Pigeon biset

Columba livia

Columba livia
Pigeon biset
Classification (COI)
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Aves
Ordre Columbiformes
Famille Columbidae
Genre Columba

Espèce

Columba livia
Gmelin, 1789

Statut de conservation UICN


LC  : Préoccupation mineure

Aire de répartition (rouge : originale, rose : introduit).

Le Pigeon biset (Columba livia) est une espèce d'oiseaux de la famille des Columbidés. C'est l'espèce qui comprend le pigeon domestique et la plupart des pigeons des villes (en)[1] mais qui subsiste également comme oiseau sauvage dans son milieu naturel original : les falaises et autres milieux rocheux. Le type domestique est différent du type sauvage.

L'espèce (Columba livia) a donné naissance à de nombreuses races élevées pour la chair, l'ornement ou la course (pigeon voyageur).

À l'état sauvage

L'espèce est présente sur tous les continents. Les populations férales, commensales de l'Homme, sont aujourd'hui les plus nombreuses tandis que les populations sauvages et domestiques se sont fortement réduites, respectivement en raison de la chasse et du recul des pratiques d'élevage de pigeon. De nombreuses sous-espèces ont été décrites, les possibles croisements avec les populations férales rendant la situation confuse.

D'après la classification de référence (version 11.1, 2021) du Congrès ornithologique international, cette espèce est constituée des neuf sous-espèces suivantes (ordre phylogénique) :

Description

L’adulte des sous-espèces nommées du pigeon biset mesure de 29 à 37 cm de long pour une envergure de 62 à 72 cm[2]. Le pigeon biset sauvage pèse entre 238 et 380 grammes, mais les individus domestiques et semi domestiques suralimentés peuvent être plus lourds. La tête, le cou et la poitrine sont d’un gris-bleuâtre sombre auquel s’ajoute une iridescence brillante, jaunâtre, verdâtre et rougeâtre le long du cou et des plumes couvrant les ailes. L’iris est orange, rouge ou doré avec un anneau intérieur plus pâle et la peau nue autour de l’œil est gris-bleuâtre. Le bec est gris-noir avec une cire de couleur crème et les pattes sont pourpres. Parmi les mesures standards, l’aile pliée mesure aux alentours de 22,3 cm, la queue mesure de 9,5 à 11 cm, le bec mesure environ 1,8 cm et le tarse entre 2,6 et 3,5 cm[3].

La femelle adulte est, d’un point de vue extérieur, presque identique au mâle, mais l’iridescence sur le cou est moins intense et davantage restreinte aux côtés et à l’arrière, tandis que la poitrine apparaît souvent très sombre.

Les juvéniles arborent déjà la livrée adulte à l'envol (du 25e au 32e jour de vie), ce qui fait qu'on ne perçoit virtuellement jamais de « jeunes » pigeons en dehors du nid[4].


Domestication et retour à la vie sauvage, fonctions de son élevage

Le pigeon est domestiqué dans des colombiers en Asie mineure, au Proche-Orient ou en Iran depuis au minimum 5000 ans. Le pigeon biset sauvage niche dans les falaises sèches des rivages ou dans les parois raides des monts bien exposés au soleil, il est facile à l'Homme agriculteur et architecte de haute maison de terre de l'attirer dans des habitats à cavités encore mieux conçues pour échapper aux prédateurs. La description de l'espèce avant domestication est difficile, il semble que le plumage bleu-gris, la queue blanche, les plumes d'un vert violacé brillante sur le haut de la tête et du cou, ainsi que la barde de peau nue, nettement proéminente, à la base du bec, sont des caractères préexistants qui se sont renforcés au cours de la domestication. Mais il existe toujours des plumages blancs, noirs, pie ou brun, parfois bis ou bigarrés à des degrés divers.

Les colombiers de l'époque romaine, cités par Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle ont pour l'essentiel disparu, mais les colombiers européens construits du Moyen Âge au XIXe siècle constituent encore à eux seuls un patrimoine architectural, d'une variété de formes et de décorations qui n'a pas d'équivalent pour les basses-cours ou autres bâtiments d'élevage, hormis les écuries.

Le pigeon biset a été utilisé dès l'Antiquité par l'Homme pour de multiples fonctions (élevage d'oiseaux à chair tendre, récolte des petits œufs, réserve de nourriture carnée en cas de disette, colonie fournisseuse de fumier ou de compost pour les jardins, alerte de danger inédit ou messagerie volante, animation de ville, parcs ou spectacles...). Mais l'espèce est aussi redevenue sauvage à maintes reprises. Au XXe siècle, les parois verticales des immeubles en milieu chaud sont devenues des habitats de substitution, à condition de recéler des saillies, des failles ou des niches néo-gothiques. Les concentrations de pigeons remarquées dans certaines villes a donné une mauvaise réputation au pigeon, qu'on accuse à tort de transmettre des maladies : paratyphoïde, variole du pigeon, tuberculose... En effet, le pigeon et l'homme vivent en voisinage depuis des siècles sans partager plus de maladies que les autres espèces animales. Ses milieux urbains de prédilection sont aussi de plus en plus régulés par des oiseaux de proies prédateurs.

Pigeon messager

Pigeon biset dans Nederlandsche vogelen

Le pigeon a en effet connu d'importantes fonctions commerciales et militaires, jouant jusqu'en 1918 un rôle important, voire essentiel pour la transmission des messages stratégiques. Il semble d'ailleurs que les Chinois, les Égyptiens, les Perses, et les Grecs aient très tôt appris à profiter de l'instinct remarquable qui ramène au pigeonnier le pigeon domestiqué. Les pigeons voyageurs sont ainsi devenus vecteurs et porteurs d'importants messages qui ont changé le cours de campagnes militaires, d'histoires d'amour ou du pouvoir et des complots. Ils ont aussi été utilisés pour le commerce et pour la spéculation financière. Ils se nourrissent essentiellement de graines, de fruits et plus rarement de quelques insectes.

Des esclaves ou serviteurs, puis des soldats spécialisés ont été affectés à l'élevage, aux soins et au transport des pigeons messagers. Pour abriter et élever ses pigeons, l'empire romain a construit de nombreux et énormes pigeonniers pouvant abriter 4 000 à 5 000 pigeons chacun. Les messages pouvaient être codés, ou c'est simplement le pigeon qui pouvait porter un objet (ruban coloré) ou être lui-même teint pour annoncer une nouvelle. Au siège de Modène par Marc Antoine, en , le consul Hirtius est réputé pour avoir fait parvenir à Decimus Brutus, commandant de la ville, un message attaché au cou d'un pigeon auquel Decimus Brutus a répondu par un message attaché à la patte d'un autre pigeon. Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle évoque la moindre utilité des remparts, sentinelles et sièges alors qu'on « peut faire parvenir des nouvelles à travers l'espace ».

Les croisés ont voyagé avec un véritable service rapide, aéropostal avant l'heure, assuré par des pigeons. Les pirates et corsaires en auraient utilisé.

Une difficulté du système est qu'il faut posséder des pigeons élevés dans le pigeonnier du destinataire. Il peut également arriver que le pigeon meure en route, éventuellement sous les serres du faucon dressé à la chasse, c'est pourquoi les messages importants étaient envoyés en plusieurs copies par différents pigeons.

Après les pigeons de la guerre de 1870, le pigeon de 1914-1918 a encore joué une fonction importante, mais qui s'est presque éteinte avec le développement des transmissions par voie électrique (télégraphe, téléphone) puis hertziennes ou mixtes, liées au réseau Internet ou au téléphone portable. Néanmoins on peut citer le « Project Pigeon » (Projet Pigeon) qui lors de la Seconde Guerre mondiale, était destiné à utiliser des pigeons dressés pour guider un missile. De nombreuses armées entretiennent toujours un petit nombre de pigeons voyageurs, qui servent aussi parfois au sauvetage (en mer par exemple).

Lors de la révolution industrielle, il est au XIXe siècle devenu un animal de concours choyé par de nombreuses associations colombophiles (environ 10 000 adhérents pour la seule région Nord-Pas-de-Calais en France à la fin du XXe siècle, et autant de l'autre côté de la frontière).

Pigeon siffleur

À Pékin sont élevés des pigeons siffleurs utilisés dans des spectacles d'acrobaties aériennes et sonores. Le son provient en fait des sifflets traditionnellement réalisés en bambou et attachés à leurs queues. Aujourd'hui, cette tradition millénaire recule avec la disparition des pigeonniers et des colombophiles passionnés (au profit de quelques riches éleveurs professionnels installés dans les banlieues), conséquence de la destruction des anciens quartiers de la capitale à la suite de la spéculation immobilière[5].

Les pigeons des villes

Voir pigeon des villes (en)
Un pigeon perché dans une rue de Paris.
Pigeon biset se désaltérant à la fontaine de Neptune à Tübingen (Allemagne).

Des pigeonniers militaires, seigneuriaux ou d'abbayes, puis des élevages amateurs, en particulier de pigeons voyageurs, le pigeon a colonisé les villes. Il y est maintenant un hôte caractéristique, et ses populations denses et sédentarisées posent parfois problème. Commensal de l'Homme, il doit depuis quelques décennies affronter la concurrence croissante des étourneaux sansonnets et des laridés (mouettes, goélands…) qui ne partagent cependant pas tout à fait sa niche écologique.

C'est une espèce qui en ville est contaminée par divers polluants dont le plomb, le cadmium et le zinc[6], d'autant plus qu'ils sont âgés (de manière générale)[7] ; en 1980 des chercheurs ont comparé trois populations de pigeons londoniens sauvages vivant sur un transect allant du rural périurbain au centre-ville, pour leur teneur de plumes et os en plomb et cadmium ; leurs taux de plomb était d'autant plus élevé qu'ils vivaient à proximité du centre-ville (avec un taux de plomb osseux plus élevé chez les femelles que chez les mâles). Le taux de cadmium était plus élevé en centre-ville qu'en banlieue, mais les pigeons vivant hors de Londres, autour de l'aéroport de Heathrow étaient aussi très contaminés (à cause des aéronefs supposent les auteurs). La contamination se fait via la nourriture quand les oiseaux mangent ou boivent au sol, alors exposés à la pollution routière et des eaux de ruissellement parfois bues par les pigeons. La toxicité de ces deux métaux pourrait être partiellement inhibée par un autre contaminant urbain : le zinc qui peut jouer un rôle antagoniste[8]. Les auteurs de cette étude attirent alors l'attention sur les concentrations élevées de plomb mesurées chez ces pigeons, qui était en accord avec le taux de plomb de leur bol alimentaire ; ce qui pose la question du danger potentiel que présentait ce plomb pour les enfants ingérant de la poussière urbaine dans ces mêmes zones ; ils suggèrent d'utiliser le pigeon sauvage comme bioindicateur de contamination urbaine par le plomb urbain, et comme modèle pour la toxicité chronique du plomb, idée reprise en 1987 par Drascc & al.[9]

En 2012, la mesure des taux de métaux lourds des plumes des pigeons confirme qu'ils sont dans les conurbations géographiquement peu mobiles[10].

En 2016, bien après l'interdiction du plomb dans l'essence aux États-Unis, une autre étude s'est basée sur la plombémie de 825 pigeons (choisis parce que visiblement malades ou anormalement différents) mesurée durant cinq ans dans divers quartiers de New York ; il s'agissait notamment de tester l'intérêt d'utiliser le pigeon biset comme bioindicateur de pollution et d'exposition des enfants au plomb à New York[8]. Les plombémies étaient élevées et préoccupantes chez la totalité de ces pigeons, elle ne différait pas significativement selon les années mais présente un pic en été chaque année. Selon les quartiers, elle variait de 12 μg/dl (Central/South Bronx) à près du double dans certains quartiers (Soho/Greenwich Village et Lower Manhattan/Lower East Side)[8]. Dans l'île de Manhattan la plombémie des pigeons était effectivement corrélée à la plombémie de ceux des enfants vivant dans les mêmes quartiers et atteint de saturnisme (dont le sang contient plus de dix microgrammes de plomb par décilitre de sang[11]). Cette étude a aussi confirmé que le sang du pigeon est le plus contaminé par le plomb en été[8] (probablement à cause de la remise en suspension de poussières dans l'air sec), phénomène qui avait précisément déjà été constaté par deux études, en 2002 puis 2004 chez les enfants[12],[13]  ; ce qui devrait inciter les parents à plus de vigilance pour leurs enfants. Les auteurs ont conclu que le biset pouvait être utilisé comme bioindicateur et qu'il pourrait ainsi permettre d'améliorer les stratégies de lutte contre le saturnisme infantile[8].

Espèces

Adaptation du pigeon au froid à Montréal (Canada).

Les pigeons de ville sont pour la plupart des pigeons bisets, (90 % à Paris) les autres espèces étant le Pigeon ramier (9 %) et le Pigeon colombin (1 %)[14]. On trouve aussi de plus en plus la Tourterelle turque, plutôt dans les parcs, et en milieu semi-urbain ou péri-urbain, cette dernière n'est pas classée comme nuisible en France.

Les pigeons bisets nichent dans des cavités de bâtiments. Leurs populations sont dans certaines villes issues principalement voire presque exclusivement d'animaux d'élevage ayant échappé au contrôle de l'homme (phénomène de marronnage). Ceci est mis en évidence par leurs phénotypes variés qui reflètent fréquemment des caractères sélectionnés chez certaines races domestiques (coloris blanc, roux, pigeon cravaté…). Dans certaines villes les sujets au phénotype tout à fait sauvage sont plus fréquent.

Les autres espèces proches (appartenant toutes à la famille des Columbidae) sont, elles, issues de populations sauvages qui ont colonisé le milieu urbain.

Le pigeon colombin, très ressemblant, se distingue à son plumage plus terne et à son œil noir.

Le pigeon ramier, de plus grande taille et orné d'un collier blanc, niche dans les arbres des parcs et jardins, mais aussi parfois dans les pots de fleurs et jardinières posés sous les fenêtres.

Les différentes espèces de tourterelles citadines sont généralement brunes ou beiges, et portent un collier noir.


Perception par les citadins

Pigeon et fientes sur buste à Bordeaux.
Pigeons de ville à Bangkok en zone à risque de grippe aviaire depuis 2003.

Les pigeons de ville sont diversement appréciés. Leur présence ancienne fait qu'ils font souvent partie de la tradition d'un lieu, comme la place Saint-Marc à Venise. Un certain nombre d'habitants y sont attachés, prennent plaisir à les nourrir ou à les observer, tandis que d'autres développent une aversion voire une phobie à leur égard. Il est parfois surnommé « rat du ciel » dans certaines grandes villes de France.

La montée du risque pandémique lié au virus H5N1 de la grippe aviaire de 2003 à 2006 a justifié dans de nombreux pays une interdiction de nourrir les pigeons. En Indonésie, après des épisodes de mortalité de pigeons, certains groupes de pigeons ont été abattus et brûlés. Sachant qu'un oiseau grippé est contaminant par son mucus, ses excréments et son sang, les tirer au fusil était la pire des solutions (les piéger, ou les endormir avec des appâts traités aurait été préférable). En France, un arrêté ministériel du a interdit les rassemblements d'oiseaux sur les foires, marchés et expositions et l'organisation d'événements où on les laisse voler en liberté ; des dérogations pour les pigeons voyageurs ont été ajoutées en 2006[15].

Certaines métropoles interdisent de nourrir les pigeons, sauf en cas d'élevage.

Nuisances

Le pigeon de ville est principalement le biset (90 % des 80 000 ou 100 000 pigeons de Paris[16]), est responsable de nombreux maux et nuisances[17] :

  • émission de fientes (odeurs) et de particules allergènes ;
  • transport de maladies (bactéries, parasites, virus)[18], pas de transmission à l'Homme hormis allergies.[19]
  • leurs nids sont réputés pour attirer rats et insectes, lesquels pourraient également transmettre des maladies ;
  • nuisances sonores sur les toits des habitations ;
  • dégradation des monuments par l'acidité des fientes et la salissure.

Régulation de la population

Les scientifiques et les associations écologistes promeuvent la stabilisation des populations par les pigeonniers contraceptifs (les œufs sont stérilisés de manière douce pour garder les parents sur place). Cela a l'avantage de combiner le respect animal et l'efficacité en maintenant des colonies modérées dans chaque espace.

Diverses méthodes de régulation de sa population sont utilisées en ville :

  • réduction de la quantité de nourriture apportée : interdiction de nourrissage ;
  • empoisonnement ;
  • chasse, piégeage au filet;
  • introduction ou protection de rapaces, fauconnerie (effarouchement) ;
  • mise en place de pigeonniers contraceptifs, dans lesquels il est plus facile d'attirer les pigeons et d'en contrôler la natalité et la santé ;
  • stérilisation de pigeons, via chirurgie vétérinaire ou chimique avec de la nourriture.
  • enlèvement des œufs de pigeonniers.

Élevage

Références

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • del Hoyo J., Elliott A. & Sargatal J. (1997) Handbook of the Birds of the World, Volume 4, Sandgrouse to Cuckoos. BirdLife International, Lynx Edicions, Barcelona, 679 p.
  • Prin J. & G. (1997) Encyclopédie des Colombidés. Éditions Prin, Ingré, 551 p.
  • Collectif, Natureparif (2012) Le pigeon en ville. Écologie de la réconciliation et gestion de la nature. 60 p.[20]

Liens externes

Notes et références

  1. « Pigeon biset - Columba livia - Common Pigeon », sur www.oiseaux.net (consulté le )
  2. « Feral Pigeon [Columba livia ] », sur web.archive.org (consulté le ).
  3. (en) David Gibbs, Pigeons and Doves : A Guide to the Pigeons and Doves of the World, AC Black, , 616 p. (ISBN 978-1-4081-3556-3, lire en ligne).
  4. (en) Tom Hale, « Why Do You Never See Baby Pigeons? », sur iflscience.com, .
  5. Documentaire sur Arte « Pékin, sur les ailes des pigeons siffleurs », ZDF, 2013
  6. (en) M. Hutton et G.T. Goodman, « Metal contamination of feral pigeons Columba livia from the London area : Part 1—tissue accumulation of lead, cadmium and zinc », Environmental Pollution Series A, Ecological and Biological, vol. 22, no 3, , p. 207-217 (lire en ligne).
  7. J. Cui, Bin Wu, R.S. Hallbrook, S. Zang (2013) Age-dependent accumulation of heavy metals in liver, kidney and lung tissues of homing pigeons in Beijing, China| Ecotoxicology, 22, pp. 1490-1497, 10.1007/s10646-013-1135-0
  8. Cai F, & Calisi R.M (2016) Seasons and neighborhoods of high lead toxicity in New York City: the feral pigeon as a bioindicator | Chemosphere | 161, 274-279.
  9. G.A. Drasch, D. Walser, J. Kosters (1987) The urban pigeon (Columbia livia, forma urbana) - a biomonitor for the lead burden of the environment| Environ. Monit. Assess., 9, p. 223-232
  10. (en) Adrien Frantz, Marie-Anne Pottier, Battle Karimi, Hélène Corbel, Emmanuel Aubry, Claudy Haussy, Julien Gasparini et Maryse Castrec-Rouelle, « Contrasting levels of heavy metals in the feathers of urban pigeons from close habitats suggest limited movements at a restricted scale », Environmental Pollution, vol. 168, , p. 23-28 (DOI 10.1016/j.envpol.2012.04.003, résumé)
  11. d'après les données du Département de la santé et de l'hygiène mentale de la ville de New York, 2014)
  12. Johnson D.L & Bretsch J (2002) Soil lead and children's blood lead levels in syracuse, NY, USA Enviro. Geochem. Health, 24 (2002), pp. 375-385
  13. Haley V.B & Talbot T.O (2004) Seasonality and trend in blood lead levels of New York State children| BMC Pediatr., 4 (1) 8-5
  14. « Les pigeons à Paris », sur pariscestnous.canalblog.com (consulté le )
  15. https://www.senat.fr/questions/base/2006/qSEQ060523173.html
  16. « Réguler les colonies de pigeons en ville », sur pigeons-controle.fr (consulté le ).
  17. « Maladies et insectes lies aux pigeons », sur www.s-e-v.be (consulté le )
  18. « Projet P.I.G.E.O.N : Mieux vivre avec l'avifaune en milieu urbain », sur Association Faune Alfort, (consulté le )
  19. « Zoom sur… la trichomonose du pigeon », sur Association Faune Alfort, (consulté le )
  20. « Guide pigeons », sur natureparif.fr (consulté le )
  • Portail de l'ornithologie
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.