Moulès-et-Baucels

Moulès-et-Baucels est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Moulès-et-Baucels

Mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes gangeoises et suménoises
Maire
Mandat
Daniel Célérier
2020-2026
Code postal 34190
Code commune 34174
Démographie
Gentilé Moucelois/Baucelois
Population
municipale
872 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 55″ nord, 3° 44′ 00″ est
Altitude 122 m
Min. 156 m
Max. 727 m
Superficie 22,78 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Ganges
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Moulès-et-Baucels
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Moulès-et-Baucels
Géolocalisation sur la carte : France
Moulès-et-Baucels
Géolocalisation sur la carte : France
Moulès-et-Baucels
Liens
Site web http://moulesetbaucels.online.fr/

    Géographie

    Carte

    Moulès-et-Baucels se situe à 45 km au nord de Montpellier, 60 km au nord-ouest de Nîmes. Elle se trouve dans la haute vallée de l'Hérault. Il s'agit de la commune la plus septentrionale du département de l' Hérault. La commune s'étend entre le massif du Thorac et les garrigues.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 247 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1985 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records MOULES-ET-BAUCELS (34) - alt : 252m, lat : 43°56'48"N, lon : 03°45'06"E
    Statistiques établies sur la période 1985-2010 - Records établis sur la période du 01-02-1985 au 02-06-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,6 3,9 6,6 10,1 13,3 16 15,8 12,4 9,8 4,8 2,1 8,2
    Température moyenne (°C) 6,1 6,9 9,9 12,4 16,6 20,5 23,6 23,4 19,1 14,7 9,5 6,6 14,1
    Température maximale moyenne (°C) 10,9 12,3 15,9 18,3 23,1 27,7 31,3 31 25,8 19,5 14,3 11,2 20,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −13,5
    17.01.1987
    −12,5
    11.02.1986
    −9,1
    01.03.05
    −3,1
    05.04.1996
    0,5
    15.05.1995
    3,5
    06.06.1989
    8,6
    17.07.00
    5,5
    31.08.1986
    3
    29.09.1993
    −2,9
    31.10.1997
    −9
    27.11.1985
    −9,4
    30.12.1996
    −13,5
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,6
    20.01.07
    25,7
    24.02.20
    29
    21.03.1990
    30,4
    29.04.05
    36,5
    30.05.01
    44,3
    28.06.19
    40,3
    22.07.19
    42,6
    12.08.03
    36,6
    04.09.06
    32,9
    02.10.1997
    24,7
    04.11.10
    21
    11.12.1994
    44,3
    2019
    Ensoleillement (h) 142,9 168,1 220,9 227 263,9 312,4 339,7 298 241,5 168,6 148,8 136,5 2 668,2
    Précipitations (mm) 104,8 69,5 52,5 97,2 92,5 56,2 30,7 48,7 142,7 185 119,3 114,7 1 113,8
    Source : « Fiche 34174002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/06/2021 dans l'état de la base

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[7] :

    • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[8]

    et un au titre de la directive oiseaux[7] :

    • les « gorges de Rieutord, Fage et Cagnasse », d'une superficie de 12 308 ha, comportent des milieux escarpés, des falaises, et sont un biotope de prédilection pour l'avifaune rupestre parmi laquelle on relève des espèces à très forte valeur patrimoniale : l'Aigle de Bonelli, le Grand Duc d'Europe, le Circaète Jean-le-Blanc[9].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[10] : les « gorges supérieures de l'Hérault et plateau du Taurac » (952 ha), couvrant 5 communes du département[11] et le « Ranc de Banes » (600 ha), couvrant 3 communes dont une dans le Gard et deux dans l'Hérault[12] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[10] :

    • la « montagne de la Fage et gorges du Rieutord » (5 561 ha), couvrant 7 communes dont cinq dans le Gard et deux dans l'Hérault[13] ;
    • le « plateau du Taurac » (2 196 ha), couvrant 8 communes dont une dans le Gard et sept dans l'Hérault[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Moulès-et-Baucels est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ganges, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[18] et 8 042 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (72,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), forêts (7,2 %), terres arables (5,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %), zones urbanisées (3 %), cultures permanentes (0,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Moulès, transcrit de Molesis en 1293, dérive de l'adjectif occitan mòl, "mou". C'est un nom toponymique désignant un endroit au sol mou, fangeux.

    Baucels, Baucellis en 1293, représente la racine oronymique ligure BAL(-s) qui désigne un escarpement de rocher, une falaise abrupte. On retrouve cette racine dans le nom des Baux-de-Provence ( Balcium en 960)[24].

    Cadastre napoléonien : section A1 de Moulès (1836).

    Histoire

    Le 22 juillet 1836[25], la commune de Baucels est rattachée à celle de Moulès qui prend le nom de Moulès-et-Baucels.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 1989 Jean Marie Boudouresques    
    mars 1989 mars 2001 Elian Robert    
    mars 2001 juin 2020 Jean-Pierre Gaubiac SE Retraité Fonction publique
    juin 2020 En cours Daniel Célérier    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 872 habitants[Note 6], en diminution de 0,8 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9578779766150138152184
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    179171163180158147129121126
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    12914416511711811310511397
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6577128190297598737843892
    2018 - - - - - - - -
    872--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'églisette.
    Menhir du Ginestous

    L'églisette, une belle petite église romane du XIIe siècle dédiée à Saint-Jean-Baptiste. Elle n'est pas située dans l'agglomération, mais plus loin sur le territoire de la commune, sur une butte, un promontoire rocheux. À l'intérieur, voir la cuve baptismale romane et la stèle discoïdale. Ce trésor pittoresque n'est cependant ouvert qu'à certaines occasions, vu son éloignement et pour les offices.

    Personnalités liées à la commune

    • Fernand Barre (1890-1993), général lors de la Seconde Guerre mondiale[30]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[6].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Moulès-et-Baucels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9112012 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Moulès-et-Baucels », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF les « gorges supérieures de l'Hérault et plateau du Taurac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF le « Ranc de Banes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « montagne de la Fage et gorges du Rieutord » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « plateau du Taurac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Ganges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Jacques Astor : Dictionnaire des noms de familles et noms de lieux du Midi de la France, éd. du Beffroi, Toulouse 2002, p. 506
    25. Bulletin des lois, 1836, XIII-207
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Le général Barré sur le site de la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Thierry Ribaldone, « Le Castellas de Tournemire (Moulès-et-Baucels, Hérault) », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 30-32, 1999-2001, p. 31-33 (lire en ligne)

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail de l’Hérault
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.