Pierre Escot
Pierre Escot, né en à La Rochelle est un écrivain, poète, éditeur, co-fondateur des éditions PEGG, et plasticien français. Il est le frère du journaliste sportif Richard Escot.
L'œuvre de Pierre Escot se déploie dans les domaines de la photographie, de la vidéo, du livre d'artiste et de la poésie, avec des travaux où la question du langage est au centre de l'interrogation[1].
Il est l'auteur de l'énigmatique[2] Carnet Lambert en 2015 aux éditions art&fiction. Livre poétique, auto-référentiel et labyrinthique[3].
Il a publié Planning aux éditions PPT en 2007 et Occiput, poème sexuel aux éditions Derrière la salle de bain en 2014. Ses vidéos ont été montrées au Centre Pompidou dans le cadre de Littératures pirates et dans divers festivals en Europe.
Publications (sélection)
- Trilogie de la main droite, Orbe, 2005
- Planning, éditions PPT, (Réédition 2012)
- Pension nationale, Pegg, 2008
- Occiput, poème sexuel, Paris, Derrière la salle de bain,
- Les Bords, Paris, Derrière la salle de bain,
- Décompte zéro, Derrière la Salle de bains, 2011
- Décompte zéro un, Paris, Derrière la salle de bains,
- Le Carnet Lambert, Lausanne, art&fiction, coll. « Re:Pacific », , 98 p. (ISBN 978-2-940570-00-3)
Textes dans des ouvrages collectifs
- Raison Basse, Caméras Animales, 2007
- Donnant-donnant, Rapport d’Activités, 2008
- Du Livre de Mallarmé au livre mal armé, Gravitons Editions, 2010
- Rouge-Gorge, dix ans de dessins, h’Artpon éditions, 2014
- Aloha, Lausanne, art&fiction, coll. « Re:Pacific », , 7 p. (Contributions de Hubert Renard, Sarah Hildebrand, Alexandre Friederich, Manuel Perrin, Jérôme Meizoz, Marisa Cornejo, Gérard Genoud, Flynn Maria Bergmann, Alessandro Mercuri, Pascale Favre, Robert Ireland, Marcel Miracle, Pierre Escot, Philippe Fretz, Laurence Boissier, Pierre Loye, Claude-Hubert Tatot, Zabu Wahlen, Christian Pellet, Aymeric Vergnon-d’Alançon, Noëlle Corboz, Julia Sørensen, Claudius Weber, Alexandre Loye, Stéphane Fretz, Jérôme Stettler).
- Equilibre Optimum n°7, Cirque Electrique, 2017
Catalogue
- Fabienne Gaston-Dreyfus, Galerie Jean Fournier, 2017
Revues (sélection)
- Tina n° 6 et 7, 2010-2011
- Le Zaporogue n°9 et 12, 2010-2012
- Freak Wave n°5 , 2014
- Revue Laura n° 18 , 2014
- Jungle Juice n°3 , 2015
Références
- « Il crée des monstres où l’absurde et l’apparent délire inventent dans un travail des plus précis des approches où le langage – quelle qu’en soit la nature – est poussé parfois jusqu’à l’autoparodie », Jean-Paul Gavard Perret, in Le Salon littéraire, 7 décembre 2013
- « Le plus mystérieux de ces cinq ouvrages, c’est Le Carnet Lambert. Recueil de textes poétiques, journal intime crypté, qu’est-ce que ce carnet dont nous lisons des extraits ? », Isabelle Rüf, in Le Temps, 20 décembre 2015
- « Une symphonie métaphysique, parfois drôle, parfois grinçante, prend la forme d'un labyrinthe sans aucune issue », Éric Bonnargent, in Le matricule des anges n° 163, janvier 2016
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