Naïma Ababsa
Naïma Ababsa (en arabe : نعيمة عبابسة), née en 1962 ou 1963 à Alger en Algérie[1] et morte le à Alger, est une chanteuse et interprète algérienne connu par ses chansons algéroises dédiées aux femmes.
Biographie
Famille
Son père est le chanteur Abdelhamid, et sa sœur Fella Ababsa, chanteuse également[2].
Style musical
Naïma Ababsa interprète un répertoire assez varié, chaoui, algérois[3], hawzi[4] et elle interprète plusieurs styles du Nord de l'Afrique[5].
Hommages
Elle rend un hommage à Matoub Lounes à Paris lors d'un concert animé par plusieurs artistes en chantant le répertoire chaoui à la scène de Bercy en 2000[6].
Elle participe à l'hommage de la chanteuse Seloua à Alger au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi en 2008[7].
Festivals
En 2018, elle est invitée au Festival international de musique de Timgad[8].
Elle participe à la 8e édition du Festival Orientalys à Montréal en 2018[5] en adaptant un nouveau style moderne proche de la musique techno[4].
Albums
Notes et références
- Justin Coulibaly, « La Diva algérienne Naïma Ababsa tire sa révérence », sur Le Nouvel Afrik.com, (consulté le )
- « Ils ont tué Dhikra physiquement et ont essayé de me tuer artistiquement », El Khaber (Algérie), (lire en ligne, consulté le ).
- Kafia Aït Allouache, « Concert de variétés avec Naima Ababsa et Samir el Assimi : Ambiance conviviale au Théâtre de verdure », El Moudjahid, (lire en ligne, consulté le ).
- Orientaly, « Naïma Ababsa », sur Festivalorientalys, (consulté le ).
- Yahia Arkat, « Naïma Ababsa au festival Orientalys de Montréal », Liberté (Algérie), (lire en ligne, consulté le ).
- « Un nouveau concert pour l'Algérie », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- « Vibrant hommage à la chanteuse Seloua au TNA », Le Midi Libre, (lire en ligne, consulté le ).
- « Festival international de Timgad : une panoplie d'artistes enflamme la 1ère soirée », Radio Algérie, (lire en ligne, consulté le ).
- Hocine T, « Du sang neuf pour booster la scène artistique », Le Soir d’Algérie, (lire en ligne, consulté le ).
- M Isikioune, « Mon père a laissé un riche patrimoine musical », La Nouvelle République (Algérie), (lire en ligne, consulté le ).
Liens externes
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