot ou le matérialisme enchanté, Paris, Grasset, 1981 — rééd. Grasset, 2001 : lire l'introduction.
  3. Rothen, François (1936-....)., Aléa : les métamorphoses du hasard : quand l'imprévisible imprègne les lois de l'atome, du monde vivant et du cosmos, Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, 294 p. (ISBN 978-2-88915-288-9 et 288915288X, OCLC 1091633959, lire en ligne)
  4. [article] « Positivisme » par Laurence Hansen-Løve, in La Philosophie de A à Z, Paris, Hatier, 2009, p. 355.
  5. Auguste Comte et la philosophie positive.
  6. Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts : Auguste Comte, Epel, 2001.
  7. Raquel Capurro, Le Positivisme est un culte des morts, Epel, 2001, pages ???.
  8. J.F. Marquet Les calendriers positivistes Persée.fr.
  9. Le Calendrier positiviste.
  10. « Encyclique Fides et ratio, § 83 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  11. « Encyclique Fides et ratio, § 88 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  12. Comité des travaux historiques et scientifiques, ROBINET Jean-François Eugène
  13. François Pillon, Clause Bernard et l'école positiviste
  14. Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts : Auguste Comte, 1998, traduction Epel en 2001
  15. Michel Bourdeau, Jean-François Braunstein et Annie Petit (s./dir.), Auguste Comte aujourd'hui précédé de Michel Houellebecq : préliminaires au positivisme, Actes du colloque de Cerisy-la-Salle en 2001, Paris, Éditions Kimé, 2003, (ISBN 978-2841743155).
  16. Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts, Epel, 2001, p.10
  17. Jacques Prévotat, les catholiques et l'Action française, Fayard, p. 28-32.
  18. Marie-Claire Daveluy, Revue d'histoire de l'Amérique française, p. 458.
  19. Gaston Pinet, Écrivains et penseurs polytechniciens, Lavauzelle, première édition en 1898.
  20. « La Maison d'Auguste Comte, diffusion du positivisme »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  21. Raquel Capurro, Le positivisme est un culte des morts, Epel, 2001, p. 141.
  22. Raquel Capurro, Le Positivisme est un culte des morts, Epel, 2001.
  23. Leslie Manigat, L'Amérique latine au XXe siècle : 1889-1929, Éditions du Seuil, , p. 90-94.
  24. Discours de A France sur Auguste Comte et Pierre Laffitte au Brésil en 1909
  25. Introduction à la philosophie de l’histoire. Essai sur les limites de l’objectivité historique, Gallimard 1938. Nouvelle édition revue et annotée par Sylvie Mesure, Gallimard, Poche, 1991

Voir aussi

Articles connexes

Sur Auguste Comte et sa philosophie
Sur l'Histoire
Sur la philosophie rationaliste
Sur les concepts philosophiques en rapport avec la philosophie positiviste
Sur les développements du positivisme
Sur le positivisme juridique
Sur les rapports entre foi et raison

Liens externes

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