Nonius

Le Nonius (hongrois : Nóniusz) est une race de chevaux carrossiers et de selle originaire de Hongrie, née au haras de Mezőhegyes. Il tient son nom de son père fondateur, Nonius Senior, un étalon normand. Originellement élevée pour servir d'animal de trait léger et de cheval utilitaire pour l'armée austro-hongroise, la race reçoit de nombreux prix d'excellence lors d'expositions, au XIXe siècle. La motorisation la cantonne à l'usage agricole au XXe siècle et ses effectifs s'effondrent durant l'époque communiste. Désormais, le Nonius est surtout élevé en préservation, il est reconnu depuis 1999 par l'UNESCO comme un patrimoine à préserver.

Pour le grammairien romain, voir Nonius Marcellus.

Nonius

Nonius noir au haras de Mezőhegyes en Hongrie.
Région d’origine
Région Hongrie, sous l'Empire d'Autriche
Région d'élevage Hongrie essentiellement
Caractéristiques
Morphologie Cheval carrossier
Taille 1,45 m à 1,65 m
Robe Généralement noir ou bai-brun
Tête Profil convexe
Pieds Forts et solides
Caractère Amical
Autre
Utilisation Attelage et saut d'obstacles.

Deux types existent : un grand et un petit. La robe est noire, bai-brun ou baie, la taille varie de 1,45 m à 1,65 m. Le modèle du Nonius est très homogène, avec une encolure épaisse et une tête légèrement busquée, une croupe puissante et les membres solides d'un cheval d'attelage. Rompu pendant des décennies aux travaux fermiers, il dispose d'un caractère facile, qui a permis sa reconversion en cheval de loisir. Il est utilisé pour l'agriculture, et surtout l'attelage qui forme sa discipline de prédilection. La majorité des 500 chevaux Nonius répertoriés en 2012 se trouve désormais à Hortobágy, les autres sont présents à Mezőhegyes et disséminés en Europe de l'Est.

Dénomination

D'après l'écrivain Giacomo Giammatteo, le nom de cette race de chevaux s'écrit avec une initiale en majuscule, car elle est nommée d'après un nom propre, issu de l'étalon fondateur Nonius[1].

Histoire

Attelage hongrois de quatre chevaux noirs à Budapest, 1872 (la race des animaux n'est pas précisée)

L'élevage de chevaux a toujours représenté une facette importante de la culture hongroise[2]. Le haras d'État de la famille royale de Hongrie et de la cour impériale, Mezőhegyes, est créé en 1784 dans le but de répondre à la demande en chevaux différents, remplissant des rôles variés. Le respect de ces exigences conduit à développer à Mezőhegyes plusieurs races et plusieurs souches : le Gidrán, le Furioso et le Nonius, qui est le plus lourd[3],[4].

Nonius senior

La race Nonius est en partie d'origine française[5]. Elle tient son nom de son étalon fondateur, dont les descendants mâles portent depuis le nom : Nonius Senior. Nonius naît en 1810 dans le Calvados[2],[6] ou au dépôt d'étalons national de Bec-Hellouin dans l'Eure[7], en Normandie. Fils du Pur-sang (ou demi-sang[8]) Orion et d'une robuste jument normande, Nonius est vraisemblablement à 3/8 Pur Sang, et appartient à la race Anglo-normande[2],[9],[10]. Les informations à propos de sa ville natale et de sa lignée diffèrent selon les sources, il est toutefois certain qu'il possédait un pourcentage élevé de sang Pur Sang[11]. Il est peut-être imprégné de sang trotteur Norfolk[8],[12], ce type de croisement se pratiquait en Normandie à l'époque.

Il est capturé au haras français de Rosières-aux-Salines, soit en 1812 par un général hongrois séduit par sa couleur de robe[5], soit par les Autrichiens en 1814[13] ou 1815[14], quoi qu'il en soit pendant les guerres napoléoniennes. Il est amené à Mezőhegyes en 1816[13],[15].

Bien que poulain, il soit considéré « affreux »[2] et que de l'avis général, aucune source ne le décrive comme bien conformé[13], parvenu à maturité, cet étalon bai clair atteint la taille respectable de 1,71 m (16 mains 3/4)[10],[14], ou 1,61 m selon Elwyn Hartley Edwards[8]. S'il possède tous les traits de conformation qui lui sont attribués - la liste comprend des lacunes importantes[6], c'est un étalon au dos long, aux mauvais aplombs et aux épaules droites[5], néanmoins doté d'un cadre puissant et d'une forte ossature. Les spécialistes hongrois de l'époque n'imaginent pas que cet étalon puisse devenir un raceur[14]. Les qualités de ses descendants suggèrent qu'il possède une grosse tête très simple, « sans beauté particulière dans [son] allure »[16]. Nonius a d'abord peu servi comme étalon à Mezőhegyes, jusqu'à ce que sa progéniture commence à montrer une endurance et une puissance rares[6], qui associée à une conformation massive et un tempérament assidu au travail, fait le bonheur des exploitants agricoles hongrois[14].

Nonius est alors croisé à des juments de différentes origines : espagnoles, lipizzanes, arabes, turkmènes et diverses autres races hongroises[13], dont l'influence se ressent encore sur la race de nos jours[12]. À l'époque, ses compagnons de haras à Mezőhegyes sont des chevaux à la mode hispano-napolitaine, descendants de la souche arabo-hongroise[6],[16]. Nonius Senior fait 22[10],[15] (ou 16 selon une source non-universitaire[13]) années de service comme étalon reproducteur et meurt vraisemblablement en 1838 (1832 selon Elwyn Hartley Edwards[17], ce qui est contradictoire avec les sources d'époque). Il a servi une jumenterie très variée, mais tous ses poulains lui ressemblent, présentant une robe baie ou noire avec peu de marques blanches[14]. Quinze des fils de Nonius sont devenus des étalons reproducteurs, 122 juments des poulinières[6].

Fixation de la race

Un « cheval hongrois », probablement un Nonius, sur une lithographie de 1898.

La race Nonius devient un cheval de selle lourd et d'attelage d'artillerie prisé par l'armée hongroise. Présente en grand nombre dans les départements de Békés et de Csongrád, elle se répand dans d'autres régions[14]. Le maréchal de Marmont, duc de Raguse, visite en 1834 les haras militaires de Mezőhegyes, en disant que « [des races de chevaux du haras], la plus nombreuse et la plus belle est la race normande provenant d'un étalon nommé Honius (sic !), encore vivant ». Il parle d'un grand nombre de chevaux d'espèce et de taille engendrés avec des juments d'origine arabe, « admirablement beaux »[18]. Les avis d'autres Français de l'époque évoquent la « laideur » de la race, dotée d'une peau épaisse, d'une grosse tête busquée, de petits yeux et de genoux de veaux[19].

« Moins anglais que normand, car alors le croisement n'était pas très-avancé en Normandie, Nonius a produit semblable à lui-même, et ses descendants actuels, après cinquante ans passés, répètent avec une exactitude étrange notre cheval normand de 1815. [...] Le Nonius de l'époque actuelle est un grand et fort carrossier aux petites allures, aux mouvements hauts et courts, aux actions quelque peu accentuées, mais mesurées. »

 J. A. Barral, Journal d'agriculture pratique[7]

Le prince de Lobkowitz, qui en 1854 prend la tête de Mezőhegyes, souligne l'importance à fixer le type des chevaux - les caractéristiques d'une race d'animaux génétiquement homogènes[2]. Cet objectif est atteint par la pratique de croisements consanguins, Nonius ayant sailli ses propres filles. C'est toutefois en partie un échec : sur les 33 poulains nés de croisements père-fille, 11 sont morts et seulement deux poulinières ont été considérées de qualité, pour un seul étalon[2]. Cependant, avec plus d'expériences, la race Nonius a émergé comme bon cheval militaire d'attelage, lourd mais élégant. En 1865, des étalons pur-sang arabes et Pur-sang sont introduits parmi les descendantes femelles de Nonius Senior, dans l'espoir de corriger un manque d'équilibre et d'élégance chez la race[2],[6],[12],[17].

Développement jusqu'au début du XXe siècle

Le Nonius se fait connaître comme cheval d'attelage, la plupart des concours sur 100 km ont été remportés par des équipages de Nonius venus de Mezőhegyes[14]. En 1861 et dans les années qui suivent, en raison d'apports de sang Pur-sang[13], deux types de la race commencent à se distinguer : le plus grand utilisé dans l'agriculture, et le type léger, plus petit, pour l'attelage et l'équitation[11]. Les juments sont distinguées en fonction de leur masse corporelle[12]. Cependant, il est précisé dans l'Encyclopédie des races chevalines de Jasper Nissen ((de) Enzyklopädie der Pferderassen) que la classification de cette race chevaline en deux catégories, comme il est communément prétendu, résulte d'un malentendu et que seul le cheptel des juments de Mezőhegyes a été catégorisé par critères de taille, et non pas en fonction de l'origine[9].

Lors de l'exposition universelle de 1867, le haras de Mezőhegyes est représenté par Nonius III, un cheval « brun châtain foncé » décrit comme « le cheval le plus remarquable de toute la collection » par sa ressemblance avec l'ancienne race normande. Les Français témoignent de leur satisfaction que cette race se soit conservée pendant cinquante ans dans l'état où elle existait en Normandie en 1815. La notice publiée par le ministère de la guerre d’Autriche indique que dans le haras de Mezőhegyes, parmi les 800 juments poulinières, il y en a 200 qui descendent de l’étalon normand Nonius, introduit en 1815. Du reste, les soins apportés à la race s'expliquent par son aptitude à fournir d'excellents chevaux de guerre d'une force et d'une solidité rares, des chevaux d'attelage, ou bien par le croisement avec des chevaux Pur Sang d'une taille élevée, des chevaux de luxe[20].

En 1870, les chevaux Nonius comptent 2 800 étalons reproducteurs et 3 200 juments poulinières enregistrés, tous descendants de Nonius Senior[17]. Dès 1885, la race est utilisée non seulement dans Mezőhegyes, mais aussi à Hortobágy[11]. Les rôles et la popularité du Nonius sont affectés par des périodes de bouleversements sociaux et politiques. En 1900, la qualité et l'apparence utilitaire modeste de ces chevaux valent à la race le titre de « cheval Idéal » décerné à l'Exposition Universelle de Paris[5].

De la Seconde Guerre mondiale à nos jours

Statues de poulains joueurs à Hortobágy.

Les avancées en technologies militaires pendant la Seconde Guerre mondiale ôtent à ces chevaux l'une de leurs fonctions, ils sont ensuite réemployés à l'agriculture[16]. Les dommages infligés aux biens et aux fournitures font souffrir l'élevage de Mezőhegyes. En 1947, il ne reste que 52 juments dans la région et la race Nonius frôle l'extinction[12]. Depuis 1948, le Nonius se développe dans le haras national de Debrecen situé à Hortobágy de manière tout aussi importante qu'à Mezőhegyes[9] : une variété locale plus lourde émerge[12]. En 1954, le nombre de ces juments remonte à 120 dans Mezőhegyes[12], qui est progressivement reconstruit dans les années 1960[21]. En 1961, les deux variétés locales de la race sont fusionnées[12].

La collectivisation et la mécanisation de l'agriculture hongroise sous la période communiste conduisent à une réduction drastique des effectifs (renforcée par le fait que l'équitation est alors considérée comme un sport « bourgeois »)[2]. Les tentatives visant à produire des chevaux de sport avec les Nonius restants échouent en grande partie, mais au cours des années 1970 l'attelage de compétition émerge comme sport populaire pour lequel les Nonius peuvent exceller[16]. En 1989, l'association nationale des éleveurs de Nonius est formée dans le but de préserver les chevaux en race pure[6], le Nonius est alors la plus nombreuse et la mieux établie des races hongroises[22]. En 1999, l'UNESCO la déclare « héritage mondial à protéger »[23].

Description

La pratique des croisements consanguins lors de l'établissement de la race et l'utilisation continue d'un stud-book fermé ont contribué à faire du Nonius un cheval au type très reconnaissable, fiable dans sa transmission. C'est un cheval d'attelage mi-lourd robuste et vigoureux, aux allures rapides et très dégagées[17],[12]. Il est adapté au Nagyaföld, les grandes plaines hongroises[12].

Morphologie

Deux types existent : un grand de robe généralement noire, dérivé de l'anglo-normand, qui est aussi la race de Nonius Senior, et un petit généralement bai-brun, dans lequel il y a eu un apport de sang[24],[25]. Il mesure entre 1,45 m et 1,55 m pour le petit Nonius (le Hortobágy), et entre 1,55 m et 1,65 m pour le grand Nonius (le Mezőhegyes)[5]. La race présente les caractères communs aux chevaux de trait léger. Les Nonius de pure race doivent mesurer entre 1,55 m et 1,65 m. L'un des chevaux les plus lourds destinés à l'attelage, Idéal Nonius, a un tour de sangle de 180 à 210 cm et une circonférence du canon de 22 à 24 cm[6],[16]. Il est toujours doté d'une forte ossature, c'est un cheval bien charpenté[5], compact et plus lourd que le Furioso[13].

Tête

La race est connue pour sa tête sans raffinement[13], longue[26] et réputée lourde, elle est devenue plus légère et d'une longueur moyenne, bien proportionnée en rapport avec la masse corporelle[12],[17]. Son profil convexe est appelé « tête de bélier » ou « nez romain »[6],[16], mais la tête peut aussi être rectiligne[17]. Le Nonius possède une tête allongée au front relativement large, aux naseaux larges et aux longues oreilles[17].

Avant-main, corps, arrière-main et membres

Il possède une encolure forte et inélégante, mais bien attachée : celle des étalons est particulièrement arquée, celle des juments droite et de longueur moyenne. Le garrot est selon certaines sources sec et bien sorti, selon d'autres bas et large. L'épaule est moyenne à longue, solide, d'une inclinaison correcte ; la poitrine est large ; le passage de sangle bon ; le dos long et parfois un peu plongeant, mais large et musclé comme il sied à un cheval carrossier. L'arrière-main est toujours très puissante, ce qui lui permet de bonnes performances aussi bien attelé que sous la selle. La croupe, parfois avalée, manque d'amplitude, bien qu'elle soit décrite comme large et musclée, avec une forme de « melon ». Les sabots, bien conformés, et les articulations sont grands et larges ; les jambes sont sèches et dotées de canons épais, les membres et les boulets sont courts[5],[8],[12],[16],[17].

Robe

Le Nonius est généralement noir ou bai-brun (administrativement : noir pangaré), plus rarement bai, avec ou sans marques blanches[6]. Les individus bais sont plus fréquents chez les chevaux Nonius provenant de Hortobágy[16].

Tempérament et entretien

Le Nonius est un cheval robuste, énergique et endurant, connu pour son tempérament sympathique, aimable et docile, et sa grande volonté et capacité au travail, à la fois entre les harnais et sous la selle[6],[12],[13]. En outre, il est généralement facile à entretenir et doté d'une grande endurance[27], bien qu'il demande une ration de nourriture supplémentaire[12]. Il peut soutenir le galop durant dix minutes sans montrer de signes de fatigue ni de transpiration[5]. Sa croissance est lente, il n'atteint pas sa maturité avant l'âge de six ans. C'est en contrepartie un cheval qui vit très vieux[8].

Sélection et génétique

La sélection de la race s'oriente vers la recherche de cadre, d'un physique harmonieux, et de bonnes actions. Les candidats à la réserve d'élevage sont soumis à un test de performances à l'attelage[12]. La recherche a démontré que le Nonius est génétiquement plus éloigné du Pur-sang que le cheval Gidran, ce qui est cohérent avec l'histoire de la race[28].

Utilisations

Les Nonius sont toujours utilisés pour les travaux agricoles et le trait léger et moyen[12]. Les plus grands sont populaires en attelage, les plus petits sous la selle. Le Nonius excelle en attelage sportif. La popularité de l'attelage sportif en Hongrie a fortement augmenté au cours des années 1970 et 1980[2]. Les championnats du monde d'attelage combiné ont lieu tous les 2 ans, et l'événement le plus célèbre met en vedette des équipages de quatre chevaux. Sur les 6 champions révélés entre 1974 et 1984, tous sont hongrois sauf un[29]. Le Nonius est trop lent et lourd pour d'autres sports équestres comme le dressage et le saut d'obstacles[29], n'étant pas taillé pour la vitesse[17].

En croisement avec des juments Pur-sang, il donne d'excellents chevaux de sport[12]. Il est également très apprécié des Csikos, cavaliers connus par leur pratique de la poste hongroise, qui servait historiquement à mener un groupe de chevaux sans utiliser de selle ni d'attelage[5].

Diffusion de l'élevage

L'étude de l'université d'Uppsala considère le Nonius comme une race Européenne transfrontière ne risquant pas l'extinction[30]. La population de chevaux Nonius est estimée à environ 450 juments et 80 étalons en 2008[16], puis à 500 juments de pure race en 2012[31]. Le but est d'augmenter la population de chevaux, et sa qualité[12].

Mezőhegyes n'est plus le principal centre d'élevage, quelques groupes d'animaux existent en Roumanie, Bulgarie, à Topoľčianky en Slovaquie et en Voïvodine en Serbie[6],[8],[16]. Le plus grand centre d'élevage actuel est le haras Máta (ou haras d'Epona), dans le parc d'Hortobágy, qui détient 300 chevaux Nonius en semi-liberté[5],[8]. Ce n'est plus un haras national depuis les années 1990, il s'est mué en complexe hôtelier et de loisir, tenant ses 400 chevaux (dont une majorité de Nonius) à la disposition d'une clientèle assez fortunée[32].

Notes et références

  1. (en) Giacomo Giammatteo, How to Capitalize Anything, Inferno Publishing Company, , 366 p. (ISBN 0985030291 et 9780985030292), « 24 . Horse breeds ».
  2. (en) Egon Kamarasy, « A History of Hungarian Horses », Hungarian Horse Association of America (consulté le )
  3. (en) « Home » (version du 1 août 2008 sur l'Internet Archive), State Stud of Mezohegyes
  4. Borden 1912, p. 60
  5. « Races: Le Nonius », Cheval Magazine, (consulté le )
  6. (en) « Horse Breeding », State Stud of Mezohegyes (consulté le )
  7. J. A. Barral, Journal d'agriculture pratique, Volume 2, Librairie agricole de la maison rustique, 1867, p. 239
  8. Edwards 2006, p. 124
  9. Nissen 2003
  10. Borden 1912, p. 73
  11. Dossenbach, Dossenbach et Köhler 2000
  12. Hendricks et Dent 2007, p. 313
  13. Draper 2006, p. 75
  14. Ornyik 2006, p. 60-61
  15. Hendricks et Dent 2007, p. 312
  16. (en) « About us », Hortobágyi Nonprofit Kft. (consulté le )
  17. Edwards 2006, p. 125
  18. Journal des haras, chasses, et courses de chevaux, des progrès des sciences zooïatriques et de médecine comparée, Volume 8, Parent, 1838, p. 98-99 [lire en ligne]
  19. Achille de Montendre (Comte), Des institutions hippiques et de l'élève du cheval dans les principaux États de l'Europe : ouvrage composé d'après des documents officiels, des écrits publiés en Allemagne, en Angleterre et en France et des observations faites sur les lieux à différentes époques, vol. 2, Bureau du Journal des haras, (lire en ligne), p. 294
  20. Chevalier, Rapports du jury international de l'Exposition universelle de 1867, imp. Paul Dupont, 1868, p. 227 [lire en ligne]
  21. (en) « History », State Stud of Mezohegyes (consulté le )
  22. (en)Jane Kidd, The horse: the complete guide to horse breeds and breeding, Tiger Books International, 1996, (ISBN 1855010704 et 9781855010703), 122
  23. « Les cavaliers du mythe : le cheval Nonius », France 5,
  24. Nathalie Calvo Platero, « Nonius Senior » dans Cheval Magazine, no 425, avril 2007
  25. Borden 1912, p. 78
  26. Bongianni 1988, p. 42.
  27. (de) « Nonius », École de médecine vétérinaire de Hanovre, (consulté le )
  28. (en) S. Mihók, B. Bán, Cs. Józsa et Imre Bodó, « Estimation of genetic distance between traditional horse breeds in Hungary », dans Conservation genetics of endangered horse breeds, Wageningen Academic Pub, , 187 p. (ISBN 9076998795 et 978-90-76998-79-4, ISSN 0071-2477, DOI https://dx.doi.org/10.3920/978-90-8686-546-8, lire en ligne), chap. 116 de EAAP publication, p. 111-121.
  29. (en) « World Championships Four In Hand Driving », Fédération Équestre Internationale (consulté le )
  30. (en) Rupak Khadka, « Global Horse Population with respect to Breeds and Risk Status », Uppsala, Faculty of Veterinary Medicine and Animal Science - Department of Animal Breeding and Genetics, , p. 62 ; 68.
  31. (en) « Nonius Horse », sur Hortobágy Nonprofit KFT (consulté le )
  32. Jean-Paul Labourdette et Hélène Bienvenu, Hongrie 2009-2010, Le petit futé, 2009, (ISBN 2746923262 et 9782746923263), p. 331

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Ouvrage spécialisé

  • (hu) I. Ocsag, The nonius, Budapest, Mezogazdasagi Kiado, , 169 p. (ISBN 963-231-651-7)

Articles de presse

  • (hu) Sándor Ornyik, « Magyar lófajtaink hasznosítása III [Utilisation de nos races hongroises de chevaux, partie III] », Lovas nemzet, , p. 60-61 (lire en ligne)

Ouvrages généralistes

  • [Bongianni 1988] (en) Maurizio Bongianni (trad. de l'italien par Ardèle Dejey), « Nonius », dans Simon & Schuster's guide to horses & ponies of the world, New-York, Simon & Schuster, Inc., , 255 p. (ISBN 0-671-66068-3 et 9780671660680, OCLC 16755485, lire en ligne), p. 42. 
  • [Borden 1912] (en) Spencer Borden, What horse for the cavalry?, J.H. Franklin Co., , 106 p.
  • [Draper 2006] Judith Draper, Le grand guide du cheval : Les races, les aptitudes, les soins, Éditions de Borée, , 256 p. (ISBN 978-2-84494-420-7, lire en ligne), p. 75. 
  • [Dossenbach, Dossenbach et Köhler 2000] (de) Monique Dossenbach, Hans D. Dossenbach et Hans Joachim Köhler, Gestüte, Augsburg, (ISBN 3-8289-1586-8)
  • [Edwards 2006] Elwyn Hartley Edwards, Les chevaux, De Borée, , 272 p. (ISBN 978-2-84494-449-8). 
  • [Hendricks et Dent 2007] (en) Bonnie Lou Hendricks et Anthony A. Dent, International Encyclopedia of Horse Breeds, University of Oklahoma Press, , 486 p. (ISBN 978-0-8061-3884-8 et 0-8061-3884-X, lire en ligne), p. 312-313. 
  • [Nissen 2003] (de) Jasper Nissen, Enzyklopädie der Pferderassen, Stuttgart, Franckh-Kosmos Verlags GmbH & Co, , 408 p. (ISBN 3-440-09723-4)
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