Portieux

Portieux est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Portieux

Rue Eugène-Huraux.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté d'agglomération d'Épinal
Maire
Mandat
Christelle Paillard
2020-2026
Code postal 88330
Code commune 88355
Démographie
Gentilé Portessiens, Portessiennes
Population
municipale
1 249 hab. (2018 )
Densité 158 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 40″ nord, 6° 20′ 44″ est
Altitude 321 m
Min. 277 m
Max. 365 m
Superficie 7,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Épinal
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charmes
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Portieux
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Portieux
Géolocalisation sur la carte : France
Portieux
Géolocalisation sur la carte : France
Portieux

    Ses habitants sont appelés les Portessiens.

    Géographie

    Le village de Portieux occupe la rive droite de la Moselle en amont de Charmes et vis-à-vis de Vincey. La commune se double du hameau de Magnienville, km à l'est, devenu La Verrerie de Portieux.

    En fait la commune de Portieux est composé de: Portieux centre, Belval et La Verrerie de Portieux l'ensemble situé sur l'axe du ruisseau "Rochon" dit aussi "Mori" à la Verrerie.

    D’après la carte IGN, l’altitude minimale de 277 mètres est au confluent du ruisseau de l'Ermitage tandis que l’altitude maximale de 365 mètres se situe au carrefour de la Verrerie, forêt de Fraize.

    Description topographique (donnée par le PLU de Portieux) : le territoire de Portieux se présente globalement sous forme de reliefs émoussés localement entaillés par la vallée de la Moselle qui s’écoule du nord-ouest au sud-ouest du territoire. Une petite vallée se greffe perpendiculairement à cet axe, traversée par le ruisseau du Rochon (appelé aussi "Mori" depuis la commune de Moriville jusqu'à la Verrerie de Portieux), affluent de la Moselle qui déroule son lit à une altitude comprise entre 311 mètres et 280 mètres. Les collines ne culminant guère plus haut, n’atteignent en effet que 365 mètres en leur point le plus élevé.

    Situation de Portieux.
    Communes limitrophes de Portieux
    Langley Damas-aux-Bois
    Moriville
    Vincey

    Urbanisme

    Typologie

    Portieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épinal, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,5 %), forêts (29,2 %), zones urbanisées (8,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (3,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

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    Le nom de Portieux a son origine évidente dans le latin Portus Coelorum (passage des cieux, d'où porte des cieux). Il y a un rapport certain entre Portus Coelorum et le prieuré fondé au tout début du XIIe siècle à Belval qui peut être tenu comme un lieu de vénération à Bel Ualos (Bel, Belenos dieu gaulois de la lumière, ualos = souverain).

    Histoire

    Le retour du croisé (fin du IIe siècle), en provenance de l'ancien prieuré de Belval[8].

    Dénommée primitivement Portus Coelorum, la cité s'est développée autour d'un prieuré sis à Belval, fondé en 1107 par Gérard Ier de Vaudémont, où il fut inhumé avec son épouse selon son souhait. Par la suite, ses restes furent transférés à Nancy en 1718 par Dom Calmet (abbaye Saint-Léopold de Nancy). Le Prieuré de Belval en tant que tel fut supprimé par un décret du Pape Paul V. Le la communauté des religieux quitta dès lors Belval pour l'(abbaye Saint-Léopold de Nancy). Il resta un prêtre pour desservir le pèlerinage de saint Spinule et la paroisse de Portieux.

    La seconde vie de Portieux s'est dessinée au début du XVIIIe siècle par la volonté du duc de Lorraine. C’est en 1705 que François Magnien (Maître d’hôtel du duc de Lorraine) obtient de Léopold Ier de Lorraine l’autorisation de créer une première verrerie à Portieux-village (actuellement rue Gustave-Chardot). Comme Magnien est un favori du Prince, il demande et obtient de nouvelles concessions, de nouveaux arpents de terre et de bois pour développer son industrie. En 1710, il se rapproche de la forêt de Ternes au lieu, dit : « la fontaine de Viller », aujourd’hui « fontaine Jean Ruer » à km de Portieux, sur la rive droite du Mori.

    Il y fabrique du verre à vitre, on appellera cette usine « verrerie des bois », par opposition à celle de Portieux, qui est installée au village et qui fabrique des gobelets. En 1714, le duc de Lorraine demande à Magnien de créer une troisième verrerie, pour fabriquer des glaces à miroirs et de carrosses, ainsi que des carreaux pour vitrages en bois et en plomb. Il s’installe en face de la fontaine de Viller sur la rive gauche du Mori, c’est l’emplacement de la verrerie actuelle.

    En 1718, il est décidé de fermer l’usine de Portieux-village et de la fontaine de Viller afin de regrouper l’ensemble dans la nouvelle usine. C’est autour d’elle que ce groupent les ouvriers, et ce centre industriel portera alors le nom de « Magnienville » du nom de son fondateur : Cristallerie de Portieux. Magnien obtient le titre de seigneur de Magnienville.

    De la nuit du 4 août 1789, qui abolissait les privilèges accordés aux nobles, La Verrerie de Magnienville allait subir les répercussions, et perdre tous les avantages accordés jadis gratuitement par la cour de Lorraine. Le domaine de Magnienville devenait « bien national », et en 1796, il était acheté par les mêmes directeurs qui auparavant l’exploitaient : MM. Lamy et Bour. Ceux-ci achèteront également le monastère de Belval (situé sur la commune de Portieux, entre Portieux village et La Verrerie).

    L'entreprise acquit rapidement une renommée dans toute l'Europe.

    Le cadastre le plus ancien date de 1824 (date communiquée par le cadastre à Épinal). Les matrices cadastrales les plus anciennes sont de 1823. Elles sont conservées aux A.D.V. (Archives Départementales des Vosges)[9].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1867 1900 Xavier Mougin   Directeur de la Cristallerie de Portieux
    Conseiller général du canton de Charmes (1877-1895)
    Député (1889-1902)
    1900 1928 Adrien Richard   Directeur de la Cristallerie de Portieux
    Conseiller général du canton de Charmes (1919-1940)
    Sénateur (1927-1944)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1992 2014 Philippe Aussedat    
    2014 En cours Jean Paul Bazin    

    Finances locales

    La mairie.

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[10] :

    • total des produits de fonctionnement : 976 000 , soit 749  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 746 000 , soit 572  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 273 000 , soit 209  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 168 000 , soit 129  par habitant ;
    • endettement : , soit par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 19,02 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,87 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,44 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 19,70 %.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[12].

    En 2018, la commune comptait 1 249 habitants[Note 4], en diminution de 1,89 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    8749561 0591 0741 1321 0941 1591 2851 302
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 4451 4241 9482 0232 4282 2982 5162 6402 956
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    3 2092 7342 8272 7332 5802 2152 5222 2872 163
    1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 -
    1 9521 7501 4921 4111 3161 3211 2511 249-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de l'Exaltation de la Sainte-Croix.
    L'église Saint Laurent de La Verrerie.
    • La Cristallerie de Portieux date de 1705. Le spectacle encore offert aujourd'hui des souffleurs de verre est accessible aux visiteurs.
    • L'église de l'Exaltation de la Sainte-Croix et son orgue[15].
    • L'église Saint-Laurent de La Verrerie et son orgue[16],[17].
    • La chapelle des sœurs de la Providence et son orgue[18].
    • Les monuments aux morts[19]. Portieux a eu sept fusillés pendant la Seconde Guerre mondiale[20].
    • L'ancienne filature de Vincey inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [21].
    • Plusieurs fermes et maisons d'ouvriers des XVIIe ou XVIIIe siècles.
    • Le Moulin du Pilan[22].

    Vestiges archéologiques

    • Deux voies romaines.[23].
      • La voie de Langres à Strasbourg (embranchement de la voie impériale d’Agrippa-Lyon à Trèves ) franchissait la Moselle au plein de Portieux. Elle recoupait la voie de Metz à Bâle sur le territoire de Portieux. En plus du gué du plein de Portieux, il existe un second gué localisé à la ferme de Sous Fraize, sur le territoire de Châtel-sur-Moselle[24]. Il est à noter par ailleurs que la voie romaine Langres-Metz demeura, au Moyen Âge, un axe d'une importance économique majeure.
      • Une voie secondaire partait de Portieux, passait par « Mézières » (territoire de Rehaincourt) gagnait Essegney et probablement Deneuvre près de Baccarat. Mézières fut une station romaine très importante[25]. Des objets antiques furent découverts en 1856 dans la forêt de Ternes lors de fouilles effectuées à cet endroit par l’abbé Pierfitte, curé de Portieux[26]. On ignore si la partie explorée est sur le territoire de Portieux et la nature des objets (médailles antiques et un pied humain).
    • La statue surnommée "Le cavalier au géant anguipède"[27],[28]représente un dieu barbu et armé dont le cheval terrasse un monstre mi-homme, mi-serpent, a été découverte en 1870, en face de la ferme des Sauley (Chevrot), dans la Moselle au lieu-dit « le Plein », gué de la voie romaine de Langley à Strasbourg. Cette statue est exposée dans la salle d’entrée du Musée départemental d'art ancien et contemporain d’Épinal.
    • La fondation du prieuré de Belvade. La date du document le plus ancien faisant mention de la commune remonte à 1107 . Il est question de Portieux, sous le nom de Portus, dans l’acte de fondation du prieuré de Belval – A.D.M.M. H33[29].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Blasonnement :
    De gueules, à la bande ondée d'argent chargée en abîme et d'aplomb, d'un cavalier à l'anguipède contourné de sinople, armé d'une lance d'or, accompagnée en chef d'une chapelle d'or, et en pointe d'un service de trois verres à pied décroissant en taille rangés en fasce.
    Commentaires : Ce blason créé par l'abbé Gaire, a été adopté par la commune le 24 septembre 1978 pour le 34e anniversaire de la libération du village. La bande figure la Moselle et son gué sur la voie romaine où fut retrouvée la statue du cavalier au géant anguipède. On retrouve de part et d'autre la chapelle de Belval et la tradition verrière.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Épinal », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Musée Lorrain
    9. Archives départementales des Vosges, E dépôt 362 Archives communales de Portieux (1541-1972)
    10. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    15. Inventaires des orgues : église de l'Exaltation de la Sainte Croix, église Saint Laurent de la Verrerie, chapelle des Sœurs de la Providence
    16. Orgue de l'église saint Laurent de la Verrerie
    17. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 458 à 465
      Présentation des orgues de la commune : pp. 462-463 : Eglise Saint-Laurent de la Verrerie; pp. 464-465 : Chapelle des sœurs de la Providence
      .
    18. Chapelle des sœurs de la Providence . Orgue neuf d'Edmond Alexandre Roethinger
    19. Monument aux Morts de La Verrerie; Monument aux Morts ; Plaque commémorative 1914-1918; Plaques commémoratives 1914-1918 de La Verrerie; Plaque commémorative Dans l'enceinte du couvent des Sœurs de la Providence; Monument tombe; Plaque commémorative "En souvenir des soldats de Portieux et de l'ambulance du couvent"; Carré militaire dans le cimetière communal
    20. Monument spécifique - Aux fusillés
    21. « Filature dite de Vincey (ancienne) », notice no PA00107339, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. Le moulin du Pilan
    23. La voie romaine Langres-Strasbourg sur le territoire de la commune de Portieux : Le gué de Portieux
    24. Sources : Mme Chantal Debry, responsable du château-fort de Châtel-sur-Moselle
    25. Sources : Mme Chantal Debry
    26. Voies romaines de Langres à Strasbourg et de Corre à Charmes
    27. Cavalier à l'Anguipède
    28. Vie religieuse en Gaule. Héritage celtique et courants méditerranéens § 6. Jupiter-Taranis et l'invincibilité impériale sur les colonnes « au géant » du nord-est de la Gaule, Fig 25]
    29. Notes et dates historiques de Portieux
    30. François Pelletier, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
    31. Louis-Félix Claudel, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
    32. « Biographie de Pelletier (Dom Ambroise), bénédictin », sur le site personnel de Bernard Visse, Notices biographiques des célébrités vosgiennes/Humbert le Vosgien (consulté le ).
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