Oxyde d'azote

Les oxydes d'azote (ou vapeurs nitreuses) sont des composés chimiques formés d'oxygène et d'azote.

« NOx » est le terme générique qui englobe un groupe de gaz hautement réactifs, tous contenant de l’azote et de l’oxygène dans des quantités différentes[1], alors que « NOy » désigne l'ensemble plus large des composés azotés.

Définition et exemples

Les oxydes d'azote[2]
Degré d'oxydation Formule brute Nom
+5 N2O5 Pentaoxyde de diazote
+4 NO2
N2O4[alpha 1],[4]
Dioxyde d'azote
Tétraoxyde de diazote
+3 N2O3
N(NO2)3
Trioxyde de diazote
Trinitramide
+2 NO Monoxyde d'azote
+1 N2O
NO2N3
Monoxyde de diazote
Azoture de nitryle
+1/2 NON3 Azoture de nitrosyle (en)

À titre d'exemple, pour les chaudières à biomasse, on regroupe en pratique sous le terme « NOx » le monoxyde d'azote (NO), le dioxyde d'azote (NO2) et le protoxyde d'azote (N2O), ce dernier étant formé dans des foyers opérant à des températures inférieures à 950 °C[5].

En revanche, le pentaoxyde de diazote (N2O5), à l'état solide dans les conditions normales de température et de pression, n'appartient pas à la famille des NOx.

Les oxydes NO et NO2 sont des polluants atmosphériques réglementés. Ils sont également regroupés sous le terme « NOx »[6].

Les vapeurs nitreuses sont toxiques, et constituent une source croissante de la pollution de l'air : elles contribuent à l'effet de serre et au dérèglement climatique, et sont acidifiantes et eutrophisantes ; les NOx sont devenus la principale source des pluies acides (alors que la pollution par les oxydes de soufre a régressé) et de l'acidification des eaux douces.

Les oxydes d'azote et l'effet de serre

Le protoxyde d'azote N2O est un puissant gaz à effet de serre.

Le dioxyde d'azote NO2 et d'autres NOx interviennent dans la formation des oxydants photochimiques (ozone troposphérique). Cette forme de pollution oxydante, acide et eutrophisante de l'air et indirectement de l'eau et des sols a significativement augmenté là où les ultraviolets (source photochimique d'ozone troposphérique) sont plus intenses (en raison du trou de la couche d'ozone[7]) et par effet indirect dans l'accroissement de l'effet de serre[8].

Les oxydes d'azote et la pollution atmosphérique

Il est important de distinguer polluants atmosphériques et gaz à effet de serre.

Parmi les oxydes d’azote, les principaux polluants atmosphériques sont NO, NO2 ; ce sont eux qui sont analysés par les réseaux de surveillance de la qualité de l’air ;

La somme de ces deux polluants est encore regroupée sous le terme de NOx :

NOx = NO + NO2[8],[6].

Leurs émissions sont exprimées en équivalent NO2[9] (ou équivalent-NO2)[10].

Le monoxyde d'azote est un gaz incolore, le dioxyde d'azote est un gaz brun-rougeâtre.

Les NOx sont des précurseurs importants pour la formation des pluies acides[alpha 2], des aérosols secondaires et, lorsqu'ils se combinent à des composés organiques volatils, d'oxydants photochimiques (ozone troposphérique[alpha 3], smog estival)[11],[10].

Les NOx sont aussi des précurseurs intervenant dans la formation de nitrates atmosphériques (rapidement solubilisés dans les eaux météoritiques qui sont alors rendues à la fois acidifiantes et eutrophisantes) selon la réaction NO2 + O3 → NO3 + O2[12]. Parce que l'un des isotopes de l'oxygène (δ(17)O, est positionnés préférentiellement au niveau de l'atome surnuméraire[Quoi ?], des analyses isotopiques pourraient permettre de mieux comprendre ce processus qui est essentiellement nocturne, se déroulant après que de l'ozone (O3) a été formé le jour sous l'action des UV solaires)[12],[13].

Origine de la pollution

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Les NOx proviennent essentiellement de la combustion des combustibles fossiles dans l'air (qui contient près de 80 % d'azote) à une température supérieure à 1 400 °C (moteurs thermiques ou cimenteries[14], certains chauffages et certains véhicules à moteur thermique notamment, y compris catalysés et de quelques procédés industriels (production d'acide nitrique, fabrication d'engrais, traitement de surface, etc.).

Ils sont principalement formés dans les chambres de combustion et ont trois origines (mécanismes décrits sous forme simplifiée) :

thermique
N2 (air) + O2 → 2 NO lorsque la température de combustion, en présence d'air, excède 1 400 °C ;
combustible
R-NH2 (azote combiné du combustible [par ex. le bois[15]]) + O2 → NO +... si N combiné dans le combustible ;
NO prompt
N2 + CHHCN + N puis NO après différentes étapes même à plus basse température[16].

NO se transforme en présence d'oxygène en NO2 (de 0,5 à 10 %) dans le foyer de combustion. Cette réaction se poursuit lentement dans l'atmosphère et explique, dans le cas des villes à forte circulation, la couleur brunâtre des couches d'air pollué situées à quelques centaines de mètres d'altitude (action conjointe des poussières)[8].

Les NOx contribuent à l'odeur caractéristique de l'air urbain pollué par la circulation[17].

Sur la santé

NO2 est mortellement toxique (40 fois plus que le CO, 4 fois plus que NO)[18]. Il pénètre profondément dans les poumons[19] et est soluble dans l'eau[20].

Les pics de concentrations sont plus nocifs qu'une même dose étalée sur une longue période. NO est un gaz irritant pour les bronches, il réduit le pouvoir oxygénateur du sang[8].

Ces molécules pénètrent facilement les bronchioles, affectent la respiration et provoquent une hyperréactivité des bronches chez les asthmatiques, ainsi qu'une vulnérabilité accrue des bronches aux microbes, au moins chez les enfants[21].

En cas d'inhalation des vapeurs nitrées de fumées de tir d'explosif, utilisé dans un lieu confiné (dans une grotte par des spéléologues ou dans une mine mal aérée par exemple, où kg d'explosif nitré va relarguer 0,1 à 3 litres de NOx (NO + NO2)[22] « les symptômes immédiats peuvent se limiter à quelques troubles irritatifs : toux, picotements, larmoiements, irritation oculaire et pharyngée ; ces symptômes s’arrêtent dès que l’intoxiqué est mis à l’air libre. Il peut alors reprendre son exploration malgré une légère lassitude mais 2 à 36 heures plus tard, il risque de présenter des troubles graves signant un œdème pulmonaire aigu : toux, cyanose, expectoration rosée ou jaune saumonée, anxiété, sueurs froides, forte soif. La mort survient dans la plupart des cas en 24 à 48 heures. A signaler que les vapeurs nitreuses sont solubles dans l’eau »[22].

Sur l'environnement

Comme signalé plus haut, le dioxyde d'azote NO2 intervient dans la formation d'oxydants photochimiques (ozone troposphérique) et par effet indirect dans l'accroissement de l'effet de serre.

NO et NO2 contribuent au phénomène de pluies acides constituée, entre autres, d'acide nitrique (Acide fort)[23].

L’oxydation du NO produit par les combustions peut se poursuivre dans l’atmosphère pour former du NO2 :

NO2 réagit avec l’eau pour donner une solution aqueuse d’acide nitrique « H3O+(aqueux) + NO3(aqueux) » et du monoxyde d’azote NO :

 :
  • (g) = gaz ;
  • (l) = liquide ;
  • (aq) = aqueux, ion hydraté = ion qui a fixé un certain nombre de molécules d'eau.

En France

Les NOx font partie des polluants préoccupants que la France peine à réguler, du fait, entre autres, du nombre important de véhicules Diesel en circulation. L'ADEME, dans un avis mis à jour en , recommande de maîtriser les besoins en déplacement, les modes de transport (personnes et marchandises), les types de mobilités – au profit de mobilités douces organisées de manière à développer les systèmes de libre-service (vélo), de covoiturage, de véhicule partagé (auto, vélo)... tout en veillant à améliorer la logistique du dernier kilomètre[24].

Seuils

L'OMS recommande de ne pas dépasser :

  • 400 µg/m3 de moyenne sur 1 h ;
  • 150 µg/m3 de moyenne horaire sur 24 h[25].

Dans sa thèse sur la prévention et les secours en spéléologie (ou des vapeurs nitreuses peuvent être générées par l'utilisation d'explosifs[26]) Mallard (1985) recommande de ne pas respirer un air contenant plus 10 ppm de vapeurs nitreuses (soit une norme 10 fois plus sévère que celle relative au monoxyde de carbone (CO) qui est de 100 ppm.

Métrologie

Les analyses pour mesurer les taux d'oxydes d'azote se font généralement par chimiluminescence (qui est aussi la méthode de référence européenne), via la mesure du rayonnement produit par la réaction chimique entre les molécules de monoxyde d'azote et celles d'ozone qui est produit par un générateur haute tension[27].

Pour effectuer cette mesure, les gaz passent par un four de conversion, qui transforme NO2 en NO qui s'ajoute au NO déjà présent dans les gaz puis réagissent avec O3, produit par ailleurs.

Réglementations

Diverses règlementations européennes à nationales existent, visant à respecter des conventions ou traités internationaux dont le Protocole de Göteborg et une Convention de la Commission Économique pour l'Europe des Nations Unies (CEE-ONU) relative à la pollution atmosphérique transfrontalière à longue distance.

Les États membres de l'Union européenne doivent[28] périodiquement communiquer un inventaire des émissions du pays pour les NOx (ainsi que pour SO2, COVNM et NH3, dans un format identique à celui retenu par la convention sur la pollution atmosphérique transfrontalière[29]).

Sources et devenir

Généralités

La combustion des combustibles fossiles et de la biomasse, dans les foyers fixes, d'une part, et des combustibles gazeux et liquides dans les moteurs thermiques, d'autre part, génère des émissions d'oxydes d'azote (NOx) si la température de combustion dépasse 1 300 °C, même localement[30].

Les principaux émetteurs de NOx sont le transport routier (d'où une politique de réduction au moyen de pots catalytiques par exemple) et les grandes installations de combustion (centrales thermiques, chauffages, etc.). Volcans, orages, feux de forêts contribuent aussi aux émissions de NOx[8]. Dans l'atmosphère, les éclairs produisent des NOx. Avec les NO et NO2 produits par la combustion de combustible fossile ou de la biomasse, ils peuvent s'associer à l'eau et produire de l'acide nitrique HNO3, l'un des responsables des pluies acides (voir la section effets sur l'environnement).

NO2 se rencontre à l'intérieur des locaux où fonctionnent des appareils au gaz tels que gazinières ou chauffe-eau à gaz[25].

Les NOx sont également produits lors de la combustion du bois. Ces oxydes d'azote ne proviennent pratiquement pas de l'oxydation de l'azote (diazote) de l'air (origine thermique), mais de celle de l'azote contenu dans le bois sous forme d'amines et de protéines nécessaires à la croissance de l'arbre (origine combustible)[15],[31].

En raison du taux d’azote contenu naturellement dans le bois, les émissions d’oxydes d’azote sont plus importantes pour des installations de combustion de la biomasse que pour des chaudières au fioul ou au gaz[32],[33].

Dans les années 2000, les véhicules sont devenus responsables de près de 60 % des émissions de NOx[25].

En 2007, la Chine est le premier pays émetteur d'oxydes d'azote[34].

Réduction des émissions de NOx des moteurs des véhicules automobiles

Comparaison entre les normes d'émission d'oxydes d'azote (NOx) et les émissions mesurées[35].

Le pot catalytique a diminué les émissions des voitures (depuis 1993 en France), mais avec un impact atténué par une forte croissance du trafic, du nombre de véhicules, et par la durée de renouvellement du parc de véhicules. Les pots et filtres catalytiques sont efficaces mais consomment des métaux « précieux » et rares éventuellement toxiques (dont métaux du groupe du platine), et en perdent dans l'environnement. De plus, en Europe, où pour des raisons fiscales le taux de moteurs Diesel (catalysés depuis 1996) est très élevé, ce type de véhicules produit l'essentiel du NOx. Une étude de l'UE a conclu en 1990, que 15 % des émissions de NOx étaient dues au transport maritime. À ce rythme elles représenteront 23 % des émissions en 2010[36]. En France, pays où le taux de diesel est le plus élevé, le transport routier était en 2010 responsable d'environ 55 % des émissions de NOx selon le CITEPA[37], ce qui en fait un des premiers responsables de la pollution routière.

Généralités

Deux types de techniques existent : les techniques dites primaires (action sur la combustion) et les techniques dites secondaires (action sur l'effluent gazeux).

Techniques primaires
Elles limitent les émissions en intervenant sur la combustion. On citera les brûleurs « bas-NOx »[38], la recirculation des gaz de combustion, l'injection étagée du combustible et/ou de l'air de combustion[39]. L'efficacité de ces techniques s'échelonne entre 20 et 60 % (dans le cas où l'on combinerait plusieurs techniques primaires).
Techniques secondaires
Elles permettent d'obtenir des taux de réduction beaucoup plus importants.
Les deux technologie qui se sont réellement imposés sur le marché sont :
oxydoréduction non catalytique (en anglais SNCR de selective non catalytic reduction)
permettant un abattement d’au moins 50 % du flux de polluant, par l’injection d’urée, ou d'ammoniac, en une zone ciblée des fumées[Quoi ?][réf. nécessaire] ;
réduction catalytique sélective (en anglais SCR pour selective catalytic reduction)
permettant un abattement d’au moins 80 % du flux de polluant, par une réaction chimique catalytique, le catalyseur étant régénéré périodiquement[40],[41].

Cas du bois énergie

La température de combustion étant difficile à contrôler, dans un poêle ou une cheminée (avec ou sans insert), et toute température de combustion supérieure à 1 300 °C générant des NOx, le bois énergie est plus susceptible d'en générer que les chaudières fonctionnant au gaz naturel ou au fioul où la température de combustion est plus facile a contrôler[alpha 4], son développement, dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables, « joue un rôle prépondérant par rapport aux autres énergies dans l’évolution des émissions de NOx[42] ».

Suisse

La combustion du bois « dans des installations de chauffage ordinaires - sans filtres coûteux - produit des polluants atmosphériques locaux additionnels, surtout de la poussière fine et des oxydes d’azote »[43]. Les services cantonaux de l'énergie et de l'environnement, dans une information sur les chaudières bois à chargement automatique (granulés et plaquettes), signalent qu'« une chaudière à bois émet bien davantage de particules PM10 et d'oxydes d'azote NOx qu'une chaudière à mazout »[33].

L'institut Paul Scherrer préconise la conversion du bois énergie en gaz naturel de synthèse pour réduire ces émissions[43].

Émissions de PM10 et de NOx (NO + NO2) de systèmes de chauffage actuels en Suisse.
Émissions directes. Autres émissions = émissions sur la chaîne de production[44].
France

La combustion de la biomasse a un impact sur la pollution atmosphérique, qui doit être réduite conformément aux engagements nationaux d'amélioration de la qualité de l'air. Une étude, réalisée pour le compte de l'ADEME par le CITEPA et « Énergies Demain »[45], évalue les conditions techniques et économiques d’un développement maîtrisé de la biomasse énergie permettant de respecter conjointement les engagements pris pour atténuer le réchauffement climatique et améliorer la qualité de l'air. Sur la vingtaine de polluants atmosphériques étudiés, les NOx sont les seuls polluants pour lesquels une augmentation des émissions à l’horizon 2020 est observée dans les résultats des simulations[42]. Le texte suivant est extrait de cette étude :

« La problématique des émissions de NOx reste à surveiller attentivement et à contrôler, même si la biomasse ne représente en 2005 que 2 % des émissions nationales. Non seulement la France ne respecte pas certaines concentrations limites dans l’environnement mais de plus elle a beaucoup de difficultés en ce qui concerne le respect de son plafond d’émissions de NOx (que ce soit celui de 2010 ou celui en préparation pour 2020). La rénovation du parc d’appareils domestiques conduit à des émissions de NOx supérieures par rapport à la situation existante. Le bois étant plus émetteur de NOx que les combustibles fossiles de type gaz naturel et fioul, la mise en place de « de-NOx »[alpha 5] sur des installations de puissances importantes pourrait être étudiée au cas par cas afin de limiter les émissions de NOx. Selon les scénarios considérés, le surcoût annuel d’investissement pour équiper toutes les nouvelles chaufferies biomasse de système de traitement des NOx est évalué entre 52 millions d’euros (système non catalytique ou SNCR, permettant une réduction de 2 à 6 % des émissions entre 2005 et 2020) et 280 millions d’euros (système catalytique ou SCR, permettant une réduction de 6 à 11 % des émissions entre 2005 et 2020). »[46].

Comparaison du facteur d'émission de NOx du chauffage au bois[47]
avec les autres types de carburant
(secteur domestique, année 2005 - synthèse 2009)[48]
Bois énergie Houille Fioul domestique Gaz naturel
NOx (g/GJ sortant) 126 72 60 58
Les facteurs d’émission des appareils sont exprimés en g/GJ (masse de NOx émise par unité d’énergie sortante (gigajoule (GJ))).

Effet du dioxyde de titane

À Dinan, en France, 2 500 m2 de chaussée ont été construits en incorporant à un enrobé poreux classique un « coulis à base de ciment » contenant du dioxyde de titane (TiO2), traité chimiquement, qui aide à détruire les NOx[49].

Notes et références

Notes

  1. À l’état gazeux, les deux composés sont en équilibre[3] :
  2. Voir effets sur l'environnement
  3. Voir l'effet de serre
  4. Voir les sections « Sources et devenir - Généralités » et « France » .
  5. de-NOx, ou DeNOx : systèmes de réduction des oxydes d'azote.

Références

  1. « Oxydes d’azote (NOx) »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur ec.europa.eu (consulté le ).
  2. Peter Atkins, Loretta Jones, op. cit., p. 773.
  3. Maurice Bernard, op. cit, p. 222.
  4. Jacques Angenault, op. cit, p. 48.
  5. [PDF] « Bonnes pratiques bas-NOx pour chaudières à biomasse », sur www.ademe.fr (consulté le ), p. 13, 14.
  6. Les différents polluants et leur évolution, sur le site d'Airparif.
  7. (en) Tang X, Wilson SR, Solomon KR, Shao M, Madronich S (2011), Changes in air quality and tropospheric composition due to depletion of stratospheric ozone and interactions with climate, Photochem Photobiol. Sci., février 2011, 10(2):280-91. Epub 20 janvier 2011
  8. Oxydes d'azote - NOx, sur le site du CITEPA.
  9. Arrêté du 11/08/99, Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS).
  10. Oxydes d'azote (NOx), sur le site de l'OFEV.
  11. Pollution photochimique, CITEPA.
  12. Berhanu TA, Savarino J, Bhattacharya SK, Vicars WC () (17)O excess transfer during the NO2 + O3 → NO3 + O2 reaction. ; Journal of Chemical Physics, , 136(4):044311, DOI:10.1063/1.3666852. résumé
  13. (en) Vicars WC, Bhattacharya SK, Erbland J, Savarino J., Measurement of the 17O-excess (Δ17O) of tropospheric ozone using a nitrite-coated filter, Rapid Commun Mass Spectrom., 30 mai 2012, 26(10):1219-31.
  14. (en) Alternate Control Techniques Document - NOx Emissions from Cement Manufacturing EPA-453/R-94-004
  15. [PDF], 11 p., Épuration des polluants issus de la combustion domestique du bois document du CSTB - p. 218 (archivé par Internet Archive).
  16. Oxydes d'azote - NOx, citepa.org, consulté le 25 juin 2019
  17. [[PDF] [http://www.ac-nice.fr/college-dufy/images/stories/svt/les_pics_de_pollution_dans_la_basse_atmosphere.pdf Les pics de pollution dans la basse atmosphère], p. 4, Académie de Nice.
  18. [PDF]Oxydes d'azote - Fiche toxicologique n°133, inrs.fr, 2006, consulté le 14 juillet 2019
  19. Dioxyde d'azote (NO2), actu-environnement.com, consulté le 14 juillet 2019
  20. Les oxydes d'azote, enseeiht.fr, consulté le 14 juillet 2019
  21. [PDF] La politique économique environnementale, p. 37, École des mines de Douai.
  22. De Félix F (2009), [Matériel et technique, médical à propos de la toxicité des fumées de tir d'explosifs en spéléologie] | 06 septembre
  23. Peter Atkins, Loretta Jones, op. cit., p. 534.
  24. EG, L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) a publié ... et de NOx par les véhicules routiers, 17 mai 2018, Environnement magazine
  25. Oxyde d’azote (NOx), Dictionnaire Environnement.
  26. Bitard B , Conséquences et méfaits de l'usage des explosifs en spéléologie. Spéléo-Dordogne 2, 79-92, 1989.
  27. ISO 7996:1985 Air ambiant — Détermination de la concentration en masse des oxydes d'azote — Méthode par chimiluminescence
  28. Directive européenne 2001/81/CE du 23 octobre 2001 relative aux Plafonds d'Émissions Nationaux (NEC)
  29. CITEPA, « Inventaire des émissions dans l'air en France »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), Format UNECE, 2012 (voir préambule, p. 11/244)
  30. Combustion et Émissions de NOx, Journée d'études annuelle du CITEPA (2004).
  31. La combustion du bois et ses impacts sur la qualité de l'air, p. 12, sur appa.asso.fr [PDF]
  32. Énergie-bois : se chauffer sainement, Medieco (Ingénierie et édition d'écologie médicale), cf. la section « Réduire les émissions des polluants ».
  33. Voir « Bois (chargement automatique) »), Services cantonaux suisses de l'énergie et de l'environnement.
  34. Michel Temman, « Victime de ses rejets, Tokyo aide Pékin à se mettre au vert », Libération, 16 avril 2007, [lire en ligne]
  35. (en) « Comparison of NOx emission standards for different Euro classes », sur Agence européenne pour l'environnement (consulté le )
  36. Bulletin ADIT juillet 2007
  37. Geneviève De Lacour, Le transport routier responsable de 55 % des émissions de NOx, Journal de l'environnement, 14 juin 2012
  38. Les émissions de NOx de ces brûleurs sont inférieures à la réglementation la plus sévère du moment ; cette limite évolue régulièrement.
  39. Réduction des NOx - traitement primaire : adapter la combustion (Énergie Plus magazine).
  40. [PDF] Étude Émissions : Chaudières Biomasse, DRIRE d'Île-de-France - pages 23 à 31 et la conclusion pages 39, 40. Pour ce qui concerne plus spécialement les technologies de réduction des NOx, voir pages 22, 23 et l'Annexe 5 page 51 (extraits de la page web : Comment réduire les émissions de NOx selon le CITEPA).
  41. Réduction des NOx - traitement des fumées : réduction sélective non catalytique ou catalytique (Énergie Plus magazine).
  42. Source : [PDF] Synthèse des émissions nationales de polluants atmosphériques - Secteur biomasse énergie, p. 44, 54 ; ce dossier est téléchargeable sur le site de l'ADEME : Évaluation prospective 2020-2050 de la contribution du secteur biomasse énergie aux émissions nationales de polluants atmosphériques.
  43. Le bois - un agent énergétique multiforme ; article original : le document ([PDF]) de l'Institut Paul Scherrer (avril 2006).
  44. Voir ([PDF]) : la version en anglais de l'original en allemand (p. 3) et la légende de ce tableau pour « Autres émissions ».
  45. Énergies Demain.
  46. Des extraits de cette étude sont disponibles sur la page web : Chauffage automatique au bois - (Nord-Picardie Bois).
  47. Tout type d’appareil confondu : foyers ouverts et fermés, poêles, cuisinières et chaudières (appareils anciens et récents).
  48. Source : [PDF] Le Bois énergie et la qualité de l’air (synthèse 2009), page 11 (Ministère de l’écologie).
  49. « Un goudron glouton pour absorber la pollution », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Peter Atkins et Loretta Jones (trad. André Pousse), Chimie : molécules, matière, métamorphoses [« Chemistry : molecules, matter and change »], Bruxelles Paris, De Boeck universite, , 1018 p. (ISBN 978-2-7445-0028-2, OCLC 489879525), traduction de la 3e éd. américaine..
  • Jacques Angenault, La Chimie : dictionnaire encyclopédique, Paris, Dunod, , 2e éd., 535 p. (ISBN 978-2-10-002497-1, OCLC 33151761, notice BnF no FRBNF35788665).
  • Maurice Bernard (préf. Paul Arnaud), Cours de chimie minérale, Paris, Dunod, , 2e éd., 405 p. (ISBN 978-2-10-002067-6, notice BnF no FRBNF35717160).
  • Savarino J, Bhattacharya SK, Morin S, Baroni M, Doussin JF. (2008), The NO+O3 reaction: a triple oxygen isotope perspective on the reaction dynamics and atmospheric implications for the transfer of the ozone isotope anomaly, J. Chem. Phys., 21, 128(19):194303.

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