Paul Delaroche

Paul Delaroche, pseudonyme d’Hippolyte de la Roche[1], né le à Paris où il est mort le , est un peintre français.

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Biographie

Détail de L'Hémicycle des Beaux-Arts, 1841, Paris, École nationale supérieure des beaux-arts.

Paul Delaroche est issu d'une famille aisée, son père est expert en tableaux. Le jeune-homme devient l'élève de Louis Étienne Watelet, puis de Antoine-Jean Gros, alors que son frère aîné Jules (1795-1849), également artiste-peintre, est l'élève de Jacques-Louis David.

Il expose pour la première fois au Salon de 1822, et attire l'attention de Géricault[2].

Il ne commence à être remarqué qu'au Salon de 1824 où sont exposés Saint Vincent de Paul prêchant pour les enfants trouvés et Jeanne d'Arc dans sa prison.

Au fil des expositions, il devient connu pour être l'initiateur de l'« anecdote historique », un genre à vocation documentaire et à sensibilité dramatique qui connaît un grand succès et qui s'inscrit dans la veine de la peinture d'histoire. Si Paul Delaroche est un des peintres les plus célèbres de son temps, c'est en grande partie dû au fait que le genre dont il s'est fait une spécialité convient parfaitement à l'idéal du mouvement artistique du « juste milieu » de la Monarchie de Juillet.

Il expose dans les années suivantes : La Mort d'Elisabeth, Miss MacDonald secourant le Prétendant, Les Enfants d'Édouard (1830), l'un de ses tableaux les plus populaires, Richelieu traînant ses prisonniers sur le Rhône, Mazarin mourant, Strafford marchant au supplice, Charles Ier insulté par des soldats de Cromwell, Cromwell regardant le cadavre de Charles Ier, Le Supplice de Jane Grey (1833), L'Assassinat du duc de Guise.

Il est admis à l'Institut de France en 1832, où il est alors le plus jeune membre. Il est nommé, peu après, professeur à l'École des beaux-arts de Paris, où il enseigne jusqu'en 1843, date à laquelle un bizutage tragique, qui cause la mort d'un élève, le contraint à fermer son atelier[3].

À partir de 1837, il cesse d'exposer, mais continue à travailler sans relâche : il met quatre ans pour achever la peinture murale de L'Hémicycle des Beaux-Arts de l'amphithéâtre de l'École en 1841, une vue panoramique qui rassemble 75 figures des plus grands artistes de toutes les époques.

Parmi ses autres œuvres, on remarque Bonaparte franchissant les Alpes, Napoléon à Sainte-Hélène, Marie-Antoinette après sa condamnation, La Cenci marchant au supplice, Le Dernier adieu des Girondins, et plusieurs sujets religieux : Moïse exposé sur le Nil, Le Christ à Gethsemani, Le Christ sur la croix, Le Christ des affligés, L'Ensevelissement du Christ, La Vierge au pied de la croix, La Vierge chez les saintes femmes, La Vierge en contemplation devant la couronne d'épines, une Jeune martyre.

Paul Delaroche peint également pour le musée de Versailles : Le Baptême de Clovis, Le Sacre de Pépin, Le Passage des Alpes par Charlemagne et son Couronnement à Rome. Il exécute un grand nombre de portraits, parmi lesquels ceux de Guizot, Lamartine[2], Salvandy, Rémusat et Thiers.

L'École de Munich s'est inspirée de sa peinture d'histoire. Il a également influencé des peintres comme Fritz Zuber-Bühler[4].

Après avoir vu pour la première fois un daguerréotype il aurait prophétisé, selon Gaston Tissandier : « À partir d'aujourd'hui la peinture est morte. » Cependant, cette citation, sans doute apocryphe, est contestée par Stephen Bann, pour qui il n'existe pas de phrase plus ressassée et plus fallacieuse[5].

Proche de l'archéologue-égyptologue Charles Lenormant, il compose avec lui les vingt volumes du Trésor de numismatique et de glyptique (1831-1850)[6].

Il épouse en 1843 une fille d'Horace Vernet[2], dont la mort prématurée assombrit ses dernières années.

Œuvre

L'œuvre peint a bénéficié d'être reproduit par de nombreux graveurs du vivant de l'auteur qui étaient proches de la galerie Goupil, connue internationalement, laquelle employait Henriquel-Dupont, Luigi Calamatta, Paolo Mercuri, Pierre Martinet, et d'autres, puis elle la fit même photographiée dès 1858 par Robert Jefferson Bingham. De nombreuses toiles deviennent ainsi des « chromos », des images inscrites dans le quotidien du foyer, marquant les générations. C'est donc un peintre connu du grand-public au XIXe siècle et sa popularité met en lumière l'histoire et l'évolution des goûts en termes d'art et de représentations, comme le résume Henri Delaborde dans son éloge (1857)[7] :

« À côté de M. Ingres et de M. Delacroix qui n'avaient et ne pouvaient avoir, en raison de leur absolutisme, qu'une action circonscrite sur le goût public, il y avait place pour un artiste dont le rôle consisterait à concilier, au moins en apparence, les doctrines ennemies et à se faire l'interprète des aspirations de tous. M. Delaroche prit ce rôle difficile et il le remplit avec un plein succès. »

Tableaux

Tableau Titre Date Dimensions Notes Lieu de conservation
Hélène délivrée par Castor et Pollux1817Localisation actuelle inconnue
Philémon et Baucis reçoivent Jupiter et Mercure1818Localisation actuelle inconnue
Joas dérobé du milieu des morts par Josabethvers 1822355 × 259 cmTroyes, musée des Beaux-Arts
La Descente de Croix1822304 × 144 cmChantilly, musée Condé
Fra Filippo Lippi et Lucrezia Buti182265,2 × 50,5 cmDijon, musée Magnin
Jeanne d'Arc en prison (esquisse)vers 1823-182421,8 × 18,7 cmLondres, The Wallace Collection
Jeanne d'Arc malade interrogée dans sa prison par le cardinal de Winchester1824277 × 217,5 cmRouen, musée des Beaux-Arts
Jeanne d'Arc dans sa prison (réduction)182548,1 × 37,8 cmLondres, The Wallace Collection
La mort du président Duranti1827310 × 270 cmperdu, détruit au Palais d'Orsay en 1871
Le prince de Carignan à la prise du Trocadero182893 × 74 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
Le duc d'Angoulême à la prise du Trocadero1828310 × 259 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
La mort d'Elisabeth Ire1828422 × 343 cmBase JocondeParis, musée du Louvre
Portrait du marquis de Pastoret (esquisse)182949 × 37,5 cmBayonne, musée Bonnat
Portrait du marquis de Pastoret1829155,3 × 122,6 cmBoston, Museum of Fine Arts
La Barge du cardinal de Richelieu sur le Rhône182957,2 × 97,3 cmExposé au Salon Parisien de 1831Londres, The Wallace Collection
Les Dernières Heures du cardinal Mazarin183056,4 × 97,5 cmExposé au Salon Parisien de 1831Londres, The Wallace Collection
Les Enfants d’Édouard1830181 × 215 cmExposé au Salon Parisien de 1831Paris, musée du Louvre
Les Enfants d’Édouard (réduction)183143,5 × 51,3 cmLondres, The Wallace Collection
Portrait d'Henriette Sontag183173 × 60 cmExposé au Salon Parisien de 1831Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
Cromwell au cercueil de Charles Ier d'Angleterrevers 183138 × 45 cmHambourg, Kunsthalle
Cromwell au cercueil de Charles Ier d'Angleterre183138 × 45 cmNîmes, musée des Beaux-Arts
La tentation de saint Antoine183220 × 16 cmLondres, The Wallace Collection
Le Supplice de Jane Grey1833246 × 297 cmMuséeLondres, National Gallery
Marie Madeleine se rendant à Marseillevers 1833-183519,5 × 42 cmBeauvais, musée départemental de l'Oise
L'Assassinat du duc de Guise183457 × 98 cmChantilly, musée Condé
L'Assassinat du duc de Guise1834Blois, musée des Beaux-Arts
Deux têtes de moines camaldules (Dom Bernardino Riglogli et dom Vincenzo Frilli183422,2 × 31 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Deux têtes de moines camaldules183421,2 × 32,4 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Tête de moine camaldule183421,7 × 19 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Tête de moine camaldule183423,3 × 19 cmMuséeNantes, musée des Beaux-Arts
Tête de Christvers 183438 × 27 cmÉdimbourg, National Gallery of Scotland
La Conversion de Marie Madeleinevers 1834-183520 × 42,5 cmLondres, The Wallace Collection
Un apôtre183546 × 49 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Les vainqueurs de la Bastille devant l'hôtel de Villevers 1835400 × 435 cmParis, musée du Petit Palais
Sainte Cécile et les anges1836Londres, Victoria & Albert Museum
Anne d'Autriche (d'après Gilbert de Sève)183674 × 61 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
Hémicycle de l'école des Beaux-Arts (esquisse)183635 × 212 cmMuséeNantes, musée des Beaux-Arts
L'art gothique ou le Moyen Âge53 × 34 cmNantes, musée des Beaux-Arts
La Renaissance52,8 × 33,7 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Hémicycle des Beaux-Arts1837-1841peinture muraleParis, École nationale supérieure des beaux-arts
Lord Strafford mené à l'échafaud1837284 × 392 cmCollection particulière
Charles Ier insulté par les soldats de Cromwell1837284 × 392 cmLondres, National Gallery
Portrait d'Horace Delaroche, fils de l'artiste183895 × 56,4 cmParis, musée du Petit Palais
Napoléon à Fontainebleau1840181 × 137 cmParis, musée de l'Armée

(original au Musée des Beaux-Arts de Leipzig[8])

Tête de Léonard de Vinci184119 × 16 cmNantes, musée des Beaux-Arts
File:Paul Delaroche - Hemicycle d'honneur.jpgHenri Gratien, comte Bertrand184280 × 63 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
L'enfance de Pic de la Mirandole1842116 × 76 cmMuséeNantes, musée des Beaux-Arts
Portrait du comte Charles de Rémusat184392 × 74 cmToulouse, musée du Vieux Toulouse
Hérodiade1843129 × 98 cmCologne, Wallraf-Richartz Museum
Portrait de Grégoire XVI1844112 × 89 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
La Vierge à l'enfant1844147,7 × 87,5 cmLondres, The Wallace Collection
Portrait du duc de Noailles1845Maintenon, musée du château
Jeune fille à la balançoire184569 × 52 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Jeune fille dans une vasque1845154 × 192,8 cmBesançon, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie
Portrait du comte Narcisse-Achille de Salvandy1846146 × 114 cmParis, musée du Louvre
Portrait de James-Alexandre, comte de Pourtalès-Gorgier1846Paris, musée du Louvre
Louise Vernet, femme de l'artiste, sur son lit de mort184662 × 74,5 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Scène familiale (inachevé)103 × 97 cmNantes, musée des Beaux-Arts
Une mère et ses enfants14,4 × 13,8 cmLondres, The Wallace Collection
Charlemagne traverse les Alpes1847420 × 801 cmVersailles, musée de l'Histoire de France
Bonaparte franchissant les Alpes1848289 × 222 cmBase JocondeParis, musée du Louvre
Un enfant apprenant à lire184820,5 × 14,2 cmLondres, The Wallace Collection
Portrait de Ludmille Komar, princesse de Beauvau-Craon184971 × 58 cmMontréal, Musée des beaux-arts de Montréal
Marie Antoinette devant le tribunalvers 185021,5 × 16,5 cmVizille, musée de la Révolution française
La jeune martyre chrétienne185373,5 × 60 cmSaint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
Un intérieurvers 185525 × 33 cmParis, musée du Louvre
Sainte Véroniquevers 185628 × 49 cmParis, musée du Louvre
L'évanouissement de la Vierge185627 × 53 cmParis, musée du Louvre
La jeune martyre chrétienne1856170,5 × 148 cmBase JocondeParis, musée du Louvre
Le retour du Golgotha27 × 53 cmBeauvais, musée départemental de l'Oise
  • Napoléon à Sainte-Hèlène.
  • Marie-Antoinette après sa condamnation.
  • La Cenci marchant au supplice.
  • Le Dernier adieu des Girondins.
  • Moïse exposé sur le Nil.
  • Le Christ à Gethsemani.
  • Le Christ sur la croix.
  • Le Christ des affligés.
  • L'Ensevelissement du Christ.
  • La Vierge au pied de la croix.
  • La Vierge chez les saintes femmes.
  • La Vierge en contemplation devant la couronne d'épines.
  • Miss MacDonald secourant le Prétendant.
  • Strafford marchant au supplice.
  • Le Baptême de Clovis, Versailles, musée de l'Histoire de France .
  • Le Sacre de Pépin, Versailles, musée de l'Histoire de France.
  • Le Couronnement à Rome, Versailles, musée de l'Histoire de France.

Dessins

  • La lecture de la Bible, fusain et rehauts de pastel et de craie blanche, H. 0,215 ; L. 0,277 m[9]. Paris, Beaux-Arts de Paris[10]. D'une facture très achevée, ce dessin met en scène Thomas More, personne emblématique de la Renaissance anglaise (décapité en 1535 sous henri VIII), dans un cadre familier qui contraste avec son destin tragique. Assis à une table il fait la lecture à ses quatre enfants qui boivent ses paroles.
  • La Mort du chevalier Bayard, plume, encre brune et aquarelle, H. 0,102 ; L. 0,149 m[11]. Paris, Beaux-Arts de Paris[12]. Delaroche fait écho à l'intérêt porté dans les années 1820 à Pierre Terrail, seigneur Bayard le chevalier "sans peur et sans reproche". Souvent portraituré lors d'épisodes glorieux, Delaroche choisit ici de représenter sa mort. Chemise ouverte, casque posé à terre et entouré de soldats reccueillis auprès de lui, cette interprétation ne pouvait qu'émouvoir le public.

Salons

Expositions

Élèves

Notes et références

  1. Le petit Robert des noms propres.
  2. Grand Larousse Encyclopédique en dix volumes, t. 3, , p. 881.
  3. (en) Mary Lathers, Encyclopedia of the Romantic Era, 1760-1850, Christopher John Murray éd., New York, Routledge, 2013, p. 275, 1336 p. (ISBN 978-1-13545-579-8).
  4. « Fritz Zuber-Buhler », sur historyofpainters.com (consulté le ).
  5. Stephen Bann (trad. Pierre Camus), « Photographie et reproduction gravée : L’Économie visuelle au XIXe siècle », sur Études Photographiques, .
  6. Charles Lenormant et Paul Delaroche (éditeurs), Trésor de numismatique et de glyptique, ou Recueil général de médailles, monnaies, pierres gravées, bas-reliefs, tant anciens que modernes, les plus intéressants sous le rapport de l'art et de l'histoire, avec figures gravées par Henriquel-Dupont (procédé Achille Collas), Paris, Rittner et Goupil et Vve Lenormant, 1831-1850, en 20 volumes — lire en Gallica.
  7. Œuvre de Paul Delaroche, notice de Henri Delaborde, sur Gallica.
  8. (de) « Initiator des Bildermuseums: Jan Nicolaisen über Adolph Heinrich Schletter », sur LVZ - Leipziger Volkszeitung (consulté le )
  9. « La lecture de la Bible, Paul Delaroche, sur Cat'zArts »
  10. Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Le dessin romantique, de Géricault à Victor Hugo, Carnets d’études 50, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2021, p 99-102, Cat. 18
  11. « La Mort du chevalier Bayard, Paul Delaroche, sur Cat'zArts »
  12. Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Le dessin romantique, de Géricault à Victor Hugo, Carnets d’études 50, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2021, p 103-105, Cat. 19
  13. D'après le dictionnaire Bellier et Auvray, qui peut être sujet à caution : voir Didier Rykner, « Deux tableaux de Léon-Marie-Joseph Billardet acquis par Nantes », sur latribunedelart.com, (consulté le ).
  14. Catalogue de la Galerie Alexis Bordes, p.15-16, Paris novembre 2012.

Annexes

Bibliographie

 : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Louis-Antoine Prat, Paul Delaroche, Paris, New York, Louvre éd. ; Le Passage, coll. « Cabinet des dessins » (no 25), , 86 p. (ISBN 978-2-35031-367-2, notice BnF no FRBNF42695990)
  • Marie-Pierre Foissy-Aufrère, La "Jeanne d'Arc" de Paul Delaroche : Salon de 1824 : exposition au Musée des beaux-arts de Rouen, 15 janvier-14 mars 1983, Rouen, Musée des beaux-arts, , 146 p. (notice BnF no FRBNF34740181)
  • (en) Stephen Bann, Painting history : Delaroche and Lady Jane Grey : exhibition, National Gallery, London, from 24 February to 23 May 2010, New Haven, Yale university press, , 168 p. (ISBN 978-1-85709-479-4, notice BnF no FRBNF42160516)
  • Stephen Duffy, Paul Delaroche, 1797-1856 : paintings in the Wallace collection : exhibition held at the Wallace collection, London, 11 September 1997-12 January 1998, Londres, Trustees of the Wallace collection, (ISBN 0-900785-62-4, notice BnF no FRBNF37625004)
  • Claude Allemand-Cosneau (dir.) et Isabelle Julia (dir.), Paul Delaroche : un peintre dans l'Histoire : exposition : Nantes, Musée des beaux-arts, 22 octobre 1999-17 janvier 2000, Montpellier, Pavillon du Musée Fabre, 3 février-23 avril 2000, Nantes, Paris, Montpellier, Musée des beaux-arts ; Réunion des musées nationaux ; Musée Fabre, , 333 p. (ISBN 2-7118-3879-X, notice BnF no FRBNF37058595)
  • (en) Stephen Bann, Paul Delaroche : history painted, Londres, Reaktion books, (ISBN 1-86189-007-9, notice BnF no FRBNF36966987)
  • J. D'Erlo, « Paul Delaroche, peintre (1797-1856) », Les Contemporains, no 671, , p. 16 (ISSN 2016-7830, notice BnF no FRBNF32080625)
  • Eugène de Mirecourt, Delaroche. Decamps, Paris, Librairie des contemporains, , 3e éd., 64 p. (notice BnF no FRBNF34213088)
  • Dictionnaire Bénézit
  • Claude Allemand-Cosneau et Isabelle Julia, Paul Delaroche, un peintre dans l'histoire, Paris, RMN, 1999.
  • Jules Goddé, Catalogue Raisonné de Paul Delaroche, œuvre reproduit en photographie par Robert Jefferson Bingham accompagné d'une notice de Henri Delaborde, éditeur Goupil & Cie, 19 Bd Montmartre et 9 rue Chaptal, 1858, notice 27.p., 86 planches photos, liste des élèves de l'artiste, liste des souscripteurs.
  • Laure Boyer, « Robert Jefferson Bingham, photographe du monde de l'art sous le Second Empire », dans Études photographiques, no 12, , p. 21, texte en ligne
  • Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Paul Delaroche » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource)

Liens externes

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