Orlyval

Orlyval est une ligne de métro automatique située en Île-de-France et effectuant la navette entre la gare d'Antony du RER B et l'aéroport d'Orly. Mise en service le et longue de 7,3 km, elle utilise la technologie du véhicule automatique léger (VAL).

Orlyval

VAL 206 venant de quitter le terminal 4.

Tracé de la ligne.

Communes desservies 2
Histoire
Mise en service 1991
Dernière extension -
Exploitant Orlyval Service
RATP Dev : 99 %
SNCF : 1 %
Infrastructure
Conduite (système) Automatique (VAL)
Exploitation
Matériel utilisé VAL 206
Points d’arrêt 3
Longueur 7,3 km
Distance moyenne entre points d’arrêt 3 650 m
Fréquentation
(moy. par an)
3,1 millions (2013)
Logo d'Orlyval.

Initialement construite et exploitée entièrement sur des fonds privés, Orlyval se révèle être un échec commercial à son ouverture. L'exploitation est reprise par la RATP en 1993 et la ligne alors connaît un regain de trafic. Orlyval conserve cependant des tarifs élevés et non inclus dans la plupart des abonnements, ce qui constitue un cas à part en Île-de-France.

Histoire

Genèse du projet

Durant les années 1980, l'accès à l'aéroport d'Orly par les transports communs se révèle problématique avec la saturation progressive des différentes lignes de bus. La route demeure ainsi le moyen d'accès privilégié pour les voyageurs aériens et les embouteillages sont fréquents.

Pour améliorer la desserte d'Orly par les transports en commun, plusieurs options sont envisagées dont une nouvelle branche du RER B ou bien le prolongement de la ligne 7 du métro. La SNCF propose pour sa part une extension du RER C depuis la gare du Pont de Rungis. Mais les pouvoirs publics optent finalement pour la construction d'une ligne indépendante reliant l'aéroport à la gare d'Antony sur le RER B. Le projet Orlyval est présenté en . L'exploitation doit avoir recours à la technologie VAL, déjà en service à Lille depuis 1983 et développée par Matra. L'objectif est également de constituer une vitrine technologique en vue d'exporter le VAL à l'étranger.

Le gouvernement de Jacques Chirac est toutefois réticent à financer l'opération et décide qu'Orlyval sera intégralement financé sur des fonds privés via un système de concession. La société Orlyval, dotée d'un capital de 150 millions de francs, réunit Matra, Air Inter, Lyonnaise des eaux-Dumez et la RATP, ainsi que plusieurs banques dont Indosuez, le Crédit lyonnais, et la Caisse des dépôts. Ce capital est détenu à 34,7 % par le groupe de banques, 26,7 % par Air Inter, 18 % par Lyonnaise des eaux-Dumez, 17,3 % par le fabricant du VAL Matra et 3,3 % par la RATP[1].

L’opération Orlyval est estimée à 1,75 milliard de francs en 1988. La société contracte, sous la coordination d’Indosuez, des emprunts pour 1,55 milliard auprès de plusieurs banques. Les prévisions de trafic sont alors de l'ordre de 14 à 15 000 voyageurs par jour[2].

Mise en service et échec commercial

Orlyval débute son service commercial le . L'inauguration a lieu en présence du Premier ministre, Édith Cresson, et du ministre des Transports, Paul Quilès. Il s'agit de la première ligne de métro automatique mise en service en Île-de-France. Fait notable, la mise en service intervient avec trois mois d'avance sur le calendrier prévisionnel[3].

Mais probablement à cause du tarif élevé du billet (55 francs à son démarrage) qui cible une clientèle surtout constituée d'hommes d’affaires[4], et de la correspondance imposée à Antony, seul un tiers des prévisions de trafic est atteint, avec 4 à 5 000 voyageurs par jour après cinq mois d'exploitation[5]. En conséquence, les tarifs sont diminués, mais cela ne suffit pas à redresser la fréquentation, qui atteint 1,2 million de voyageurs par an en 1992 au lieu des 4,3 millions initialement prévus en année pleine[6],[7]. La société Orlyval est mise en liquidation judiciaire[8] en décembre 1992.

Reprise de l'exploitation par la RATP

L'exploitation est reprise par la RATP[9], avec une subvention de dix millions de francs par an pendant vingt-neuf ans, versée par la région[2],[10],[11]. À partir de 1993, la fréquentation est en forte hausse, d'environ 10 % par an, variant selon les jours, le nombre le plus important de voyageurs se situant le vendredi. Une étude menée en février et mars 1994 démontre que la clientèle est essentiellement masculine et constituée de cadres et de membres de professions libérales à 69 %, usagers réguliers de la ligne utilisée pour raison professionnelle. En conséquence de cette augmentation du trafic, la RATP augmente la plage horaire de circulation le 27 juin 1994, de 6 h à 22 h 30 en semaine et de 7 h à 23 h le dimanche afin d'assurer une connexion avec les premiers et derniers vols intérieurs[12].

Lors de la reprise de l'exploitation par la RATP, il a été convenu que la régie devait reverser aux créanciers une somme forfaitaire pour chaque passager empruntant la ligne au-delà d'un excédent d'exploitation forfaitaire (le point mort est fixé jusqu'en 1996 à 1,475 million de passagers par an, puis à 1,545 million). Ce montant, indexé sur l'inflation, représentait 28,47 F pour un billet à 42 F en 1993. Il est dû jusqu'à la fin de la concession, le [2],[13],[14].

Il explique également pourquoi la ligne conserve depuis une tarification dérogatoire, qui ne l'inclut pas dans le régime forfaitaire de la carte Navigo. Néanmoins, cette tarification propose un tarif enfant représentant sensiblement la moitié du tarif ordinaire (voir ci-après).

Tracé et stations

Plan de la ligne Orlyval et de sa correspondance avec le RER B.

Orlyval est constitué d'une ligne majoritairement à double voie équipée de pistes pour le roulement sur pneumatiques. Les trains fonctionnement manière entièrement automatique. Elle a la particularité d'être exploitée en rebroussement, les trains venant d'Antony devant changer de direction à Orly 1, 2 ,3 pour gagner Orly 4. Les trains roulent donc à gauche entre Antony et Orly 1, 2, 3 et à droite entre Orly 1, 2, 3 et Orly 4.

Le viaduc d'Orlyval en direction du nord, vu de l'aérogare Orly 4.

La ligne a pour origine la gare d'Antony, desservie par la ligne B du RER. Le terminus comporte deux demi-stations superposées. La demi-station de départ est au même niveau que le quai desservi par les trains du RER en provenance de Paris en queue, celle d'arrivée étant située au niveau inférieur. Les voies s'achèvent au nord par un tunnel en impasse équipé d'un tiroir de retournement.

Le tracé se dirige vers l'aéroport en direction du sud d'abord en tunnel, puis émerge à l'extérieur par une courbe à gauche qui le fait obliquer vers l'est. Le tracé, globalement rectiligne, franchit l'autoroute A6 par un pont ; un raccordement donne, plus loin, accès à l'atelier d'entretien du matériel roulant situé au nord. La ligne longe alors par le nord la ligne de Grande Ceinture empruntée par la ligne C du RER. Une courbe vers la droite, en direction du sud, fait plonger la ligne sous les pistes de l'aéroport, puis elle ressort et atteint en viaduc la station Orly 1, 2, 3, à double voie encadrée de deux quais et en impasse. Les trains se dirigent alors vers les deux demi-stations d'Orly 4 en rebroussant par un parcours avec courbe à droite puis contre-courbe à gauche en viaduc, qui possède ici une forme de « S ». La ligne atteint la demi-station Orly 4 départ, desservie par un quai latéral du côté sud donnant directement accès au hall de l'aérogare, et se poursuit jusqu'à la demi-station Orly 4 arrivée de même configuration où la voie devient unique. Le parcours s'achève toujours en viaduc par un tiroir de retournement à double voie.

Stations

      Station Lat./Lont. Communes desservies Correspondances[15]
   Antony 48° 45′ 18″ N, 2° 18′ 03″ E Antony
   Orly 1, 2, 3 48° 43′ 47″ N, 2° 21′ 36″ E Paray-Vieille-Poste
   Orly 4 48° 43′ 44″ N, 2° 22′ 12″ E Paray-Vieille-Poste

Exploitation

Une rame VAL 206 à Wissous, effectuant la trajet entre Antony et Orly 1, 2, 3. Au second-plan, l'atelier de maintenance.

Orlyval circule tous les jours de 6 h à 23 h 35. Le temps de parcours entre la gare d'Antony et l'aérogare d'Orly 4 est de six minutes, à la vitesse maximale de 70 km/h, alors que le trajet entre Orly 1, 2, 3 et Orly 4 dure une minute. Le parcours de cette dernière section est gratuit.

Orlyval est exploité depuis 1991 par une filiale détenue à 99 % par la RATP, le 1 % restant étant détenu par la SNCF[16]. Siemens, actionnaire de 1991 à 2005, se consacre dorénavant exclusivement à la maintenance du matériel et des automatismes.

Matériel roulant

La ligne est équipée de huit rames VAL 206 de deux voitures, pouvant transporter chacune 120 personnes. Chaque rame parcoure en moyenne 100 000 kilomètres par an, ce qui est légèrement supérieur au parcours moyen des autres matériels de type VAL mais inférieur au CDGVAL dont chaque rame parcourt 120 000 km par an. L'exploitation en heures de pointe mobilise six rames, une restant en réserve. La révision générale, qui se déroule tous les 600 000 km, immobilise une rame pendant trois à quatre mois. Le parc réduit pose ainsi des problèmes croissants d'exploitation[17].

Intérieur d'un VAL 206 rénové. On voit à droite les écrans LCD installés sur les vitres.

Entre 2017 et 2020, les huit rames sont progressivement rénovées et permettent une augmentation de leur capacité en réduisant le nombre de places assises pour faciliter les déplacements des voyageurs avec bagages[18].

À la mise en service en 1991, les rames arboraient une livrée bicolore bleu et blanc. À partir de 1993, celles-ci adoptent ensuite la livrée vert jade afin de marquer la reprise de la ligne par la RATP. La rénovation s'est accompagnée d'une troisième livrée, majoritairement blanche et noire au niveau des vitres, avec un bandeau vert sur le toit.

Depuis le 26 janvier 2021, une première rame est équipée de quatre écrans LCD placés sur les vitres qui informent en temps réel les usagers de l'horaire des vols aériens, des transports en commun en correspondance ainsi que de l'information internationale grâce à un partenariat avec France 24. Les sept autres rames sont progressivement équipées au cours de l'année 2021. Par ailleurs, cette technologie va être expérimentée par Île-de-France Mobilités sur une quinzaine de bus et est envisagée pour le tramway et le métro parisien[19].

Les voitures sont munies de haut-parleurs diffusant un message automatique informant sur le parcours de la ligne et le temps d'attente entre chaque station. Ce message est émis en français, anglais et espagnol.

Le personnel d'exploitation

La société comptait 84 salariés en 2007, pour l'exploitation et la maintenance[20].

Atelier

Le poste de contrôle d'Orlyval.

L'atelier de maintenance et de remisage des rames se situe à Wissous, à mi-parcours entre Antony et Orly 4[21]. Il comprend cinq voies pour la maintenance ainsi qu'une station de lavage. Le site accueille également le siège de la société Orlyval service et le poste de commande centralisé (PCC) de la ligne.

Tarification et financement

Orlyval constitue un cas à part en Île-de-France car elle est la seule ligne de la région inaccessible avec la plupart des abonnements habituels et non subventionnée par le STIF mais par la région uniquement. Après avoir été gérée depuis sa reprise en 1993 par la RATP, elle est exploitée par Orlyval service, une des filiales de RATP Dev[22].

Seul le forfait Paris Visite est accepté. Un abonnement réservé aux personnes travaillant dans la zone aéroportuaire d’Orly existe également[23].

Le prix du billet Île-de-France est déterminé d'après le prix correspondant à la relation ferroviaire à destination d'Antony, majoré d'un montant fixe « Orlyval ». Au , les tarifs sont les suivants[24] :

  • Orly (1-2-3 ou 4) - Antony (RER B) : 9,30  (enfants 4,65 ) ;-
  • Orly (1-2-3 ou 4) - Paris (toutes stations de métro), via Antony (RER B) : 12,10  (enfants 6,05 ) ;
  • Orly (1-2-3 ou 4) - La Défense (RER A), via Antony (RER B) : 14,55  (enfants 7,20 ) ;
  • Orly (1-2-3 ou 4) - Parc des expositions (Villepinte) (RER B), via Antony (RER B) : 16,10  (enfants 8,00 ) ;
  • Orly (1-2-3 ou 4) - Aéroport Charles-de-Gaulle (RER B), via Antony (RER B) : 21,80  (enfants 12,90 ).

L'emprunt du tronçon entre Orly 1,2, 3 et Orly 4 est gratuit (le contrôle des billets pour l'emprunt de la section payante de la ligne étant effectué uniquement au départ ou à l'arrivée à la gare terminus d'Antony, que desservent toutes les rames).

Ces tarifs assurent un chiffre d'affaires élevé, d'environ 10,5 millions d'euros pour l'exercice clos le [25].

Trafic

Le trafic connaît depuis les années 2000 une augmentation annuelle de 8 à 10 %. La fréquentation pour l'année 2013 s'élève à 3,1 millions de voyages[26].

Projets de développement

LGV Interconnexion Sud

Dans le cadre du projet de LGV Interconnexion Sud, mis à l'enquête en 2011, plusieurs emplacements ont été étudiés pour établir une éventuelle gare TGV à l'aéroport d'Orly. En fonction de sa position, différentes modifications d'Orlyval ont été envisagées pour en assurer la desserte[27] :

  • si la gare TGV était construite à Rungis - La Fraternelle, une station serait ajoutée sur le tracé actuel à proximité ;
  • si la gare TGV était construite à Pont de Rungis, une extension de 2,4 km serait envisagée à partir de la gare d'Orly 4 avec deux nouvelles stations ;
  • si la gare TGV était construite à Cœur d'Orly, l'extension serait de 0,7 km avec une nouvelle station ;
  • si la gare TGV était proche des aérogares, il n'y aurait pas de modification d'Orlyval.

Selon le site coeur-d-orly.com, consacré au projet d’urbanisme porté par Aéroports de Paris, Altarea Cogedim et Foncière des Régions, la troisième proposition aurait été retenue[28]. Le projet de LGV Interconnexion Sud a toutefois depuis été reporté sine die.

Avenir de la ligne

Dans le cadre du Grand Paris Express, la ligne 14 du métro de Paris est actuellement en cours d'extension jusqu'à l'aéroport d'Orly avec une ouverture prévue pour 2024. Ce prolongement permettra de gagner directement le centre de Paris en une trentaine de minutes.

La réutilisation de la plateforme d'Orlyval a été envisagée lors des études pour la ligne 18 du Grand Paris Express, qui doit relier Orly à Versailles à l'horizon 2030. Cette option a finalement été écartée en raison du faible gabarit des ouvrages et d'un temps de parcours plus long.

Les villes d'Antony et Wissous ainsi que la Communauté d'agglomération Paris-Saclay se sont prononcées en faveur du maintien de l'exploitation, avec une intégration de la ligne à la tarification classique[29]. Trois nouvelles stations seraient créées au Chemin d'Antony, à la gare de Wissous et à Rungis - La Fraternelle[30]. L'infrastructure, qui arrive en fin de vie, devra cependant faire l'objet d'une rénovation lourde.

Les autres options envisagées sont la reconversion de la plateforme en piste cyclable ou en couloir de bus, ou bien le démantèlement complet des infrastructures. Selon les études menées par la RATP et IDFM, le maintien de l'exploitation, avec création d'arrêts intermédiaires, est estimé à 80 M€ hors matériel roulant. La démolition définitive de l'infrastructure coûterait quant à elle 140 M€[29].

Galerie de photographies

Notes et références

  1. Journal L'Humanité - La RATP reprend Orlyval, article du 9 décembre 1992
  2. Journal L'Humanité - Orlyval coûtera 10 millions par an pendant 29 ans, article du 29 janvier 1993
  3. Journal L'Humanité - Orlyval, article du 12 janvier 1992
  4. Journal L'Humanité - Un métro nommé soupirs, article du 9 septembre 1992
  5. Journal L'Humanité - Nouveaux tarifs pour Orlyval, article du 27 février 1992
  6. Le Monde - Manquant de passagers Orlyval baisse de 55 % certains de ses tarifs, article du 7 juillet 1992
  7. « Faute d'un trafic suffisant Orlyval serait au bord de la faillite »,
  8. [PDF] Information sur la convention RATP Val Service, Comité d'entreprise de la RATP, 24 mars 1999, p. 4, sur ce-eco.ratp.fr (consulté le 22 janvier 2015).
  9. Le Monde - Abandonnant 1 milliard de francs Les banques s'accordent sur la reprise d'Orlyval par la RATP, article du 10 décembre 1992
  10. Le Monde - La région va participer au sauvetage d'Orlyval, article du 30 janvier 1993
  11. première session ordinaire de 1993 - 1995
  12. « Orlyval remonte la pente », La Vie du Rail magazine, n°2454 du 13 au 19 juillet 1994, p. 35
  13. « Les banques abandonnent orlyval », sur Les Échos, (consulté le ).
  14. « À propos de l'enquête publique de la reconstruction de la gare d'Antony », (consulté le ).
  15. Pour alléger le tableau, seules les correspondances avec les transports guidés (métros, trains, tramways,...) et les correspondances en étroite relation avec la ligne sont données. Les autres correspondances, notamment les lignes de bus, sont reprises dans les articles de chaque station.
  16. https://www.orlyval.com/fr/qui-sommes-nous
  17. « Orlyval face au vieillissement du matériel », Le Rail, janvier-février 2007.
  18. « Orlyval : rénovation du matériel », sur transportparis.canalblog.com, (consulté le ).
  19. Émilie Defay, « Transports en Ile-de-France : des vitres communicantes dans l'Orlyval », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  20. RATP Développement - Orlyval.
  21. 48° 44′ 33″ N, 2° 19′ 44″ E .
  22. « Orlyval – Qui sommes-nous ? », sur orlyval.com (consulté le ).
  23. « Réglement commercial de la ligne ORLYVAL », sur orlyval.com (consulté le ) : « Le forfait mensuel ORLYVAL est un titre réservé exclusivement aux personnes travaillant dans la zone aéroportuaire d’Orly, il comprend le parcours Orly-Antony. », § 6.9 Forfait mensuel.
  24. Site officiel d'Orlyval - Tarifs, consulté le .
  25. Info Greffe - ORLYVAL SERVICE, consulté le .
  26. [PDF] « Rapport annuel 2013 sur le parc, le trafic et les événements d'exploitation des métros et du RER (hors RFN) » [archive du ], sur strmtg.equipement.gouv.fr, (consulté le ), p. 5.
  27. Aurélie Lebelle, « La liaison TGV avec Orly inquiète » (version du 5 avril 2009 sur l'Internet Archive), sur leparisien.fr via web.archive.org,  ; ce document est une archive.
  28. « Cœur d'Orly – Une excellente desserte par les transports en commun », sur coeurdorly.com (consulté le ).
  29. [PDF] Position de la Communauté Paris‐Saclay sur l’avenir de l’Orlyval : maintien de l’infrastructure avec création d’un arrêt à Wissous
  30. « Reconversion de l'Orlyval » (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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