Noursoultan

Noursoultan ou Nour-Soultan[2] (/nuʁ.sul.tɑ̃/[3],[4],[5] ; en kazakh : Нұр-Сұлтан /ursulta/[6]) est la capitale du Kazakhstan depuis 1998. Forte de 814 435 habitants en 2014[7], c'est la deuxième ville du pays pour ce qui est de la population, derrière l'ancienne capitale, Almaty.

Pour les articles homonymes, voir Astana.

Noursoultan
Нұр-Сұлтан

Héraldique

Drapeau
Dans le sens horaire à partir du haut : Centre-ville de Noursoultan, Kazakhstan Central Concert Hall, Mosquée Khazret Sultan, Université de Noursoultan, Palais de la paix et de la réconciliation, Khan Shatyr
Administration
Pays Kazakhstan
Maire Bakhyt Soultanov
Code postal 010000 - 010015
Indicatif téléphonique (+7) 7172
Démographie
Population 860 368 hab.[1] (2015)
Densité 3 329 hab./km2
Géographie
Coordonnées 51° 10′ 00″ nord, 71° 26′ 00″ est
Superficie 25 841 ha = 258,41 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Kazakhstan
Noursoultan
Liens
Site web astana.gov.kz

    Connue également sous le nom d'Akmola (en kazakh : Ақмола) puis d'Akmolinsk (en russe : Акмолинск) ou Tselinograd (en russe : Целиноград), elle devient en 1998 la nouvelle capitale du Kazakhstan sous le nom d'Astana (en kazakh : Астана, « la capitale ») et prend son nom actuel en 2019, en l'honneur du président Noursoultan Nazarbaïev.

    Localisée au cœur de la steppe kazakhe, sur la rive droite de la rivière Ichim, Noursoultan se distingue par une architecture résolument avant-gardiste, œuvre de plusieurs architectes tels que Kishō Kurokawa (Japon) et Norman Foster (Royaume-Uni)[8], où se côtoient gratte-ciels, monuments modernistes (palais présidentiel dit Ak Orda, c'est-à-dire « Maison blanche », tour Bayterek, monument Otan Korgaushylar, mosquée nationale) et espaces verts.

    La ville a reçu le prix « Villes pour la Paix » de l'Unesco en 1999 et est membre de l'Assemblée internationale des capitales et grandes villes depuis 2000. En 2012, elle a été choisie pour organiser l'Exposition internationale de 2017 sur le thème « Énergie du futur ». À cette occasion, un système de vélos en libre-service est mis en place depuis [9].

    Nom

    La ville a eu plusieurs noms au gré de l'histoire.

    À l'origine, la ville s'appelle Akmola. Ce nom est russifié au XIXe siècle en Akmolinsk.

    Durant la campagne des terres vierges lancée en 1953 par Nikita Khrouchtchev, Akmolinsk devient le pôle urbain sur lequel s'appuie la mise en culture des steppes kazakhes. La ville est symboliquement renommée Tselinograd (Целиноград, « la ville des terres vierges  ») en 1961.

    À l'indépendance du Kazakhstan, en 1991, la ville retrouve son nom kazakh d'origine : Akmola, puis prend celui d'Astana (Астана, littéralement « la capitale ») en 1998, à la suite de son érection au rang de capitale du pays.

    Enfin, après vingt ans de travaux pharaoniques menés par le président Noursoultan Nazarbaïev, et à la suite de sa démission le , elle est renommée Noursoultan le jour même par le parlement kazakh[10],[11],[12] à la suite d'une proposition du président par intérim Kassym-Jomart Tokaïev.

    Histoire

    Russie impériale

    En 1894, une unité cosaque d'Omsk fonde une forteresse sur les bords de l'Ichim. Elle donne naissance par la suite à la petite ville d'Akmolinsk (russification d'Akmola, le nom kazakh du site). C'est le lieu de rassemblement des caravanes allant de Tachkent et Boukhara vers la Russie d'Europe. Au début du XXe siècle, la ville devient un nœud ferroviaire important, provoquant une croissance économique importante jusqu'à la guerre civile russe.

    Période soviétique

    De 1947 à 1955, plusieurs camps du Goulag sont ouverts aux environs d'Akmolinsk, notamment celui d'Aljir[13], à environ 20 km. Les condamnés, une fois libérés, ne sont pas toujours autorisés à rentrer dans leur région d'origine et s'ajoutent à la population locale.

    À la suite du lancement au Kazakhstan de la campagne des terres vierges (en russe : целина, tselina) par Nikita Khrouchtchev, Akmolinsk prend en 1961 le nom de Tselinograd (Целиноград, la Ville des terres vierges). Ce projet visait à transformer la région en grenier à céréales de l'Empire soviétique. La ville connaît alors une première période de fort développement et voit arriver en nombre de nouveaux habitants, originaires pour la plupart de Russie. Il ne s'agit, cette fois, plus de déportés mais de volontaires, militants communistes désireux de participer à la construction du pays ou citoyens venus tenter leur chance dans un pays neuf. De nombreux Allemands de la Volga, déportés sous Staline, sont également réinstallés dans la région. Au recensement de 1989, Tselinograd compte 277 365 habitants.

    Astana, capitale du Kazakhstan

    Après l'indépendance du Kazakhstan, en 1991, Tselinograd retrouve son ancien nom kazakh d'Akmola, puis est désignée en 1994 comme future capitale du pays. Le transfert de la capitale à plus de 1 000 km au nord s'explique par des raisons géographiques, géopolitiques et économiques. Décision du président Nazarbayev, elle n'a cependant pas fait l'unanimité.

    L'ancienne capitale, Almaty, est située dans une zone sismique, au pied des monts Tian et manque d'espace pour se développer. Elle est par ailleurs trop excentrée et très proche de la frontière avec le Kirghizistan ainsi que de la Chine et des républiques d'Asie centrale politiquement peu stables. Pourtant le climat de Noursoultan est très continental et loin d'être attractif : il y gèle six mois par an.

    Frontalier avec la Russie, le nord du Kazakhstan est la région la plus russifiée du pays. Les populations slaves y étaient nettement majoritaires avant la dislocation de l'Union soviétique, à tel point que des nationalistes russes allèrent jusqu'à réclamer son rattachement à la Russie, comme le leader d'extrême droite Vladimir Jirinovski ou l'écrivain Alexandre Soljenitsyne, dans son discours de retour d'exil prononcé devant la Douma, en 1994[14]. Le nouveau pouvoir kazakh a probablement voulu affirmer ainsi sa souveraineté sur cette partie du pays. L'arrivée d'une importante population de cadres kazakhs a aussi rééquilibré la population de la ville sur le plan ethnique. Enfin le choix de la ville de Tselinograd, la « ville des terres vierges » qui symbolisait le colonialisme russe et soviétique, n'est pas le fruit du hasard.

    La création d'une nouvelle capitale fut prétexte à une politique de grands travaux censée soutenir la croissance économique.

    La capitale est officiellement déplacée d'Almaty à Akmola en 1998 et la ville est renommée Astana, signifiant capitale en kazakh. La ville connaît alors un essor spectaculaire dû à l'arrivée des ministères, du Parlement, de grandes entreprises et d'un certain nombre d'ambassades étrangères. Elle s'est considérablement agrandie et enrichie d'un très grand nombre de bâtiments modernes. Elle connaît également de forts mouvements de population, avec le départ de la population d'origine allemande, autrefois nombreuse dans la région, ainsi que de nombreux Russes, jadis majoritaires, qui ont souvent opté pour le retour dans leur pays d'origine. Inversement, le déplacement de l'administration a entraîné l'arrivée de nouvelles populations, souvent originaires d'Almaty, l'ancienne capitale, ou du sud du pays.

    Riche en pétrole et en autres ressources minérales, le Kazakhstan a investi des sommes considérables pour édifier sa nouvelle capitale. Certains des plus grands architectes mondiaux ont été invités à exprimer leur talent sur la rive gauche de la rivière Esil, qui sépare la nouvelle ville administrative des quartiers plus anciens situés sur la rive droite et à l'architecture essentiellement soviétique.

    Le Kazakhstan a célébré mardi les 70 ans du « Chef de la Nation », le président Nazarbayev. Un jour férié qui célèbre aussi les 12 ans d'Astana et où le Khan Shatyr a été inauguré pour l'occasion. La place de la tour Baïterek a accueilli à l'été 2010 la plus grande « Open Air-Art-Exhibition » jamais tenue en Kazakhstan. Plus de 2,2 millions de visiteurs ont pu admirer l'exposition internationale des United Buddy Bears.

    Le , après la démission de l'ancien président de la République Noursoultan Nazarbayev, Kassym-Jomart Tokaïev, le nouveau président ainsi que le parlement, décident de changer le nom d'Astana en « Noursoultan » en hommage à l'ancien président. Cette décision controversée, symbole du culte de la personnalité, est suivie de l'apparition d'un mouvement de protestation visant également à demander des élections libres. Les manifestants ont été rapidement réprimés, avec des arrestations et des condamnations nombreuses[15]

    Le ministère de la Défense.

    Problèmes

    Le développement à marche forcée de la ville ainsi que le déplacement de la capitale ne vont pas sans entraîner un certain nombre de problèmes.

    Problèmes géographiques

    Économiquement, culturellement et pour ce qui est du nombre d'habitants, Almaty demeure la ville la plus importante du Kazakhstan. Noursoultan est encore difficile d'accès, surtout de l'étranger (elle possède cependant un aéroport : l'aéroport international d'Astana), et se trouve à plus de mille kilomètres d'Almaty, où se trouvent la majorité des entreprises nationales et étrangères.

    Malgré la construction d'un « village diplomatique » destiné à accueillir les ambassades, consulats et résidences des diplomates étrangers, la plupart des représentations diplomatiques (occidentales surtout) ne se sont toujours pas résolues à quitter Almaty.

    La ville est, en hiver, la capitale la plus froide du monde après Oulan Bator, en Mongolie[16]. Le climat y est beaucoup plus rude qu'Almaty situé 1 000 km plus au sud. La configuration de la ville fait que l'hiver les gens restent confinés chez eux et que la vie publique s'arrête[16].

    Problèmes sociaux

    L'arrivée massive et soutenue de nouveaux habitants (fonctionnaires et cadres d'entreprises privées originaires d'Almaty et mutés à Astana mais aussi citoyens d'origine modeste attirés par les opportunités d'emploi créées par le développement de la ville) a entraîné une hausse fulgurante des loyers et du prix de l'immobilier. Si de nombreux bâtiments de logement sont actuellement construits, ils sont dans l'immense majorité des cas de « grand standing » et ne sont accessibles qu'aux revenus les plus élevés.

    Les nouvelles constructions qui apparaissent dans la ville se sont faites souvent au prix de la destruction d'anciens logements et de l'expropriation de leurs habitants ; expropriations souvent faites contre des compensations insuffisantes.

    Population

    Recensements (*) ou estimations de la population[17]

    2016 : 872 655  

    2020 : 1 136 008  

    Évolution démographique
    1897 1910 1920 1926 1939 1959 1970
    9 68813 80010 00012 70032 100102 276179 514
    1979 1989 1999 2009 2012 2013 2014
    233 638277 365312 965613 006742 918778 083814 435

    Géographie

    Situation

    Noursoultan, vue de l'espace par le satellite Sentinel-2.

    Noursoultan est située dans le centre du Kazakhstan, sur la rivière Ichim, dans la région de steppe plate et semi-désertique qui couvre plus de la moitié du pays. La ville est située à 350 m au-dessus du niveau de la mer.

    Les quartiers anciens sont au nord de la rivière ; les nouveaux quartiers sont situés au sud.

    Structure urbaine

    La partie occidentale de la ville, entre la gare ferroviaire et le centre-ville, est celle qui a le moins subi de changements depuis l'indépendance du pays. Les constructions qui s'y trouvent datent dans l'ensemble de la période soviétique et plus particulièrement de l'époque de la Campagne des terres vierges. On trouvera, non loin de la gare, l'ancien Palais des Cheminots, transformé depuis en Théâtre consacré à l'art lyrique kazakh. Rue Aouezov, à proximité du centre, se dresse l'ancienne demeure de l'écrivain kazakh Seyfouline (Сейфулин), transformée en petit musée. Plus au nord, on pourra visiter le très grand bazar d'Astana ainsi que la mosquée située à ses abords.

    Autour de l'Ancienne Place, au centre de la ville, se dressent le parlement, le palais présidentiel, le ministère des Affaires étrangères ainsi que d'autres bâtiments administratifs et gouvernementaux. Malgré leur aspect récent, la plupart de ces bâtiments datent de l'ère soviétique et ont été rénovés et parfois agrandis. À gauche du palais présidentiel, se trouve le TSOUM (ЦУМ), un centre commercial. Sur la Nouvelle Place, derrière le palais présidentiel, se trouve le bâtiment moderne du ministère des Finances.

    On ne trouvera au centre de Noursoultan que très peu de maisons témoignant de la période antérieure à l'Union soviétique. Les rares constructions anciennes sont le théâtre Gorki (sur la Nouvelle Place), la demeure qui abrite actuellement l'ambassade d'Ukraine et enfin le magasin d'alimentation situé juste derrière cette même ambassade.

    L'Avenue de la République (Проспект Республики) est la principale artère de la ville. Elle est bordée de nombreux magasins, cafés, restaurants, discothèques et même de casinos. Au numéro 3, se trouve le musée d'Art moderne et en face du musée présidentiel, vaste construction surmontée d'un dôme bleu qui abrite des expositions consacrées à l'histoire et à l'art du pays ainsi qu'une importante bibliothèque. C'est aussi de cette avenue que l'on peut accéder à l'Église orthodoxe de Noursoultan, située dans une cour.

    Les bords de la rivière Ichim, sont l'un des lieux de promenade de prédilection des habitants. La rivière est bordée d'un côté par de hauts immeubles d'habitation de conception moderne et de l'autre par un parc où l'on trouvera restaurants et attractions.

    Les bords du canal Ak Boulak (Ак Булак), qui mène à l'Université d'Eurasie, offrent également l'occasion de voir de nouveaux monuments et constructions. On y trouvera l'église catholique, la nouvelle synagogue ainsi qu'une vaste place ornée d'une grande sculpture dédiée à la Patrie.

    L'extension de la ville se fait principalement par l'est. Au nord-est, au-delà des anciens "mikrorayons" (grands ensembles d'immeubles de logement) ont été bâtis nombre de nouveaux bâtiments d'habitation.

    Mais c'est la partie sud-est de la ville, celle qui s'étend du pont sur l'Ichim à l'aéroport situé à dix kilomètres de là, qui est de loin la plus impressionnante puisqu'elle constitue un immense chantier d'où émergent les vastes bâtiments destinés à accueillir tous les organes de l'État ainsi que les ambassades. En son centre est érigée une haute tour de métal surmontée d'une sphère. Ce monument, baptisé Bayterek (Байтереk), est appelé à symboliser la ville de Noursoultan.

    Khan Shatyr est un édifice de 102 mètres de haut – 150 avec le mât au sommet – dessiné par l'architecte britannique Norman Foster. Il rappelle les yourtes des nomades kazakhs, abrite un centre commercial mais aussi un mini-golf, une piscine à vagues au dernier étage et une zone tropicale avec une plage de sable importé des Maldives où les habitants pourront se réchauffer en hiver, lorsque les températures plongent jusqu'à −40 °C.

    Lieux et monuments

    • Le palais de la présidence a été baptisé Ak Orda, « la maison blanche ». Situé au cœur du quartier administratif de Noursoultan, il est flanqué de deux tours cuivrées et en forme de cône abritant des ministères.
    • Au centre du salon panoramique installé dans l'œuf de la tour Bayterek, l'empreinte de la paume du Président est gravée dans une plaque de métal. Les visiteurs y apposent leur propre main, les yeux vissés sur le palais présidentiel.

    Parmi les sites remarquables, on trouve :

    Noursoultan compte également plusieurs dizaines de gratte-ciel, construits depuis que la ville est devenue la capitale du pays.

    Vue panoramique sur le palais présidentiel Ak Orda (centre), la Salle de concerts centrale du Kazakhstan (gauche, bâtiment à droite de Tsesna Bank) et du Centre Nazarbayev (extrême gauche, bâtiment circulaire) sur les bords de l'Ichim.

    Climat

    L'hiver à Noursoultan (janvier 2006).

    Noursoultan est la deuxième capitale la plus froide du monde, après Oulan-Bator en Mongolie : elle connaît couramment des températures de l'ordre de −35 °C à −40 °C au début de l'hiver. Il gèle régulièrement six mois par an. Globalement, Noursoultan possède un climat froid semi-aride, avec des hivers très froids et des étés chauds. Elle est battue par les vents au milieu de la steppe dénuée d'arbres d'Asie centrale.

    Relevé météorologique de Noursoultan
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −21 −21 −15 −3 5 11 13 11 5 −1 −11 −18 −3
    Température maximale moyenne (°C) −12 −11 −4 9 19 25 27 24 18 8 −2 −9 7
    Précipitations (mm) 22 14 19 21 31 40 50 37 26 27 20 22 327

    Politique

    Chefs de l'exécutif
    IdentitéPériodeDurée
    DébutFin
    Altai Kólginov (en)
    (né en )
    Imangali Tasmagambetov
    (né en )
    6 ans, 6 mois et 18 jours
    Adilbek Dzhaksybekov (en)
    (né en )
    1 an, 7 mois et 30 jours
    Asset Issekeshev (en)
    (né en )
    2 ans, 2 mois et 21 jours
    Bakhyt Sultanov (en)
    (né en )
    En cours3 ans et 9 jours

    Économie

    Un plan 2000-2005, qui a instauré une Zone économique exclusive (ZEE), veut faire de Noursoultan la capitale économique du Kazakhstan. L'objectif affiché est de créer un contrepoids à Almaty et ses 1,5 million d'habitants.

    Archevêché

    • Archidiocèse de Sainte-Marie d'Astana
    • Cathédrale Notre-Dame du Perpétuel-Secours d'Astana

    Jumelages

    La ville de Noursoultan est jumelée avec[19] :

    Sports

    L'équipe de hockey sur glace du Barys Astana est une équipe évoluant dans la Ligue continentale de hockey.

    Astana fut l'équipe cycliste de deux vainqueurs du Tour de France : Alberto Contador (2007 et 2009) et Vincenzo Nibali (2014). Cette équipe a été formée pour promouvoir la nouvelle capitale du Kazakhstan et s'affiche comme l'une des équipes cyclistes les plus puissantes de l'UCI ProTour. Elle est aussi la ville de naissance des frères Maxim et Valentin Iglinskiy, cyclistes membres de cette même équipe d’Astana.

    Références

    1. « The population of Astana is 835,153 people », BNews.kz, (consulté le )
    2. « Trésor des noms de lieux étrangers », sur cnig.gouv.fr (consulté le ).
    3. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
    4. « Kazakhstan : 30 ans après, Nazarbayev lâche le pouvoir » (consulté le )
    5. « "C'est une énigme" : le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev démissionne » (consulté le )
    6. Prononciation en kazakh retranscrite phonémiquement selon la norme API.
    7. Estimation officielle de la population au 1er janvier 2014, sur pop-stat.mashke.org.
    8. Astana, de Kurokawa à Foster, Le courrier de l'architecte, 14 septembre 2011
    9. Ouvert le 7 juillet 2014. 200 bicyclettes et 40 stations dans une première phase. 1 000 vélos prévus d'ici 2017..
    10. « Kazakhstan. La capitale renommée « Noursoultan », du prénom de l’ex-président », sur letelegramme.fr, (consulté le )
    11. « Kazakhstan: la capitale Astana désormais officiellement renommée Noursoultan », sur RTBF Info, (consulté le )
    12. L'essentiel, « Astana va bien être renommée Noursoultan », sur L'essentiel (consulté le )
    13. En russe : А. Л. Ж. И. Р., acronyme de Акмолинский лагерь жён изменников Родины (« camp d'Akmolinsk des épouses de traîtres de la patrie »).
    14. Marie Jégo, « Astana l'extravagante », supplément Géo & Politique, p. 6 Le Monde, 17-18 mars 2013.
    15. Marlène Laruelle, « En Asie centrale, l’illusion d’un nouveau monde », sur Le Monde diplomatique,
    16. "Astana, glaciale capitale mal aimée de ses habitants", Ouest France, 5 avril 2018.
    17. « Recensements et estimations de la population depuis 1897 », sur pop-stat.mashke.org« Kazakhstan : specific information of the historical demographic development of som important towns », sur populstat.info« Population du Kazakhstan au 1er mars 2013 », sur stat.kz.
    18. « Organisation météorologique mondiale – Astana », Nations Unies (consulté le )
    19. Capital’s Passport

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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