Pagolle

Pagolle est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pagolle

Vue du village depuis la route de Juxue.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Pierre Etcheber
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64441
Démographie
Gentilé Pagolar
Population
municipale
260 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 31″ nord, 0° 59′ 21″ ouest
Altitude Min. 130 m
Max. 648 m
Superficie 15,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Pagolle
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Pagolle
Géolocalisation sur la carte : France
Pagolle
Géolocalisation sur la carte : France
Pagolle

    Le gentilé est Pagolar[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Pagolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 72 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 17 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Musculdy (3,6 km), Juxue (4,7 km), Arhansus (5,2 km), Ordiarp (5,7 km), Lohitzun-Oyhercq (5,9 km), Saint-Just-Ibarre (6,3 km), Ainharp (6,3 km), Uhart-Mixe (6,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Pagolle fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Pagolle.

    La commune est drainée par Ispatchoury erreka, Larramendiko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[13],[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 432 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19]et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 49 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 13,4 °C pour 1981-2010[24], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[25].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[27], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[29],[Carte 3] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Pagolle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), forêts (25 %), prairies (22,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,4 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Voies de communication et transports

    Le centre de Pagolle est traversé par la route départementale D 302, route reliant les anciennes routes nationales RN 133 (aujourd'hui D933) et RN 618 (aujourd'hui D 918) entre Uhart-Mixe et Musculdy.On peut également accéder à Pagolle par Juxue.

    Pagolle est située à 16 km de Saint-Palais et à 14 km de Mauléon.

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Pagolle apparaît[37] sous les formes Grangia de Paguola et Pagaule (respectivement 1178 et XIIIe siècle, collection Duchesne volume CXIV[38]), Nostre-Done de Paguole et Pagola (respectivement vers 1460 et vers 1470, contrats d'Ohix[39]) et Pagole (1479[40]).

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[40] indique que Pagolle provient de phag(a)-ola, 'cabane des hêtres'.

    Autres toponymes

    Le toponyme Mehaltzu apparaît[37] sous la forme Méhalçu (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[37]) et désigne un mont entre les communes de Juxue et de Pagolle.

    L'Euskaltzaindia recommande la forme "Mehaltzu" et il est typographié "Mehalçu" sur les cartes IGN. On peut trouver également la forme "Mehalzu".

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Pagola[1].

    Histoire

    Autrefois, Pagolle possédait un prieuré dépendant du diocèse d'Oloron. Ce prieuré était desservi par les Prémontrés installé à l'abbaye d'Arthous. Le prieuré de Pagolle avait été offert en 1178 (Grangia de Paguola, grange-hôpital) par le vicomte de Soule à l'abbaye d'Arthous.

    La paroisse de Pagolle dépendait de la déguerie de Peyriède (incluant également Aussurucq, Ordiarp, Musculdy, Garindein et Suhare) dans la messagerie des Arbailles.

    À la fin de l'ancien régime en 1790, Pagolle dépendait du canton de Domezain. Le canton, composé de communes souletines, fut ensuite englobé au canton de Saint-Palais, anciennement Bas-Navarrais.

    Le , le quartier "Pagolle-Oyhana" est détaché de la commune de Juxue pour être rattaché à Pagolle[41]. La commune, historiquement souletine, se retrouva alors traversée par la frontière historique entre la Basse-Navarre et la Soule. Linguistiquement, le quartier "Pagolle-Oyhana" parlait le bas-navarrais oriental et la commune de Pagolle le souletin[42].

    Rattachée à la Basse-Navarre dans les « listes de communes » des provinces basques en circulation au début du XXIe siècle, Pagolle est en réalité une commune traversée par la frontière entre la Soule et la Navarre. La partie occidentale du territoire communal se trouve en effet en Basse-Navarre, mais la partie orientale est souletine, la frontière ayant été précisée définitivement en ce secteur en 1475[43].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2020 Gabriel Lopépé   Agriculteur
    1977 1989 Michel Etcheber   Agriculteur
    1971 1977 Raymond Urrutiaguer    
    1959 1971 Jean-Pierre Çaldumbide    
    1935 1959 Pierre Urrutiaguer    
    1908 1935 Arnaud Çaldumbide    
    1891 1908 Jean Casenave    
    1881 1884 Pierre Barreix    
    1874 1881 Pierre Eraçarret   Laboureur
    1847 1874 Pierre Laco    
    1835 1847 Jacques Elischondo    
    1832 1835 Joseph Etcheberry    
    1820 1832 Jean Sallaberry    
    1801 1820 Jean Recart    
    1799 1801 Dominique Etcheberry    
    1798 1799 Bertrand Aguer    
    1796 1798 Arnaud Etchegoyhen    
    1795 1796 Jean Astaillon    
    1792 1796 Jean Recart    

    Intercommunalité

    Pagolle appartient à cinq structures intercommunales[44] :

    • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
    • le syndicat AEP du pays de Soule ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

    Pastoralisme

    De par son histoire, Pagolle a la particularité d'appartenir à deux commissions syndicales[45] :

    • la commission syndicale de l'Oztibarre ;
    • la commission syndicale du pays de Soule.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

    En 2018, la commune comptait 260 habitants[Note 9], en diminution de 8,45 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    210195255226598565600501542
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    454443443461471436431405409
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    440401404402436449394378371
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    360317316289267254262263279
    2017 2018 - - - - - - -
    261260-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Pagolle est un village essentiellement agricole.
    L'activité principale est l'élevage extensif de brebis laitières (races locales manex et basco-béarnaises) dont le lait est destiné à la confection de l'Ossau-iraty, Pagolle étant située dans la zone de l'AOC.
    Outre la production laitière, la vente d'agneaux (viandes) est également un débouché.On trouve également quelques élevages bovins (viandes).Les élevages bovins laitiers et les élevages de moutons destinés à la boucherie ont quasiment disparu.

    Culture locale et patrimoine

    Entrée du village d'Osse-en-Aspe.
    Le Mehalzu (648 mètres).

    Pagolle a organisé la pastorale souletine en 1982 (titre : Pette Basabürü écrit par le père Junes Casenave).

    Festivités

    • Fêtes le dernier week-end de septembre ou le premier week-end d'octobre.
    • Historiquement, les fêtes se déroulaient le dimanche suivant l'Assomption.

    Patrimoine civil

    Un gaztelu zahar est situé, au lieu-dit Mehaltzu, à 648 mètres d'altitude.

    Patrimoine religieux

    L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[50] date de 1893.

    Personnalités liées à la commune

    • Juan María Bordaberry, né à Montevideo le , et décédé dans cette même ville le , homme d'état Uruguayen. Il fût président de l'Uruguay entre le et le , puis demeura chef de l'État à la suite du coup d'État, et devint ainsi le premier dictateur du pays, jusqu'en 1976. Son grand-père Jacques dit Santiago Bordaberry (1844-1926) était natif de Pagolle.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Pagolle » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Pagolle », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Pagolle », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Pagolle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Pagolle », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    12. Carte IGN sous Géoportail
    13. « Fiche communale de Pagolle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    16. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Aicirits - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Pagolle et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Aicirits - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Pagolle et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    27. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pagolle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pagolle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    33. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    37. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    38. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
    39. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, notice BnF no FRBNF40190262, présentation en ligne).
    41. Ordonnance du roi n°10,945 dans le Bulletin des lois
    42. Arturo Campion, l'un des pères du nationalisme basque et linguiste, dresse une liste des villages en fonction des formes dialectales parlées se basant notamment sur les travaux de Louis-Lucien Bonaparte dans l'article Geografía linguística del euskara dans la "Revista Euskara" entre 1878 et 1883
    43. Eugène Goyheneche, Le Pays Basque, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1979
    44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    45. Commissions syndicales
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    50. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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