Parisii

Les Parisii formaient un peuple gaulois installé dans l'actuelle région parisienne, qui a donné son nom à la ville de Paris. Selon César (53 av. J.-C.), leur ville principale (oppidum) aurait été Lutetia (Paris). Leur homonyme Parisii était un peuple occupant ce qui est aujourd'hui le Yorkshire de l'Est en Angleterre.

Pour les articles homonymes, voir Parisii (homonymie).

Statère d'or des Parisii, Classe II.

Généralités

La tribu gauloise des Parisii est déjà installée dans la région au cours du IIIe siècle av. J.-C. selon les données apportées par l'archéologie moderne. Elle devient puissante car elle contrôle le trafic fluvial sur la Seine[1], cependant il est possible qu'ils aient été unis aux Sénons ou dépendant de ces derniers[2] car les Sénons étaient un peuple celtique plus puissant immédiatement au sud des Parisii. D'ailleurs, l'évêché de Paris avait pour limites celles du pagus Parisiensis (Parisis), lui-même basé sur le cadre géographique du territoire de la tribu des Parisii. Cet évêché de Paris était suffragant de celui de Sens jusqu'au XVIIe siècle. Sens était en effet la cité du pagus Senonicus (Senonge, aujourd'hui Sénonais), dont les limites étaient de la même manière celles du territoire des Sénons.

Un premier établissement prit le nom de Lucotecia (dans les sources grecques) ou Lutetia (dans les sources romaines) soit l'« argileuse »[3], dont on a fait Lutèce en français[4].

Leur territoire était limité par d'importants massifs forestiers : Montmorency, Saint-Germain-en-Laye, Marly, La Juvennerie, Trappes, Chevreuse, Verrières, Sénart, Armainvillier, Bondy (disparue)[5].

Pendant la conquête romaine de la Gaule, les Parisii ont participé au mouvement de résistance à César organisé par Vercingétorix, en 52 av. J.-C, ils fournirent un contingent de 8000 hommes[6].

Ils n'ont longtemps été connus que par le récit de César, dont le lieutenant Labiénus à la tête de quatre légions fit mettre le siège devant Lutèce.

Le nom de Lutetia « Lutèce » dans les locutions Lutetia Parisiorum ou Lutetia Parisiensis s'efface peu à peu au Bas-Empire devant l'adjectif latin substantivé Parisiis (datif locatif pluriel), dérivé du nom de la tribu gauloise selon un processus couramment observé en Gaule (voir Angers, Tours, Bayeux, Lisieux, etc.). La première attestation épigraphique date de 305 ap. J.-C. environ, sous la forme Lutetia apud Parisios[7] (Parisios étant à l'accusatif pluriel), ensuite on trouve Parisios [usque] en 400 - 410[7], puis Paris.

L'adjectif parisiensis explique Villeparisis, Cormeilles-en-Parisis, Fontenay-en-Parisis et toute la région du Parisis.

Le nom des Parisii

Statère d'or des Parisii.

Mythe des origines et conjectures anciennes

Le libraire et écrivain Gilles Corrozet (1510-1568) avance trois hypothèses sur l’origine de Paris et des Parisiens. Selon la première, la capitale tire son nom du prince troyen Pâris, fils de Romus XVII, roi des Gaulois[Note 1]. La deuxième, rattache les Parisiens au peuple des Parrasiens, arrivés avec Hercule d’un pays de Grèce du côté de l’Asie. La troisième, qui associe les Parisii à la déesse égyptienne Isis est, selon lui, de loin la plus convaincante puisqu’elle est basée sur une preuve tangible, une statue de la déesse retrouvée à l’église Saint-Germain-des-Prés[8]. Par la suite, le commissaire Nicolas de La Mare (1639-1723) concrétise la relation entre Paris et la déesse Isis[9] et d'autres encore lui emboitent le pas.

En égyptien, les temples d'Isis étaient appelés per ou par, soit « l’enclos qui entoure la maison ». Selon cette hypothèse, Parisii résulterait de la juxtaposition de Per / Par-Isis, mot qui désigne effectivement des villes d’Égypte[10],[Note 2], mais pas des peuples. Encore au XIXe siècle, Jean-Nicolas Déal considère que le nom d'Isis se serait perpétué sous la forme altérée d'Ésus[11],[12] que l'on trouve sur le pilier des nautes parisiaques, alors qu'Esus est un dieu authentiquement gaulois représenté sous la forme d'une divinité aux caractères virils sur cette colonne.

Un des premiers à sortir du mythe dominant sur les origines de Paris est Louis de Jaucourt qui s’insurge contre les écrivains modernes (XVIIIe siècle) qui continuent à maintenir le mythe d’Isis, alors qu’aucun texte de l’Antiquité ne mentionne ces liens : « Les auteurs qui dérivent le mot de Parisii de Para Isis, peuples sous la protection d'Isis, débitent une pure fiction. […] Nous ignorons le temps de sa fondation [de Paris] et de celui de ses premiers agrandissements »[13].

L'attitude qui consiste à relier un fait unique, comme la découverte d'une statue d'Isis, certes avérée, à l'étymologie du nom de la ville actuelle, témoigne à la fois d'une volonté de trouver une origine prestigieuse à la ville et à ses habitants, car il est difficile d'admettre que Paris doive sa fondation à une modeste tribu gauloise[14], et surtout d'une absence de méthodologie, le mythe, l'histoire ou l'archéologie ne pouvant en aucun cas se substituer à l'onomastique pour expliquer l'origine d'un nom propre. Or à l'époque on ignore tout de cette discipline. Linguistiquement, cette solution n'est pas envisageable : le nom du peuple n'est pas *Parisis, mais Parisii qui est un pluriel comme le sont tous les noms des tribus gauloises, par exemple les Mandubii, le singulier devait être du type *Pariso- / *Parisio-, latinisé en Parisius. En outre, si *Parisis avait été emprunté à une autre langue par le latin, il aurait été assimilé sur le modèle de la 3e déclinaison, celle en -is de cīvis qui fait cīvēs au nominatif pluriel et non pas *cīvii. De même, Isis est restée Isis en latin, le -s [s] final n'étant susceptible de s'amuïr ni en latin, ni en grec, ni en gaulois. Quant au mot Parisis pour désigner le « pays de France » et que l'on rencontre comme élément de toponyme dans Cormeilles-en-Parisis, Fontenay-en-Parisis ou Villeparisis, il résulte de l'évolution phonétique en ancien français de l'adjectif latin Parisiensi(s), accolé au nom du pagus, c'est-à-dire pagus Parisiensis, -ensis représentant le suffixe latin qui permet de dériver des noms de pays à partir d'un toponyme ou ethnonyme local. Il a donné la terminaison -is dans ce cas. Enfin aucun élément dans la toponymie française ne reflète un quelconque usage de l'égyptien ancien en Gaule, même en tant qu'emprunt. Quant à l'histoire, elle vient renforcer les conclusions de la linguistique, puisque les spécialistes n'admettent l'existence d'un culte à Isis en Gaule et en Grande-Bretagne qu'après la conquête romaine (au premier siècle de notre ère en Narbonnaise)[15] et il témoigne simplement du syncrétisme religieux dans l'Empire romain, alors que la présence du peuple gaulois des Parisii (et leur nom même) est attestée à cet endroit plusieurs siècles avant cette conquête.

Étymologie

L'un des premiers auteurs à proposer une étymologie plus pertinente est Jacques-Antoine Dulaure, archéologue et historien du XVIIIe – XIXe siècles, il démontre que les premiers Parisiens, les Parisii, ne descendaient ni du Troyen Pâris, fils du roi Priam, ni de la déesse égyptienne Isis, mais plutôt d’une petite peuplade « qui se composait d’étrangers, peut-être originaires de la Belgique, échappée au fer de ses ennemis ». Selon Dulaure, Parisii signifie « peuple de frontière » [16].

Cependant, aujourd'hui encore l'origine et la signification de l'ethnonyme Parisii n’est pas établie avec certitude, car le celtique ancien est encore assez mal connu au début du XXIe siècle. Les Parisi(i) étant une tribu celte, leur nom, comme celui de toutes les tribus celtes de Gaule est fort probablement celtique. Le nom doit s'analyser comme Par(i)-sii.

Une autre proposition est l'étymologie d'Alfred Holder (en) qui rapproche le nom de Parisii du gallois paraf, peri « causer, provoquer ; ordonner de faire », d'où peryf « chef, commandant » ; ainsi signifierait le nom Parisii « provocateurs, ceux qui ordonnent »[17].

Le spécialiste du celtique Xavier Delamarre suggère un nom basé sur la racine gauloise *pario-, chaudron, terme attesté dans les langues celtiques insulaires : vieux cornique et vieux breton per ; gallois pair ; etc. et dans des langues romanes contemporaines : occitan par / pairol ; lyonnais per ; catalan perol ; etc. qui signifient tous « chaudron »[18]. Le second élément -si(i) est un pluriel mal identifié, il peut s'agir éventuellement du thème démonstratif *so- ou *sio au pluriel, c'est-à-dire un pronom démonstratif au sens de « ceux ». La signification du nom serait « ceux du chaudron » ou « ceux (qui font) des chaudrons », le chaudron jouant un grand rôle dans la civilisation celtique. Il avait aussi un caractère magique dans les mythologies indo-européennes et celtiques en particulier[19].

Le pilier des Nautes parisiaques donne un dérivé du nom dans l'inscription : nautae Parisiaci « nautes de chez les Parisi », même si nautae est un emprunt au latin, Parisiaci est dérivé avec le suffixe gaulois -acon, celtique -*āko(n) devenu -acum en gallo-roman. C'est un suffixe localisant à l'origine[20].

Le [kʷ] du proto-celtique ([kʷ] indo-européen, ex. : latin quattuor « quatre ») est passé à [p] en gaulois et en brittonique (ex. : gaulois *petor cf. petoritum « véhicule à quatre roues », gallois pedwar, breton pevar « quatre »), alors qu'en gaëlique il est devenu [k] (ex. : irlandais ceathair « quatre »)[21], de la même manière, l'équivalent irlandais du gaulois *pario- est-il coire « chaudron, marmite ». On retrouve la forme du proto-celtique *kʷarios dans le nom des Quariates, autre peuple gaulois, et qui se perpétue dans le toponyme Queyras, mot basé sur un même radical Quari- > Pari- avec un autre suffixe : -ati-[22]. Le nom du chaudron est peut-être attesté dans l'anthroponymie gauloise avec des noms de personnes tels que Paris, Parus, Paricus, etc.[23], en tout cas leurs radicaux Par(i)- sont analogues à celui que l'on trouve dans Pari-sii.

Histoire et archéologie

Leur oppidum Lutèce se situe sur une île de la Seine, selon César. Ce dernier s'y rend en personne en 53 av. J.-C. pour y tenir son Grand Conseil des Gaules. Parti un an plus tard d’Agedincum (Sens), son lieutenant Labiénus remonte le cours de la Seine jusqu'au territoire des Parisii. Il y affronte la vaste coalition menée par le vieux chef des Aulerques Camulogène (Camulogenos). Forcé de se replier sur Metlosedum (Melun), Labiénus jette un pont de bateaux pour traverser le fleuve et s'empare de Lutèce par surprise. Ses défenseurs seront tous massacrés jusqu'au dernier[24].

La localisation de cet évènement a donné lieu à de nombreuses controverses au sein des historiens et des archéologues, car le texte de César, comme souvent, est fort lacunaire en matière de topographie. S'agit-il de l'Île de la Cité, de la rive droite ou de la rive gauche[24]?

Pendant longtemps les archéologues ont considéré que l'oppidum de Lutèce était introuvable, car ils ne trouvaient aucun vestige attribuables à cette période[24].

Une explication récente à cette énigme a toutefois peut-être enfin été trouvée : à la faveur de fouilles effectuées lors de la construction de l'A86, des traces d'une très importante cité proto-urbaine (plus de 15 ha, soit le double de l'île de la Cité à Paris), des tombes de guerriers gaulois, des équipements urbains importants, etc., ont été trouvés à Nanterre, qui tire justement son nom *Nemetodurum, d'un nemeton celtique.

Au cœur d’un important projet d’aménagement reliant les berges de la Seine à l’arche de la Défense, Nanterre accueille une grande exposition inédite consacrée aux fouilles archéologiques réalisées sur son territoire depuis maintenant plus de 10 ans[Quand ?]. Un vaste quartier d’habitation et une nécropole d’une trentaine de tombes, datant respectivement des Ier et IIIe siècles av. J.-C. ont en effet été découverts.

Ce peuple a émis des monnaies en or parmi les plus belles du monnayage gaulois, le statère des Parisii. Un important trésor de 120 exemplaires de cette production a été découvert non loin de Nanterre à Puteaux en 1950. Le trésor de Puteaux confirme ainsi l'importance de ce secteur dans l'établissement urbain des Parisii.

La présence de ces vestiges prouve l’existence d’une agglomération gauloise importante sur le territoire des Parisii et relance le débat autour de certains enjeux archéologiques contemporains… S'agit-il de la Lutèce gauloise[25]?

La géographie du site et la configuration des lieux autorisent une meilleure défense que celles de l'île de la Cité plus exposées. Elles plaident en faveur d'une localisation de l'oppidum des Parisii à cet endroit, plutôt qu'en celle des divers lieux-dits (dont celui de l'île de la Cité).

Les Parisii britons

Les Parisii, peuple homonyme de Grande-Bretagne, ont sans doute un lien avec ceux de Paris[26], dont des membres auraient émigré vers les îles Britanniques, au moment de la grande migration des peuples celtes. Elle s'installa dans le Yorkshire de l'Est à l'époque de l'âge du fer[27]. Outre l'ethnonyme, une certaine analogie du mobilier archéologique et l'utilisation commune du char de combat de part et d'autre, ont permis d'avancer une théorie sur leur parenté.

Notes et références

Notes

  1. Dans son Histoire de Charles Dupuy, surnommé le brave, seigneur de Montbrun réédité en 1812, Jean-Claude Martin fait vivre Romus XVII il y a 2517 ans. C'est, selon lui, un noble allobroge, fils d'Allobrox et non pas de Pâris  : tout cela relève de la légende et du mythe.
  2. Outre le fait qu'il n'existe aucun *Perisis ou *Parisis ayant le sens de « temple d'Isis » attesté dans des textes grecs ou latins et à fortiori en gaulois, cette étymologie est invraisemblable pour un ethnonyme. En effet, il est avéré que c'est le lieu Paris qui tire son nom du peuple des Parisii et non l'inverse, un « temple d'Isis » est un lieu et non pas un ethnonyme. Pour qu'un ethnonyme puisse être tiré d'un nom de lieu, il aurait fallu un affixe ou un autre élément accolé à *Perisis ou *Parisis tel qu'« hommes » ou « ceux » pour que cela fasse sens : « les Hommes du temple d'Isis » ou « Ceux du temple d'Isis », car telle est la nature des noms de tribus ou de peuples. Enfin Parisii n'est pas *Parisis et encore moins *Perisis, le -s [s] final n'ayant aucune raison de s'être amuï aussi bien en grec qu'en latin et en gaulois.

Références

  1. Kruta 2000, p. 172.
  2. Ferdinand Lot, La Gaule, édition revue et corrigée par Paul-Marie Duval, éditions Marabout Université, 1967, p. 39.
  3. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968.
  4. Bruno Dell, Histoire de Paris, collection des merveilles, éd. Hatier, Paris : 1992
  5. Ferdinand Lot, op. cit.
  6. Kruta 2000.
  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 519a
  8. Gilles Corrozet, La fleur des Antiquitez, Paris, 1532 ; aussi cité par J. Baltrusaitis, La quête d'Isis : essai sur la légende d'un mythe, Paris, 1985, p. 74, cité par Christina Contandriopulos, mythe des origines dans les histoires de Paris, conférence à l'université Mac Gill
  9. Nicolas de La Mare, Traité de la police, Paris, 1705, t.1, p. 68, cité par Christina Contandriopulos, ibidem
  10. Pierre Hubac, Carthage, éditions Bellenand.
  11. Jean-Nicolas Déal, Dissertation sur les Parisii ou Parisiens et sur le culte d'Isis chez les Gaulois ; ou Observations sur quelques passages du IIe chapitre de l'Histoire physique, civile et morale de Paris, par M. Dulaure, Firmin Didot père et fils (Paris), 1826 (lire en ligne sur Gallica)
  12. Jean-Pierre Arthur Bernard, Les deux Paris: les représentations de Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle, Époques Champ Vallon, Paris, 2001, p. 29.
  13. Louis de Jaucourt, « Paris », Encyclopédie, ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de Diderot et d'Alembert, Paris, 1772, t.11, p. 944, cité par Christina Contandriopulos, ibidem.
  14. Christina Contandriopulos, ibidem.
  15. Antonio Gonzalès « Autour d'Isis : acquis et nouvelles perspectives » in Dialogues d'histoire ancienne, 1996, Volume 22, Numéro 22-2, p. 153-164 (lire en ligne)
  16. J.-A. Dulaure, Histoire physique, civile et morale de Paris depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours, Paris, 1829 (quatrième édition ), p. 43.
  17. Alfred Holder, Alt-celtischer Sprachschatz, t. II: I-T, Leipzig, Teubner, 1904, p. 932.
  18. Delamarre 2003, p. 246.
  19. ibidem.
  20. Lambert 2003, p. 39.
  21. Lambert 2003, p. 16-17.
  22. Delamarre 2003.
  23. Ibid., p. 246.
  24. Matthieu Poux (en collaboration avec Sylvie Robin), « Dossier - Guerre des Gaules : Paris ou Lutèce ? » in Dernières nouvelles de la guerre des Gaules, sur les traces de César, l'Archéologue - archéologie nouvelle, juin - juillet 2002, no 60, p. 14.
  25. « Page de la ville de Nanterre sur l'exposition qui a eu lieu du 11 avril au 14 juin 2008 »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  26. Gaulois et celtique continental, Études réunies par Pierre-Yves Lambert et Georges Jean Pinault, Droz, 2007 (lire en ligne) p. 329 (anglais)
  27. (en) Les Parisii installés en Angleterre

Voir aussi

Bibliographie

  • Jacques-Antoine Dulaure, Histoire physique, civile et morale de Paris depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours, Paris, 1829 (quatrième édition )
  • Jean-Pierre Arthur Bernard : Les Deux Paris, Essai sur les représentations de Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle, Éditions Champ Vallon, 01420 Seyssel : 2001.
  • Venceslas Kruta, Les Celtes, histoire et dictionnaire : des origines à la romanisation et au christianisme, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1005 p. (ISBN 2-221-05690-6), pages 537 et 538
  • Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 2e éd., 440 p. (ISBN 2-87772-237-6)
  • Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 248 p. (ISBN 2-87772-224-4)

Articles connexes

Liens externes

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